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Foi - Page 821

  • Samedi 1er juin à Liège: Fête-Dieu à l'église du Saint-Sacrement

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    LA FÊTE-DIEU À LIÈGE

    Copie de P1011230.JPG 

    SAMEDI 1er JUIN 2013 À L’EGLISE DU SAINT-SACREMENT

    Boulevard d’Avroy, 132

    MESSE SOLENNELLE À 18 HEURES

    célébrée selon le missel de 1962  par 

    L’ABBÉ JEAN-PIERRE DELVILLE

    Professeur à la Faculté de théologie de l’Université catholique de Louvain (U.C.L) 

    Homélie prononcée par le Chanoine ERIC de BEUKELAER

    Doyen de Liège (rive gauche) 

    Propre grégorien de la fête, plain-chant liégeois, diaphonies et polyphonies interprétés par:  

     

    LA SCHOLA RESUPINA DE VIENNE

    Dir. Isabell Kösler   

    Copie de P1030238.jpg

    LE CHŒUR D’ENFANTS DE LA BASILIQUE  

    DE BASSE-WAVRE 

    Dir. Charlotte Messiaen 

    025.JPG 

    À L’ORGUE : PATRICK WILWERTH 

    professeur au conservatoire de Verviers 

     

    PORTES OUVERTES LE 1er JUIN  

    A L'EGLISE DU SAINT-SACREMENT 

    Boulevard d’Avroy, 132 à Liège  

    SAMEDI 1er JUIN 2013

    DE 14h à 19h

     

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    ADORATION EUCHARISTIQUE 

     animée par  

    14:00 à 15:00 : la Communauté St. Christophe- groupe de prière « Agneau de Dieu » 

    15:00 à 16:00 : le Mouvement Eucharistique Liégeois (MEL) 

    16:00 à 16:30 : l’Association Sursum Corda 

    16:30 à 17:30 : la Communauté de l'Emmanuel -prière adaptée aux enfants et familles

    adoration 6338.jpg 

    De 14:00 à 17:30 : possibilité de recevoir le sacrement de réconciliation chez un des confesseurs présents.  

    À 18:00 : Messe solennelle (missel de 1962) célébrée par l'abbé Jean-Pierre Delville. Homélie du doyen Eric de Beukelaer. Chorales d’adultes (Vienne) et d’enfants (Basse-Wavre) 

      19 :00 : Clôture. Bénédiction solennelle avec l’ostensoir

     

    Copie de saint-sacrement.png

    ostensoir de l'église du Saint-Sacrement (Liège)

    Plus de renseignements tél 04.344.10.89 ou sursumcorda@skynet.be 

     http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com

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  • BXL, 2 juin : célébration de la Fête-Dieu et procession du Saint-Sacrement avec Mgr Léonard

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    Le Mouvement Ecclésial Carmélitain 

    et les Pères Carmes de Bruxelles 

    vous invitent

    le dimanche 2 juin 2013 

    à la célébration eucharistique de 18h00

    présidée par notre Archevêque

    Mgr. André-Joseph Léonard

    et animée

    par la chorale "Mater Amabilis",

    suivie de la Procession du Saint-Sacrement.

    Affiche FETE-DIEU 2013.pdf

  • Faut-il s’en vanter ?

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    Cinquantenaire oblige, les Presses Universitaires de Louvain rééditent « Vatican II et la Belgique », un ouvrage de 336 pages  réalisé en 1996 sous la direction de Claude Soetens. Claude Soetens est historien de formation et il enseigne  à la Faculté de Théologue de l’U.C.L. (Centre « Lumen Gentium »).

    Commentaire de l’hebdomadaire  «Le Vif » :

    « Rome, printemps 1963. Au Concile Vatican II, commencé quelques mois plus tôt, on aborde enfin les questions essentielles. Beaucoup se rendent compte alors de l’influence sans pareille des évêques et théologiens belges sur le travail conciliaire. Dès mars 1963, le grand dominicain français Yves Congar, expert au Concile, décide de prendre ses quartiers au Collège belge de Rome, où résident les évêques belges. Car c’est là, selon lui, que « se fait pratiquement tout le travail ». Congar quitte sans regret l’Angelicum, l’université dominicaine de la capitale italienne, où l’on se méfie de ses idées réformatrices et où l’on subit le Concile plutôt qu’on ne le vit.

