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liturgie - Page 130

  • Et dire qu'il aura fallu tout rendre compréhensible pour qu'on n'y comprenne plus rien...

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    Lu sur diakonos.be :

    Il aura fallu tout rendre compréhensible pour qu’on n’y comprenne plus rien
    De la messe au catéchisme

    Je réfléchissais, tout en parlant à un ami prêtre, au fait que « nous n’avons jamais eu des fidèles « aussi ignorants» que depuis que tout dans la messe est devenu « compréhensible » et même la pastorale « adulte » frise l’infantilisme.

    Il aura fallu attendre que la messe soit dite dans notre langue pour que nous n’y comprenions plus rien. Il aura fallu attendre « la participation » pour devenir mentalement passifs malgré notre hyperactivité physique. Nous en sommes arrivés au point que la Présence réelle sur l’autel en est réduite à une simple abstraction : souvent les fidèles n’en sont plus conscients et le clergé, de son côté, ne manifeste que de l’indifférence, quand ce n’est pas du scepticisme. Tous sont cependant unanimes sur le fait qu’il ne s’agisse que d’un symbole.

    Pourtant, nos grand-mères n’étaient pas ainsi. Nos grand-mères ne savaient souvent ni lire ni écrire, elles ne connaissaient ni le latin ni même l’italien et pourtant elles comprenaient et connaissaient non pas tout ce qu’il y avait à savoir mais l’Essentiel.

    Vous voyez, ma grand-mère est née dans le Sud profond de l’Italie en 1909, dans un village ravagé par la misère où le taux d’analphabétisme atteignait les 99%. Les gens avaient faim. Elle était déjà vieille quand je suis venu au monde.

    Quelques jours avant ma confirmation (et il en alla de même pour ma première communion), elle m’appela et, tout comme elle l’avait fait avec ses propres enfants, me fixa avec un regard remplie d’une ironie bienveillante mais sérieuse et pleine de fierté et elle m’expliqua ce que j’allais faire, en quelques mots : « Maintenant, tu vas devenir un chrétien accompli ».

    D’un seul coup, je compris tout et je restai pétrifié en me rendant compte qu’après tant d’années de catéchisme, j’étais arrivé à la veille de ma confirmation sans savoir exactement ce que je faisais, ce que tout cela signifiait. Parce que personne n’avait été capable de me le transmettre.

    Ma grand-mère, en revanche, qui n’avait aucune culture et qui avait appris tout ce qu’elle savait de sa propre grand-mère, « a dottrina » comme on appelait le catéchisme d’autrefois. Elle me transmettait ce qu’on lui avait transmis. Je ne l’ai jamais oublié.

    N’avait-il pas raison, ce cardinal de Munich qui succéda à Ratzinger quand il disait que le drame de l’Eglise, c’était la disparition « des grand-mères » qui transmettaient à leurs petits-enfants ce qu’elles-mêmes avaient reçu ?

    Un article d’Antonio Margheriti Mastino publié sur sa page Facebook et traduit de l’italien par Diaokonos.be avec son autorisation.

  • L’archidiocèse de Malines-Bruxelles rend hommage à Monseigneur Léonard et accueille son successeur

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    Voici quelques célébrations prévues à l'occasion du départ de Mgr A.-J. Léonard et de l'arrivée de son successeur, Mgr J. De Kesel, ainsi que de l'ouverture des Portes Saintes en ce début d'année jubilaire. 

    L' archidiocèse rendra grâces pour le ministère épiscopal de Mgr Léonard:

    - le dimanche 29 novembre à 16h en la cathédrale Saint-Rombaut à Malines,
    - le samedi 5 décembre à 17h en Saint-Michiel et Gudule à Bruxelles,
    - le dimanche 6 décembre à 10h en la basilique nationale de Koekelberg,
    - et le dimanche 6 décembre à 15h à Nivelles en la Collégiale Sainte-Gertrude. 

    Mgr De Kesel prendra possession de son siège épiscopal en la cathédrale métropolitaine de S. Rombaut à Malines, le samedi 12 décembre à 15h.

    La Porte Sainte de la basilique du S. Coeur à Koekelberg sera ouverte solennellement le dimanche 13 décembre à 10h lors d'une Eucharistie présidée par Mgr J. Kockerols, évêque auxiliaire pour Bruxelles. 

