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Islam - Page 7

  • Avec un iman pakistanais psalmodiant le coran du haut de la tribune du Parlement bruxellois, une étape symbolique a été franchie

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    D'Alain Destexhe sur le site du Figaro via almendron.com :

    Comment la gauche belge s’est progressivement soumise à l’islamisme

    Même s'il n'en reprend pas les versets ouvertement antisémites, la sourate «Les coalisés» que récite l'imam n'est pas choisie au hasard. Elle raconte une guerre contre les «gens du livre» pour les tuer ou les faire prisonniers (verset 26). Le suivant annonce la couleur : Et Il vous a fait hériter leur terre, leurs demeures, leurs biens, et aussi une terre que vous n'aviez point foulée. Et Allah est Omnipotent. Le message subliminal semble clair. L'Europe est une terre de conquête et un jour vous en serez dépouillés et chassés. L'ambassadrice d'Israël à Bruxelles s'est dite «horrifiée», alors que les 18.000 juifs de Bruxelles connaissent déjà une montée de l'antisémitisme et de la peur. Cet imam rigoriste a reçu un prix de la secrétaire d'État belge Nawal Ben Hamou (PS) pour, cela ne s'invente pas, ses «succès académiques».

    Le député qui a couvert l'événement est le socialiste Hasan Koyuncu, d'origine turque. Il est le premier vice-président, non du Parlement bruxellois, mais du Parlement francophone bruxellois (bienvenue dans l'usine à gaz des institutions belges), et il sera tête de liste du PS à Schaerbeek, une des deux communes avec la plus forte communauté turque de Bruxelles, en octobre, pour les élections communales.

    73% des Turcs de Belgique, qui sont pour la plupart binationaux, ont voté pour Erdogan aux dernières élections présidentielles, bien davantage que les Turcs de Turquie (52%). Prompt à condamner Israël ou la Birmanie (pour les exactions contre les Rohyngas), le PS a toujours bloqué les tentatives de s'en prendre au régime turc qui détient des centaines de prisonniers politiques et muselle la presse.

    La conférence en question avait pour but de souligner les réussites et l'intégration économique et sociale (sic) de la nombreuse communauté pakistanaise de Bruxelles, mais la plupart des orateurs s'exprimaient en anglais ou en ourdou ! Moment cocasse : lorsque Nawal Ben Hamou, ministre d'une région francophone, monta à la tribune, elle demanda si elle pouvait parler en français !

    Si l'on ajoute le président du Parlement, ce sont trois élus socialistes qui sont concernés par cette dérive. Cet épisode ne constitue cependant qu'une étape de plus dans l'abandon de la laïcité par le PS. La liste des renoncements est longue : possibilité de porter le voile pour les employés de la STIB (l'équivalent de la RATP) et dans des administrations communales, enseignants confrontés aux atteintes à la neutralité livrés à eux-mêmes, signe de rabia, de ralliement aux Frères musulmans par un député de Molenbeek, acceptation de la non-mixité dans certaines piscines, cantines scolaires devenues de facto halal, poursuite de l'égorgement rituel à Bruxelles alors qu'il est interdit en Flandre et en Wallonie, et tolérance vis-à-vis de l'antisémitisme. Depuis le 7 octobre, le bourgmestre socialiste de Bruxelles, autorise des manifestations hebdomadaires où des slogans antisémites sont régulièrement scandés.

    En réalité, le PS est désormais soumis à l'islam. Une grande partie de ses élus au Parlement bruxellois, de véritables machines électorales, sont de religion ou de culture musulmane.

    Si, au PS, on s'accroche encore officiellement à une laïcité historiquement au cœur de l'identité du parti, du côté du parti Écolo, on affiche depuis longtemps un communautarisme sans complexe. Dans la commune du célèbre club de football d'Anderlecht, le parti a récemment fait voter une motion autorisant le port de signes convictionnels dans l'administration. La semaine dernière, Alain Maron, le chef de file des ministres écologistes à Bruxelles, a déclaré : «L'islam est pour l'égalité entre les hommes et les femmes et pour le droit à l'avortement». A-t-il déjà ouvert un coran ?

    Bruxelles, la capitale de l'Europe, est désormais une des villes les plus islamisées du continent. Selon Statbel, l'office de statistiques belge, 61% de la population bruxelloise n'est pas d'origine européenne et il n'y a plus que 23% de Belges d'origine belge, un cas unique pour une capitale européenne.

    Si la démographie c'est le destin, alors celui de Bruxelles n'est plus d'être une ville belge et européenne, mais un melting-pot sans culture commune. Avec la montée en puissance de l'islam, les Écolos et le PS, les deux premiers partis de la capitale, sont dans une surenchère permanente pour le prix de la soumission. D’où la nécessité de relire Houellebecq d’urgence.

