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Jeunes - Page 154

  • Jeudi Saint : le pape sera aux côtés des jeunes détenus

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    (Zenit.org - Anita Bourdin) - Le pape François célébrera la Messe de la Cène du Seigneur à 17 h 30, le Jeudi Saint, à la prison pour mineurs de Casal del Marmo, dans la banlieue Nord de Rome où s'était rendu le pape Benoît XVI le 18 mars 2007 et le pape Jean-Paul II le 6 janvier 1980.

    C'est la première fois - pour les derniers pontificats - qu'un pape ne célèbre pas cette messe du soir du Jeudi Saint ni à Saint-Jean-du-Latran ni à Saint-Pierre (comme à la fin du pontificat de Jean-Paul II).

    Mais le pape François avait l'habitude, en tant qu'archevêque de Buenos Aires, de se rendre dans un hôpital ou une prison ou un hospice pour les pauvres ou les marginaux à l'occasion de cette célébration marquée par le rite du Lavement des pieds et l'Evangile du Commandement de l'Amour."

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  • Laeken : quand une église devient la cible de voyous

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    Nous lisons sur L'Avenir.net :

    LAEKEN - Tags, vitres brisées, urine, détritus et même… football sur le toit. Les actes de vandalisme se multiplient autour de l’église du Christ-Roi à Laeken. D’après le père Lebrun, la bande de Versailles a pris ses quartiers autour du lieu de culte.

    «Ils cassent des fenêtres, ils urinent contre l’église, ils y entrent et s’appellent sur leurs GSM. Parfois, ils “ accueillent ” les paroissiens sur le parvis. Ou ils traînent sous le portail et laissent des déchets derrières eux. Il m’est déjà arrivé de devoir tout nettoyer en vitesse avant un enterrement. Ils se moquent vraiment de nous. Ils vont même jusqu’à jouer au football sur le toit de l’église pendant la messe».

    Le vicaire Yves Lebrun n’en peut plus. Depuis deux ans, son église du Christ Roi à Laeken est la cible des vandales. Ceux-ci appartiennent à la bande de Versailles, bien connue dans ce quartier du nord de Bruxelles. Les jeunes affichent fièrement leur appartenance : ils sont allés jusqu’à taguer le nom de leur bande sur la porte de l’église, comme le père Lebrun l’explique au Nieuwsblad.

    «Mais je ne réagis plus : j’ai peur de la bande de Versailles. Je n’ai pas envie de recevoir des coups ou de voir ma voiture démolie». Le prêtre estime que la sécurité de ses paroissiens est en jeu. «Ce sont surtout des néerlandophones âgés. Ils n’osent plus se promener en rue le soir. Conséquence : nous organisons notre veillée pascale à 16h45 et plus à 20 ou 22h comme avant», explique Yves Lebrun sur FM Brussel.

    Le vicaire avoue son impuissance. Il a porté plainte à la police à chaque acte de vandalisme et travaille avec les autorités communales et l’ASBL de prévention BRAVVO. «Mais je ne peux tout de même pas installer une barrière autour de l’église».

  • Belgique francophone : trois constitutionnalistes donnent leur feu vert aux cours de philo

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    Lu sur l’ « Vers l’Avenir » de ce mercredi 13 mars

     « Les cours de philos pour les petits belges francophone c’est un vieux et épineux débat. Une sorte de monstre du Loch Ness de notre enseignement.

    Hier, trois constitutionnalistes ont bravé les tempêtes de neige pour venir expliquer en commission que ce projet n’était pourtant pas aussi mort-né qu’on le croyait. Christian Behrendt (ULg), Hugues Dumont (St Louis) et Marc Uyttendaele (ULB) ont estimé que la constitution permettait de créer un cours de « philosophie, citoyenneté et histoire culturelle des religions » dans l’enseignement secondaire. Ils ont même dit qu’il existait « une immense marge de manœuvre » et ont déclaré que le « Parlement devait dès lors prendre ses responsabilités ». Le professeur Dumont a encouragé les députés à agir. « La voie est ouverte, avancez, cessez de vous barricader sur vos piliers ».