    Mgr De Kesel sera accueilli à Bruxelles le dimanche 13 décembre à 16h à la cathédrale des SS. Michel et Gudule lors d'une Eucharistie solennelle qu'il présidera et au cours de laquelle il ouvrira la Porte Sainte.

    Pour rappel :

     Accueillir un nouvel archevêque et primat, c'est aussi l'occasion d'en remercier et saluer un autre. 

    Des amis mettent en ligne ce livre d'or dans lequel vous pouvez exprimer vos remerciements à Monseigneur Léonard pour tout ce qu'il a fait pour nous, pour l'Église, pour la Belgique. N'hésitez pas à le signer et le partager !

    Il sera transmis à Monseigneur Léonard.

    Un clic et une petite dédicace ci-dessous

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  • Communauté Saint-Martin : une réponse à la crise des vocations ?

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    3905715701.gifC’est un heureux hasard du calendrier. L’Année de la miséricorde, qui se déroulera dans tous les diocèses du 8 décembre 2015 au 20 novembre 2016, sera placée à Tours sous le patronage bienfaiteur de saint Martin (fêté le 11 novembre) dont le jubilé démarre mardi 10 novembre et durera jusqu’au 4 juillet 2017. Cette année martinienne veut marquer le 1 700e anniversaire de la naissance de ce grand évangélisateur, ancien légionnaire devenu évêque de Tours, qu’il gagna à pied depuis sa Hongrie natale, Le jubilé martinien est l'occasion pour la Communauté Saint-Martin, née il y a quarante ans, de préciser sa spiritualité. En revenant à sa source: la charité sacerdotale. Entretien d’Aymeric Pourbaix  avec Don Paul Préaux, supérieur de la Communauté.

     

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    Lu dans « Famille chrétienne » :

    Que dirait saint Martin aux prêtres d’aujourd’hui?

    Que le grand danger qui menace leur vie est l’activisme ! Je n’existe qu’à travers ce que je fais, et je m’active – souvent bruyamment – afin de recevoir quelques gouttes de reconnaissance. Saint Martin nous apprend que ce qui est premier, c’est l’enracinement en Dieu. Ce qui est premier, c’est « être avec le Christ » (esse cum Christo). La vie apostolique est un débordement de ce trop-plein d’amour de Dieu en nous.

    Rien de nouveau ! Il nous redirait ce que les papes ne cessent de nous répéter : «Ne nous laissons pas prendre par la précipitation, comme si le temps consacré au Christ dans une prière silencieuse était du temps perdu. C’est précisément là, en revanche, que naissent les fruits les plus merveilleux du service pastoral» (Benoît XVI, Rencontre avec le clergé polonais, 2006).

    «On ne demande pas au prêtre d’être expert en économie, en construction ou en politique. On attend de lui qu’il soit expert dans la vie spirituelle.» (ibid.).

    Lire la suite

  • 2017 : qu’est-ce qui va changer dans les textes de la messe en français ? Précisions

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    Lors de leur prochaine Assemblée de printemps, les évêques de France auront à dire oui ou non à ce texte qui sera soumis à la reconnaissance romaine. Le nouveau Missel pourrait ainsi entrer en vigueur dans les paroisses au premier dimanche de Carême 2017.Quels seront les changements ? Lu sur le site Pro Liturgia :  

