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Foi - Page 689

  • Vincent Lambert : euthanasie, dignité, liberté de conscience, le cocktail mortifère des mots piégés par l’idéologie des droits de l’homme

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    Lu  et vu sur "Riposte catholique":

    "Voici une très courte vidéo (2’ 29”) qui en dit très long sur Vincent Lambert. Elle vient d’être mise en ligne aujourd’hui et a été tournée le 5 juin après la décision abominable de la CEDH. C’est un reportage d’un camarade de lycée de Vincent, qui lui a rendu visite à l’hôpital. Écoutez ce qui se dit et voyez ce qu’elle vous montre. Vous comprendrez tout. À partager largement !"

    Ref. Vincent Lambert

    JPSC

  • La foi eucharistique du nouveau président de la Pologne Andrzej Duda

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    Lu et vu sur le site « Aleteia » :

    « C'est une vidéo qui fait le tour du monde : alors qu'il assistait à une messe en plein air, le président polonais a couru pour rattraper une hostie .

    «Voici une vidéo dont on parlera sûrement dans bien des pays, alors que les JMJ se dérouleront dans quelques mois à Cracovie : alors qu'il assistait à une messe en plein air à Varsovie, le nouveau président polonais, Andrzej Duda, a vu une hostie s'envoler au moment de la communion.

    Sans hésiter, il a alors couru pour la rattraper avant de la rapporter respectueusement au célébrant, le cardinal Nyczowi. Un magnifique témoignage de foi de la part de cet ex-député européen, fervent croyant, et qui a d'ailleurs été élu... un jour de Pentecôte, le 24 mai 2015 ! »

     Ref. Quand le président polonais court pour rattraper une hostie au vol

     JPSC

  • Liège, 4-7 juin 2015 : Triduum de la Fête-Dieu

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    390473145.JPGAprès la procession radieuse (voir ici) organisée le jeudi 4 juin, depuis les hauteurs du Publémont jusqu’à la Cathédrale, au soir même de la messe de la Fête célébrée à la basilique Saint-Martin, les plus fervents ont pu se retrouver le vendredi 5 juin pour une adoration eucharistique qui se déroula sans discontinuité de 9h00 à 17h00 dans la chapelle des chanoines de Saint-Paul.

    Et le samedi soir 6 juin à 18h00, plus de trois cents liégeois se sont encore retrouvés à l’église du Saint-Sacrement, au Boulevard d’Avroy, pour assister à la messe solennelle célébrée selon la forme extraordinaire du rite romain, par l’evêque de Liège, Monseigneur Delville. Deux chorales, la Rheinische Frauwenschola de Wiesbaden (dir. Ximena Gonzáles)  et l’Ensemble vocal « Praeludium » de Liège (dir. Patrick Wilwerth) ont animé la célébration, en  alternant  avec brio les mélodies grégoriennes, le plain-chant liégeois et de superbes polyphonies inspirées par la liturgie de saint Jean Chrysostome.

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    La cérémonie s’est terminée par la bénédiction du Saint-Sacrement ponctuée par le « tantum ergo liégeois », chanté avec conviction par toute l’assemblée, et la vénération populaire des reliques de sainte Julienne de Cornillon, initiatrice de cette fête aujourd’hui universelle mais  née à Liège en 1246. Un moment de convivialité s’en est suivi jusqu’à 22h00. 

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  • Reconnaissance de nouveaux martyrs espagnols et laotiens

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    L'Eglise reconnaît le martyre de religieux espagnols victimes des persécutions survenues en 1936 à l'époque du Front Populaire et de prêtres et religieux laotiens tombés sous les coups des persécuteurs communistes :

    Cité du Vatican, 6 juin 2015 (VIS). A la suite de l'audience accordée hier après-midi au Cardinal Angelo Amato, SDB, Préfet de la Congrégation pour les causes des saints, le Pape a ordonné la promulgation des décrets relatifs:

    au MARTYRE

    du Serviteur de Dieu Frederico da Berga (Martí Tarrés Paigpelat), capucin espagnol, et de ses 25 compagnons prêtres et laïcs du tiers ordre, tués en haine de la foi en 1936.

    du Serviteur de Dieu Joseph Thao Tiên, prêtre séculier laotien, et de ses 10 compagnons, prêtres des Missions étrangères de Paris et des Oblats missionnaires de l'Immaculée, et le leurs 4 compagnons laïcs, tués en haine de la foi au Laos entre 1954 et 1970.

