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Foi - Page 499

  • "Le célibat, dernier bastion de la transcendance qu'il faut abattre" : la leçon magistrale du cardinal Müller

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    «Le célibat, le dernier bastion de la transcendance qu'il faut abattre»

    du site de la Nuova Bussola Quotidiana

    22-01-2020

    «Le célibat sacerdotal apparaît comme le dernier bastion d'une orientation radicalement transcendante de l'homme et de l'espérance dans un monde de l'au-delà à venir. Son abolition constituerait une offense à la nature du sacerdoce et un acte de mépris pour toute la tradition catholique. Qui veut prendre la responsabilité devant Dieu et sa sainte Église des conséquences désastreuses de son abolition? »

    La 'lectio magistralis' du cardinal Muller sur le célibat et le sacerdoce.

    Les médias qui tentent de créer de la confusion autour de la collaboration de Benoît XVI au livre du cardinal Sarah, "Des profondeurs de nos cœurs" (janvier 2020), ce n'est qu'un signe de la paranoïa qui sévit dans le public depuis la coexistence présumée de deux papes. Présumée, car il ne peut y avoir qu'un seul pape dans l'Église catholique, puisque "le Pontife romain, en tant que successeur de Pierre, est le signe perpétuel et visible et le fondement de l'unité des évêques et de la multitude des fidèles" (Vatican II, Lumen Gentium 23).

    Dans cette contribution de Benoît XVI au sacerdoce catholique, on voudrait trouver une nouvelle confirmation et un nouveau élément de ce brouillage de la perception de deux tenants de l'unité qui s'opposeraient. Néanmoins, il est clair que le pape François et son prédécesseur Benoît XVI ne sont pas les auteurs de cette polarisation morbide, mais plutôt les victimes d'une construction idéologique.

    «BENOÎT XVI N'EST PAS UN PENSIONNE»

    Cette polarisation constitue un danger pour l'unité de l'Église et, du même coup, mine la primauté de l'Église romaine. Tous ces faits ne font que démontrer que le traumatisme psychique causé par la renonciation du pape Benoît XVI à la charge de Pontife au début de 2013 n'est pas encore apaisé. Cependant, les fidèles ont droit à un jugement théologique clair sur la coexistence d'un pape régnant et de son prédécesseur désormais émérite. Ce processus singulier, par lequel le Pape, chef du collège épiscopal et de l'Église visible, dont la Tête invisible est le Christ lui-même, abandonne la Cathedra Petri qui lui a été donnée pour la vie jusqu'à sa mort, ne peut jamais, et alors jamais, être compris selon les catégories du monde, telles que par exemple le droit à la retraite pour des raisons d'âge ou le désir populaire de remplacer la personne de son patron. Et s'il est vrai que le droit canonique prévoit cette possibilité dans l'abstrait (Can. 332 §2 CIC), à ce jour cependant, des dispositions détaillées ainsi que des expériences concrètes pour décrire ce cas de figure et plus encore comment il peut être réalisée dans pratique pour le bien de l'Église font défaut.

    Dans le monde politique, les antagonismes dans la lutte pour le pouvoir sont courants. Une fois l'adversaire écarté, le cours des choses continue comme si de rien n'était. Cependant, il ne devrait pas en être ainsi parmi les disciples du Christ, car dans l'Église de Dieu, tous sont frères. Dieu seul est notre Père. Et seul Son Fils Jésus-Christ, le Verbe fait chair (Jn 1, 14-18) est le Maître de tous les hommes (Mt 23,10). En raison de l'ordination sacramentelle, les évêques et les prêtres sont les serviteurs de l'Église choisis dans le Saint-Esprit (Actes 20:28), qui guident l'Église de Dieu au nom et sous l'autorité du Christ. Il parle par leur bouche en tant que divin Maître de la prédication (1T 2,13). Il sanctifie les fidèles dans les sacrements à travers eux. Et enfin, le Christ, "gardien et berger de vos âmes" (1P 2,25), s'occupe du salut des hommes, appelant les prêtres (évêques ou presbytres) de son Église pour être leurs pasteurs (1P 5,2sg. ; Ac 20:28). L'évêque de Rome exerce le ministère de saint Pierre, appelé par Jésus, le Seigneur de l'Église, à la tâche de pasteur universel (Jn 21, 15-17). Mais même les évêques sont frères entre eux, bien qu'ils soient, en tant que membres du collège épiscopal, unis au Pape et placés sous son autorité (Vatican II, Lumen Gentium 23).

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  • Suisse : un patron chocolatier dans le colimateur des associations LGBT

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    Du site 24heures.ch :

    Patron de Läderach accusé d'homophobie

    Polémique / Des associations LGBT ont appelé au boycott de l'entreprise Läderach car son directeur général s'oppose au mariage pour tous et est anti-avortement.

    Johannes Läderach, 33 ans, arrivé à la tête de l'entreprise familiale en 2018.