    Le député MR, Richard Miller, n’est pas peu fier de voir ainsi validé «son» projet de cours de philos. «Mon projet est de réussir le vivre-ensemble de personnes de convictions différentes. Un enseignement obligatoire, dispensé à tous les enfants, et favorisant la connaissance et le respect mutuel est essentiel», souligne Miller. Mais il craint pourtant toujours que le débat n’aboutisse pas. Car la mise en œuvre de ce cours est complexe, eu égard à notre système d’enseignement organisé en réseaux et… désargenté.

    Pour Marc Uyttendaele, dans l’enseignement organisé par la Fédération, le législateur communautaire peut rendre facultatif le cours de religion. La Flandre a clairement choisi cette option, a-t-il fait observer.

    Pour l’enseignement libre subventionné, imposer un cours de philo en remplacement de celui de religion est cependant impossible, a indiqué Hugues Dumont, évoquant toutefois la possibilité de conditionner le subventionnement d’un établissement à l’introduction d’un tel cours.

    Évidemment, et hélas, les moyens budgétaires ne permettent pas de créer un nouveau cours au-delà de la grille horaire actuelle, regrette-t-on chez la ministre de l’enseignement Marie-Dominique Simonet (cdH). Celle-ci a proposé en 2012 que ce cours de philo soit donné par les professeurs de religion déjà en place, moyennant certains aménagements.

    Les avis restent divergents sur la possibilité pour un prof de religion de donner un cours de philosophie. Hugues Dumont n’y voit pas d’objection majeure et envisage un régime transitoire, le temps que l’enseignant acquière la formation et le titre adéquats. Marc Uyttendaele craint dans ce cas un manque d’apparence d’impartialité. »

    Réf. Trois constitutionnalistes donnent leur feu vert aux co... - lavenir.net

    Cette affaire n’en est pas à son premier rebondissement et celui-ci n’est sûrement pas le dernier.

    Il est exact que la Flandre a effectivement accepté que des parents de l’enseignement officiel puissent faire « objection de conscience » à l’ensemble des cours de religion et de morale, mais la raison en est que, en Flandre, on estime le cours de morale insuffisamment neutre : il ne s’agit donc pas de rendre ces cours facultatifs, contrairement à ce qu’on pourrait croire en lisant l’article, mais d’acter l’absence d’un cours subsidiaire réellement neutre. Reste alors la question du financement d’un tel cours.

    Dans l’enseignement libre catholique, la question de la neutralité ne se pose évidemment pas (ce serait plutôt celle du contenu du cours de religion et de la qualité catholique des maîtres) ; quant à y ajouter (et non substituer évidemment) un cours de « philosophie citoyenne », c’est là aussi une question de financement.

    La Communauté française de Belgique aurait-elle des subsides à jeter par portes et fenêtres ?  

    JPS

     

  • Ces programmes d'éducation sexuelle qui font plus de tort que de bien

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    Friday-Fax-Header-French.jpgRemise en question du rapport de l’Onu sur l’éducation sexuelle intégrale

    NEW YORK, 1er mars (C-FAM) Alors que le Comité des droits de l’homme se penche sur le rapport du Commissaire des droits de l’Homme sur le Programme d'éducation sexuelle intégrale, un nouvel examen du programme polémique conclut que celui-ci pourrait causer plus de mal que de bien.

    Le rapport, publié en décembre par un commissaire des droits de l’homme de plus en plus critiqué, conclut que la santé des adolescents dépend d’une « éducation intégrale à la sexualité et du plein accès à des services de santé sexuelle et reproductive confidentiels, adaptés aux jeunes, et fondés sur les preuves (scientifiques) actuelles. »  Le week end dernier, des médecins présents à la conférence ont soumis leurs propres preuves qu’une approche différence est nécessaire.

    « Il est clair pour moi que ces programmes d’éducation sexuelle font plus de mal que de bien », déclarait le chercheur en santé publique Dr Jokin de Irala. Il a appelé les médecins et scientifiques à fournir aux organisations internationales « des rapports qui font la distinction entre ce qui serait réellement fondé sur des preuves scientifiques, et ce qui se fonde sur une idéologie, puisqu’ils pensent qu’ils n’ont ni dogme ni idéologie »

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  • Belgique :la Société médicale belge de saint Luc monte au créneau

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    ROME, 4 mars 2013 (Zenit.org) - La Société médicale belge de saint Luc adresse une motion contre « la banalisation de la mort » alors que sont en cours au gouvernement les débats concernant l’extension de la loi sur l’euthanasie envers les enfants et les personnes en état de démence.  

