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Foi - Page 934

  • Pays-Bas : de l’esprit du concile à l’apostasie

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    kard_simonis.jpgLe cardinal Adrianus Johannes Simonis (photo), archevêque émérite d'Utrecht depuis 2007, a participé à l’inauguration de la maison du pape Adrien VI restaurée : il a  répondu aux questions de  Zenit à cette occasion. La maison est ouverte aux visiteurs depuis le samedi 10 mars.

    C’est en effet à Utrecht que se trouve la « maison du pape », la « Paushuize », maison de l’unique pape néerlandais de l’histoire, Adrien VI, né Adriaan Floriszoon (ou Florenszoon) Boeyens (1459-1523).

    C’est alors qu’il était évêque de Tortosa, en Espagne, qu’il avait fait construire cette maison, pensant qu’il aurait pu retourner dans sa ville à la fin de son mandat. Mais créé cardinal en 1517, il sera élu pape  cinq and plus tard. Adrien VI décèdera à Rome l’année suivante sans avoir jamais habité la « Paushuize ».

    Extraits :

    Zenit - Eminence vous avez participé au concile Vatican II ?

    Card. Simonis - Non, hélas non. Je n’ai pas participé au Concile mais à ce moment-là je me trouvais à Rome, comme étudiant de 1959 à 1966.(…)

    L’Eglise néerlandaise n’a pas vécu sereinement la période postconciliaire : il y a eu des polémiques sur le catéchisme et d’autres controverses. 50 ans après, quelle est la situation?

    La situation de l’Eglise Néerlandaise après le concile est très difficile à décrire. A l’époque nous avons eu une polarisation en deux factions. Nous vivions pratiquement avec deux Eglises en une. Avec une faction qui était très radicale et voulait tout changer, mais où la foi avait beaucoup diminué. Maintenant cette polarisation est plus ou moins finie mais, comme conséquence, beaucoup ont perdu la foi et ont quitté l’Eglise. En général on peut dire qu’aux Pays-Bas règne l’ « indifférentisme ». Le Saint-Père, il y  a quelques semaines, a dit une chose très juste : chaque homme a un sens religieux, une tendance à rechercher Dieu, au transcendant ; mais chez beaucoup de personnes ce sens du religieux s’est perdu, est entré dans le coma et cela vaut particulièrement pour notre nation.

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  • Monseigneur Nicolas Bux : le chant de la sirène

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    Lu sur le site du bimensuel « L’Homme Nouveau » :

    9782916053530.jpgDon Nicolas Bux, spécialiste de liturgie, professeur de liturgie et de théologie sacramentaire à l'Institut de théologie de Bari en Italie, est aussi consulteur de la Congrégation pour la doctrine de la foi et de la Congrégation pour les causes des saints et depuis septembre 2008, il est également consulteur au Bureau des Célébrations liturgiques du Souverain Pontife. Il est aussi l'auteur de plusieurs livres dont La réforme de Benoît XVI (Tempora). Il vient d'adresser une lettre à Mgr Bernard Fellay, supérieur général de la Fraternité Saint-Pie X pour lui demander d'accepter la proposition du Saint-Père. C'est cette lettre que nous publions ci-dessous (on la trouve aussi sur son propre blog).

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  • Qui célèbre la liturgie ?

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    U2FsdGVkX180ZDRkMDEyOPF6z-99Bv-o2a4f-POFqzcXigz_jQbrHCUsaoQaKB7q4RFX1lBt6zoNc5L2WDYEgPxOJN_TC6MS-riOK0kmMHg=.jpgUne réflexion du P. Natale Scarpitta, prêtre de l’archidiocèse de Salerno-Campagna-Acerno, doctorant en droit canonique à Rome, à l’Université Pontificale Grégorienne publiée sur ZENIT.org ce 21 mars 2012 :

    « Reprenant la constitution conciliaire Sacrosanctum Concilium (n. 8), le Catéchisme de l’Eglise catholique (CEC) enseigne que « dans la liturgie terrestre nous participons par un avant-goût à cette liturgie céleste qui se célèbre dans la sainte cité de Jérusalem » (n. 1090). En repartant de cette conscience extrêmement théologique, il affirme ensuite que « ceux qui dès maintenant la célèbrent au-delà des signes sont déjà dans la Liturgie céleste, là où la célébration est totalement Communion et Fête » (n. 1136). Et il ajoute « C’est à cette Liturgie éternelle que l’Esprit et l’Église nous font participer lorsque nous célébrons le Mystère du salut dans les sacrements » (n. 1139).