    Johannes Läderach, 33 ans, arrivé à la tête de l'entreprise familiale en 2018.Image: archive/Keystone

    Le patron du chocolatier Läderach a répondu aux accusations d'homophobie et de misogynie, ainsi qu'au boycott de son entreprise initié par des associations LGBT et le Juso, dans une interview au journal Neue Zürcher Zeitung.

    «Les affaires ont malgré tout augmenté en 2019, mais nous avons des clients qui n'achètent plus chez nous. Cependant, de nouveaux clients sont arrivés, qui regrettent de voir un conflit se faire sur le dos des employés», a expliqué Johannes Läderach, 33 ans, arrivé à la tête de l'entreprise familiale en 2018, dans un entretien daté de samedi soir.

    Des appels au boycott ont été lancés alors que le directeur général s'est notamment engagé dans l'organisation de la «Marche pour la vie», opposée notamment à l'avortement. En octobre, une boutique du chocolatier à Bâle a dû fermer à cause d'une attaque à la boule puante. «Il y a eu des actes de vandalisme dans sept succursales de Läderach», a-t-il compté.

     

    Thomas Weiss@thunderbytech

    Nach Flashmob gegen Homophobie vor Zuger Läderach - Jetzt wehrt sich der Chocolatier: «Wir wurden missbraucht» | zentralplus - https://www.zentralplus.ch/die-confiserie-laederach-wehrt-sich-gegen-vorwurf-der-homophobie-1695049/ 

    Jetzt wehrt sich der Chocolatier: «Wir wurden missbraucht» | zentralplus

    Nachdem im Dezember ein paar Zuger eine «Süsse Küsse»-Aktion gegen Homophobie vor der Confiserie Läderach im Metalli durchgeführt haben, wehrt sich das Unternehmen nun vehement gegen die erhobenen…

    zentralplus.ch
    «Pas un seul employé n'a quitté l'entreprise depuis la vague de critiques contre moi». Le patron affirme comprendre que ses opinions suscitent des «résistances», «mais il n'est pas juste que les employés vivent dans la peur». Il ne compte pas s'abstenir de soutenir des organisations chrétiennes, en tant que «laïc qui lit la Bible».

    Accusations rejetées

    Le patron a affirmé rejeter les accusations d'homophobie et de misogynie. «Personne chez Läderach n'est homophobe, ni à la direction, ni dans le personnel». «Je ne suis pas misogyne, 60% de nos cadres sont des femmes». Il affirme seulement avoir une «opinion différente» sur le mariage pour tous et sur l'avortement.

    Le groupe a récemment ouvert des succursales à New York, Toronto et Londres «que nous exploitons nous-mêmes et que nous approvisionnons depuis la Suisse», d'après Johannes Läderach. La société d'Ennenda veut se limiter à 50 magasins en Suisse afin de rester exclusif.

    Actif sur le segment du chocolat premium, l'entreprise a réalisé des ventes annuelles à trois chiffres en millions, selon le journal zurichois. (ats/nxp)

  • Un film sur les apparitions de Garabandal sort sur les écrans

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    De Bruno de Pazzis sur le site du Salon beige :

    Garabandal, Dieu seul le sait

    Garabandal, Dieu seul le sait

    De Bruno de Pazzis à propos de ce film qui sort le 22 janvier en salles (en France mais pas encore en Belgique) :

    18 juin 1961 à San Sebastian de Garabandal en Espagne. Dans ce petit village du nord de l’Espagne, quatre jeunes filles, Conchita, Jacinta, Maria Loli et Maria Cruz, affirment avoir eu l’apparition  l’archange Saint-Michel. Quelques jours après, le 2 juillet, elles reçoivent la visite de Notre Dame du Carmel. Après cette première visite, se suivent plus de deux mille rencontres avec la divine Mère. Le prêtre du village, Don Valentín et le brigadier de la Garde Civile, Juan Álvarez Seco, se sont retrouvés subitement impliqués comme acteurs dans un évènement qui les dépasse, essayant de comprendre où est la vérité, face à une hiérarchie perplexe, face à une multitude de personnes à chaque fois grandissante qui viennent au village à la recherche de réponses.