    « C’est dans l’ordinaire de la messe que les changements seront les plus perceptibles. Dans le “Je confesse à Dieu”, le “Oui, j’ai vraiment péché” sera remplacé par “C’est ma faute, c’est ma faute, c’est ma très grande faute”. Dans le “Credo”, on devrait assister au retour du “consubstantiel” plutôt que “de même nature”. La prière sur les offrandes : “Prions ensemble, au moment d’offrir le sacrifice de toute l’Eglise. Pour la gloire de Dieu et le salut du monde” fera place à une formulation plus proche du texte latin qui est un véritable condensé théologique sur le sens de l’Eucharistie : “Priez mes frères afin que ce sacrifice qui est aussi le vôtre soit agréé par Dieu le Père tout-puissant. Que le Seigneur reçoive de vos mains ce sacrifice à la gloire de son nom. Pour notre bien et celui de toute Sa Sainte Eglise.”
    Quant à la sixième demande du Notre Père, elle deviendra “Et ne nous laisse pas entrer en tentation”. A la suite de la nouvelle traduction liturgique de la Bible, de nombreux fidèles avaient en effet exprimé aux évêques de France leur malaise face à l’ancienne traduction (“ne nous soumets pas…”) qui, sans être théologiquement fausse, donnait l’image d’un Dieu qui tente lui-même les fidèles. Précisons que toutes ces modifications vont totalement dans le sens des demandes que notre Association Pro Liturgia avait adressées à Rome. Nous avions aussi demandé que soit rétablies la formule “Gloire à Dieu au plus haut des cieux, et paix
     aux hommes de bonne volonté” (à la place des “hommes qu'il aime”) ainsi que la formule “... mais dis seulement une parole et mon âme sera guérie” (à la place du très vague “et je serai guéri”. 
    Reste à savoir si le nouveau missel sera mieux suivi que l’actuel. On peut sérieusement en douter quand on sait que bien des mauvaises habitudes - dont celle de ne jamais suivre exactement le missel - sont désormais solidement ancrées dans les liturgies paroissiales. A moins que nos évêques se décident enfin à parler de façon claire...  

    Ref. Qu’est-ce qui va changer dans les textes de la messe en français ? Précisions

    Tout cela va dans le sens d’un rapprochement avec les textes latins de la messe traditionnelle. Quid des autres pays de langue française ?

    JPSC

  • Le nouveau Missel romain pourrait entrer en vigueur en 2017

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    Il s’agit ici du missel en usage pour la forme ordinaire (1970) de la messe et non du missel traditionnel en usage pour la forme extraordinaire (1962).  La nouvelle traduction française du Missel  issu de la réforme de Paul VI sera plus fidèle à son original latin. Explication lue sur le site du journal «  La Croix »

    « OÙ EN EST LA TRADUCTION DU MISSEL ROMAIN?

    Au cours de leur Assemblée plénière à Lourdes, les évêques de France ont été informés de l’avancement de la traduction française du Missel romain paru en 2002 en latin. Depuis sept ans, les traducteurs travaillent sous la houlette de tous les épiscopats francophones.

    Les évêques ont jusqu’au 15 novembre pour faire part de leurs amendements et commentaires, après quoi les traducteurs élaboreront une version définitive intégrant aussi des demandes romaines.

    > À lire aussi: Les évêques manquent d’une vision d’ensemble dans leurs débats

    Lors de leur prochaine Assemblée de printemps, les évêques auront à dire oui ou non à ce texte qui sera soumis à la reconnaissance romaine. Le nouveau Missel pourrait ainsi entrer en vigueur dans les paroisses au premier dimanche de Carême 2017.

    POURQUOI UNE NOUVELLE TRADUCTION?

    Elle avait été demandée par la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements qui, dans l’instruction Liturgiam authenticam de 2001, avait exigé que le Missel soit « traduit intégralement et très précisément, c’est-à-dire sans omission ni ajout, par rapport au contenu, ni en introduisant des paraphrases ou des gloses ».

    Un premier travail avait été rejeté en 2007 par Rome, car faisant trop de place à l’adaptation des textes: l’actuelle commission s’est donc attachée à être plus fidèle au texte latin. « Plus que d’un rappel à l’ordre, il s’agit aussi d’un travail positif et fructueux permettant de redécouvrir des richesses que l’on avait pu oublier », souligne Mgr Bernard-Nicolas Aubertin, archevêque de Tours et responsable de la liturgie pour les évêques de France.

    QUELS SERONT LES CHANGEMENTS?

    C’est dans l’ordinaire de la messe que les changements seront les plus perceptibles. Dans le « Je confesse à Dieu », le « Oui, j’ai vraiment péché »sera remplacé par « C’est ma faute, c’est ma faute, c’est ma très grande faute ». Dans le Credo, on devrait assister au retour du « consubstantiel »plutôt que « de même nature ».