    Alain Desthexe, médecin, sénateur honoraire belge, auteur de L'Occident commence en Terre sainte : de Jérusalem à Bruxelles, journal de bord (2013) et de Lettre aux progressistes qui flirtent avec l'islam reac (2008).

  • Quand un imam pakistanais psalmodie le coran du haut du perchoir du parlement de Bruxelles

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    De Drieu Godefridi sur twitter :

    La presse internationale s’étant, comme prévu, emparée de l’affaire du prêcheur islamiste officiant tranquillement au perchoir du parlement de Bruxelles — une image qui fera malheureusement date — il est important de se montrer rigoureux. La sourate psalmodiée par cet imam pakistanais vêtu à la mode des Talibans est la sourate 33, qui comporte 73 versets. (...) Le prêcheur pakistanais ne cite pas les versets de la sourate 33 qui célèbrent le massacre des Juifs en tant que tels (en particulier, le 26). Ce qui, au fond, ne change rien. Voici pourquoi. La sourate 33 aborde trois événements significatifs : la Bataille de la Tranchée (ou Al-Ahzab : contre les Clans ou les Coalisés), qui s’est supposément déroulée pendant le mois de Shawwâl, en l'an 5 après l’Hégire ; l'attaque contre puis le massacre de la tribu juive des Banû Quraydhah, menés en Dhul-Qi`dah, en l'an 5 après l'Hégire ; et le mariage du prophète avec Zaynab, célébré le même mois de la même année. Par ‘coalisés’, il faut entendre la coalition des Arabes païens, des ‘hypocrites’ — personnes se prétendant faussement musulmans, sans conviction — et des Juifs; généralement, les coalisés agissent et luttent contre l'islam sous la gouverne des Juifs. La tribu qui domine les récits de cette sourate est celle des Banû Quraydhah, qui sont juifs. Même si ce n’est pas son objet exclusif, la sourate 33 célèbre en effet le massacre des hommes juifs de la tribu des Banû Quraydhah, et la réduction en esclavage des enfants et femmes juifs de la même tribu des Banû Quraydhah, après leur reddition aux musulmans. Conclusion. Si les versets psalmodiés par ce prêcheur pakistanais au perchoir du Parlement bruxellois ne sont pas ceux qui célèbrent le massacre des juifs, ces versets sont extraits d’une sourate dont l’objet principal est de célébrer la victoire des musulmans sur les ‘coalisés’ et le massacre des Juifs qui s’en est suivi.
  • Pourquoi, aux yeux de la RTBF, l'entrée en carême n'est plus un sujet

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    Du site de la RTBF :

    Mercredi des Cendres, début du Carême pour les chrétiens : pourquoi la RTBF n’en a-t-elle pas fait un sujet ?

    Saint Valentin, 14 février : reportage sur la fête des amoureux. Ce mercredi 14 février 2024, c’était aussi le mercredi des Cendres et le début du Carême, "la" période importante pour les chrétiens qui entament les préparatifs à la fête de Pâques. Pas de reportage, mais une "simple" mention dans le lancement d’un reportage du journal télévisé sur… Le crossage, une tradition folklorique séculaire à l’honneur à Chièvres. "Le mercredi des Cendres est le premier jour du Carême pour des milliers de chrétiens. La tradition du crossage ne concerne que quelques dizaines de personnes…", reproche un téléspectateur à la RTBF. Un autre : "Je trouve toujours intéressant vos reportages en début de Ramadan, alors que je suis catholique mais pour les événements catholiques, vous déviez toujours vos reportages de l’Avent, de Noël, du Carême, de Pâques… Vers des événements commerciaux ou autres. Seriez-vous allergique à la religion catholique ?"

    Entre mécontentement et émoi en découvrant les journaux télévisés de 13 heures et de 19 heures trente ce 14 février, ces téléspectateurs demandent des explications.

    Françoise Baré est Responsable éditoriale à la cellule Société : "le mercredi des Cendres, on n’a plus fait de sujet - plus autre chose qu’une mention - depuis des années déjà ! Pourquoi ? Mais pour dire quoi, en somme ? Que c’est le début du Carême, une période importante pour les chrétiens, je n’en disconviens pas. Mais encore ? Il y a fort longtemps que nous ne suivons plus le calendrier liturgique. Autrefois, l’abbé Pirard travaillait à nos côtés à la RTBF, délégué par l’institution catholique, mais on a évolué vers une sécularisation. C’est désormais la pratique sociale qui compte, voilà pourquoi à Noël nous parlons des fêtes de famille, des rassemblements, et même, comme lorsqu’à Noël dernier, le nouvel archevêque est entré en fonction, nous suivons sa messe de minuit, car le contenu de son homélie a une portée politique. Mais nous ne comptons pas faire de sujets miroirs systématiques sur chaque étape du calendrier liturgique car cela ne représente plus la société telle que nous la connaissons aujourd’hui. Mais je peux comprendre que cela soit blessant pour les fidèles."