    Avec : Fernando Garcia Linates (le brigadier Juan Alvarez Seco), Bélen Garde Garcia (Conchita), Rafael Samino Arjona (Don Valentin), Javier Paredes, Alberto Barcena Perez (Don Francisco Vergara), Manuel Gomez Escribano (Pepe Diez), Esmeralda Perez Ortega (Aniceta), Pedro leal Campillo (le doctuer Puncernau), Enrique carrasco Guerrero (le docteur Morales), Myriam Rodriguez De Rivera (Jacinta), Teresa CarrascoAbroyo ( Maria Cruz), Blanca Cogolludo Corroto (Maria Loli), Juan Romero Pons (Le Père Ramon Andreu), David CruzPalacios (Monseigneur Lucio Alfaro), Sagrario Serrano Villarubia (Dona Carmen), Jesus Goyena Urien (le Père Luis Jesus Luna), Luis Escandell Millan (le Père Luis Andreu), Monica Fernandez Betia (Dona Serafina), Jose Vicente Marti Albinana (Hombrin), Santiago Savino Perez (Manin), Teresa Garcia Serrano (Pilar Gonzales), Soledad Martin Martin (Senora Maria), Ana Rosa Ferrero Miguel (Maximina), Maria Jose Arranz Ayala (Maria Luisa Salazar), Juan Jose Albanit Ortiz (le mari de Maria Luisa Salazar), Juan Antonio Alcayde Blanes, Jose luis Galan Manrique, Kevin Perez Garciarena (les trois franciscains) Fernando Peinado Cidrian (le père de Maria Cruz), Jose Escandell Millan (Padre Rivas), Jesus Maria Martin Fonfria (Don Francisco), Sara Lozano Gomez (la voix de la Sainte Vierge). Scénario : José Luis Saavreda Garcia. Directeur de la photographie : Kristian Philip Espejon Musique : Karen Mary McMahon.

    Récompense : Deuxième prix au 34ème International Catholic Film And Multimedia Festival, KSF Niepokalana à Cracovie (2019).

    « Ils croiront quand il sera trop tard »… Ainsi s’exprima Saint Padre Pio de Pietrelcina dans une lettre aux filles de San Sebastian de Garabandal. Si c’est un moine devenu saint qui s’exprime, le scénariste (le père José Luis Saavreda Garcia) et le réalisateur du film n’ont pas voulu outrepasser leur rôle et précisent bien que ces apparitions ne sont pas officiellement reconnues par l’Eglise. A l’inverse, il faut également préciser que si ces apparitions ne sont pas reconnues ou encore reconnues, elles ne sont pas pour autant condamnées par l’Eglise. Tout le film reflète cette humble soumission et raconte avec beaucoup de vérité, sans vouloir convaincre mais seulement décrire les faits et les laisser à l’appréciation du spectateur, même si, devant certains faits dont l’aspect surnaturel apparait très convaincant, ce dernier est très enclin à adhérer à la réalité des apparitions.

    Les faits historiques présentés dans ce premier long métrage sur le sujet se basent sur la thèse de doctorat du Père José Luis Saavedra, soutenue en 2017 à l’Université de Navarre sous le titre : « Marie de Garabandal, état des apparitions survenues à Sebastián de Garabandal entre 1961 et 1965 ». Ce fut la première thèse de doctorat à mener une étude scientifique sur les événements de Garabandal. Par ailleurs, les supports de communication de la conférence épiscopale espagnole affirment : « le film est un récit historique fidèle, qui ne dit rien de plus que ce que dit l’Eglise sur ces apparitions »Ceci assure le sérieux et l’objectivité du scénario du film. Aussi, le spectateur peut faire confiance globalement à ce qui lui est représenté et le message délivré par la Sainte Vierge à propos du clergé est d’une actualité qui se met à résonner très fort.

    La mise en scène est simple, ne cherchant pas à impressionner le spectateur par des effets spéciaux ni à faire œuvre d’auteur. L’ensemble est beau par sa grande simplicité et sa sincérité. Il est alors bien difficile de ne pas être ému par le témoignage de Foi du brigadier Juan Álvarez Seco qui a été au centre de ces évènements. Avec le jeu d’un retour en arrière (le film débutant par une séquence qui se déroule en 1966), les faits sont racontés de manière linéaire (à l’exception d’un intéressant montage alterné dans la dernière partie du film) d’une manière délicate et le film est visible par tous les âges. On ne peut que recommander de le voir. Sa sortie en France dans les salles est une occasion unique. Distribué depuis sa réalisation dans 18 autres pays, il suscite un intérêt certain au point que des discussions seraient en cours avec 20 autres pays. C’est dire que lorsque le cinéma s’intéresse à des sujets qui touchent au spirituel et à la religion et que les ennemis de la Foi ne se déchainent pas, il trouve un public. C’est bien que l’homme est par essence spirituel…

  • Saints et grands témoins du christianisme : un outil contre l'amnésie

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    Résultat de recherche d'images pour "Dictionnaire des saints et grands témoins du christianisme"

    Editorial de Xavier Darcos sur Canal Académie :

    Chers amis, chers auditeurs,

    Les éditions du CNRS ont récemment publié un Dictionnaire des saints et grands témoins du christianisme réalisé sous la direction d’André Vauchez et de Jean-Robert Armogathe, respectivement membre et correspondant de l’Académie des inscriptions et belles-lettres (1).

    De A comme Aaron à Z comme Zénon de Véron, cet ouvrage monumental présente la vie d’une sélection de plus de trois cents saints et figures marquantes des différentes Églises chrétiennes. De la sorte, il ne raconte pas seulement l’histoire du christianisme et de ses inflexions, mais aussi notre histoire commune. En effet, comme le rappelle André Vauchez dans l’entretien qu’il nous a accordé, les saints ont profondément imprégné le paysage des pays tels que le nôtre : lieux-dits, prénoms, patronymes, jusqu’aux gares et stations de métro, les noms de saints nous sont devenus familiers alors même que leurs vies réelles se sont pourtant effacées progressivement de nos mémoires”. (...)