    Le Collège belge est un véritable carrefour d’idées. L’ordre du jour du Concile et ses méthodes y sont réorganisés. Des projets de textes et des formules compromis y sont avancés. L’activité belge est à ce point intense que Vatican II a la réputation d’être « le Concile de Louvain qui s’est tenu à Rome ». Impressionnés par l’efficacité de la délégation emmenée par le cardinal Suenens, dont les effectifs correspondent grosso-modo à ceux d’une équipe de football, les journalistes italiens la baptisent, dès l’ouverture de la deuxième session du Concile, la squadra belga.

    « Au début des travaux, les Belges ne formaient pas une équipe très soudée, nous confie Claude Soetens, professeur émérite d’histoire de l’Eglise à l’UCL et spécialiste de Vatican II. Lors de leur arrivée à Rome, les évêques belges, très individualistes, n’avaient même pas pensé à se faire accompagner par des théologiens. La collaboration avec les conseillers s’est organisée sur place, petit à petit. Suenens, archevêque de Malines-Bruxelles, était présent lors des quatre sessions plénières, mais le Concile s’est surtout joué pendant les intersessions, hors de Saint-Pierre. C’est ainsi que des textes soumis au vote de l’assemblée ont été concoctés au Collège belge. »

    Jean XXIII, le pape qui a convoqué l’ « aggiornamento » de l’Eglise catholique, meurt le 3 juin 1963. Son successeur, Paul VI, nomme Mgr Suenens membre du collège des « modérateurs » chargé de diriger le Concile. L’archevêque belge est dès lors directement impliqué dans la grande stratégie – et les petites chamailleries ! – de Vatican II. « Suenens était bien vu de Paul VI, raconte Claude Soetens. Mais les relations se sont nettement tendues quand le cardinal a cherché à jouer un rôle prépondérant par rapport aux trois autres modérateurs. En outre, Suenens a reproché au pape de s’être réservé personnellement deux dossiers : le célibat des prêtres et la contraception. Ces deux questions sensibles étaient ainsi soustraites à la compétence des pères conciliaires. »

    Autre figure marquante de la squadra belga : Mgr Charue, évêque de Namur. Cet exégète a été élu vice-président de la commission doctrinale, la plus importante du Concile. Il est l’un des artisans du texte fondamental qui reconnaît le recours à l’analyse critique et aux méthodes scientifiques pour l’interprétation des textes bibliques. Mgr De Smedt, l’évêque de Bruges, contribue au texte sur le dialogue avec les autres religions (l’ouverture œcuménique). Mais le Belge le plus actif à Rome est un théologien de Louvain, Mgr Gérard Philips, secrétaire adjoint de la commission doctrinale. Ce brillant latiniste participe à la rédaction et à l’adoption des textes centraux du Concile. Au premier rang de ceux-ci figure la constitution Lumen gentium, qui remplace une conception toute hiérarchique de l’Eglise catholique par la notion égalitaire de « peuple de Dieu ».

    Tout l’article ici : Vatican II : la squadra belga dévoilée

    Ceci n’est donc pas un scoop.

    Plus original, en 2005 l’éditeur François-Xavier de Guibert avait publié un intéressant  « journal du concile »  tenu par le baron Prosper Poswick qui fut, à l’époque (1962-1965), ambassadeur de Belgique auprès du Saint-Siège. Il témoigne aussi, non sans quelques exagérations, du rôle prépondérant joué par des évêques et théologiens belges dans la tournure prise par l'événement conciliaire. Posant aujourd’hui un regard rétrospectif sur ces assises, on peut se demander s’il y avait là matière à se vanter : un arbre se juge à ses fruits et ceux de Vatican II sont plutôt amers. Ses inconditionnels nous disent qu’une meilleure récolte reste encore à venir, lorsque le concile « authentique » aura triomphé du concile « médiatique ». Par une relecture autorisée ? Comme Sœur Anne, on l’attend toujours…

  • La Pentecôte du Pape François

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    Des heures particulièrement riches à découvrir sur Zenit.org :