    Radio Vatican commente :

    C’est un grand jour pour l’Église du Laos : le Pape François a signé vendredi le décret reconnaissant le martyre d’un jeune prêtre, Joseph Thao Tien, et de 14 autres religieux et laïcs qui ont perdu la vie entre 1954 et 1970 au Laos, assassinés, exécutés ou morts d’épuisement. Ils furent assassinés pour leur foi dans le contexte de la guérilla communiste qui était déterminée à éliminer tout ce qui était étranger et chrétien. Certains étaient laotiens, souvent catéchistes, d’autres missionnaires étrangers, des Missions Étrangères de Paris pour les uns, Oblats de Marie Immaculée pour les autres. Parmi eux des français originaires de l’Ouest comme le père Jean-Baptiste Malo. Tous payèrent de leur vie leur engagement à la suite de l’Evangile et leur décision de rester sur place malgré les lourdes menaces qui pesaient sur eux.

    Le prêtre laotien Joseph Tien (1918-1954) est considéré comme le premier martyr laotien. Dix prêtres français ont aussi payé de leur vie leur engagement pour l'évangélisation du Laos, parmi lesquels cinq prêtres des MEP : Jean-Baptiste Malo (1899-1954), René Dubroux (1914-1959), Noël Tenaud (1904-1961), Marcel Denis (1919-1961) et Lucien Galan (1921-1968), et cinq prêtres des OMI : Louis Leroy (1923-1961), Michel Coquelet (1931-1961), Vincent L’Hénoret (1921-1961), Jean Wauthier (1926-1967) et Joseph Boissel (1909-1969).

    Figurent aussi parmi ces martyrs reconnus le catéchiste thaïlandais Joseph Outhay (1933-1961), le catéchiste laotien Luc Sy (1938-1970) et les laïcs laotiens Thomas Khampheuane (1952-1968) et Maisam Pho Inpeng (1934-1970).

    L’évangélisation du Laos est récente. Les prêtres des Missions étrangères de Paris furent les premiers à apporter l’Evangile dans ce pays à la fin du 19° siècle. Aujourd’hui encore les chrétiens vivent sous étroite surveillance. A ces 15 martyrs du Laos, il faut ajouter le missionnaire italien Mario Borzaga est son catéchiste hmong, tués eux aussi en haine de la foi au Laos en 1960. Leur procès diocésain, instruit en Italie, a également abouti. Le décret les concernant a été signé par le Pape François au début du mois de mai.

  • Institut du Christ-Roi : 11 nouveaux prêtres et 7 diacres le 2 juillet prochain

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    Lu sur « Riposte catholique » :

    Dans sa lettre d’informations par internet, l’Institut du Christ Roi annonce ses ordinations à venir :

    A l’occasion de la fête du Très Saint Sacrement, c’est avec une immense joie que nous pouvons vous annoncer que 11 séminaristes de notre Institut (dont 8 français) seront ordonnés prêtres le 2 juillet prochain, par l’imposition des mains de S.E.R. le Cardinal Burke ; 7 séminaristes seront également ordonnés diacres. Nous les confions tous à vos prières, pour qu’ils soient tous des prêtres selon le coeur de Jésus !

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    On peut lire ici la lettre aux amis et bienfaiteurs de l’Institut."

    Ref. 11 nouveaux prêtres pour l’Institut du Christ Roi

    JPSC

  • Le Père Michel-Marie (Zanotti) n'a pas perdu la foi!

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    LE PÈRE MICHEL-MARIE N’A PAS PERDU LA FOI

    2.VI.2015 - Causeur (source)

    Après avoir été chanteur et pianiste en de nombreux piano-bars et cabarets pendant dix ans, Michel-Marie Zanotti-Sorkine est devenu le curé de la paroisse catholique Saint-Vincent-de-Paul, dite « Les Réformés », à Marseille sur la célèbre artère de La Canebière. Son ministère dans la cité phocéenne a été marqué par le retour en masse des fidèles, grâce en partie à son charisme, mais aussi à ses talents de prédicateur, de chanteur et d’écrivain. Le père Michel-Marie a baptisé plus de mille personnes en dix ans à Marseille, dont un grand nombre de musulmans. Aujourd’hui, il partage son temps entre le sanctuaire de Notre-Dame du Laus (Hautes-Alpes) où la Vierge serait apparue au XVIIe siècle, et Paris où il enregistre en ce moment un album de chansons qu’il a composées lui-même. Il a écrit pas moins de dix livres, et considère avec bienveillance le monde des médias, car il les estime indispensable pour annoncer l’Evangile.

