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Jeunes - Page 195

  • La revue "Transmettre", pour évangéliser l'enfance

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    Au service des éducateurs de la foi

    Une revue

    Transmettre : le magazine des éducateurs de la foi

    Le mensuel catholique Transmettre a pour but d'aider les éducateurs de la foi (parents, catéchistes, prêtres, enseignants), particulièrement pour les enfants de moins de 10 ans.

    Transmettre propose chaque mois :

    • Des enseignements fondamentaux et des conseils pédagogiques pour vivre le temps liturgique avec les enfants.
    • Une explication suivie des piliers de la catéchèse : credo, commandements, sacrements et prière.
    • Des articles sur des problèmes éducatifs et l'éveil à la foi des tout-petits.
    • Des vies de saints.
    • Des outils pratiques : dessins à colorier, carnets de prières et d'activités.
  • La stabilité du couple et le bien des enfants

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    Le climat de notre société n'est guère favorable à l'engagement et à la fidélité. Les enfants en pâtissent affectivement, c'est sûr, mais cela nuit aussi à leur scolarité. Il ne faut pas avoir participé à des centaines de conseils de classe pour s'en apercevoir. On en trouve la confirmation aujourd'hui dans lalibre.be :

    "La moitié des enfants de parents divorcés ont des difficultés d'apprentissage"

    "64% des jeunes dont les parents forment toujours un couple se lancent dans l'enseignement général, contre 10% de moins pour les enfants issus de familles monoparentales..."

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  • L’archevêché de Lyon donne l’exemple

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     imagesCABEDI5N.jpgLa « Maison Ste Blandine, ouverte en septembre 2010 à Lyon, est une maison de fondation spirituelle (ou propédeutique) qui accueille des candidats au ministère sacerdotal diocésain attachés à la forme extraordinaire du rite romain et devant être en mesure plus tard de célébrer la messe sous l’une ou l’autre forme. La « Maison Ste Blandine » peut recevoir des candidats de n’importe quel diocèse francophone avec l’accord de leur évêque. Il appartient naturellement à celui-ci de décider du lieu ultérieur de formation de ses propres propédeutes. Les séminaristes du diocèse de Lyon suivent habituellement le cycle de philosophie au Séminaire provincial de Lyon. Pour les séminaristes qui viendront de la Maison Sainte Blandine, le diocèse de Lyon veillera à assurer la continuité et la cohérence de la formation (apprentissage du latin, chant grégorien, forme extraordinaire, philosophie thomiste). Contacts : Mgr Jean-Pierre Batut, évêque auxiliaire de Lyon (jp.batut@lyon.catholique.fr) 04 72 38 82 61, et Abbé Laurent Spriet (laurent.spriet@free.fr) 04 72 77 07 90." Source :  Salon Beige

    Nous connaissons tous de jeunes prêtres ou séminaristes belges, attirés par la spiritualité et la forme traditionnelles de la célébration des sacrements mais soucieux d’intégration diocésaine, qui auraient aimé pouvoir  bénéficier d’un tel dispositif.

  • Au Mans, ces collégiens qui cherchent Dieu

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    1 150 collégiens de la Sarthe se sont retrouvés, mercredi 23 février, au Palais des congrès du Mans pour un grand rassemblement sur la Parole de Dieu. « La Croix » leur a demandé en qui ils croient...

    à découvrir ICI

  • Découvrez le "lipdub" des aumôneries catholiques de Rennes

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    Lipdub des aumôneries Catholiques de Rennes
    envoyé par HHTV. - Plus de vidéos de blogueurs.

    Chacun réagira selon sa sensibilité. "Il y a beaucoup de demeures dans la Maison du Père", dit Jésus.

    La sensibilité venue des groupes charismatiques déteint assez fort sur ce type de message. Cela insupporte certains "tradis" qui y voient une influence venue de groupes charismatiques protestants (d'Outre-Atlantique souvent) et qui se caractérise par beaucoup d'exaltation et par un certain manque de "contenu".

    Il ne s'agit pas ici de trancher mais on peut souhaiter que la foi s'articule avec un travail de la raison pour ne pas déraper dans un type d'expression qui toucherait essentiellement la sensibilité et moins l'intelligence.