    Aujourd’hui, l’église n’est plus au milieu du village

    Pierre Marlet, référent Info de la Première, qui occupe régulièrement le poste de coordinateur de l’Info, mais qui a aussi été longtemps éditeur du journal télévisé, résume : "aujourd’hui, l’église n’est plus au milieu du village, en quelque sorte ! Il suffit de voir la fréquentation des églises, justement, et de constater que la pratique religieuse catholique n’est pas en progression, bien au contraire. Tout récemment, il a encore été fait mention que sans la présence de prêtres africains, il n’y aurait plus assez de prêtres pour administrer les paroisses. Et le fait religieux catholique est indéniablement plus discret, moins présent dans la vie des Belges qu’autrefois." L’un et l’autre le précisent, la volonté n’est pas de gommer le fait religieux – catholique ou autre – de la couverture de l’information, mais de refléter ce qui se passe dans la réalité : "si les Belges montrent encore un certain attachement à Noël ou Pâques, n’hésitent pas à assister à (ou s’engager dans) des funérailles religieuses, des baptêmes, des mariages (mais peut-être alors pour des questions de décorum), combien de gens pratiquent encore le Carême, comme on a pu le connaître quand j’étais enfant ?" interroge Pierre Marlet.

    Pas privilégier une religion au détriment d’une autre

    En revanche, note Françoise Baré, si nous évoquons la fête du Ramadan, "ce n’est pas parce que nous voulons privilégier une religion par rapport à une autre, mais parce que la religion musulmane est une religion totalisante, c’est-à-dire que même si on n’est pas pratiquant, on y participe car socialement, cela a un sens. Il y a un véritable impact dans le paysage social."

    "Oui," renchérit Pierre Marlet, "et plus encore dans certaines régions du pays. A Bruxelles, notre décrochage radio bruxellois en fera plus état que notre décrochage de Libramont." Françoise Baré : "il y a une mobilisation sociologique vu le nombre de gens concernés, et économique également. Nous tenons à traiter de l’information, sans ostracisme, sans privilège. Et nous nous attachons également à couvrir les aspects liés à l’Histoire et aux traditions. Accorde-t-on trop de place au Carnaval ? C’est peut-être une question qu’on pourrait se poser, c’est un autre débat, mais le Carnaval s’inscrit aussi comme tradition dans les anciens temps chrétiens, concerne des milliers de personnes, s’est imposé dans les pratiques de lien social, de réunion, où on gomme les inégalités."

    L’un et l’autre soulignent qu’il serait certainement intéressant de se pencher sur les pratiques, leur constance, leur disparition, leur éventuel renouveau pour réaliser des sujets de fond, qui échappent aussi en quelque sorte à une date calendrier. "Le Carême c’est une période de 40 jours, il ne nous est pas interdit de nous pencher sur des personnes qui le pratiquent encore, pour interroger leur motivation." Et si, pour répondre au reproche de ce téléspectateur qui s’inquiète de voir la RTBF dévier du calendrier des événements catholiques pour couvrir d’autres aspects, y compris commerciaux, Françoise Baré reconnaît que pour Pâques, "on parlera sûrement d’œufs en chocolat, on ne boudera pas pour autant la traditionnelle bénédiction papale urbi et orbi."

  • Le drame oublié des chrétiens du Sahel

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    Du Tagespost (Carl Heinz Pierk) :

    Le drame oublié des chrétiens du Sahel

    Comment la pastorale chrétienne peut-elle survivre dans le contexte d’un terrorisme islamiste croissant ? « Church in Need » soutient les catholiques de la région du Sahel. Une conversation avec la présidente de l'organisation humanitaire, Regina Lynch.

    2 février 2024

    Madame Lynch, en tant que présidente exécutive d’Aide à l’Église en Détresse, vous avez exposé votre vision de l’organisation humanitaire. Outre le Moyen-Orient et l’Amérique latine, vous avez annoncé que vous vous concentrerez fortement sur la région du Sahel en 2024. Y a-t-il un risque que cette région soit oubliée par les pays occidentaux ?

    Oui définitivement. Les pays africains reçoivent généralement très peu d’attention internationale, probablement parce qu’ils ont peu d’influence économique. Malheureusement, les tentatives politiques européennes contre le terrorisme ont porté peu de fruits. Cette guerre semble perdue pour des raisons diplomatiques et politiques et on y décèle une lassitude. C’est peut-être la raison pour laquelle les médias européens hésitent à parler des populations de la région. En outre, en raison des guerres en Ukraine et à Gaza, le drame des populations de la région du Sahel et en particulier des chrétiens, particulièrement touchés par la progression du terrorisme, est passé au second plan.