    PAPE FRANÇOIS

    DOC. DU PAPE FRANÇOIS

  • Veni Creator Spiritus

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    LatinFrançais
    Veni, creator, Spiritus,
    Mentes tuorum visita,
    Imple superna gratia
    Quae tu creasti pectora.
    Qui diceris Paraclitus,
    Altissimi donum Dei.
    Fons vivus, ignis, caritas
    Et spiritalis unctio.
    Tu septiformis munere,
    Digitus paternae dexterae.
    Tu rite promissum Patris,
    Sermone ditans guttura.
    Accende lumen sensibus
    Infunde amorem cordibus,
    Infirma nostri corporis
    Virtute firmans perpeti.
    Hostem repellas longius
    Pacemque dones protinus;
    Ductore sic te praevio
    Vitemus omne noxium.
    Per te sciamus da Patrem,
    Noscamus atque Filium;
    Teque utriusque Spiritum
    Credamus omni tempore.
    Deo Patri sit gloria,
    Et Filio, qui a mortuis
    Surrexit, ac Paraclito
    In saeculorum saecula.
    Amen.
    Viens, Esprit Créateur,
    visite l'âme de tes fidèles,
    emplis de la grâce d'En-Haut
    les cœurs que tu as créés.
    Toi qu'on nomme le Consolateur,
    Le don du Dieu très-Haut,
    La source vivante, le Feu, la Charité,
    L'Onction spirituelle.
    Tu es l'Esprit aux sept dons,
    le doigt de la main du Père,
    Son authentique promesse,
    Celui qui enrichit toute prière.
    Fais briller en nous ta lumière,
    Répands l'amour dans nos coeurs,
    Soutiens la faiblesse de nos corps
    Par ton éternelle vigueur !
    Repousse au loin l'Ennemi,
    Donne-nous la paix qui dure ;
    Que sous ta prévenante conduite,
    nous évitions tout mal et toute erreur.
    Fais-nous connaître le Père,
    révèle-nous le Fils,
    et toi, leur commun Esprit,
    fais-nous toujours croire en toi.
    Gloire soit à Dieu le Père,
    au Fils ressuscité des morts,
    à l'Esprit Saint Consolateur,
    maintenant et dans tous les siècles.
    Amen. (wikipedia)
  • Pèlerinage de Pentecôte Paris-Chartres : c’est parti…

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    C’est, chaque année, l’événement phare du monde de la tradition catholique (plus de dix mille participants) : Paris-Chartres (les tradis  « Ecclesia Dei ») et Chartres-Paris (les tradis de la mouvance « Saint-Pie X »).  

    Dans l’hebdomadaire « Famille Chrétienne » Hervé Rolland, vice-président de Notre Dame de Chrétienté, qui organise le 31e pèlerinage de Pentecôte de Paris à Chartres, du 18 au 20 mai,  répond à trois questions :

    Comment accueillez-vous ceux qui font le pèlerinage pour la première fois ?

    Le chef de chapitre rencontre les nouveaux avant le pèlerinage. À raison de trois ou quatre, parfois plus, les nouveaux sont répartis dans les différents chapitres (groupes de cinquante pèlerins en moyenne). Le chef de chapitre vérifie que les nouveaux aient de bonnes chaussures et de quoi se nourrir correctement pendant les trois jours. Enfin, pour ceux qui appréhendent de faire cent kilomètres en trois jours, une possibilité est offerte de ne marcher qu'une journée.

    Parmi eux, y en a-t-il qui ne pratiquent pas la forme extraordinaire du rit romain ?

    Ceux qui ne pratiquent habituellement pas la "messe traditionnelle" représentent un pèlerin sur trois. Du côté des prêtres accompagnants, sur un total de cent trente, les prêtres diocésains dont ce n'était pas la culture sont même une quarantaine ! Ce qui en fait le groupe de prêtres le plus nombreux à participer au pèlerinage. De leur côté, les laïcs bénéficient d'une présentation de la forme extraordinaire au cours d'un topo qu'ils reçoivent avec les autres membres de leur chapitre. Mais au cours du pèlerinage, il y a plus de questions sur l'Église et la morale que sur la forme de la messe. C'est pourquoi on n'hésite pas à reprendre les bases : qu'est ce que la Trinité, l'Église la Messe ...

    En plus du thème du pèlerinage ?