    Plus difficile à comprendre devrait être la prière sur les offrandes: « Prions ensemble, au moment d’offrir le sacrifice de toute l’Église. Pour la gloire de Dieu et le salut du monde » fera place à une formulation plus proche du texte latin: « Priez mes frères afin que ce sacrifice qui est aussi le vôtre soit agréé par Dieu le Père tout-puissant. Que le Seigneur reçoive de vos mains ce sacrifice à la gloire de son nom. Pour notre bien et celui de toute Sa Sainte Église. »

    Quant à la sixième demande du Notre Père, elle deviendra « Et ne nous laisse pas entrer en tentation ». À la suite de la nouvelle traduction liturgique de la Bible, de nombreux fidèles avaient en effet exprimé aux évêques de France leur malaise face à l’ancienne traduction (« ne nous soumets pas… ») qui, sans être théologiquement fausse, donnait l’image d’un Dieu qui tente lui-même les fidèles.

    Nicolas Senèze (à Lourdes) » 

    Ref. Le nouveau Missel romain pourrait entrer en vigueur en 2017

    JPSC

  • Missel pour les ordinariats issus de l’anglicanisme

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    De Michel Janva sur le blog « salon beige » : 

    Présenté par Yves Daoudal (qui vient de publier un article intéressant dans L'Homme Nouveau sur la conversion au catholicisme d'une communauté luthérienne) :

    "La Constitution apostolique Anglicanorum coetibus a été édictée il y a six ans (le 4 novembre 2009), et voici que va être publié, dans les prochains jours, le Missel qui sera officiellement en usage, à partir du premier dimanche de l’Avent, dans les ordinariats issus de l’anglicanisme.

    Ce missel a été élaboré par une commission intitulée Anglicanae Traditiones, présidée par Mgr Di Noia, secrétaire adjoint de la Congrégation pour la doctrine de la foi. En font partie notamment des représentants des différents ordinariats (Angleterre, Etats-Unis, Australie) ainsi que le P. Uwe Michael Lang de l’Oratoire de Londres. Afin que « soient maintenues au sein de l'Eglise catholique les traditions liturgiques, spirituelles et pastorales de la Communion anglicane, comme un don précieux qui nourrit la foi des membres de l'ordinariat et comme un trésor à partager », comme dit la Constitution de Benoît XVI.

    En même temps que le missel est publié le livre « Occasional Services » qui est le rituel pour le baptême, le mariage, les funérailles.

    En bref il s’agit d’une adaptation catholique de la liturgie anglicane, qui avait développé une forme particulière, y compris pour la messe, quant au chant, mais aussi quant au rite. Par exemple les prières préparatoires (avec notamment le Décalogue) ne comprennent pas de rite pénitentiel : celui-ci a lieu avant la Préface eucharistique.

    L’une des questions qui ont été posées, et qui se sont posées, à la commission est de savoir si la langue serait l’anglais de la Renaissance utilisé jusque dans les années 60, ou l’anglais moderne utilisé depuis cette époque dans de nombreuses églises anglicanes.

    La réponse a été que si l’on voulait perpétuer les traditions liturgiques anglicanes il fallait garder l’ancien anglais, et que si des prêtres voulaient célébrer en anglais moderne ils devraient prendre le nouveau Missel romain. Un aveu de plus, émanant de Rome, que la Constitution de Vatican II pour la liturgie n’était qu’un chiffon de papier quand elle édictait que la langue propre de la liturgie latine était le latin…

    On constate d’autre part que, dans ce missel des ordinariats, la prière eucharistique normale est le canon romain. C’est lui qui est utilisé pour la grand-messe. Le missel comporte aussi ce qui est la prière eucharistique II du nouveau Missel romain, mais c’est éventuellement pour les messes de semaine ou les messes avec des enfants. Alors que dans la plupart de nos paroisses c’est la très brève prière eucharistique II qui est devenue la norme, le canon romain ayant quasiment disparu.

    On notera aussi que l’année liturgique conserve la Septuagésime, les Quatre-Temps, les Rogations, et qu’on n’y trouve pas de « temps ordinaire » : il y a un temps après l’Epiphanie, et un temps « après la Trinité ».