    Dans les pays du Sahel, la situation des chrétiens est parfois particulièrement précaire. Comment l’Église catholique peut-elle être présente et tenter d’apporter une aide pastorale et humanitaire ?

    L'Église catholique, malgré de nombreuses difficultés et bien qu'elle soit minoritaire dans la région, tente d'apporter une aide pastorale et humanitaire dans ces pays où se propage la terreur islamiste . Elle est présente là où elle est le plus nécessaire, à travers les églises locales et les activités missionnaires et grâce à l'aide d'organisations telles que l'AED. Elle tente de s'affirmer dans un contexte très difficile sur le plan politique. Certains estiment qu'avec la disparition des chrétiens, le problème de la région disparaîtrait. Mais les chrétiens ne font pas partie du problème, mais de la solution, puisque seule l’Église représente une vision qui promeut le dialogue, le pardon et le respect mutuel entre les cultures et les religions.

    "Les chrétiens ne font pas partie du problème,
    mais de la solution"

    A quoi ressemble ce béton ?

    L’Église s’engage à atténuer la peur et l’anxiété parmi les populations effrayées et à promouvoir un dialogue de paix avec les dirigeants musulmans, dont beaucoup sont eux-mêmes victimes. L’espoir est d’utiliser une approche commune pour distinguer et isoler les extrémistes fondamentalistes de l’Islam dominant afin de freiner la violence aux niveaux communautaire et interconfessionnel. La Conférence épiscopale du Burkina Faso et du Niger réfléchit actuellement à la manière de poursuivre le travail pastoral dans le contexte du terrorisme en fusionnant les paroisses ou, dans certains endroits, en créant de nouvelles paroisses pour accueillir les déplacés, et comment fournir une aide humanitaire.

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  • De l'islam au Christ : un parcours difficile

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    Sur C News (Dailymotion) :

    DE L’ISLAM AU CHRIST : UN PARCOURS DIFFICILE : EN QUÊTE D'ESPRIT (ÉMISSION DU 28/01/2024)

    Cette semaine, Aymeric Pourbaix reçoit Djamila-Marie, d’origine algérienne, arrivée en France à 9 ans, convertie de l’islam au christianisme, le Père Adrien Mamadou Sawadogo, originaire de Cote d’Ivoire, baptisé en 1992 et auteur de “Dieu m’a saisi. Hier musulman, aujourd’hui prêtre catholique”, aux éditions des Béatitudes et Thibaut Van den Bossche, chargé de plaidoyer à l’ECLJ, une ONG de protection de la liberté religieuse.
     
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  • Défendre et porter la voix des chrétiens issus de l'islam

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    ECLJ

    Madame, Monsieur,

    L'ECLJ s'engage pour défendre et porter la voix des chrétiens issus de l'islam.

    C'est ce que l'ECLJ a pu faire ce dimanche, en participant à l'émission En quête d'Esprit de CNews, également diffusée sur Europe 1, pour parler de la persécution des chrétiens ex-musulmans en France et en Europe. L'ECLJ défend aussi les chrétiens issus de l'islam, en particulier en Afrique du Nord. Nous lançons un appel à témoignage ci-dessous.

    Ce dimanche, sur CNews et Europe 1, Thibault Van Den Bossche, de l'ECLJ, a pu intervenir pour faire sortir de l'ombre ce sujet presque tabou de la persécution que subissent ceux qui quittent l'islam en Europe.

    C'est pourtant une grave réalité, une atteinte fondamentale à nos principes de respect de la liberté religieuse qui plonge des milliers de personnes dans la peur d'être découvertes, insultées, agressées et même parfois séquestrées, renvoyées "au bled" ou assassinées. L'ECLJ a révélé ce problème dans un rapport et un reportage.

    Voir l'émission :

    Même en Europe, la persécution des ex-musulmans est un défi tant pour ceux qui quittent l'islam que pour les églises ou les communautés qui les accueillent.

    Pour ceux qui ne l'ont pas encore vu, voici notre reportage complet que nous vous invitons à regarder et partager :

    Appel à témoignage de Marocains chrétiens ex-musulmans

    L'ECLJ poursuit son action de plaidoyer au soutien des chrétiens issus de l'islam, particulièrement au Maroc. 

    L'ECLJ s'engage pour obtenir la reconnaissance par le Maroc de la religion chrétienne, car ce pays ne reconnait que deux religions : l'islam et le judaïsme. Selon la loi, un Marocain ne peut être que musulman ou juif, mais pas chrétien. Au Maroc, les chrétiens ne sont tolérés que comme des étrangers.

    Ainsi, un Marocain converti au christianisme reste musulman aux yeux des institutions et soumis au statut juridique des musulmans. Il subit de nombreuses discriminations.

    L'ECLJ veut lutter contre cette injustice, et souhaite pour cela entrer en relation avec des Marocains ex-musulmans.