    (1) Dictionnaire des saints et grands témoins du christianisme, par André Vauchez et Jean-Robert Armogathe, CNRS Éditions, octobre 2019, 1392 p., 42 €.

     

    Dictionnaire des saints et grands témoins du christianisme : un outil contre l’amnésie historique (et spirituelle)

    Entretien avec André Vauchez, de l’Académie des inscriptions et belles-lettres
    Noms de communes, d’hôpitaux, de gares, de rues et de stations de métro, sans oublier un nombre encore très important de prénoms usuels et de patronymes… Les noms des saints chrétiens em-plissent notre vie quotidienne et sont si familiers à nos oreilles que l’on ne s’interroge plus guère sur la vie qui fut la leur. Le Dictionnaire des saints et grandes figures du christianisme récemment pu-blié par les éditions du CNRS sous la direction d’André Vauchez et de Jean-Robert Armogathe, respectivement membre et correspondant de l’Académie des inscriptions et belles-lettres, permet de remédier à cette amnésie. En 1400 pages, l’ouvrage présente les vies réelles de quelque 300 saints et figures marquantes des différentes églises chrétiennes des premiers siècles de notre ère à nos jours. Si bien que, par petite touche, biographie après biographie, c’est aussi une histoire de la sainteté - voire de la notion plus laïque d’exemplarité - qu’il nous propose. Témoins de leur foi et de leur temps, les saints d’hier et d’aujourd’hui portent aussi témoignage de l’évolution de nos sociétés.
     
  • The Voice : quand cinq séminaristes offrent un moment de grâce, « spirituel et magnifique »

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    De Bérengère Dommaigné sur aleteia.org :

    Quand des séminaristes offrent un moment de grâce à la télévision

    the voice séminaristes russes
    Capture écran The voice TF1

    Bérengère Dommaigné | 20 janvier 2020

    Samedi soir, en prime time sur TF1, quelque 5,2 millions de téléspectateurs de The Voice ont pu apprécier la performance vocale de cinq séminaristes du séminaire orthodoxe d’Épinay-sous-Sénart (Essonne). Ils ont offert un moment de grâce, « spirituel et magnifique », d’après les coachs eux-mêmes.

    Samedi soir, TF1 lançait la neuvième saison de son émission phare The Voice. Et dès la première diffusion du télé-crochet, les téléspectateurs ont été servis en surprises et en émotions. Comme avec le Schola Fratrum, « le chœur des frères » en latin, composé de Cyril, Arthur, Pierre, Denis et Vladimir. Originaires de Russie et étudiants au séminaire orthodoxe d’Épinay-sous-Sénart, ils chantent ensemble depuis plusieurs années. Et leur complicité vocale a scotché toute l’assistance. Ils ont débarqué sur le plateau en soutane pour interpréter a capella le chant orthodoxe « Ô mon âme ».

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    Pour ceux qui l’ignorent encore, le concept de l’émission The Voice, est de découvrir « à l’aveugle » des chanteurs qui intègreront ensuite l’équipe d’un des quatre coachs afin de gagner le télé-crochet. Cette année, Pascal Obispo, Amel Bent, Marc Lavoine et Lara Fabian sont ces coachs qui se retournent, ou pas, sur les voix. Et c’est d’abord la stupéfaction qui paralysent les quatre coachs aux premières notes des Schola Fratrum. Combien peuvent-ils être ? Comment les coacher par la suite alors que tout sonne parfaitement ?

    « J’ai médité en vous écoutant »

    Pris par ces questionnements puis par la beauté de l’instant « hors du temps », les coachs ne se retourneront pas et les cinq séminaristes ne poursuivront donc pas l’aventure télévisuelle. Mais qu’importe ! Comme le dit Marc Lavoine, « on a affaire à quelque chose de tellement spirituel et magnifique […]. J’ai médité en vous écoutant ». Quant à la chanteuse Lara Fabian, émue à son tour, elle propose de les inviter à son prochain concert en Russie pour associer leurs voix le temps d’une chanson. Au milieu du show, des lumières et du bruit d’une émission de télévision, ces séminaristes ont offert trois minutes de spiritualité et de transcendance aux 5,2 millions de téléspectateurs qui ont regardé l’émission samedi soir. Assurément, ce sont eux les vainqueurs !

