Vu sur le site du petit Placide :
Ref. Messe de la Nativité
Une liturgie qui nous parle. A Poutine aussi, semble-t-il.
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Vu sur le site du petit Placide :
Ref. Messe de la Nativité
Une liturgie qui nous parle. A Poutine aussi, semble-t-il.
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ORDRE MILITAIRE ET HOSPITALIER DE SAINT LAZARE DE JERUSALEM
SOUS LA PROTECTION TEMPORELLE DE LA MAISON ROYALE DE FRANCE - CHAPELAIN GENERAL, SON EMINENCE LE CARDINAL DOMINIQUE DUKA
50EME GRAND-MAITRE, SON EXCELLENCE LE COMTE DOBRZENSKÝ Z DOBRZENICZ
GRAND PRIEURE DU ROYAUME DE BELGIQUE ET DU GRAND-DUCHE DE LUXEMBOURG
Ce samedi 16 janvier 2016 aura lieu au Couvent de Maleizen*, la fête de la Saint Lazare.
L’ordre de Saint Lazare est une association existant dans 23 pays et dont les actions caritatives se déploient aussi bien en Belgique qu’à l’international.
Voir aussi : http://www.belgicatho.be/archive/2014/05/02/l-ordre-militaire-et-hospitalier-de-saint-lazare-de-jerusale-5360420.html
Les personnes qui souhaiteraient faire connaissance avec l’Ordre sont les bienvenues à la messe ainsi qu’au déjeuner :
Afin de préparer au mieux cette magnifique journée, voudriez-vous bien réserver votre participation au plus tard pour le jeudi 14 janvier 2016 à midi soit par mail à saintlazarebelgique@skynet.be ou par téléphone au 0494/300.886.
Le paiement s’effectuera sur le compte du Grand Prieuré : BE57 3631 4483 0235 BIC : BBRUBEBB
Tout renseignement complémentaire au numéro de téléphone ci-dessus.
*Couvent de Maleizen, Terhulpensesteenweg, 708 – 3090 Maleizen/Overijse
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Le samedi 9 janvier prochain, aura lieu la Fête traditionnelle de l’Epiphanie organisée à Liège en l’église du Saint-Sacrement, boulevard d’Avroy, 132 (face à la statue équestre de Charlemagne). Il s’agit d’une fête familiale, avec la procession à la crèche avant la messe, le partage de la galette des rois et l’échange des vœux pour l’an nouveau au cours d’une réception ouverte à tous .
Deux excellentes chorales polyphoniques animeront cette fête : la « Magnanarelle » et l’Ensemble « Praeludium ».
À 16h30, un petit prélude concertant nous permettra d’entendre les chants de la « messe du millénaire
de la collégiale Saint-Barthélemy » interprétés par la Magnanarelle sous la direction du compositeur : Ghislain Zeevaert.
Les voix de l’Ensemble « Praeludium » (dir. P. Wilwerth) suivront avec des psalmodies hébraïques ainsi que des œuvres composées pour la liturgie slavone et, à 17h00, la messe de l’épiphanie sera célébrée (missel de 1962) avec le concours des mêmes chanteurs, tous issus de nos conservatoires ou académies de musique .
Le Kyriale de la célébration sera celui de la messe Litanies d’Oksana. Au programme également, outre le propre grégorien, des œuvres de Piotr Ilitch Tchaïkovski, Tomás-Luis de Victoria, Padre Madina, Ghislain Zeevaert et Patrick Wilwerth. A l’orgue Thomas du Saint-Sacrement : Patrick Wilwerth, professeur au conservatoire de Verviers. Photo ci-contre.
Cette initiative conviviale se veut aussi une contribution au développement d’une musique liturgique de qualité : la découverte mérite le détour.