    Marocains ex-musulmans, vos témoignages et vos expériences sont précieux pour notre action auprès des autorités de votre pays. Contactez-nous en réponse à ce courriel (secretariat@eclj.org). Nous pouvons garantir votre anonymat. 

    C'est grâce au courage de ceux qui ont accepté de témoigner auprès de nous que ce sujet émerge dans la grande presse. Qu'ils en soient une nouvelle fois remerciés et puisse leur exemple inspirer à d'autres le courage de témoigner.

    Merci infiniment !

    Pour la défense des chrétiens persécutés

  • L’Algérie ferme les portes de 42 églises

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    Du site "Pour une école libre..." :

    L’Algérie ferme les portes de 42 églises

    L’INDEX mondial de persécution des chrétiens considère que l’Algérie est, avec le Laos, le pays du monde où « la persécution » antichrétienne aurait «le plus augmenté » en 2023. Le rapport parle de « la fin d’un rêve » dans un pays qui a « longtemps fait figure d’exception au Maghreb avec ses grandes églises de chrétiens » convertis de l’islam, « se réunissant librement ».

    Ces églises étaient même « reconnues » comme membres de l’église protestante d’Algérie (EPA), qui regroupe les Églises protestantes et évangéliques. Une organisation dont les statuts d’association religieuse furent dûment enregistrés par les autorités algériennes en 1974.


    Que s’est-il passé? « Ce rêve pour ces chrétiens d’arrière-plan musulman (convertis de l’islam, NDLR) touche à sa fin, alors que la campagne de fermeture des églises de L’EPA, entamée en 2017, atteint son point culminant : il ne reste plus que 4 églises ouvertes sur 46 », assure l’association Portes ouvertes, qui a publié l’index. Sans compter que «d’autres églises indépendantes ont dû également fermer sous la pression des autorités ». Cette « répression des autorités s’illustre aussi par la condamnation d’une vingtaine de chrétiens à des peines de prison, pour prosélytisme ou participation à des cérémonies religieuses non autorisées », continue l’index.

    « Nous sommes des dizaines de milliers »

    L’un de ces chrétiens condamnés est intervenu à distance, depuis l’Algérie, lors de la présentation à Paris le 16 janvier. Il s’agit de Yousse Ourahmane, vice-président de l’église protestante d’Algérie, converti au christianisme il y a quarante ans. Le 2 juillet 2023, il a été condamné à deux ans de prison et à 100000 dinars d’amende pour avoir organisé des activités religieuses non autorisées. Il a fait appel et sera fixé au printemps.

    « Nous subissons depuis 2018 une très sévère persécution, explique-t-il. L’État algérien a beaucoup de mal à accepter des chrétiens comme nous, de sources algériennes, convertis de l’islam. Nous sommes des dizaines de milliers. La communauté est très importante, surtout en Kabylie.»

    Concrètement, «l’état a trouvé les moyens d’introduire des lois de façon à nous rendre la vie très difficile. Il est par exemple très complexe de renouveler l’agrément dont bénéficie l’association religieuse Église protestante d’Algérie dont nous bénéficions depuis 1974. »

    Il cite également « une cinquantaine d’affaires de justice depuis 1978, des amendes de millions et de millions de dinars et l’emprisonnement de beaucoup de frères et sœurs chrétiens. L’un d’eux vient de sortir, il a été condamné à cinq ans de prison. »

    Concernant les fermetures d’églises, Yousse Ourahmane assure «essayer par tous les moyens de correspondre avec l’état algérien pour remplir toutes les conditions demandées, mais, malheureusement, la majorité des églises sont fermées ».

    Conclusion de l’index : « Pour ces chrétiens, c’est la fin de la liberté de se réunir pour un culte. Dans les années à venir, ces convertis vont probablement devoir se retrouver en secret. »

  • Aucun romancier ne voit la crise religieuse de l'Europe plus lucidement que Michel Houellebecq

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    De Rod Dreher sur The European Conservative :

    Houellebecq, prophète de l'Europe post-chrétienne

    Houellebecq est peut-être décadent dans sa vie personnelle, mais aucun romancier ne voit la crise religieuse de l'Europe avec des yeux plus clairs.

    14 janvier 2024

    Un clip vidéo accompagné de l'affirmation alarmante "Conquis : Les chrétiens français se rendent" a fait le tour de la toile ces derniers temps. On y voit un Arabe musulman chanter l'adhaan, l'appel islamique à la prière, à l'intérieur d'une église parisienne,

    Enfin, pas vraiment. Dans ce cas, l'appel à la prière faisait partie d'une représentation de "L'homme armé : A Mass For Peace", une œuvre de musique classique de 1999 du compositeur gallois Karl Jenkins, qui l'a composée à la suite de la guerre du Kosovo. Elle combine des éléments de la messe catholique avec l'appel à la prière de l'islam, un poème profane et un texte hindou.

