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Livres - Publications - Page 160

  • Un premier livre consacré au nouveau pape

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    L'abbé Rimaz donne cette information :

    Le premier livre sur le Pape Bergoglio sort en librairie le 19 mars. Il est publié en italien par les Editions missionnaires italiennes (Emi).

    Son titre: "François, un Pape du bout du monde"(64 pages, 5 euro). 

    Cet ouvrage est écrit par le journaliste Gianni Valente, ami personnel du pontife argentin. Une fois élu, le Pape a justement téléphoné à Valente pour l'informer. Vatican Insider

    Dom Romain me signale ce lien (30 Giorni)

  • Quand Philippe Nemo a les honneurs du Soir

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    Nous avions attiré l'attention de nos visiteurs sur la parution d'un livre libérateur publié par Philippe Nemo et intitulé "La belle mort de l'athéisme moderne" (P.U.F.). Aujourd'hui, le Soir (en page 13) publie une interview peu banale de ce philosophe qui soutient dans son livre que l'athéisme est en train de mourir philosophiquement, que l'illusion d'un savoir scientifique qui expliquerait tout est définitivement abandonnée, que le christianisme est "le seul à receler la vérité qui importe le plus à la vie humaine", que la laïcité militante est devenue une contre-religion qui a colonisé l'Etat… Nous en passons et des meilleures ! A ne pas manquer, en tout cas.

  • Un livre d'un papabile bien en vue...

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    Patriarche de Venise devenu archevêque de Milan est considéré comme un papabile des plus crédibles.

    Cofondateur de la revue Communio avec Balthasar et Ratzinger, animateur d'Oasis (pour le dialogue entre chrétiens et musulmans), il a été surtout fortement marqué par Communion et Libération. Sa vision de l'engagement chrétien s'inscrit pleinement dans l'orientation du grand mouvement d'évangélisation créé par Luigi Giussani. Elle oscille entre d'une part, la prise en compte réaliste de la situation présente d'une société « plurale », éclatée et sécularisée, et d'autre part l'affirmation décomplexée du recours indispensable aux ressources de la foi et de l’Église. La « nouvelle laïcité » qu'il esquisse exclut la neutralisation des religions et implique au contraire de leur permettre de proposer leur « propre vision des biens spirituels et matériels, communs à tous les hommes ». 

    Qu'il s'agisse de construire un ordre social juste, réveiller la « raison économique » (fort différente de la raison des économistes) ou intégrer « des styles de vie bonne », le cardinal Scola s'emploie à montrer qu'on ne peut décidément pas se priver de la présence du Dieu de Jésus Christ.

     

     

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    Cardinal Angelo Scola

    Bien vivre ensemble au XXIe siècle

    Editions de l'Emmanuel, 150 p., 17 €

  • Mensuel "La Nef": le numéro de mars 2013 est disponible

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    Sommaire du dernier numéro

     

    FIC71597HAB33.jpgSommaire du n°246 de mars 2013

    SOMMAIRE DU N°246 DE MARS 2013

    ÉDITORIAUX
    Honneur à Benoît XVI, par Christophe Geffroy
    Misère de la communication, par Jacques de Guillebon

    ACTUALITÉ
    Le « mariage » homo : et après ?, par Falk van Gaver
    Vie de l’Église x Benoît XVI : coopérateurs de la vérité, par Loïc Mérian
    Retour sur la crise syrienne, par Annie Laurent
    Syrie : la paix est encore possible, entretien avec Sr Agnès Mariam de la Croix
    Géopolitique d’abord : Benoît XVI et l’autre poumon de l’Europe,
    par Paul-Marie Coûteaux
    Lettre ouverte… : Aux conservateurs qui viennent de perdre encore une bataille,
    par Henri Hude
    Chronique Vie : Suicide assisté : on y est !, par Pierre-Olivier Arduin

    DOSSIER SPÉCIAL : BENOIT XVI
    Rétrospective d’un pontificat, par Jacques de Guillebon
    Il a confirmé la foi de ses frères, par Mgr Eric Aumonier
    Le pape qu’on ne méritait pas, par l’abbé Christian Gouyaud
    Benoît XVI et les moines, par le TRP Dom Hervé Courau
    De la crise de la foi au renouveau, par le Père Martin Sabathé
    Le pape de la foi et de la raison, par l’abbé Eric Iborra
    Un pape intellectuel, par Chantal Delsol
    Un pontificat liturgique, par l’abbé Thomas Diradourian
    La nouvelle évangélisation, par le Père Laurent-Marie, sjm
    Un pontificat pour la Vie, par Pierre-Olivier Arduin
    Benoît XVI et l’orthodoxie, par Victor Loupan
    En action de grâce pour ce pontificat, par l’abbé Hervé Benoît
    Ce que Benoît XVI a apporté aux jeunes prêtres, par l’abbé Laurent Spriet
    Un pontificat de réformation, par Grégory Solari
    La charité de la vérité, par le Père Thierry-Dominique Humbrecht, op
    Témoignage d’un jeune étudiant « jmjiste », par Médéric Robert-Ambrois

    CULTURE
    Hannah Arendt : le souci du monde, par Falk van Gaver
    Au fil des livres : Viivi Luik, par Philippe Maxence
    Notes de lecture, chroniques musique, cinéma, sortir,
    Internet, livres jeunes
    Un livre, un auteur : Philippe de Saint Robert
    Portrait : Laurent de Cherisey, par Marine Tertrais

     

  • Des jésuites hongrois sous le pouvoir communiste

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    Jésuites hongrois sous le pouvoir communiste

    (source :  http://www.jesuites.com/2013/02/jesuites-hongrois-communisme/)

    Éditions Lessius ; traduit du hongrois par Thierry Monfils s.j., en collaboration

    Postface : Rudolf Rezsohazy

    Coll. Au singulier , n° 23 - 26,50 € -  400 p.    