Entrée libre. Renseignements : 04.344.10.89 -
E-mail :sursumcorda@skynet.be Site web : http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com
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O Magnum Mysterium (Tomas-Luis da Victoria)
Divine Liturgie: Dostojno jest
De "Paix Liturgique" :
| LE CARDINAL SARAH PLAIDE POUR UNE ÉDUCATION LITURGIQUE SÉRIEUSE |
| Dans un très intéressant entretien donné au vaticaniste allemand Armin Schwibach pour l’agence kath.net et publié début décembre 2015, le cardinal Robert Sarah, Préfet de la Congrégation pour le Culte divin et la Discipline des sacrements, est revenu sur l’importance de la liturgie dans la vie chrétienne. Nous vous proposons notre traduction des passages concernés en vous invitant à lire le reste du texte (ici en allemand, ici en italien) dans lequel le cardinal s’exprime sur la menace islamiste, l’apostasie silencieuse de l’Europe, le Synode des évêques et l’indissolubilité du mariage sacramentel. (...) 1) Redécouvrir l’inestimable valeur de notre baptême La liturgie est par elle-même source et sommet de la vie chrétienne et ce bien au-delà de toute catéchèse. Toutefois, il est exact qu’il y a la nécessité d’une formation liturgique ayant pour objet une plus profonde compréhension des sacrements. Il est vital et urgent pour l’homme de renouer des relations personnelles et intimes avec Dieu à travers une vraie et intense vie liturgique et sacramentelle. Aujourd’hui comme jamais le chrétien a un profond besoin de redécouvrir l’inestimable valeur de son baptême, de l’Eucharistie, de l’humble confession de ses péchés. Pour cette raison, on a besoin d’une initiation chrétienne pour aider les baptisés à faire de la beauté de leur rencontre personnelle avec Dieu dans la prière et de l’adoration le sens ultime de leur vie. 2) Notre plénitude est en Dieu Nous avons été créés pour aimer, prier et adorer Dieu. C’est quand l’homme se met à genoux devant Dieu , qu’il atteint le plus haut degré de l’existence. La liturgie vécue avec piété et sacralité, foi et amour, nous porte à la plénitude en Dieu. Quand l’homme ne ressent plus Dieu, la vie devient vide. On peut la remplir par des richesses matérielles – argent, loisir, sexe – mais cela reste insuffisant. 3) Respecter le silence sacré Comme l’affirmait le Pape émérite Benoît XVI, la racine des manquements en matière de liturgie tient à un problème de foi. Sans une claire ecclésiologie eucharistique et une christologie centrée sur la Sainte Messe, il est inutile de parler de « réforme de la réforme ». La vraie réforme se fera seulement à travers une éducation liturgique sérieuse qui aura pour objet, comme je l’ai déjà expliqué, la redécouverte de ce que le Concile nous a légué. Un exemple parmi d’autres serait le respect du « silence sacré » dans la liturgie. Il y a tant de moments de silence prévu par la liturgie pour être des moments privilégiés pour prier et faire l’expérience de la présence du Seigneur mais qui, bien des fois, faute d’en comprendre la valeur, sont délaissés au risque de nous détourner de la contemplation du ciel qui est un élément essentiel de la liturgie de l’Église. 4) L’amour et l’unité En ce qui concerne les abus, les fidèles sont appelés avant tout à tenter de se confronter avec leur curé, y compris en priant pour lui. Ensuite, si celui-ci s’entête et renouvelle l’abus, les fidèles sont invités à en faire part à leur évêque. Celui-ci, une fois l’abus constaté, est tenu de corriger le prêtre mis en cause, en lui rappelant avec fermeté que « le droit de régler l’organisation de la liturgie dépend uniquement de l’autorité de l’Église ; il appartient au Siège apostolique et, selon les règles du droit, à l’évêque. […] C’est pourquoi absolument personne d’autre, même prêtre, ne peut, de son propre chef, ajouter, enlever ou changer quoi que ce soit dans la liturgie. » (SC n° 22) Tout ceci, cependant, devant se faire en ayant à cœur la finalité de la liturgie et de l’Église elle-même : l’amour et l’unité. |
Dans la liturgie traditionnelle, on célèbre, ce dimanche 3 janvier, la fête du Saint Nom de Jésus dont est tirée cette hymne célèbre : "Jesu Dulcis Memoria", ici chantée par les chœurs de la chapelle sixtine en 2010… avec la « participatio actuosa » du Saint-Père Benoît XVI . Le texte de cette hymne est attribué à Saint Bernard de Claivaux (1090-1153).
Voici les strophes habituellement chantées (mais il peut-y en avoir jusqu'à 53...)
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Iesu, dulcis memória, |
Jésus ! Nom de douce souvenance, |
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Nil cánitur suávius, |
Nul chant plus mélodieux, |
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Iesu, spes pœniténtibus, |
Jésus ! espoir des pénitents, |
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Nec lingua valet dícere, |
Ni la langue ne saurait dire, |
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Sis, Iesu, nostrum gáudium, |
Soyez notre joie, ô Jésus, |
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Vendredi 25 décembre 2015

10h00, messe en latin (missel de 1962)
Chants grégoriens: kyriale de la Missa « Cum Jubilo », propre de la messe du jour de Noël.
Chants Vieux Romains: introït « Puer natus est » et communion «Viderunt omnes » (manuscrits du XIIe s.)
Motets polyphoniques anciens: « Gaudens in Domino » (conduit du XIIIe s), « Magnum Nomen Domini » (invitatoire de Noël), Adeste fideles (hymne du XVIIe s.)