    On peut débattre de la question de savoir s'il est juste ou non d'autoriser les prières de religions non chrétiennes dans une église chrétienne, quel que soit le contexte ; personnellement, je suis un puriste en la matière et je serais tout à fait favorable à ce qu'une mosquée ou une synagogue interdise l'exécution de prières chrétiennes à l'intérieur de ses murs, quelles que soient les circonstances. Mais pour être juste, il faut reconnaître que dans le cas célèbre de Paris, l'adhaan n'apparaît pas comme un culte, mais comme une partie d'une performance artistique.

    Voici la traduction anglaise de l'adhaan :

    Dieu est grand (4x)

    Je témoigne qu'il n'y a pas d'autre digne d'adoration que Dieu (Allah). (2x)

    Je témoigne que Muhammad est le messager d'Allah (2x)

    Venez à la prière (2x)

    Il est facile de comprendre pourquoi certains chrétiens, en particulier en France, trouvent cela si alarmant. Il faudrait être idiot pour ignorer ou minimiser les vives tensions entre la population islamique de France et les non-musulmans, sans parler des "chrétiens", car la France est le pays le plus athée d'Europe. Il semble que ces Français non croyants préfèrent qu'il n'y ait pas de religion du tout, et se sont laissés aller à croire au mythe du progrès conduisant inévitablement à une place publique désacralisée.

    On ne combat pas quelque chose avec rien. Si les Français n'aiment pas l'islamisation de la vie publique française, ce n'est pas en redoublant de laïcisme qu'ils vont l'arrêter. Dans le roman controversé de Michel Houellebecq, Soumission, paru en 2015, le public français démoralisé et déchristianisé se tourne volontairement vers un gouvernement islamiste, dans ce qui équivaut à une vaste confession publique de l'inadéquation du matérialisme impie pour fournir une base solide à un mode de vie.

    Houellebecq est peut-être décadent dans sa vie personnelle - ses frasques sont parfois sordides et il a l'air de vivre sous un pont - mais aucun romancier ne voit la crise religieuse de l'Europe avec des yeux plus clairs.

    Louis Betty, universitaire américain spécialiste de la littérature française dont on a parlé récemment dans ces pages pour son travail de traduction et d'édition des essais de Rénaud Camus, a publié en 2016 une analyse pénétrante de la vision religieuse de Houellebecq, intitulée Without God : Michel Houellebecq et l'horreur matérialiste. Bien que Houellebecq ne soit pas personnellement religieux, Betty affirme qu'il est "un écrivain profondément et inévitablement religieux".

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  • Le terrible massacre de Noël au Nigeria (200 morts) a été préparé avec précision

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    De kath.net/news :

    Cardinal Onaiyekan : Le massacre de Noël au Nigeria a été préparé avec précision

    10 janvier 2024

    Dans une interview, l'archevêque d'Abuja, Onaiyekan, appelle à une enquête rapide sur les atrocités qui ont tué 200 personnes : "Il s'agit bien de terrorisme islamique et vous entendez des slogans islamistes lors des attaques."

    Abuja (kath.net/KAP) Deux semaines après le massacre dévastateur de Noël, qui a fait 200 morts, le cardinal nigérian John Onaiyekan s'est prononcé en critiquant vivement les autorités de son pays d'origine. La série d'attaques, au cours de laquelle 37 villages ont été rasés, a été minutieusement préparée et coordonnée, ce qui n'a été possible qu'en raison de la "grave crise sécuritaire" que traverse le Nigeria, a déclaré l'archevêque émérite d'Abuja dans une interview accordée ce week-end à "Vatican News". Ce qu’il faut, c’est une réaction à « l’horreur » qui règne dans le pays le plus peuplé d’Afrique, où aucune région n’est actuellement en sécurité et où tout le monde vit dans la peur.

    Aux alentours de Noël, des assaillants ont tué environ 200 personnes et en ont blessé 500 autres dans l'État du Plateau, au centre du Nigeria. Des centaines de familles ont quitté leurs foyers et ont cherché refuge dans des camps de réfugiés. Des témoins oculaires ont rapporté que l'attaque s'est produite dans tous les villages en même temps, a déclaré le cardinal Onaiyekan. "Cela signifie qu'il s'agissait d'un meurtre de masse coordonné, bien préparé et exécuté avec précision."

    Le cardinal doutait fortement que le gouvernement prétende depuis des années qu'il contrôlait la situation grâce au déploiement de nombreuses forces de sécurité, tout comme il a réagi avec scepticisme à l'annonce selon laquelle les meurtres feraient l'objet d'une enquête. Il est plus que discutable que des atrocités aussi importantes aient pu être préparées et perpétrées sans que l'on s'en aperçoive, a souligné Onaiyekan. Il convient également de se poser la question de savoir d'où provenaient les armes des assaillants, qui les a entraînés et quel était l'objectif de ces meurtres.