    Dans un message publié sur le site de la fédération internationale des associations de médecins catholiques (FIAMC), le Dr Paul Deschepper, président d’honneur de la Société médicale belge de saint Luc, dénonce une « interprétation molle » de la loi actuelle sur l’euthanasie, « aucun cas n’ayant été retenu comme non conforme aux exigences de la loi ».

    « La notion de qualité de vie est une notion extrêmement subjective », fait observer la Société, qui s’inquiète des « dérapages » qui suivraient l’extension de la loi : « on ne promulgue pas des lois pour de grandes exceptions », rappelle le texte.

    Motion contre la banalisation de la mort en Belgique

    La Société médicale belge de saint Luc asbl. veut exprimer son point de vue concernant la discussion au Sénat belge sur l’extension de la loi sur l’euthanasie envers les enfants et les personnes en état de démence. La prédiction que la loi sur l’euthanasie du mois de mai 2002 nous amènerait sur une pente glissante quand on renonce au commandement “Tu ne tueras pas” se confirme: l’opinion publique et les responsables politiques désirent une extension de la loi sur l’euthanasie pour les enfants et les personnes en état de démence. Les médias y collaborent activement.

    Après dix ans d’application de la loi sur l’euthanasie, aucun cas n’a été retenu comme non conforme aux exigences de la loi***, preuve d’une interprétation molle de cette loi.

    Ceci a été prouvé par surcroît en janvier 2013 par l’euthanasie des jumeaux sourds- muets Verbessem.

    On a l’intention d’étendre les semaines prochaines cette loi vers les enfants et les personnes en état de démence. Allons-nous déraper vers des situations où un adolescent avec un diabète du type I trouve à un certain moment que sa qualité de vie devient insuffisante et qu’il puisse demander une euthanasie?

    On ne conçoit pas que l’autodétermination ne peut pas évoluer vers un déterminisme extrême de la personne !

    La notion de qualité de vie est une notion extrêmement subjective. Il y a quelques mois, nous puissions voir à la VRT (télévision flamande) comment des malades atteints de la maladie de Alzheimer s’amusaient agréablement entre eux, pour eux la qualité de vie avait une toute autre expression.

    Le fait qu’en Hollande (avec 16 millions d’habitants) nul cas d’euthanasie d’enfants n’a été signalé les deux dernières années, prouve que cette loi est inutile, on ne promulgue pas des lois pour de grandes exceptions !

    Est-ce qu’on ne conçoit pas que nous ne pouvons pas évoluer vers une situation dans le genre : « vous demandez, nous tournons ! »

    Au nom de la Société Médicale belge de Saint Luc : Dr. Paul Deschepper, président d’honneur, 3 mars 2013 »

    Rappelons que le  Président en exercice de la Société Médicale Belge Saint-Luc, le  Pr. Bernard Ars, sera tout prochainement l’invité du groupe éthique sociale affilié à l’Union des étudiants catholiques de Liège : avec le nouveau Doyen de la Faculté de Médecine de l’Ulg, le Pr. Vincent d’Orio, et le Pr. Paolo Simoni, membre de cette même Faculté, il participera le mardi 19 mars prochain à une table ronde que le cercle étudiant précité organise sur le thème « Les droits de l’homme au défi des progrès scientifiques et médicaux ». Cette manifestation aura lieu à 18h. dans le bâtiment du rectorat de l’université de Liège, place du XX août, 7, 1er étage (salle des professeurs). Parcours fléché. Ouvert à tous.

    Inscription préalable obligatoire par tél. au numéro 04.344.10.89 ou e-mail : info@ethiquesociale.org . Renseignements aux mêmes adresses ou sur le site internet : www.ethiquesociale.org

  • Belgique : quand l'euthanasie est pratiquée sur des mineurs

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    Source : Institut Européen de Bioéthique

    Des enfants mineurs régulièrement euthanasiés en Belgique ?