    L’action liturgique ne s’épuise donc pas dans sa dimension purement historique. Elle est plutôt un avant-goût (cf. Jean-Paul II, Audience générale, 28.06.2000), un reflet pâle mais réel (cf. Benoît XVI, Homélie de la célébration des Vêpres dans la cathédrale Notre-Dame de Paris, 12.09.2008), de celle qui est célébrée sans fin au plus haut des cieux. La liturgie de l’Eglise ne constitue donc pas simplement une imitation plus ou moins fidèle de la liturgie céleste, et encore moins une célébration parallèle ou alternative. Elle signifie et représente plutôt une épiphanie sacramentelle concrète de la liturgie éternelle.

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  • Ne pas oublier Asia Bibi...

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    L'Aide à l'Eglise en Détresse nous rappelle le sort peu enviable d'Asia Bibi :

    ASIA BIBI : rien ne bouge mais la jeune femme va bien

    Asia Bibi a été la première femme pakistanaise condamnée à mort pour blasphème, le 8 novembre 2010. Dans l’attente de son jugement en appel à la Haute Cour de Lahore, la mère de famille d’origine chrétienne, croupit dans un minuscule cachot de la prison de Sheikhupura et clame son innocence.

    Elle reçoit la visite de son mari Ashiq une fois par semaine. C’est par l’intermédiaire de cet homme qu’Anne-Isabelle Tollet avait pu recueillir les mots d’Asia Bibi pour en faire un livre, Blasphème (cliquer ici pour le commander). Grâce aux droits d’auteur du livre, toute la famille a de quoi manger. Les enfants ont été acceptés dans une petite école chrétienne et la fille cadette, handicapée, reste à la maison en étant convenablement soignée.

    Il n’est pas rare qu’Ashiq reçoive des menaces en allant ou en revenant de la prison. Pour échapper à la mort, il est alors obligé de nier son lien avec Asia Bibi. « Le moral d’Asia Bibi est bon. Sa tête va bien, son physique va bien », a confirmé Anne-Isabelle Tollet à l’AED. La Pakistanaise sait que le monde entier se mobilise. Blasphème a déjà été traduit en 5 langues et diffusé dans 8 et bientôt 9 pays. Une pétition de soutien a été remise à l’ONU, avec qui le Pakistan a signé bon nombre de pactes.

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  • Aujourd'hui, l'Helvétie fête son saint national

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    Sur un site suisse, on détaille la vie de saint Nicolas de Flue. Il s'agit d'une biographie due à un curé, l'abbé O.Knecht, parue en français à Fribourg en 1946. Le ton est assez caractéristique, antediluvien, c'est-à-dire pré-conciliaire :

    "La vie de notre saint national, Nicolas de Flue, ne saurait être trop connue, et quoique son souvenir soit dans tous les coeurs suisses, on nous pardonnera volontiers de publier encore cette petite biographie. Il est plus que jamais opportun de présenter aux populations, surtout à la jeunesse, le récit d'une existence laborieuse, austère et cachée, à qui Dieu donna pourtant un grand éclat public. Cette vie est pleine d'enseignements pour nos contemporains et elle jette de la lumière, non seulement sur le présent, mais encore sur l'avenir, qu'elle éclaire d'un rayon d'espérance. Que ces pages fassent connaître et aimer le saint protecteur de la Suisse ; qu'elles suscitent des imitateurs de sa foi, de sa sainteté et de son patriotisme ! Qu'elles recrutent de nouveaux membres pour la Ligue de prières en l'honneur du Bienheureux, à qui l'Eglise a décerné la couronne glorieuse des « saints » ! Que notre Helvétie, suivant l'exhortation de son saint pacificateur, conserve à jamais « sa vieille foi et ses vieilles bannières »"

    Pour découvrir cette biographie : http://www.abbaye-saint-benoit.ch

  • La visite apostolique en Irlande

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    Si l'on veut connaître le rapport de la visite apostolique effectuée en Irlande suite au drame des abus sexuels qui ont obscurci la vie de l'Eglise dans ce pays, on pourra lire ici la note rendue publique par le Bureau de la salle de presse du Saint-Siège : http://www.vis.va/ Y apprend-on vraiment quelque chose de nouveau? Notre sentiment est mitigé; ne faudrait-il pas un "grand projet", d'une toute autre envergure, pour revivifier nos communautés exsangues?

  • Les chrétiens victimes de l'intolérance et de la discrimination en Europe

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    ROME, lundi 19 mars 2012 (ZENIT.org) – L’Observatoire de l’intolérance et de la discrimination des chrétiens en Europe publie un rapport détaillé pour l’année 2011.

    Ce compte-rendu décrit les principales entorses à la liberté religieuse et les cas les plus frappants d’intolérance et de discrimination contre les chrétiens en Europe.

    L’Observatoire présente également l’avis de différentes institutions ou de particuliers sur ce sujet de société. Le rapport contient différents éléments de statistique ainsi que des analyses sur la signification de la liberté religieuse dans le contexte européen.