    Bref, c’est une sorte de « forme extraordinaire »… issue d’un protestantisme plus traditionnel que la néo-liturgie catholique…" 

    Ref : Missel pour les ordinariats issus de l’anglicanisme

    JPSC 

  • Bruxelles, 17 novembre : Catholiques de Tradition et réforme liturgique, une histoire mouvementée, avec l'abbé Claude Barthe

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  • Bruxelles : inauguration des nouveaux bâtiments de la BICS

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    BICS_1.jpgLe 21 octobre, la Brussels International Catholic School a fait bénir ses nouveaux locaux pour le secondaire par le cardinal Burke. Dans son discours d’inauguration, le cardinal a rappelé l’importance du rôle éducatif des parents :

    Les parents, parce qu’ils ont donné la vie à leurs enfants, ont la très grave obligation de les élever et, à ce titre, doivent être reconnus comme leurs premiers et principaux éducateurs. Le rôle éducatif des parents est d’une telle importance que, en cas de défaillance de leur part, il peut dicillement être supplée. C’est aux parents, en eet, de créer une atmosphère familiale, animée pour l’amour et le respect envers Dieu et les hommes, telle qu’elle favorise l’éducation totale,personnelle et sociale, de leurs enfants. La famille est donc la première école des vertus sociales nécessaires à toute société. Mais c’est surtout dans la famille chrétienne, riche des grâces et des exigences du sacrement de mariage, que dès leur plus jeune âge les enfants doivent, conformément à la foi reçue au baptême, apprendre à découvrir Dieu et à l’honorer ainsi qu’à aimer le prochain ; …

    La Brussels International Catholic School est une école internationale bilingue (Français-Anglais) avec des classes maternelles, primaires et secondaires dont la direction et l’aumônerie est assurée par l’Institut du Christ Roi. L’Institut du Christ Roi a repris l’école dans les années 2000  (anciennement Institut Saint Pierre et Saint Paul fondé en 1974). L’école compte aujourd’hui près de 450 élèves.

    Contact

     Ref. Inauguration des nouveaux bâtiments de la BICS

    JPSC

  • « Eia ! Mater » : un nouveau cycle d’initiation au chant grégorien à Liège

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    Lu sur Cathobel, le site web des diocèses francophones de Belgique :

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    « Un nouveau cycle de cours organisé par l’académie de chant grégorien à Liège s’ouvrira fin novembre, sous la direction de Maurice Besonhé.

    cours-liege-2015.jpgDe fin novembre 2015 à juin 2016, un cycle de chant grégorien réunira deux samedis après midi par mois (de 15h à 17h30) une trentaine d’apprenants placés sous la direction de Maurice Besonhé. Le cycle se clôturera par un concert et une messe festive le samedi 11 juin 2016. Ancien élève du conservatoire de Verviers, M. Besonhé a pratiqué le chant choral au sein de la Maîtrise de cette Ville (sous la direction de J.-M. Allepaerts) et découvert la sémiologie grégorienne avec d’éminents spécialistes: Hubert Schoonbroodt, Carlo Hommel et Marcel Pérès. Chantre d’église, il fut aussi titulaire des orgues de l’église Notre-Dame et Saint-Remacle à Spa, de 1994 à 2014.

    Les cours de l’académie de chant grégorien à Liège sont dédiés à l’étude du plain chant et de ses dérivés les plus proches: le déchant et l’organum. Au programme de cette année: un florilège de mélodies consacrées à la Mère de Dieu, depuis les temps carolingiens jusqu’au siècle de Louis XIV. Ces cours sont ouverts à tous sans pré-requis, même si une expérience musicale est la bienvenue.

    Premier rendez-vous: samedi 21 novembre 2015 à 15 heures, dans les locaux de l’église du Saint-Sacrement (Bd d’avroy, 132). Renseignements et inscriptions: email academiedechantgregorienliege@proximus.be ou tél. 04.344.10.89 (en cas l’absence, portable 0498.33.46. 94). On peut aussi s’inscrire en ligne sur le site www.gregorien.com

    Ref. « Eia ! Mater » : un nouveau cycle d’initiation au chant grégorien à Liège

    JPSC

  • Eglise du Saint-Sacrement à Liège: horaire des messes du week-end de la Toussaint

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    EGLISE DU SAINT-SACREMENT 

    Copie de église du st sacrement.JPG 

    Boulevard d’Avroy, 132 à Liège

    LES MESSES DU WEEK-END DE LA TOUSSAINT

    DIMANCHE 1er NOVEMBRE 2015

    10h00, messe en latin (missel de 1962) : chants grégoriens et orgue, propre de la messe « Gaudeamus », kyriale IV, Credo IV, hymne de la Toussaint.