    Il n’existe actuellement aucune information fiable concernant l’identité des auteurs. Selon l'archevêque émérite, il y a des indications selon lesquelles il s'agissait également d'habitants de la région, "des voisins qui ont eu des disputes avec les personnes assassinées". Les bergers peuls, qui se sont « lourdement armés » ces dernières années, sont particulièrement suspectés. Certains éléments indiquent que ce groupe semi-nomade a été infiltré par des terroristes ces dernières années, a déclaré Onaiyekan. Ce qui est clair, en revanche, c'est le profil des victimes, à savoir des agriculteurs chrétiens qui vivent dans la région depuis de nombreuses générations.

    Après que le précédent gouvernement nigérian du président Muhammadu Buhari s'est montré "totalement irresponsable" en ce qui concerne la persécution des chrétiens et que certains l'ont même accusé d'impliquer certains de ses partisans dans les raids constants des Peuls, il ne faudrait pas que "la même chose continue avec un nouveau gouvernement et un nouveau président", a averti le cardinal. Pour que les atrocités "ne soient pas à nouveau balayées sous le tapis", les coupables et les commanditaires doivent être recherchés et punis.

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  • 83% des Bruxellois et 34,7% des résidents belges sont issus de l'immigration

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    Belgique : 83 % des Bruxellois et 37,4 % des résidents belges sont issus de l'immigration

    source

    Selon le sociologue et ancien chercheur à la KU Leuven (Louvain, section flamande), Jan Hertogen (76 ans) 37,4 % des résidents belges sont issus de l’immigration.

    En outre, 83 % des Bruxellois, 62 % des Anversois, 60 % des Liégeois et 41 % des Gantois sont issus de l’immigration.

    Il ressort également qu’en Flandre, 29,2 % de la population est issue de l’immigration. En Wallonie, ce pourcentage est de 38,3 %.

    Ces pourcentages sont plus élevés que ceux de l’agence gouvernementale Statbel. Selon l’office belge de statistique, 33,1 % de la population belge est « d’origine étrangère ». « Cela s’explique par le fait que Statbel ne comptabilise que les enfants d’étrangers devenus belges, alors que j’englobe également les petits-enfants », a déclaré M. Hertogen.

    Le creux de 1970 à 2000 s’explique par le déménagement des Bruxellois vers les banlieues flamandes ou wallonnes avoisinantes et plus vertes. L’agglomération, officiellement bilingue, est petite (161,38 km²) pour des raisons politiques : les Flamands ont refusé qu’elle s’étende et accorde ainsi des droits linguistiques aux francophones dans des communes flamandes. À titre de comparaison l’île de Montréal couvre une superficie 482,8 km², soit trois fois plus pour une population (1,9 million) moins de deux fois plus nombreuses.

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  • 160 chrétiens tués au Nigéria pendant la période de Noël

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    Du site Decision (Magazine) :

    160 chrétiens tués au Nigéria pendant la période de Noël

    27 DÉCEMBRE 2023   

    Du 23 au 25 décembre, jour de Noël, des terroristes ont tué au moins 160 personnes et en ont blessé au moins 300 autres lors d'attaques coordonnées dans plus de 20 villages majoritairement chrétiens de l'État du Plateau, au Nigéria. Des centaines de maisons ont été détruites et la plupart des victimes étaient des femmes, des enfants et des personnes âgées. De nombreuses victimes se préparaient à participer aux programmes de Noël organisés par leurs églises et leurs pasteurs.

    Dawzino Mallau, un habitant du comté de Bokkos, a déclaré que les terroristes avaient tué de nombreux pasteurs et leurs familles dans la région. Selon Monday Kassah, chef du gouvernement local de Bokkos, 113 personnes ont été tuées et plus de 300 blessés ont été transportés dans les hôpitaux de Bokkos, Jos et Barkin Ladi. Un habitant, Solomon Musa, a déclaré que 26 chrétiens de la région du conseil de Bokkos avaient été enterrés le jour de Noël.

    "Les terroristes qui ont attaqué ces communautés chrétiennes étaient des centaines, et ils ont mené leurs attaques alors que les chrétiens infortunés se préparaient pour les programmes de Noël prévus par leurs pasteurs", a déclaré Mallau.

    Dans la région de Bokkos, 221 maisons ont été incendiées, ainsi que 27 motos et huit autres véhicules. Alfred Mashat, un habitant de Bokkos, a déclaré que des centaines de maisons ont été détruites et qu'environ 160 chrétiens ont été tués par les terroristes. "Nous pensons qu'ils mènent ces attaques aux côtés de bergers fulanis musulmans armés", a-t-il déclaré dans un texte transmis à Morning Star News.