A l’orgue, Patrick Wilwerth, professeur au conservatoire de Verviers
Puer natus est ( vieux romain, ms. XIIe s.)
invitatoire "Magnum Nomen Domini Emmanuel"
11h15, messe en français (missel de 1970)
Chants grégoriens (Messe des anges)
Noëls populaires : « les anges dans nos campagnes », « il est né le divin enfant », hymne « adeste fideles »
A l’orgue, Mutien-Omer Houziaux, (titulaire ém. des orgues de la cathédrale de Liège) et au violoncelle, Octavian Morea (orchestre philharmonique de Liège)
adeste fideles
Plus de renseignements sur le site web :
De Metablog (abbé Guillaume de Tanoüarn) :
Vu sur le site de « Famille chrétienne » :
Le Jubilé de la Miséricorde coïncide avec le dixième anniversaire de la communauté fondée par l’abbé Loiseau dans le diocèse de Fréjus-Toulon. Une très belle vidéo a été réalisée à cette occasion par les missionnaires pour (re)découvrir son triple charisme : miséricorde, adoration et messe sous la forme extraordinaire, mission.
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Lu sur le site « aleteia » :
« Le père Guy Gilbert a recueilli le consentement du chanteur belge Stromae et de sa compagne, la styliste Coralie Barbier, près d'Anvers en Belgique, au cours d'une célébration discrète et familiale.
Le célébrissime chanteur belge, Stromae, qui ne fait pas mystère de sa foi catholique, a convolé en juste noce ce samedi 12 décembre avec sa compagne et styliste personnelle, Coralie Barber. Après une tournée mondiale, le couple s’est uni à Anvers au cours d’une cérémonie présidée par le « curé des loubards », le père Guy Gilbert. Il y a quelques années, l’artiste avait confié sans complexe se sentir catholique : « Moi je suis très tradition, fidélité, tout ça… Par mon éducation, je crois que je suis hyper catho », avait-il affirmé au quotidien Libération, c’est donc sans surprise que le chanteur a célébré son mariage lors d’une cérémonie à l’église en bonne et due forme.
Une ancienne église pour réunir les convives
Le mariage entre Paul Van Haver, le vrai nom de la star, et Coralie Barbier, a eu lieu en présence d’environ 180 invités, qui ont tous été logés non loin, dans une ancienne église transformée depuis 2009 en hôtel quatre étoiles : le Martin’s Patterhof à Malines, aux portes de Bruxelles […]
Ref. Le mariage de Stromae célébré par le « curé des loubards »
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Cher Frères et Soeurs,
À partir de ce 8 décembre, le pape François nous invite à célébrer un jubilé de la miséricorde. Un jubilé, d’après la Bible, cela se célèbre tous les 50 ans. Mais le pape François a décidé de ne pas attendre l’année 2050 ! Pourquoi ? C’est qu’il veut nous partager une intuition qui lui tient à coeur : la miséricorde !
Qu’est-ce que la miséricorde ? Quand on s’écrie : « Miséricorde ! », cela signifie qu’on demande pitié dans une situation désespérée. On pourrait en déduire que l’année de la miséricorde se limite à considérer des cas désespérés… Est-ce bien ce que veut le pape ?
Non, certainement pas ! Qu’est-ce qui caractérise alors la miséricorde par rapport à l’amour en général ? C’est que la miséricorde concerne toujours une personne fragile ; c’est une démarche d’amour pour la personne faible. Le mot « miséri-corde » évoque le coeur sensible à la misère. Dans la Bible la miséricorde a trois destinataires : la personne souffrante ; celle qui cherche l’amitié ; et celle qui est dans la faute. Suivant ces trois cas, on pourrait traduire miséricorde par compassion, amour fidèle, et clémence ou pitié.
Cette triple approche est complémentaire : la première insiste sur la dimension instantanée et sur le sentiment vécu concrètement et physiquement ; la seconde insiste sur la dimension historique et sur la relation qui se construit dans le temps et la fidélité ; la troisième insiste sur l’amour qui est clément face aux situations irrégulières ou difficiles. Dès lors la « miséricorde » doit être comprise à la fois comme un sentiment instantané, un amour dans la durée, une clémence face aux irrégularités et aux ruptures.
Pour participer à l’année de la miséricorde, le pape nous propose de passer par une porte sainte. En effet, dans chaque diocèse, certaines églises sont désignées comme sanctuaire du jubilé et dans chacune on trouvera une porte sainte. Dans notre diocèse neuf églises sont désignées comme sanctuaires du jubilé : la cathédrale et S.-Denis à Liège, la cathédrale de Malmedy, les sanctuaires mariaux de Banneux et Moresnet, la grotte du Petit-Lourdes à Bassenge, l’église Notre-Dame de la Miséricorde (ou des récollets) à Verviers, la collégiale de Huy et l’église décanale de Saint-Vith.