    (Téléchargez le Rapport 2011 en fichier .pdf ou demandez une version imprimée)

    Gudrun Kugler, présidente de l’Observatoire, explique: « Certaines études montrent qu’en Europe, 85% des crimes de haine sont dirigés contre les chrétiens. Il est grand temps que le débat public s’intéresse à cette réalité de notre société ! Nous constatons également des limitations anti-chrétiennes dans le domaine professionnel : une application restrictive de la liberté de conscience conduit à mettre les chrétiens au ban de certaines professions comme celles de médecin, infirmier, sage-femme ou encore pharmacien. Les enseignants ou parents d’élève chrétiens se retrouvent également en difficulté en cas de désaccord avec « l’étique sexuelle » telle qu’elle est établie par l’état. Notre travail de recherche montre que c’est seulement par une approche plus conciliante de la religion et particulièrement du christianisme que l’Europe pourra être à la hauteur de ses valeurs fondamentales de respect de la liberté. »

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  • Une excellente recension du "Jésus" de Petitfils dans La Libre

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    Paul Vaute, sous le titre : "Jésus-Christ sous le scalpel de l’historien", publie dans la Libre de ce 19 mars une excellente recension du livre de Jean-Christian Petitfils que nous avons évoqué sur ce blogue.

    "Considérés avec ou sans la foi, les Evangiles sont une source historique solide.

    Spécialiste de la monarchie française des XVIIe et XVIIIe siècles, Jean-Christian Petitfils s’était déjà échappé avec bonheur de son domaine de prédilection. Le défi qu’il s’est imposé cette fois n’en était pas moins de taille, pour ne pas dire à hauts risques : aborder la figure de Jésus en tant que sujet d’histoire, avec les méthodes de la critique historique. L’entreprise s’est révélée être un succès en librairie. C’est aussi une réussite.

    Bien sûr, l’historien n’a ici ni à proclamer, ni à nier le credo chrétien. Face au surnaturel, il s’efface, ainsi qu’il s’en est expliqué dans un entretien à "La Libre" (29/2). Pas plus que Cabanis ne trouva d’âme sous son scalpel, il ne peut affirmer la virginité de Marie. Mais il constate l’existence, à l’époque, de ce vœu d’oblation religieuse, même dans le cadre du mariage. Il ne sait pas si une étoile a vraiment guidé les mages, mais il relève sa singulière coïncidence avec une conjonction astronomique dûment attestée depuis Kepler. Il n’enquête pas sur la filiation divine de Jésus, mais il souligne son originalité irréductible. Il laisse la résurrection au domaine de la foi, mais il observe que "ce troupeau de fuyards apeurés" qu’étaient devenus les disciples "s’est métamorphosé soudainement en un groupe non de fanatiques hypnotisés, mais d’hommes libres, brûlants de conviction, prêts à donner leur vie pour annoncer la Bonne Nouvelle". Et qu’on ne connaît aucun exemple dans l’histoire d’un phénomène d’affabulation ou de wishful thinking collectifs engendrant un mouvement d’une telle ampleur.

    Pour le reste, le chercheur fait prudemment la part des événements authentiques et symboliques. Ces derniers imprègnent surtout les évangiles synoptiques, alors qu’à l’encontre de l’opinion commune, c’est celui de Jean, longtemps considéré comme le plus théologique, qui offre aux historiens les points d’appui les plus solides. Avare de précisions, certes, il est pourtant celui qui décrit et situe au mieux les faits.

    Outre les sources écrites, y compris païennes, Jean-Christian Petitfils accorde une place particulière, qui le singularise, aux trois grandes reliques de la Passion que sont le linceul de Turin, le suaire d’Oviedo et la tunique d’Argenteuil. Les techniques de pointe mises en œuvre ces dernières années ont révélé des données et des convergences telles qu’on peut conclure à "un degré d’authenticité extrêmement élevé". L’examen médico-légal du linceul a ainsi permis d’établir le modèle de fouet utilisé lors de la flagellation (un flagrum taxilatum), la position du bourreau à un mètre de la victime, "frappant le côté droit par des coups directs et le côté gauche par des coups de revers". Et ce n’est qu’un exemple parmi d’autres.

    Ces avancées de la science restent pourtant inconnues du grand public."

    Jésus Jean-Christian Petitfils Fayard 673 pp., env. 25 €

  • Vendredi-Saint 6 avril 2012 à Rome : : Chemin de croix de la famille au Colisée

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    Lu sur le site de l’agence Zenit :

    Les méditations des quatorze stations du Chemin de Croix du Colisée, vendredi 6 avril, Vendredi Saint, seront centrées pour la première fois sur la vie de la famille : Benoît XVI les a confiées à Danilo et Anna Maria Zanzucchi.

    Ce couple de laïcs italiens est responsable du mouvement des « Familles nouvelles », branche du mouvement des Focolari, fondée en 1967.