    Cependant, sa popularité lui a déjà joué des tours : le père Michel-Marie s’est vu refuser le poste de confesseur à la Chapelle de la Médaille Miraculeuse, rue du Bac, à Paris, pour engouement populaire. Serait-ce là le signe que l’Église catholique ne vise pas son développement ? Le père Michel-Marie livre en exclusivité à Vice sa vision d’une Église aux portes grandes-ouvertes, en harmonie avec notre époque, sans pour autant dénaturer la force de la doctrine chrétienne.

    En prenant vos fonctions à l’église Saint-Vincent-de-Paul, «  les Réformés », aviez-vous en tête un plan pour provoquer cet afflux de fréquentation sans précédent ?

    Aucun plan. J’ai probablement agi par inspiration divine… Je veux le croire puisque rien de grand ne se fait sans que Dieu ne mette sa main. Cependant, j’étais convaincu qu’il fallait tout réorganiser en ce lieu qui ne réunissait plus qu’une petite communauté d’une cinquantaine de fidèles.

    Avant de prendre mes fonctions, j’avais pris pour seule décision de me consacrer entièrement à ma mission sans m’accorder un seul jour de repos, car sans investissement passionné, sans concentration sur la mission confiée, il eût été impossible de redonner un nouvel élan à ce lieu agonisant. Les trois premières années, assisté de nombreux bénévoles aux cœurs généreux, j’ai travaillé, avec l’aide de Jésus et de Marie, bien sûr, à la renaissance du lieu : présence continue du prêtre, ouverture de cœur maximale pour comprendre les situations et les êtres, liturgies magnifiques, Messes du Dimanche somptueuses, pleines de foi et de beauté, prédications de feu, confessions tous les jours et prières inlassables adressées à la Vierge Marie. Cet agencement a suffi pour que la foule se presse et que les conversions abondent. J’allais oublier un point essentiel : très rapidement, j’ai consacré l’église à Marie, c’est dire je la lui ai donnée pour qu’elle en soit l’âme. Quand Marie est là, Jésus débarque ! Au Ciel, ils sont ensemble et depuis 2000 ans sur la terre et ils aiment à travailler l’un avec l’autre, cœur contre cœur.

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  • Verviers, 7 juin : célébration solennelle de la Fête-Dieu à l'église Sainte-Julienne

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  • Fête-Dieu 2015 à Liège: le samedi 6 juin à 18h, en l'église du Saint-Sacrement avec Mgr Delville

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  • Fête-Dieu radieuse à Liège

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    La basilique Saint-Martin, berceau de la Fête-Dieu, était comble en ce beau jeudi ensoleillé. Le bon peuple liégeois semble heureux de renouer avec cette célébration qui était jadis un des grands temps forts de la dévotion populaire dans la Cité Ardente. Mgr Léonard, archevêque de Malines-Bruxelles, Mgr Harpigny, évêque de Tournai et Mgr Kockerols, évêque auxiliaire pour Bruxelles, avaient rejoint leur confrère de Liège, Mgr Delville, pour célébrer cette solennité. Dans son homélie, l'évêque de Liège a retracé les circonstances qui ont amené à l'institution de cette fête en l'honneur de l'Eucharistie, en insistant sur le rôle de la bienheureuse Eve de Saint-Martin, recluse en cette église, amie et confidente de sainte Julienne de Cornillon. Au terme de cette messe fervente, l'assemblée est descendue à travers les rues de la cité jusqu'à la cathédrale en faisant escorte au Saint-Sacrement porté à tour de rôle par les évêques présents. Une délégation venue de Maestricht portait fièrement le buste reliquaire de saint Lambert, évêque de cette cité mosane dont le martyre est à l'origine de la ville de Liège.

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    La procession quitte la basilique Saint-Martin

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    Le buste de Saint-Lambert porté par la délégation venue de Maastricht

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    La foule descend le Mont Saint-Martin

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    Mgr Léonard reçoit le Saint-Sacrement

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    Arrêt devant l'Opéra; Mgr Harpigny va donner la bénédiction.

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    Station en Vinâve d'Ile

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    Dernière bénédiction donnée à la cathédrale Saint-Paul par Mgr Delville, évêque de Liège

  • «Le dialogue interreligieux n’est fécond que si l’on respecte la vérité objective sur soi-même et l'autre»

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    Courir aux périphéries pour « dialoguer » semble souvent être la seule idée et le seul programme des activistes qui peuplent les comités Théodule de l’Eglise postconciliaire. Pour quoi faire et pour quels résultats ? L’hebdomadaire « Famille chrétienne » a posé la question à Mgr Khaled Akasheh, évêque jordanien et secrétaire de la commission pour les rapports avec l’islam au Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux :

    "Quelles sont les conditions d’un dialogue interreligieux fécond ?