    Ce ne sont d’ailleurs pas les seuls candidats à avoir surpris le public. Parmi les autres concurrents, Maria Boyle, qui a interprété « Danny Boy », un chant traditionnel irlandais. Née à Dublin, elle vit aujourd’hui en France avec son mari et ses sept enfants. Cinq d’entre eux l’accompagnaient d’ailleurs sur scène avec leurs instruments et les deux derniers les ont rejoints au moment de l’échange avec le jury. La singularité de cette mère de famille souriante ? Elle est aveugle. « C’est moi l’aveugle dans l’histoire », lance-t-elle aux coachs en riant. « Quand j’étais petite, j’étais fascinée par les étoiles et maintenant, ça fait plus de 40 ans, les étoiles, je ne les vois plus. Mais ce n’est pas grave parce qu’au fil des années, les étoiles sont venues jusqu’à moi. Et ça c’est mes sept enfants, mes étoiles à moi », a-t-elle poursuivi sous les applaudissements du public.
  • Le pape François s'apprêterait à autoriser l'ordination d'hommes mariés

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    Lu sur le site Diakonos.be :

    Il Sismografo

    LE PAPE S'APPRÊTERAIT BIEN À AUTORISER L'ORDINATION DE PRÊTRE MARIÉS

    Le chilien ultrabergoglien Luis Badilla vient de publier sur son blog "Il Sismografo", un site d'informations officieux proche du Vatican, un article intitulé : "Il est certain que dans l'exhortation apostolique sur le Synode amazonien, le Pape ouvrira la possibilité d'ordonner prêtre des hommes idoines et reconnus par la communauté dans les diocèses d'Amazonie."

    Selon lui, début février, le Pape publiera une exhortation post-synodale qui autorisera l'ordination de diacres mariés à la prêtrise en Amazonie.

    L'article du Sismographe se base sur des sources proches du dossier et cite plusieurs articles du rapport post-synodal qui vont dans ce sens.

    La question de savoir si le célibat - et surtout la continence - sont intrinsèquement liés à la prêtrise ou pas divise actuellement l'Eglise: certains, se basant sur une lecture historique, prétendent qu'il ne s'agit que d'une question purement disciplinaire que l'Eglise pourrait donc abolir. Mais d'autres, comme le cardinal Sarah et le pape émérite Benoît XVI, se basant sur une lecture théologique, expliquent qu'il s'agit d'une question dogmatique, ancrée dans la vie du Christ lui-même et de ses apôtres, et qui trouve ses racines dans les anciens prêtres d'Israël.

    La méthode synodale fait également débat: certains prétendent qu'il faut suivre la voix de la majorité mais d'autres s'interrogent sur le fait qu'un synode local, ne regroupant qu'un petit nombre d'évêques triés sur le volet et souvent assez orientés sur les positions progressistes allemandes, puisse se prononcer une matière qui concerne en fait l'Eglise toute entière. En effet, plusieurs évêques allemands ont annoncé que si on ouvrait une exception pour l'Amazonie, ils l'exigeraient également pour leurs diocèses en Europe qui sont aussi en manque de prêtres.

    Voici la conclusion, péremptoire, de Luis Badilla, qui se passe de commentaires:

    "Les analyses, les considérations et les conclusions de la majorité des pères synodaux sont donc claires et précises, comme nous l'avons illustré. Comment le Pape François, qui a justement voulu ce synode pour entendre l'opinion des pères synodaux, pourrait-il ignorer une prise de position qui a recueilli le soutien d'une majorité qualifiée bien supérieure à ce qu'exigeait le règlement ?

    Selon plusieurs sources proches du dossier, il semble que dans son exhortation, le Pape François autorisera ces ordinations [de diacres mariés à la prêtrise] exactement comme on peut le lire au paragraphe 111, tout en sachant qu'une certaine frange de la hiérarchie et du Peuple de Dieu y est opposé et ne partage pas cette décision. Il s'agit d'une minorité, respectable certes mais une petite minorité de l'Eglise. Le Pape François lui-même l'a rappelé avec douceur et sympathie, comme l'a rapporté aujourd'hui Eugenio Scalfari dans son article sans être démenti.

    François est également bien conscient que le sujet sera instrumentalisé pour créer des divisions et des tensions au sein de l'Église comme cela a déjà été le cas pour d'autres sujets. Aujourd'hui, la stratégie des multiples opposants au Pape, c'est-à-dire d'une myriade de groupuscules et de faiseurs d'opinion, divisés entre eux, est d'utiliser la seule arme dont ils disposent allègrement : les campagnes médiatiques, grâce auxquelles ils récoltent de plantureux financements. Le dernier exemple est date est ce battage médiatique en France, à grand renfort de publicité éditoriale et journalistique, autour du fameux livre du card. Robert Sarah, avec la contribution de l'évêque émérite de Rome.

    Mais ce ne sont pas ces bavardages médiatiques qui arrêteront le Pape françois et la majorité du Peuple de Dieu qui veut aller de l'avant sans se laisser intimider, même quand on a voulu ces derniers - en mentant - faire passer une question disciplinaire comme étant une question doctrinale."