    Avoir un thème - cette année l'éducation, troisième point non négociable après la défense de la vie et de la famille abordée en 2011 et 2012 – n'empêche pas de reprendre les bases: en trente ans, le profil des pèlerins a changé. Avant, 95 % pratiquaient la "messe traditionnelle", et la catéchèse de base était connue à 100%. Ce n'est plus le cas non plus: un pèlerin sur dix est un recommençant. Ceux-là ne se posent même pas la question du rite.

    Propos recueillis par Guilhem Gargnies

    Ici : Chartres  les nouveaux pèlerins de la Pentecôte

    Un signe de pérennité : s’ouvrir aux « recommençants » et aux autres, pour mieux faire connaître son propre charisme : la chrétienté n’est pas une forteresse hérissée de créneaux.

  • France: le conseil constitutionnel juge que le mariage homosexuel est conforme aux principes fondamentaux de la République

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    Lu sur le site de “La Vie”:

    Sur la question du mariage, la haute juridiction a « jugé la loi ouvrant le mariage aux personnes de même sexe conforme à la Constitution » et « que ce choix du législateur, auquel il n'appartenait pas au Conseil de substituer son appréciation, n'était contraire à aucun principe constitutionnel. En particulier, il a jugé que même si la législation républicaine antérieure à 1946 et les lois postérieures ont, jusqu'à la loi déférée, regardé le mariage comme l'union d'un homme et d'une femme, cette règle n'intéresse ni les droits et libertés fondamentaux, ni la souveraineté nationale, ni l'organisation des pouvoirs publics ; elle ne peut donc constituer un principe fondamental reconnu par les lois de la République au sens du premier alinéa du Préambule de la Constitution de 1946. »

    Sur la question de l’adoption, les Sages ont jugé qu'ils n'avaient, « pas le même pouvoir d'appréciation que le législateur qui a estimé que l'identité de sexe des adoptants ne constituait pas un obstacle à l'établissement d'un lien de filiation adoptive. »

    Mais le Conseil a estimé que la loi « n'a ni pour objet, ni pour effet de reconnaître aux couples de personnes de même sexe un « droit à l'enfant » et que « le 10e alinéa du préambule de la Constitution de 1946 impliquait le respect de l'exigence de conformité de l'adoption à l'intérêt de l'enfant ». « Les dispositions relatives à cet agrément ne sauraient conduire à ce que celui-ci soit délivré sans que l'autorité administrative ait vérifié, dans chaque cas, le respect de l'exigence de conformité de l'adoption à l'intérêt de l'enfant » a-t-il ajouté dans son communiqué de presse. C'est la première fois, a-t-on souligné au Conseil, que la haute juridiction « dégage ce principe constitutionnel ».

    Par rapport à la PMA et la GPA, le Conseil a relevé « qu'aucune exigence constitutionnelle n'imposait que cette réforme soit accompagnée d'une modification des dispositions du code de la santé publique relative à la procréation médicalement assistée, laquelle a pour objet de pallier l'infertilité pathologique, médicalement constatée, d'un couple formé d'un homme et d'une femme, qu'ils soient ou non mariés » et qu’il en allait de même « pour les dispositions du code civil prohibant le recours à la gestation pour le compte d'autrui. »

    Sur la question de la transmission du nom de famille, la nouvelle loi prévoyant qu’en cas de désaccord entre les parents, l’enfant porte les noms des deux parents accolés par ordre alphabétique et non plus le seul nom du père, le Conseil a jugé que cette disposition était « conforme à la Constitution ».

    Hier, lors de sa conférence de presse, François Hollande a déclaré qu’ une fois adopté par le Conseil constitutionnel, il promulguerait dans la foulée le projet de loi. Les premiers mariages homosexuels devraient ainsi avoir lieu dès le début d’été. Les opposants au mariage pour tous, comptent toujours défiler à Paris le 26 mai. “

    Référence: Le Conseil constitutionnel valide le mariage pour tous

    C’est donc l’échec juridique pratiquement sur toute la ligne pour les opposants au « mariage pour tous ». Observons, une fois de plus, que les libertés et les droits fondamentaux des sociétés sécularisées ne se fondent sur aucune reconnaissance d’un droit naturel s’imposant à toute législation positive : ni dans leurs constitutions, ni dans les déclarations et autres conventions internationales relatives aux « droits de l’homme » dont elles sont signataires. Le peuple de dieux est l’unique souverain: selon son bon plaisir. 