    Ceci dit, les groupes charismatiques ou apparentés cultivent l'adoration eucharistique, sont attachés à l'Eglise et au pape, suscitent des vocations, ... Certains reprocheront  pourtant à ces groupes de se cantonner exclusivement dans le domaine de la foi (fidéisme) et de ne pas être suffisamment présents dans les réalités de terrain pour y agir aussi politiquement et socialement; or cet engagement sur le terrain est attendu de la part des laïcs chrétiens.

    On a pu voir, avant-hier, sur nos écrans de télévision, des jeunes issus de communautés nouvelles se livrer à des témoignages dans la rue, dans le métro, etc. L'intention des concepteurs de l'émission et de ceux qui filmaient ces jeunes n'était évidemment pas objective; il s'agissait de mettre en évidence leurs côtés naïfs, parfois un peu ridicules ou même assez peu supportables. Mais il n'empêche que cela suscite des interrogations sur la pertinence de certains moyens utilisés, de certaines démarches effectuées... Peut-on forcer quelqu'un à accepter de recevoir un chapelet? Peut-on împoser des témoignages et des chants aux passagers d'une rame de métro? Peut-on tenter de "récupérer"  en les forçant quelque peu les propos d'un SDF? Autant de questions qui viennent à l'esprit devant cette façon de concevoir la "nouvelle évangélisation". On souhaiterait plus d'intelligence et de réflexion, moins de démonstrations susceptibles de susciter l'agacement et, in fine, de détourner les gens qui hausseront les épaules plutôt que de les séduire...

  • Vous y comprenez quelque chose, vous?

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    Le charabia pédagogique des programmes de religion :

    "Le fait que le programme de religion catholique du secondaire mentionne à la fois des compétences terminales et des compétences disciplinaires est parfois source d'ambiguïtés : Lesquelles prendre en compte? Lesquelles évaluer et comment? "S'ouvrir à la culture" et "Connaître le christianisme" relève-t-il bien d'une compétence? etc. La terminologie "compétence terminale" est en fait peu pertinente : les compétences à exercer dans des séquences de cours et à évaluer au terme de celles-ci sont bien les compétences DISCIPLINAIRES. Les compétences terminales sont autant d'étapes, de balises, de phases dans le parcours pédagogique. Elles correspondent à la démarche scientifique que l'on retrouve dans bien d'autres cours (poser une question-problème ; se documenter pour y répondre ; synthétiser sa recherche et en communiquer le résultat) et sont présentées ici sous forme de "familles de tâches".

    Il s'agit de clarifier la distinction entre compétences terminales et compétences disciplinaires..."

    sur Enseignons.be

  • Madrid - JMJ 2011

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    JMJ 2011 Madrid
    envoyé par jmj2011madrid. - Regardez les vidéos des stars du web.

  • "Radio Etincelle" : quand des jeunes créent une webradio

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    Radio-Etince_article.jpg

    A Strasbourg, des jeunes créent une webradio http://www.radioetincelle.fr/ et la présentent ainsi sur facebook

    "Radio Etincelle, 1ère Radio des Jeunes Chrétiens!!!!!

    Dans le paysage radiophonique actuel, nous pouvons voir très peu de radios chrétiennes proposant des programmes pour les jeunes et celles qui le font proposent quelques programmes seulement ...

    Le projet de "Radio Etincelle" est justement de faire une radio Chrétienne avec un format totalement jeune !!!!

    Benoît XVI nous disait :
    « Chers jeunes du troisième millénaire, tel doit être votre programme ! Il est urgent que se lève une nouvelle génération d’apôtres enracinés dans la parole du Christ, capables de répondre aux défis de notre temps et prêts à répandre partout l’Evangile »

    De plus c'est à nous jeunes d'évangéliser par les nouvelles technologies.

    Envie de nous encourager pour ce projet ?
    De vivre sa foi de Jeune Chrétien ?
    Fan de Radio Etincelle ?

    Rejoins nous dans ce groupe et soutiens nous !!!!
    N'hésite pas à en parler autour de toi et de porter ce projet dans la prière."

    Voir aussi cet article dans "La Croix"

  • JMJ : ils "boostent" leur foi en 2CV

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    phpThumb_generated_thumbnailjpg.jpg"En août, des Hutois prendront le volant de 2CV relookées. Direction les JMJ de Madrid. Un projet à la fois spirituel et caritatif.