    Il est évident que l'euthanasie est pratiquée chez des mineurs et nous le savons tous», a indiqué mercredi en Commission du Sénat Dominique Biarent, chef de service Soins intensifs et urgences à l'Hôpital universitaire des Enfants Reine Fabiola alors qu'ont débuté les discussions sur l'extension de la loi actuelle.

    Oui, «il s'agit d'euthanasie active», a confirmé le docteur Biarent, interrogé par plusieurs sénateurs. Cette information a été confirmée par le docteur Joris Verlooy, spécialiste en hématologie et oncologie à l'hôpital universitaire de Gand. Il est« très difficile » de le dire publiquement, il faut être « très prudent », vu l'illégalité de tels actes, a-t-il précisé alors que la présidente de la Commission, Elke Sleurs (N-VA), également médecin, lui rappelait le caractère public de la réunion.

    Les deux médecins ont notamment évoqué des rapports d'enquête scientifique évoquant le phénomène. «Les médecins ont besoin d'un cadre légal», a lancé Dominique Biarent dans un appel aux sénateurs. Les médecins doivent pouvoir agir «sans devoir se demander si leurs collègues devront leur apporter des oranges», a-t-elle précisé.

    Certaines propositions de loi font état d'un âge limite, d'autres pas, se référant à la capacité de discernement de l'enfantLa commission réunie des affaires sociales et de la justice du Sénat a donc commencé ses auditions, en se posant la question, non du principe, mais de l’opportunité de mettre en place une limite d’âge légale. Certains proposent de retenir une définition plus floue : autoriser l’euthanasie sur un mineur dès lors qu’il apparaîtra comme ayant une capacité de jugement suffisante. La détermination d'un âge limite dans la perspective d'une extension aux mineurs de la loi sur l'euthanasie n'est pas évidente, selon les premiers experts entendus en Commissions de la Justice et des Affaires sociales du Sénat.

    Le commissaire flamand aux droits de l'Enfant, Bruno Vanobbergen, a évoqué l'âge de 12 ans alors que d'autres ont invité à se référer à la capacité de discernement de l'enfant. Le délégué francophone aux droits de l'enfant, Bernard De Vos, a évoqué l'âge de 15 ans, pour une prise de décision autonome des parents. S’opposant à cette façon de voir les choses, le professeur Chris Van Geet, spécialiste en biologie moléculaire à la KUL, s'est clairement positionnée contre une extension de la loi. Evoquant un "problème éthique énorme" dont elle s'est demandé s'il pouvait être résolu par la loi, elle a plaidé en faveur d'un meilleur encadrement de la formation médicale. Mme Van Geet a également justifié sa position en évoquant les statistiques officielles néerlandaises, mais également belges, selon lesquelles aucun enregistrement de cas d'euthanasie n'a été réalisé ces dernières années concernant des jeunes jusqu'à 19 ans.

    Alors que ni le CD&V ni le cdH n'ont déposé de proposition de loi, ces déclarations ont poussé le sénateur Rik Torfs (CD&V) à se demander si on ne se dirigeait pas vers une "loi-symbole". Source : La Libre.be

    Voir tous les projets de loi ICI

  • Violences dans les écoles : des chiffres inquiétants

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    AGRESSIONS À L’ÉCOLE : UNE HAUSSE DE 30% EN SIX ANS (Enseignons.be)


    "Les chiffres présentés ici sont issus de la cellule des accidents de travail à la Fédération Wallonie-Bruxelles : en 2012, 300 enseignants ont dû subir une incapacité de travail à la suite d’une agression verbale ou physique dans le cadre de leur travail.