    Comme chaque année le Chemin de Croix du Vendredi Saint, à Rome, présidé par Benoît XVI, sera retransmis en direct du Colisée en mondovision à 21 h 15.

    «  Familles Nouvelles »  fait partager aux familles le charisme de « l’unité » du mouvement des Focolari – ou "Œuvre de Marie" selon son nom canonique -, fondé par Chiara Lubich en Italie du Nord, à Trente, lorsque, jeune étudiante en philosophie, elle se consacra à Dieu, le 7 décembre 1943.

    «  "Que tous soient un", c'est pour ces paroles que nous sommes nés, pour l'unité, pour contribuer à la réaliser dans le monde », disait Chiara Lubich en citant la prière du Christ rapportée par l'évangile de saint Jean (Jn 17, 21).

    C’était justement, hier, 1e 14 mars, le quatrième anniversaire de la disparition de Chiara Lubich, à Rocca di Papa, près de Rome, en 2008: un anniversaire marqué par de nombreuses manifestations dans le monde entier.

    Le mouvement compte aussi, entre autres, des branches pour les jeunes et pour les professionnels, et rassemble des personnes de tous états de vie: laïcs, consacrés, prêtres, dans 182 pays.

  • Retrouver le chemin du sacrement de la réconciliation

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    ROME, dimanche 18 mars 2012 (ZENIT.org Anne Kurian) – Benoît XVI encourage les catholiques à recevoir le sacrement de la réconciliation régulièrement pour faire l'expérience de "l'amour miséricordieux": c'est ainsi, fait-il observer, que  « l’on trouve la vraie paix et la vraie joie ».

    Avant l’angélus, le pape s’est en effet adressé aux milliers de visiteurs réunis sous le soleil de la place Saint-Pierre, ainsi qu’à tous ceux qui l’écoutaient sur les ondes, ce 18 mars 2012 à midi.

    C’est seulement en « s’ouvrant à la lumière », et « en confessant sincèrement ses fautes à Dieu », que l’on trouve « la vraie paix et la vraie joie », déclare Benoît XVI.

    C’est pourquoi, poursuit-il, « il est important de s’approcher avec régularité du sacrement de la pénitence », en particulier durant le Carême, pour « recevoir le pardon du Seigneur et accentuer notre chemin de conversion ».

    La confession n’est pourtant pas toujours un acte facile à poser : ainsi, quand l’homme est « lié » à ses péchés, constate le pape, il préfère « les ténèbres » à « la lumière ».

    Pourquoi la reconnaissance des péchés est-elle si importante ? Citant saint Augustin, le pape répond : « Quand ce que tu as fait commence à te déplaire, alors commencent tes œuvres bonnes, car tu condamnes tes œuvres mauvaises. Les bonnes œuvres commencent avec la reconnaissance des œuvres mauvaises ».

    En d’autres termes, de la même façon qu’il est nécessaire de « reconnaître que l’on est malade, pour pouvoir être guéri », fait observer Benoît XVI, ainsi il est nécessaire de reconnaître son péché « pour que le pardon de Dieu, déjà donné sur la Croix, puisse avoir un effet dans son cœur et dans sa vie ». Il en va donc de la conversion réelle du cœur.

    « Si l’amour miséricordieux de Dieu », ajoute-t-il, est « infini » jusqu’à même « donner son Fils unique en rançon pour notre vie », notre « responsabilité » aussi est « grande » dans cette démarche de demande de pardon.

  • Offrir aux jeunes des raisons de croire

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    arton9323-88b65.jpgC'est France Catholique qui fait cette proposition que nous relayons bien volontiers tant il est rare de trouver quelque chose de semblable dans l'univers de la culture "jeune". Il suffit de parcourir les rayons de BD dans les librairies pour en faire le constat et pour réaliser combien nos enfants sont en voie de déchristianisation complète.

    Offrons aux jeunes des raisons de croire … vérifiables. Double album « les indices pensables ». (Tomes 1 et 2)

    C’est la grande nouveauté et la grande raison d’espérer de ces dernières années : pour réfléchir à la question de Dieu, il y a du neuf, car désormais, nous disposons d’un bon nombre d’indices vérifiables.

    Nous pouvons y voir un véritable cadeau du Ciel, car ce que demande cette génération, de plus en plus formée à la démarche scientifique, c’est précisément de pouvoir vérifier toute affirmation.

    Non pas que les découvertes des sciences soient en mesure de nous parler de Dieu de façon directe, mais parce qu’elles nous y conduisent, de façon indirecte, en confirmant l’intuition de saint Augustin qui disait : il existe deux « Livres » pour connaître le Créateur. Celui de la Révélation (Ancien et Nouveau Testament) et celui de… la Création elle-même.

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