    Ils sont jeunes, chrétiens et pas ringards du tout Pour montrer que la religion catholique a encore un sens, pour battre en brèche les clichés de l’Église, douze Hutois âgés de 17 à 22 ans mèneront un projet original à l’occasion des Journées mondiales de la jeunesse de Madrid. Début août, la fine équipe embarquera à bord de trois 2CV relookées pour rallier Madrid, en passant par trois autres étapes "symboliques" : Taizé, Lourdes et Leon, soit un périple de 2900 km. Une manière de "booster" leur foi, de se ressourcer mais aussi de vivre une expérience drôle et enrichissante

    Partout où ils passeront, partout où on leur prêtera une oreille attentive, ils expliqueront leur démarche. "On veut mettre à mal les préjugés sur l’Église. Oui, il y a encore des jeunes chrétiens. Et ce ne sont ni des marginaux, ni des ringards mais des personnes actives, intégrées, qui savent s’amuser, bref, des jeunes comme tout le monde", insiste Pierre-Louis François, un des initiateurs du projet. Parler, témoigner, débattre, oui mais pas question pour autant de prêcher, ni d’évangéliser. "L’objectif est de montrer une autre image de l’Église, une sorte de contre-pub par rapport aux dernières actualités", enchérit Guillaume. Les participants, croyants, n’ont d’ailleurs pas tous la même vision de la foi. "Chacun croit à son niveau. Et on ne va pas tous à la messe". En plus d’une démarche spirituelle, le projet a aussi une vocation caritative. Trois institutions locales parrainent la démarche et recevront les bénéfices de la revente des trois voitures, une fois les douze jeunes de retour des JMJ. "On a ciblé des ASBL locales dans des secteurs divers : La Pommeraie à Tihange, un centre pour personnes handicapées, l’école Sainte-Claire de Huy et les Sœurs de Sainte-Marie à Namur".

    L’idée a été lancée par Eric Ndeze, jeune vicaire de la paroisse de la Sarte à Huy, et Pierre-Louis François. "Au départ, nous voulions vivre une expérience d’équipe, travailler avec d’autres jeunes sur un même projet, avec un maximum d’ouverture", explique ce dernier. Via le bouche à oreille, l’équipe s’est rapidement formée. Et le projet s’est concrétisé Depuis six mois, Eric, Pierre-Louis, Guillaume, Maxandre, Florence, Sophie, Claire, Hudo, Florine et Jessica sont sur les chapeaux de roue pour finaliser les préparatifs. "On ne pense plus qu’à ça !", insistent-ils. Le premier défi fut de taille : dénicher des 2CV d’occasion, pas trop chères, vu le budget serré. Mais leurs efforts ont payé. À force de sillonner les garages automobiles et les sites Internet, de multiplier les contacts, d’écumer les petites annonces, ils sont aujourd’hui propriétaires de deux 2CV qu’ils s’attellent à retaper, relooker, immatriculer, assurer "On veut un bolide tape-à-l’œil, kitsch, avec notre logo, pour montrer que c’est un projet fun !". Reste à trouver le troisième véhicule et à rassembler un maximum de pièces de rechange. "Oui, on s’attend à des pannes", sourit Pierre-Louis. Pour le reste, tout est prévu : les escales, l’itinéraire (par les petites routes), la voiture-balai pour charger les bagages et les pièces de rechange, la localisation des garages en cas de problème technique

    Tout un travail de sponsoring et d’appel aux dons fut également nécessaire. Sur les 12000 euros budgétisés, il leur en manque à ce jour 5000. "Mais on espère que les gens vont encore se manifester. Nous organiserons aussi un souper à Pâques". En attendant le départ, le 7 août, les jeunes ne comptent pas se croiser les bras. Dès que les 2CV seront opérationnelles, ils les feront parader dans le centre-ville de Huy, sur la grand-place. "Pour interpeller, susciter le dialogue, expliquer le projet".

    Sabine Lourtie

    Mis en ligne le 22/02/2011

  • Cours de religion : où en est-on ?

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    L'an dernier (19 mai 2010), Mgr Léonard déclarait :

    "Comme les autres évêques, j'ai accepté les différents programmes de cours de religion enseignés dans les écoles. Ceux-ci conçoivent, à juste titre, le cours de religion comme un cours qui s'enseigne à des élèves et non comme un catéchisme qui vise à renforcer la foi de jeunes croyants. Ces programmes invitent l'enseignant à faire le lien entre le cours et la vie concrète des élèves, mais requièrent également que lui soient enseignées - comme dans tous les autres cours - une série de données objectives sur la religion catholique, tels la Bible, la vie et le message de Jésus, l'histoire et l'organisation de l'Eglise,.... Dans une société multiculturelle, où même de nombreux élèves baptisés ne fréquentent plus les paroisses, ce cours n'en est que plus utile pour ceux qui ont choisi de le suivre dans l'enseignement officiel ou qui ont fait le choix d'une école catholique. Il donne, en effet, à l'élève de découvrir intellectuellement le message chrétien dans le respect de ses convictions intimes...."