    11h15, messe en français (missel de 1970) : chants grégoriens et vernaculaires, orgue et violoncelle, kyriale VIII.

    LUNDI 2 NOVEMBRE 2015

    18h00 messe de la commémoration des fidèles défunts : kyriale et propre de la messe grégorienne de « Requiem », orgue et violoncelle

     JPSC

  • Synode : « Remettons à l’honneur le jeûne eucharistique »

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    messe-016.jpgLu sur le site de l’hebdomadaire « Famille chrétienne » :

    « En cette dernière semaine du Synode sur la famille, le Père Gerald Murray, curé de la paroisse de la Sainte-Famille à New York, préconise de renforcer l’importance du sacrement de l’eucharistie, chez tous les fidèles.Le Synode pose-t-il en creux la question de l’eucharistie ? 

    La proposition de donner la communion aux divorces remariés du cardinal Walter Kasper implique une révolution dans la pratique de l’Église, et un manque de fidélité aux paroles claires de Notre-Seigneur. Le cardinal Robert Sarah et bien d’autres Pères synodaux reconnaissent qu’on n’en peut rien céder si l’on veut rester fidèle à Dieu et défendre l’intégrité du Magistère de l’Église.

    La proposition du Cardinal Walter Kasper n’est pas nouvelle. Les papes Jean-Paul II et Benoît XVI l’ont rejetée comme incompatible avec la doctrine de l’Église. Un changement, dès lors, mettrait en doute beaucoup d’autres enseignements contestés, comme par exemple l’immoralité des relations homosexuelles.

    Faut-il mieux enseigner aux fidèles ce qu’est l’eucharistie ?

    Nous devons renouveler l’effort d’enseigner aux fidèles ce qu’est la Présence réelle du Christ dans l’eucharistie et notre devoir d’adorer Jésus présent dans les tabernacles de nos églises. La génuflexion est souvent inconnue parmi les fidèles. Le tabernacle caché ou mis au coin donne la mauvaise impression que Jésus n’est pas au centre de nos paroisses. 

    Que préconisez-vous ?

    Je pense qu’on doit retourner au jeûne eucharistique de trois heures, comme c’était le cas lorsque j’ai fait ma première communion. Cela nous prépare mieux à recevoir notre Dieu dans nos corps. Le petit désagrément de ne rien manger pendant trois heures nous rappelle que la réception de la sainte communion est de grande importance. Cela permet aussi aux gens qui ne peuvent pas communier de rester sur leurs bancs sans paraître pécheurs, parce que l’on peut imaginer qu’ils ont mangé quelque chose juste avant la messe. Je dirai aussi que la révérence pour l’eucharistie a bien souffert à cause de la communion reçue debout et dans la main. La pratique antérieure était plus instructive sur l’importance de l’eucharistie : il s’agit bien de Dieu parmi nous.

    Faut-il davantage faire le lien entre eucharistie et confession ?

    Rappeler qu’on doit se confesser avant de communier, si on a conscience d’avoir fait un péché mortel, est essentiel pour aider les fidèles à bien communier. Et éviter une réception sacrilège du sacrement. La miséricorde de Dieu passe par le confessionnal. L’acte d’humilité de nous confesser en admettant nos péchés nous permet de vraiment vivre comme le Christ nous l’a enseigné.

    Quelle serait, selon vous, une issue positive du Synode ?

    L’issue la plus positive sera que les Pères synodaux présentent au pape François un document final dans lequel la doctrine catholique sur la famille est proclamée avec conviction et allégresse. Cela implique que chaque proposition incompatible avec la foi de l’Église et la discipline qui préserve cette doctrine soit fermement rejetée. 

    Aymeric Pourbaix »

    Ref. Synode : « Remettons à l’honneur le jeûne eucharistique »

    JPSC

  • Liège : un nouveau cycle d’initiation au chant grégorien donné à l’église du Saint-Sacrement

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    Renseignements et inscriptions :

    ● S’adresser à Jean-Paul Schyns, Quai Churchill, 42/7 4020 Liège.

    Tél. 04.344.10.89 (en cas d’absence, tél portable 0498.33.46.94 de Ghislain Lahaye).

    E-mail : academiedechantgregorienliege@proximus.be

    ● Informations générales et inscriptions en ligne sur le site de l’académie :http://www.gregorien.com

    JPSC