  • Révolutionnaire, le pape ?

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    Sandro Magister consacre une note à François, "révolutionnaire à sa manière" :

    Bergoglio, révolutionnaire à sa manière

    Les théologiens de la libération sont élogieux à son égard, mais, entre lui et eux, il y a un abîme. Les progressistes estiment qu'il est l'un des leurs, mais il garde ses distances par rapport à eux. Le véritable François est très différent de ce que certains imaginent.

    Le pape François - qui vit avec l’opinion publique une lune de miel persistante - a reçu des éloges même de la part du plus révolutionnaire des théologiens franciscains, le Brésilien Leonardo Boff : "François va donner une leçon à l’Église. Nous sortons d’un hiver rigoureux et sombre. Avec lui, c’est le printemps qui arrive".

    À vrai dire, cela fait longtemps que Boff a abandonné l’habit monacal. Il s’est marié et il a remplacé l’amour pour Marx par un amour écologiste pour Mère Terre et Frère Soleil. Et pourtant il est toujours le plus connu et le plus cité des théologiens de la libération.

    Lorsque, trois jours à peine après avoir été élu pape, Jorge Mario Bergoglio a appelé de ses vœux "une Église pauvre et pour les pauvres", son inclusion dans les rangs des révolutionnaires semblait chose faite.

    En réalité, il y a un abîme entre la manière de voir des théologiens latino-américains de la libération et celle de ce pape argentin.

    Bergoglio n’est pas un auteur de livres prolifique, mais les écrits que l’on a de lui suffisent et aident à comprendre à quoi correspond, dans son esprit, son insistance à se mêler au "peuple".

    La théologie de la libération, il la connaît bien, il l’a vue naître et se développer, y compris chez ses confrères jésuites, mais il a toujours montré qu’il était en désaccord avec elle, même au risque de se trouver isolé.

    Ses théologiens de référence n’étaient pas Boff, Gutierrez ou Sobrino, mais Juan Carlos Scannone, un autre jésuite argentin, connu de très peu de gens. Celui-ci, qui avait été son professeur de grec, avait élaboré une théologie non pas de la libération mais "du peuple", fondée sur la culture et la religiosité des gens ordinaires, au premier rang desquels les pauvres, avec leur spiritualité traditionnelle et leur sensibilité à la justice.

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  • Il existe des chrétiens de salon, non ?

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    « Il existe des chrétiens de salon, non ? Eduqués, tout comme il faut, mais ils ne sont pas capables de faire des fils pour l’Eglise par l’annonce et la ferveur apostolique. Aujourd’hui nous pouvons demander à l’Esprit Saint qu’il nous donne cette ferveur apostolique à nous tous, la grâce d’aller de l’avant vers les périphéries existentielles. L’Eglise a tellement besoin de cela ! Pas seulement dans les terres lointaines, dans les jeunes églises, dans les pays qui ne connaissent pas encore Jésus, mais ici dans nos villes, tant de gens ont besoin de cette annonce de Jésus-Christ. Demandons donc à l’Esprit Saint cette grâce du zèle apostolique, d’avoir des chrétiens zélés. Et si nous dérangeons, que Dieu soit loué. En avant toute, comme dit le Seigneur à Saint Paul et courage ! »

    François, dans son homélie de ce jour (16/5) à Sainte-Marthe (source)