    16 FAITS DE VIOLENCE PAR JOUR

    Les statistiques sont rares sur le sujet. Les dernières remontent à 2007… et 250 cas d’agressions avaient alors été répertoriés. On peut donc en déduire que, loin de s’améliorer, la situation se dégrade un peu plus chaque année. La hausse est ici de 30% en seulement six ans. Interpellant? Plutôt, oui… Car, bon, même si on peut relativiser les chiffres en notant que nos écoles comptent plus de 100.000 enseignants, on ne parle quand même que des agressions ayant entrainé une incapacité de travailler. Et les autres? Elles sont beaucoup plus difficiles à quantifier. Combien d’enseignants victimes de violence osent en informer leur direction? Et combien de chefs d’établissement choisissent de se taire, ne faisant pas remonter l’information vers leur pouvoir organisateur, pour ne pas entacher la réputation de leur école? Aucune info! Normal, au fond…

    Mais en cherchant un peu, il est possible d’exhumer d’autres chiffres. En 2011, le Ministère de l’Intérieur confirmait que, en Belgique, en moyenne seize faits de violence étaient signalés quotidiennement, les jours d’école, dans lesétablissements scolaires. Dans quatorze cas sur seize, il s’agit de coups et blessures volontaires. Et il y a en moyenne plus d’un fait d’abus sexuel signalé par jour d’école. Notez que, en chiffres absolus, 2.916 faits de violence ont été signalés en 2008… et 2.994 en 2009. C’est en Wallonie que l’on compte par ailleurs le plus grand nombre de plaintes de violences scolaires." (...)

  • Le lobby LGBT prêt à s'inviter dans les écoles belges

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    C'est ce que l'on peut lire sur enseignons.be, et cela nous fait appréhender un formatage des esprits des plus jeunes dans une école dont la perméabilité au pire n'est malheureusement plus à démontrer :

    DE JEUNES GAYS ET LESBIENNES PRÊTS À DÉMYSTIFIER L’HOMOSEXUALITÉ DANS LES ÉCOLES

    Cette fois, ça y est ! Les équipes du GrIS Wallonie (comprenez Groupe d’Intervention scolaire) sont prêtes à débarquer dans les écoles pour casser les stéréotypes, témoigner de leur vécu et répondre à toutes les questions que pourraient se poser des adolescents à propos de l’homosexualité. Nous vous en parlions l’été dernier (Enseignons.be – 21 août 2013), l’idée avait germé dans la tête de certains responsables d’Arc-en-Ciel Wallonie, fédération des associations LGBT wallonnes (lesbiennes, gays, bis et transgenres), qui souhaitaient réfléchir à l’élaboration d’un projet d’animation scolaire.

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  • Comment des écoles suédoises appliquent radicalement la théorie du genre et font des émules en France

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    Lu sur le Nouvel Obs :

    Fille ou garçon, quelle importance ? En Suède, des écoles pour tout-petits d'un nouveau genre, certifiées LGBT (Lesbiennes, gays, bi et trans), ont ouvert leurs portes. Elles sont déjà cinq à Stockholm.

    Inspirés par la théorie du genre, ces établissements refusent d'inculquer aux enfants toute notion de différenciation entre lessexes, afin de favoriser l'égalité entre les sexes."Le Figaro"a pu visiter l'une de ces écoles. Quelles méthodes ces établissements appliquent-ils ?

    D'abord le choix d'un langage adapté. Les pronoms "lui" et "elle" sont bannis au profit d'un pronom neutre, utilisé dans le pays depuis quelques années seulement. De même, les expressions "les filles" ou "les garçons" ne sont jamais utilisées. Les enfants sont encouragés à se servir de manière indifférenciée des jeux traditionnellement associés à l'un ou à l'autre sexe.

    Les livres "modernes", selon le mot de la directrice, pouvant traiter de l'homosexualité ou de la transexualité, ont quant à eux remplacé les livres "truffés de clichés sexistes".

    "Le Figaro" rappelle également l'histoire de Pop, un enfant suédois qui avait fait parler de lui en 2009 : ses parents refusaient de révéler son sexe, toujours inconnu aujourd'hui. "Nous voulons que Pop grandisse librement, et non dans un moule d'un genre spécifique", avaient expliqué ses parents aux médias. En 2008, un programme de 12 millions d'euros a été mis en œuvre pour éliminer les stéréotypes sexués dans les écoles suédoises.


    Une crèche de ce type est ouverte à Saint-Ouen : http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/02/17/01016-20130217ARTFIG00157-sexisme-la-theorie-du-genre-fait-son-nid.php

  • L'Eglise en péril : le songe de Don Bosco

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    Un enseignement délivré à des jeunes et qui prend toute sa signification à l'heure que nous vivons.