Une porte est faite pour entrer et pour sortir. Commençons par entrer ! Rencontrons Dieu qui nous attend dans ce lieu. Découvrons sa miséricorde envers nous. « Il se sent responsable, c’est-à-dire qu’il veut notre bien et il veut nous voir heureux, remplis de joie et de paix », nous dit le pape François (Misericordiae Vultus, 9). C’est une source de joie en effet de se savoir aimé par quelqu’un. C’est une source de joie pour nous de nous savoir aimés par Dieu lui-même, dans nos souffrances, dans notre besoin d’affection et même dans nos fautes. Présentons-lui notre faiblesse, demandons-lui son pardon, recevons son amour en communiant au corps de son fils Jésus, pour qu’il nous réconcilie avec lui, avec les autres et avec nous-mêmes. Nous vivrons ainsi l’indulgence du jubilé, la libération de nos fautes et de leurs conséquences, nous aurons la conscience purifiée qui nous ouvre la voie de la vie éternelle.
Et ensuite, sortons par la porte et parcourons le monde. « Soyez miséricordieux comme le Père est miséricordieux » (Lc 6,36), nous dit Jésus et nous rappelle le pape François. Pour celui-ci, la miséricorde est une clé du renouvellement du monde, car elle nous pousse à aimer au-delà des conventions et des habitudes. C’est aimer quelqu’un même s’il est dans une situation irrégulière ou mal vue, dans une situation de douleur ou de faiblesse. Cela demande une audace. Cet amour invite au pardon et à la réconciliation. C’est pourquoi dans l’année du jubilé, d’après la Bible, il faut remettre les dettes et libérer les esclaves. C’est un programme qui est toujours d’actualité. Il y a des gens qui sont prisonniers de leurs dettes ou de leurs faiblesses. Il y a dans le monde des milliers de personnes qui sont esclaves, c’est-à-dire victimes : esclaves de l’injustice, victimes de la guerre, victimes des changements climatiques, victimes de violences sexuelles, victimes de mépris racistes, victimes de la drogue, victimes de la richesse, victimes de la recherche du plaisir immédiat, victimes de l’ignorance, victimes de l’absence de spiritualité. Le Seigneur nous invite à aimer jusqu’à agir pour libérer l’esclave et pour remettre les dettes qu’on nous doit. Ce sont des oeuvres de miséricorde, des engagements concrets que nous sommes invités à prendre pour rendre le monde meilleur et ouvrir la porte à l’action de Dieu dans notre monde. En agissant dans le sens de la miséricorde, nous ouvrons à Dieu la porte sainte du monde, la porte sainte de tous les cœurs
humains. Épaulons le pape François dans la mission de miséricorde qu’il propose à tous !
Je vous invite donc à vous associer à l’ouverture du jubilé dans notre diocèse. Celle-ci aura lieu par l’ouverture de la porte sainte : le 13 décembre à la cathédrale de Liège, et le 20 décembre dans les églises jubilaires. Un petit livret du pèlerin est à votre disposition dans ces sanctuaires et à Siloë. Soyez donc des pèlerins du jubilé de la miséricorde. Vous avez un an pour faire la démarche ; différents rendez-vous spirituels vous seront proposés ; n’attendez pas le dernier moment pour y participer !
Liège, ce 8 décembre 2015
Votre évêque
+ Jean-Pierre Delville
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Eglise du Saint-Sacrement
Bd d’Avroy, 132 à Liège
Mardi 8 décembre 2015
Ouverture de l’année jubilaire de la Miséricorde
En la fête de l’Immaculée Conception
Horaires
Adoration de l’Eucharistie miséricordieuse

choeur de l'église du saint-sacrement: la vision de sainte Julienne de Cornillon
(huile s/toile, Isidore Lecrenier, 1821-1899)
►17h00 : Vêpres grégoriennes
►17h45 : Lecture de l’évangile du jour, suivie du chant de l’Anima Christi
►18h00 : Chapelet
►18h30 : Chant eucharistique suivi des litanies du Sacré-Cœur et de la prière d’offrande de sainte Thérèse de Lisieux
►18h45 : Bénédiction du Saint-Sacrement suivie de l’Angelus et du chant de l’Alma Redemptoris Mater
Confessions

confessionnal droit: le Bon Pasteur
(huile s/toile, Isidore Lecrenier, 1821-1899)
► De 17h00 à 18h45, un prêtre à votre disposition pour recevoir le sacrement du pardon et de la réconciliation.
Renseignements: tel. secrétariat 04.344.10.89 ou email sursumcorda@skynet.be
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