  • Se laisser guider vers la Vérité par l'action de l'Esprit Saint

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    Cité du Vatican, 15 mai 2013 (VIS). Ce mercredi, Place St.Pierre, le Pape François a tenu l'audience générale devant plus de 70.000 personnes, consacrant catéchèse à l'action de l'Esprit Saint au sein de l'Eglise: "Nous vivons une époque de scepticisme envers la vérité. Benoît a souvent évoqué le relativisme, cette tendance à penser qu'il n'y a rien de définitif et que la vérité découle d'un consensus voire de la volonté individuelle... Souvenons nous de Pilate auquel Jésus venait de révéler le sens de sa mission et qui demanda ce qu'est la vérité. Il ne réussissait pas à comprendre que la vérité se trouvait devant lui. Il ne réussissait pas à voir la vérité en Jésus, et Dieu en lui... La vérité n'est pas une chose que l'on trouve mais une personne que l'on rencontre... Qui nous fait reconnaître que Jésus est la parole de vérité, le Fils du Père? Paul dit que personne ne peut dire que Jésus est seigneur sinon sous l'action de l'Esprit Saint...que Jésus appelle Paraclet, c'est à dire celui qui vient en aide. C'est l'Esprit qui accompagne notre parcours de connaissance". L'Esprit agit dans nos vies comme dans celle de l'Eglise "en imprimant dans le coeur des croyants les paroles de Jésus qui, à l'instar de l'annonce des prophètes de l'Ancien Testament, s'inscrivent en nous comme critères de nos actions et principe de vie". L'esprit nous guide vers la vérité, "à la rencontre de Jésus, qui est la plénitude de la vérité, au coeur de la vérité. Il nous ouvre à une communion toujours plus profonde avec Jésus en nous offrant l'intelligence des choses divines. Demandons chaque jour à l'Esprit qu'il fasse que nos coeurs s'ouvrent à la Parole, au bien et au beau de Dieu. Alors je vous le demande: Combien d'entre vous prient le Saint Esprit? Nous sommes probablement peu nombreux. Obéissons à Jésus et prions quotidiennement l'Esprit pour qu'il nous éclaire".

    La tradition de l'Eglise dit que l'Esprit de vérité suscite en nous le sens de la foi grâce auquel, ainsi que le rappelle Vatican II, le peuple de Dieu adhère pleinement sous la conduite du magistère à la foi transmise, approfondit son jugement et l'applique mieux... Pour être source de vie, l'accueil de la parole et de la vérité de foi doit advenir et grandir sous l'action de l'Esprit. Ainsi devons nous apprendre de Marie en revivant son oui, sa disponibilité totale à accueillir le Fils de Dieu en elle... Au travers de l'Esprit, le Père et le Fils nous habitent, et nous vivons de Dieu en Dieu... Nous avons besoin de nous laisser inonder de la lumière de l'Esprit afin qu'il nous introduise dans la vérité de Dieu, l'unique seigneur de notre vie. En cette Année de la foi, demandons nous si nous faisons quelque chose de concret pour mieux connaître le Christ et la vérité de la foi... Interrogeons nous aussi pour savoir si nous progressons de manière à ce que la foi oriente notre existence. On ne peut être chrétien à temps partiel, suivant le moment, la circonstance ou le choix. On est chrétien à temps complet. La vérité du Christ qu'est l'Esprit Saint nous guide et nous alimente, de manière à imprégner totalement notre quotidien. Il faut donc l'invoquer plus souvent, afin qu'il nous guide dans la voie des disciples du Christ. Prions le chaque jour. Engageons nous à le prier!".

  • Les 40 ans du Chemin Neuf

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    FÊTER L'OEUVRE DE L'ESPRIT-SAINT

    18 mai 2013 - Carmel de Mehagne (Liège)

    Il y a 40 ans en octobre 1973, née d’un groupe de prière, la Communauté du Chemin Neuf rassemblait sept personnes au 49 Montée du Chemin Neuf, à Lyon en France. Commençait alors une histoire inimaginable, inspirée par l’Esprit Saint à la suite du Concile Vatican II, qui conduit la Communauté « de Lyon au monde entier ».

    Aujourd’hui, pour fêter ces 40 ans, nous vous invitons le samedi 18 mai pour 12H de louange, de prière, de formation en lien avec tous les pays où la Communauté est présente.

    Au cœur de cet anniversaire, un moment unique de communion et de prière pour le monde, grâce aux moyens de communication modernes depuis Rome, où se rassemblent tous les mouvements ecclésiaux et les communautés nouvelles autour du nouveau Pape de l’Eglise Catholique Romaine !

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    Durant ces deux heures :

    • 40 ans d’histoire dans la louange,
    • Conférence du Père Laurent Fabre, fondateur et responsable de la Communauté du Chemin Neuf,
    •  « Flashmob international » pour la paix dans le monde,
    • Assemblée de Prière "en réseau" pour l’unité entre nos églises et nos pays.