    Les autorités locales ont confirmé les attaques lundi, précisant qu'au moins 160 chrétiens avaient été massacrés.

    Le Nigeria est devenu de plus en plus dangereux pour les chrétiens ces dernières années. En 2022, il était en tête du classement mondial des chrétiens martyrisés et maltraités. Le pays était numéro 6 sur la liste de surveillance mondiale 2023 de Portes Ouvertes pour la persécution chrétienne, alors qu'il était numéro 7 l'année précédente.

    Les assaillants majoritairement musulmans, décrits localement comme des "bandits", sont estimés à des dizaines de milliers et comprennent des bergers peuls. Selon Morning Star News, ils circulent à moto et sont armés d'armes sophistiquées obtenues auprès d'éléments criminels à l'extérieur du pays. Certains seraient des mercenaires venus du Tchad ou du Niger.

    Un rapport de 2020 du groupe parlementaire multipartite du Royaume-Uni pour la liberté internationale de religion ou de conviction indique que ces bergers adoptent des stratégies similaires à celles du groupe terroriste Boko Haram et du groupe extrémiste de la province de l'État islamique en Afrique de l'Ouest (ISWAP), une scission de Boko Haram. Ils font preuve d'une "intention claire de cibler les chrétiens et les symboles de l'identité chrétienne tels que les églises". Les survivants des attaques ont rapporté que les bergers criaient des choses comme "Allahu Akbar" (une expression arabe signifiant "Allah est le plus grand"), "détruisez les infidèles" et "anéantissez les infidèles".

    "C'est inacceptable", a déclaré le gouverneur du Plateau, Caleb Mutfwang, le jour de Noël. "Trop c'est trop. Ces actes stupides, insensés et non provoqués doivent cesser". Il a promis de renforcer les agences de sécurité pour lutter contre l'insécurité dans l'État.

  • Les attaques visant les sites chrétiens en Turquie accusent une hausse significative depuis 2015

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    De Thibault van den Bossche sur le site de Conflits relayé par l'ECLJ :

    L’inquiétante augmentation des attaques de sites chrétiens en Turquie

    Les attaques visant les sites chrétiens en Turquie accusent une hausse significative depuis 2015, selon la Commission américaine sur la liberté religieuse internationale. La non-exécution par la Turquie des condamnations par la Cour européenne des droits de l’homme est de surcroît très élevée.

    D’abord, une bonne nouvelle. En Turquie, le nombre et la gravité des attaques terroristes contre les lieux de culte ont diminué au cours de la dernière décennie, selon un rapport de la Commission américaine sur la liberté religieuse internationale (USCIRF) publié en novembre 2023. 

    Les communautés religieuses expliquent que les autorités turques apportent une protection plus efficace et collaborent davantage. En février 2023 par exemple, les autorités turques ont arrêté 15 individus liés à l’État islamique qui auraient reçu l'ordre d'attaquer des églises et des synagogues à Istanbul. 

    En revanche, les attaques moins spectaculaires visant les lieux de culte et les sites religieux accusent une hausse significative depuis 2015, surtout ceux appartenant aux minorités alévies et protestantes. La Commission américaine déplore que « dans de nombreux cas, la police n'appréhende pas les agresseurs, et dans les cas où les agresseurs sont arrêtés, ils bénéficient souvent d'un traitement indulgent de la part des tribunaux turcs ».  

    Ainsi, l’analyse de huit médias entre 2003 et 2022 montre que seulement 35 % des assaillants sont identifiés. Presque la moitié de ces assaillants identifiés n’est même pas poursuivie, un quart ne reçoit pas de sanction et seul un quart est effectivement sanctionné. 

    Les sites religieux menacés par le vandalisme, l’expropriation et la négligence 

    La Commission américaine relève une multitude de menaces insidieuses dont elle distingue deux types. D’une part, celles issues de l’action humaine : vandalisme, graffitis, chasse au trésor, extraction de pierres, effraction, vol, confiscation de propriété, incendie criminel, attaque et intimidation des membres des communautés minoritaires.  

    Ces communautés se sentent particulièrement vulnérables lorsque des responsables turcs au plus haut niveau font des déclarations publiques haineuses et discriminatoires. Ainsi par exemple, le 4 mai 2020, le président Erdogan utilise l'expression « terroristes réchappés de l'épée », faisant référence aux survivants du génocide arménien. Deux églises arméniennes d’Istanbul sont attaquées le 8 mai et le 23 mai suivants, tandis que la fondation arménienne Hrant Dink reçoit des menaces de mort. 

    D’autre part, la Commission américaine relève les dégradations causées au patrimoine des religions minoritaires par le manque d’entretien et la négligence ciblée des autorités turques (érosion, végétation, incendies et activité sismique). 

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