    Où en est-on aujourd'hui? Ces "données objectives" sont-elles réellement enseignées? Il serait temps qu'un audit sur l'enseignement de la religion soit correctement effectué parce que, ce qui saute aux yeux, c'est l'absence de connaissances un tant soit peu rigoureuses sur des notions telles que les sacrements, l'Incarnation, la Rédemption, le Salut, etc. (Ne parlons pas des structures de l'Eglise où les élèves ignorent tout ou presque!) Il est vrai que les connaissances comptent pour peu dans la pédagogie nouvelle où l'on préfère disserter à perte de vue sur les compétences. Comme si la méthodologie était une fin en soi et les contenus comptaient pour presque rien...

  • Quand on réduit les enfants à la condition de "produits"

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    par Carlo Bellieni dans la Bussola Quotidiana du 21-02-2011

    Emma-Marrone-FG.jpgCombien de fois ne répète-t-on pas que, malheureusement, les enfants ne sont plus des enfants mais des « objets », et que l’imaginaire de nos adolescents est traversé par le sentiment d’être le résultat d'un « choix », d'un « droit », un « produit ». Une nouvelle preuve, s’il en était besoin, a été donnée par la jeune chanteuse Emma (lauréate aux Amici et deuxième prix au festival de San Remo) dans une interview accordée à « Anno Zero » du 17 février.

    La jeune fille répond à l’interviewer: “Cela fait trop longtemps que je me sens traitée comme un « produit », un produit de la télévision. Je ne suis le produit de personne, je suis le produit de mes parents.” Certes, la jeune chanteuse a voulu exprimer ainsi son affection à l’égard de ses parents, mais ce lapsus est intéressant, comme les mots dont nous usons spontanément révèlent ce que nous avons assimilé. Dans la jeune génération actuelle court ce concept selon lequel: “l’enfant est en soi une sorte d'investissement. Il se définit aussi comme un "produit (de la conception)", "un droit (du couple)".” (Journal of Medicine and the Person, décembre, 2007).

    Ce n’est pas bon signe
    , parce que cela introduit dans l’idée de ce qu’est un enfant une dimension de production, que nous aurions préféré voir appliquer aux véhicules ou aux ordinateurs. Il est vrai qu’en lisant bien cette interview, elle révèle d’autres traits intéressants, ainsi quand elle explique que sa mère “déambulait avec des chaussures déglinguées plutôt que de me laisser aller avec des manuels usagés ”. Et ceci aussi, loin de formuler un jugement sur cette jeune fille ou sur les jeunes en général, en dit long sur la façon dont a évolué le monde des adolescents: à mon époque, acheter des livres usagés n’était pas un déshonneur mais aujourd’hui, il semble que ça le soit. Aujourd’hui, circuler sans avoir le sac à la mode ou les jeans de marque est inconcevable alors qu’avant celui qui pouvait circuler ainsi était l’exception. (...) Et cela ne pèse pas seulement sur le budget des familles, mais c’est devenu un tel impératif profondément ancré dans les foyers qu’on en arrive à faire des sacrifices pour le superflu des enfants, de façon à ce qu’ils puissent « paraître », et parce qu’il ne conviendrait pas qu’ils aient à rougir de se trimballer avec des livres usagés.


    Comme il est clair que le tort fait à cette génération est l’œuvre de la génération précédente, et encore davantage de la génération antérieure, celle de ‘68 qui leur a fait croire que la vie n’a de valeur qu’à certaines conditions, les convainquant d’être des produits qui faute d'être performants seraient le plus souvent bons à renvoyer à l’expéditeur! Tout le reste, y compris la pornographie dans les rapports, n’en est qu’une conséquence. Les médias sont bien peu crédibles quand ils se font aujourd’hui les nouveaux champions de la pudeur et de la décence, sortant subitement de leur sommeil, et faisant comme si l’outrage à la décence n’était pas évident et manifeste depuis tant d’années! Et qu’il soit bien clair qu'il ne s'agit pas le moins du monde d'excuser de quelque façon que ce soit ceux qui défrayent actuellement la chronique.