    Source: ilsismografo.blogspot.com/2020/01/vaticano-e-certo-che-nellesortazione.html

    Lire également : http://www.benoit-et-moi.fr/2020/2020/01/19/une-nouvelle-conception-de-la-relation-entre-doctrine-et-pratique/

  • 19 mars : 11ème Marche des hommes avec saint Joseph

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    5 bonnes raisons......pour marcher entre hommes le jour de la fête de saint Joseph, le jeudi 19 mars 2020 autour de l'abbaye de Cordemois et du château de Bouillon

    1. Il est temps de faire une pause entre hommes
    2. Confier une intention de prière à l'intercession de saint Joseph pour une joie ou une difficulté 
    3. Boire une .. euh, un bon Orval
    4. Le Thème tout simplement : "Choisis donc la vie." Dt 30,19
    5. Dormir à Bouillon et marcher autour du Château de Godefroy de Bouillon
    #ToutUnProgramme19 Maart, 1ste www.sint-Jozefstocht.be rond de abdij van Westvleteren, waar een van de beste abdijbieren ter wereld gebrouwen wordt.

    #Abdijbier1. Een tocht woor mannen
    2. Vertrouw een gebedsintentie toe aan de voorspraak van Sint-Jozef voor een vreugde of een moeilijkheid
    3. Drink een .. Westvleteren
    4. De thema : "Kies voor het leven." Dt 30,19

    Chaque 19 mars.
    Depuis 2010.
    Peu importe la météo.
    Peu importe le jour de la semaine.
    Jour de la fête de saint Joseph.

    Nous marchons entre hommes.
    Au sud de la Belgique.
    Petite soirée la veille entre nous.

    Dit-on un Orval ou une Orval ?
    Venez, vous le saurez
    et la goûterez ;-)

     

    Une rando aisée d'environ 15km dans la région de Bouillon et bien à l'écart des zones en quarantaine pour les affaires de sangliers contaminés.

    Voor de tocht rond Westvleteren, bezoek www.sint-jozefstocht.be of contacteer info@sint-jozefstocht.beToutes les infos sur www.marche-de-saint-joseph.be

    José, Joseph, Pino, Jo, ont Saint-Joseph comme patron. Il est aussi le patron de tous les travailleurs et est invoqué pour des demandes concrètes: travail, habitation, famille. A Orval, nous avons déjà entendu de nombreux témoignages surprenants.SCOOP - Deux visiteurs, venus de bien loin dans le temps, sont inscrits à la marche et connaissent bien le château de Bouillon. Petit cousin de Godefroy de Bouillon, Godefroy de Montmirail a exploré la parcours avec son palfrenier. Suivez le guide en vidéo.

    Likez la page de la Marche de saint Joseph sur Facebook

    Une initiative de membres et d'amis de la Communauté de l'Emmanuel de Belgique. Gentlemen, vous pourriez suggérer à votre dame de participer à la www.marchedesmeres.be les 21 et 22 mars 2020 :-).

  • Une neuvaine pour la vie

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    De Vatican News :

    Une affiche anti-avortement dans l'Iowa.

    Une affiche anti-avortement dans l'Iowa. 

    États-Unis : début le 21 janvier de la neuvaine pour la vie

    Les catholiques américains se préparent à prier et à réfléchir pendant neuf jours sur la vie, une initiative promue par les évêques qui débutera le mardi 21 janvier.
     
    La Conférence des évêques catholiques des États-Unis invite tous les catholiques à se préparer pour la neuvaine annuelle Pro-Life qui débutera le 21 janvier prochain. Neuf jours de prière pour se souvenir de la décision de la Cour suprême de janvier 1973 dans l'affaire Roe vs Wade, qui a libéralisé l'avortement aux États-Unis.

    Chaque jour, pendant neuf jours, tout en priant pour le respect et la protection de chaque vie humaine, une intention différente sera présentée, accompagnée d'informations à son sujet, d'une brève réflexion et de propositions d'actions quotidiennes. Le 22 janvier, cette journée sera consacrée à la protection juridique des enfants à naître.

    L'épiscopat invite tous les fidèles à s'inscrire sur www.9daysforlife.com. Les participants peuvent choisir de recevoir la neuvaine par courriel, par SMS, en version imprimable ou par le biais d'une application mobile gratuite en anglais ou en espagnol. Il sera aussi possible de prier sur les réseaux sociaux en utilisant le hashtag #9DaysforLife. Un kit contenant des intentions de prière et des réflexions quotidiennes sera également disponible pour ceux qui animent les journées de prière.

  • Pourquoi la couleur verte dans la liturgie de ces dimanches ?

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    Du site Dimanche dans la Ville :

    Dans la messe, le prêtre porte sur son aube des ornements verts. C’est la couleur du temps ordinaire. Mais ce temps liturgique n’est pas un temps banal : le vert, c’est la couleur de la patience, de l’espérance, de la croissance. Hors des grandes fêtes, nous cheminons sur les verts pâturages où Dieu nous attend, même dans l’ordinaire de nos vies. Le frère Nicolas Burle nous déroule ce dimanche la symbolique catholique du vert… en attendant les prochains épisodes en rouge, violet et blanc !