    Le dialogue interreligieux n’est fécond que si l’on respecte la vérité objective sur soi-même et celui avec lequel on dialogue. Mais si l’on se met à dire des mensonges, ou à en rester aux « salamalecs », et aux embrassades, alors c’est une perte de temps, et cela peut même être dangereux. Ce n’est que si l’on témoigne de la vérité dans la charité que le dialogue est au service du règne de Dieu.

    Il faut aussi beaucoup de précision théologique, notamment dans les termes que l’on emploie. Le cardinal Tauran dit souvent que tous les mots que nous avons en commun avec les musulmans sont des « pièges ». En effet, chrétiens et musulmans croient à la vie éternelle, mais d’une manière très différente. C’est la même chose pour le « Dieu unique », le mot est le même, mais la réalité est très différente : pour les musulmans, c’est uniquement un Seigneur alors que pour nous il est un Père. Ainsi, un évêque ne peut pas parler de l’islam comme d’une « religion céleste », ou parler du« sacré Coran », sinon, il n’est pas fidèle à la théologie chrétienne. Comme dit aussi le cardinal Tauran, on ne dialogue pas à partir d’ambiguïtés.

    Nous devons par ailleurs accepter la revendication de vérité de chacun des interlocuteurs. Je dis donc aux musulmans : « Nous n’avons rien contre vous, ni contre le Coran ou Mahomet. Mais nous sommes dans la même situation que vous : pouvez-vous accepter une révélation postérieure à celle de Mahomet ? Non ! Et bien c’est la même chose pour nous, accepter l’origine divine de votre religion comme vous le revendiquez, ce serait mentir, ou ne pas connaître la théologie chrétienne ».

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  • Commémorations de 14-18 : n'oublions pas le cardinal Mercier, ce géant

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    Alors que cette grande figure du clergé belge est si peu évoquée à l'occasion des commémorations du centième anniversaire de la Grande Guerre, on s'en souvient fort heureusement Outre-Atlantique; traduit sur France Catholique :

    Traduit par Bernadette Cosyn

    Où sont les lions de l’an passé ?

    Par Anthony Esolen

     

    Alors que j’écris ces mots, les chrétiens sont massacrés par milliers au Moyen-Orient. Une image est restée gravée dans ma mémoire . Un groupe de garçons d’environ 10 ans attend l’horreur aux mains de leurs ravisseurs pour avoir refusé de renoncer à leur foi chrétienne. L’un des garçon assis au premier plan, beau et sombre, regarde droit dans la caméra, sa mâchoire crispée révèle sa défiance.

    Il a un corps d’enfant mais une âme d’adulte. Je doute qu’il soit encore vivant. Si je connaissais son nom, je le prierais d’intercéder pour moi. Mais je peux peut-être le faire quand même. Je pourrais l’appeler Sanctus Ignotus : Saint Anonyme, le saint que personne ne connaît, dont personne ne se soucie. Si je devais lui attribuer un nom, ce serait Léoninus, Jeune Lion.

    J’ouvre l’un de mes albums reliés de The Century [1], celui sur la terrible année de guerre 1918. Il est difficile de décrire The Century aux gens habitués au Cosmopolitan, à Newsweek ou à TV Guide. On peut avoir un aperçu de sa teneur en considérant ces mots, tirés du texte « Le bon pasteur de Malines » :

    « Si Albert de Belgique, le prince chevaleresque dont le royaume consiste maintenant en quelques arpents de dunes de sable et quelques tranchées sanguinolentes, a été le Léonidas de son pays martyr, le cardinal Mercier a été son Hildebrand [2]. Albert a doté l’histoire et le charme romantique de son pays du glamour d’un autre Thermopyles ; le cardinal belge a remémoré au monde ces jours où un simple moine, élevé au trône des pécheurs, a affronté un autre empereur d’Allemagne et fait retentir à ses oreilles les mots qui font trembler jusqu’aux tyrans. »

    Cela pour décrire Désiré Félicien François Joseph Mercier, le grand philosophe, archevêque de Malines et primat de Belgique.

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  • Fêter Dieu à Bruxelles le dimanche 7 juin : procession du Saint-Sacrement

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