  • Voici l'Agneau de Dieu (2e dimanche du Temps Ordinaire)

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    06-Retable_de_l-Agneau_mystique_-10-.jpg

    Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 1,29-34. 
    Comme Jean Baptiste voyait Jésus venir vers lui, il dit : « Voici l'Agneau de Dieu, qui enlève le péché du monde ;
    c'est de lui que j'ai dit : Derrière moi vient un homme qui a sa place devant moi, car avant moi il était. 
    Je ne le connaissais pas ; mais, si je suis venu baptiser dans l'eau, c'est pour qu'il soit manifesté au peuple d'Israël. » 
    Alors Jean rendit ce témoignage : « J'ai vu l'Esprit descendre du ciel comme une colombe et demeurer sur lui. 
    Je ne le connaissais pas, mais celui qui m'a envoyé baptiser dans l'eau m'a dit : 'L'homme sur qui tu verras l'Esprit descendre et demeurer, c'est celui-là qui baptise dans l'Esprit Saint. '
    Oui, j'ai vu, et je rends ce témoignage : c'est lui le Fils de Dieu. » 

    Voici l’Agneau de Dieu (source)

    Homélie du fr. Thierry-Dominique HUMBRECHT o.p., 2dimanche du T.O., année A

     « Voici l’Agneau de Dieu qui enlève le péché du monde ». Jean le Baptiste l’a dit, en une phrase il a tout dit du message chrétien.

    C’est aussi à notre temps qu’il l’annonce, et notre temps risque de passer à tabac aussi bien celui dont il est question que son porte-parole. Pensez donc : le porte-parole, un prophète qui pointe l’unique Dieu, de préférence aux autres, et qui, en outre, ose dénoncer les unions illégitimes, royales ou non ; cet homme-là n’a pas le droit de diffuser son intransigeance, il mérite la mort, la mort médiatique ou physique, ce qui revient au même. Davantage, est devenu inacceptable l’objet de son message, aujourd’hui comme hier, un Dieu qui s’incarne parce qu’il a des choses à réparer en nous et d’autres à exiger. La religion embourgeoisée en prend un coup, celle qui ne dérange ni l’ordre public ni les familles, où l’on ne touche à rien pour que tout aille bien.

    Pourtant, c’est à cette manifestation qu’il nous faut revenir, comme un résumé de notre foi : « Voici l’Agneau de Dieu qui enlève le péché du monde ». Essayons d’en mesurer la portée, sur Dieu, sur nous, sur notre société. 

    « L’Agneau de Dieu » : nous sommes habitués aux images évangéliques, trop peut-être, elles perdent de leur force. Qui d’entre nous a déjà porté un agneau dans ses bras, un vrai, vivant, cru ? Peut-être personne, ou alors il y a un demi-siècle. Les agneaux nous font sourire, ils sont aussi bêtes que leurs parents, heureusement ils ont un côté mignon. Leur innocence attendrit.

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  • Mgr Mutsaerts : "Espérons que le pape François passera outre le document final du Synode sur l'Amazonie"

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    Lu sur le Forum catholique :

    Mgr Mutsaerts, évêque auxiliaire de Den Bosch (Pays-Bas), extrêmement préoccupé par le document final du synode amazonien (...)

    «Espérons que le pape François détruira le document final, mais les espoirs sont vraiment minces. Seigneur, aie pitié. »

    Avec ces mots, l'évêque hollandais Robert Mutsaerts a exprimé sa préoccupation au sujet du Synode amazonien. Son document final est imprégné de relativisme culturel, appelle à révolutionner le sacerdoce et propose d'introduire des éléments «amazoniens» dans la liturgie catholique.

    Dans une interview publiée mercredi par le quotidien italien Il Giornale, Mutsaerts, évêque auxiliaire de Den Bosch aux Pays-Bas, a parlé de sa propre vision du Synode amazonien qui a eu lieu à Rome en octobre dernier.

    Selon Mgr Mutsaerts, le véritable objectif de ce «synode déjà écrit» était d'introduire l'ordination d'hommes mariés, de femmes diacres et un nouveau rite «amazonien» dans l'Église catholique. Il est allé encore plus loin dans ses réflexions: "Il semble ... que le synode a amené l'idolâtrie amazonienne à Rome", a déclaré Mutsaerts à Serena Sartini d'Il Giornale.

    Il a également déclaré que le Synode d'Amazonie avait ouvert la «boîte de Pandore» des innovations pour toute l'Église, à commencer par l'Allemagne, dont le «Synodal Path» officiel ouvrira dans moins de deux semaines. Une majorité d’évêques allemands font ouvertement pression pour la révolution du rôle de la femme dans l’Église, la suppression de la règle du célibat pour les prêtres de l’Église latine et la libéralisation de la moralité sexuelle.

    INTERVIEW de Mgr MUTSAERTS dans IL GIORNALE:

    Il Giornale (IG)Le problème est-il vraiment la baisse des vocations?

    Mgr Robert Mutsaerts (BRM): Quatre-vingt pour cent de la population amazonienne vit dans les grandes villes et le problème du manque de prêtres n'y est pas du tout différent de celui de nombreuses autres régions du monde. Le problème est plutôt un manque de foi. Cela n'est pas résolu en acceptant des prêtres mariés. Il suffit de voir ce qui se passe dans l'église anglicane, où les prêtres mariés sont déjà une pratique courante. La crise dans d'autres églises est encore plus grande que dans l'Église catholique: l'effondrement de la foi est dramatique.

    IGPourquoi alors une telle orientation pour le Synode?

    BRM: Les mots clés dans le document final du synode n'étaient pas "la Terre Mère" et "l'écosystème", mais "viri probati", "les diaconesses" et "le rite amazonien". C'est le cardinal Hummes qui a poussé le résultat dans cette direction. Bien sûr, maintenant les résultats ne seront plus limités à la région amazonienne. La boîte de Pandore est ouverte et il y aura des implications pour toute l'Église. Les évêques locaux, à commencer par l'Allemagne, demanderont la même chose. C'était un synode qui a trompé les fidèles. Telle est la triste conclusion: c'était une moquerie de notre glorieuse foi, une rupture avec la tradition.

    IGQue va-t-il se passer maintenant?

    BRM: Espérons que le pape François détruira le document final, mais les espoirs sont vraiment minces. Le Seigneur a pitié.

    IGQue pensez-vous des conclusions du synode sur les prêtres mariés?

    BRM: C'est un synode déjà écrit, avec un résultat prédéterminé. Les 180 pères synodaux ont été soigneusement sélectionnés par le pape François, et ceux qui se sont opposés aux propositions n'ont jamais été invités. Tous les discours sur l'environnement, le changement climatique, l'écologie et la Terre Mère étaient une couverture pour les propositions finales, sur les prêtres mariés et les diaconesses

    IGQu'attendriez-vous du synode?

    BRM: Le Synode Amazonien n'a pas proposé de solutions claires, qui sont le but des synodes. C'était plutôt un mélange de confusion et de controverse. Cela n'a rien à voir avec la révélation, la rédemption, ou quoi que ce soit lié à distance à ce qui est essentiel dans l'enseignement catholique. Même Jésus n'est guère mentionné. Tout a commencé avec l'instrumentum laboris, qui mentionne les peuples religieux et leur vision du cosmos. Ne devrions-nous pas amener le Christ en Amazonie? Il semble au contraire que le synode ait amené l'idolâtrie amazonienne à Rome.

    IG: Pourquoi êtes-vous si préoccupé par la conclusion du synode?

    BRM: Parce que rien n'était comme il aurait dû être. Lors d'une conférence de presse, le préfet du département de la communication, Paolo Ruffini, a nié que les fidèles se soient prosternés devant une statue en bois en présence du pape. Mais il y a une vidéo, sur le web, qui montre exactement le contraire: une douzaine de personnes, dont un frère franciscain, s'inclinant au sol devant une statue en bois, sous le regard du pape. La statue en bois est-elle une représentation de la déesse de la fertilité Pachamama, ou la statue représente-t-elle la version amazonienne de Notre-Dame? Le pape lui-même l'a appelé une statue de Pachamama, tandis que le Vatican a nié qu'elle représentait une idole. Bref, c'était une moquerie synodale de notre foi, une rupture avec la tradition chrétienne.

    source

  • Célibat : ils n'ont pas pu se taire

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    D'Aline Lizotte sur Smart Reading Press :

    CÉLIBAT DES PRÊTRES : «SILERE, NON POSSUMUS»

    Livre sur le célibat des prêtres

    Nombreux sont ceux qui souffrent aujourd’hui de voir que les valeurs sacramentelles et doctrinales s’effritent devant des «autorités invisibles» qui prédisent une «nouvelle Église», où seul demeurera le sacerdoce des fidèles en remplacement du sacerdoce ministériel. Dans un livre qui vient de paraître, Benoît XVI et le cardinal Sarah ont puisé au plus profond de leur cœur pour rappeler l’exigence du célibat sacerdotal. «Silere non possumus1» : ils ne peuvent pas se taire !

    Le livre2 du cardinal Sarah, auquel Benoît XVI s’est joint comme collaborateur, ne pouvait pas ne pas faire de vagues. Et surtout, il ne peut plus maintenant être ignoré ! Il est là, avec toute la pesanteur de ses écrits ! Il brûle comme un feu ardent qui ne peut être éteint ! Il ne condamne personne ! Il dit une chose redoutable : la vérité ! Non une certaine vérité des faits toujours interprétables selon les émotions, mais la vérité d’une Parole : «Tu es prêtre pour l’éternité !» Et, prêtre pour l’éternité, tu as accepté d’être, de vivre en ma présence et de me servir3. Je t’ai choisi parmi les tiens, ta famille, ton monde, pour être celui que j’envoie à mon peuple pour tenir lieu de moi, de mon amour, de mon offrande, de mon salut. Tu ne t’appartiens plus, non seulement spirituellement, mais aussi socialement ; tu ne prendras pas femme, tu ne fonderas pas une famille. Tu seras mon prêtre !

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