    Pour acheter le livre

    Recueil de témoignages sur la vie des jésuites en Hongrie, alors que les pratiques religieuses étaient fortement réprimées et les ordres religieux interdits. Ce volume contient également une analyse des procès de jésuites sous le régime communiste.

    À peine voilée par une législation qui, en principe, autorisait l’exercice de la liberté religieuse, la pratique du pouvoir socialiste hongrois installé par les Soviétiques après la Seconde Guerre mondiale allait faire preuve d’une intolérance rigoureuse à l’égard de la religion : confiscation des biens, arrestations, procès, assignations à résidence, emprisonnements ou travaux forcés. Il s’agissait pour les communistes d’entraver les activités de l’Église et de hâter la disparition du phénomène religieux. Ces événements marquèrent l’Europe centrale dans sa chair.

    Dès 1950, un décret interdit les instituts religieux. Bon nombre de jeunes jésuites hongrois allaient progressivement trouver refuge à l’étranger pour y recevoir leur formation religieuse, avant de travailler dans les différentes régions du monde. Mais qu’advint-il de ceux qui étaient restés en Hongrie ? Leur persécution fut sévère, féroce même.

    Dans leur vérité toute simple, les souvenirs et témoignages recueillis ici par Ferenc Szabó offrent des récits de vies poignants. Comment les jésuites ont-ils, au milieu de cette tourmente, vécu leur vocation ? Dans la foi en Jésus-Christ, l’amour de l’Église, le service de leurs contemporains, sans rancune à l’égard de leurs persécuteurs et, même parfois, avec humour.

    Auteur
    Père Ferenc Szabó, sj, né en Hongrie en 1931, étudie la philosophie et la théologie au scolasticat jésuite d’Eegenhoven (Belgique). Docteur en théologie de l’Institut catholique de Paris (1966), il est nommé successivement directeur de la section hongroise de Radio Vatican, responsable de la revue Távlatok (Perspectives) et professeur de théologie dans des écoles supérieures et à l’Université catholique Pázmány Péter à Piliscsaba.

  • A propos de l'Islam et de son fondateur : un article surprenant sur Libé

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    Enfin un article qui ose rompre avec la langue de bois de l'islamiquement correct et donner la parole à une historienne qui retrace les origines de l'Islam sans débiter servilement la vulgate habituelle : mahomet-le-prophete-posthume 

    (Via "le bloc-notes d'un journaliste chrétien")

    Qui est le fondateur de l’islam ? Comment vivait-il dans l’Arabie occidentale du VIIe siècle ? L’historienne Jacqueline Chabbi rassemble les rares pièces du puzzle de l’édification de sa légende.

    Par BERNADETTE SAUVAGET
    Au Mali, les guerriers jihadistes d’Al-Qaeda ont détruit mosquées et mausolées, symboles du soufisme. Pour imposer par la terreur leur vision de l’islam et de son fondateur. Cette lecture fondamentaliste s’impose de plus en plus. La figure de Mahomet, elle, alimente la controverse en faisant monter la tension entre l’Occident et le monde musulman. Depuis l’affaire des caricatures de Mahomet, publiées en septembre 2005 dans un journal danois, jusqu’au film l’Innocence des musulmans, diffusé cet automne sur Internet, les polémiques se succèdent. Pourtant, comme l’explique Jacqueline Chabbi, l’une des meilleures spécialistes françaises des origines de l’islam, cette «sacralisation» du prophète a une histoire, malheureusement trop méconnue.
  • Des religieux surdoués sur le front de l'économie

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    Gaël Giraud et Cécile RenouardShare on facebook

     De Jean-François Rod (ancien "pdg" de La Procure) sur le blog de cette maison d'édition :

    Gaël-Giraud-et-Cécile-Renouard

    "Une fois n’est pas coutume, je vous parlerai de deux auteurs, Gaël Giraud, jésuite, et Cécile Renouard, religieuse de l’Assomption, qui sont tous deux des économistes de haut niveau et qui appliquent leur réflexion d’éthique chrétienne au domaine économique, financier et social.

    Disons-le d’emblée, nous avons affaire à des personnes plutôt surdouées et surdiplômées ! Gaël Giraud a fait Normale Sup et a passé un doctorat de mathématiques. Son premier livre « Théorie des jeux » expose ses premières réflexions à l’intersection de l’économie et des mathématiques appliquées. Avant d’entrer dans la Compagnie de Jésus, il a travaillé dans une grande banque internationale et il connaît de l’intérieur l’esprit qui règne dans les salles de marchés. Il a aussi enseigné au Tchad et il s’est occupé des enfants des rues. Il est aujourd’hui chercheur au CNRS et membre de centre de réflexion internationaux. Cécile Renouard, elle, est venue à l’économie par la philosophie et par les études commerciales (ESSEC). Elle a publié aux Presses Universitaires de France « La responsabilité éthique des multinationales » en s’appuyant sur des enquêtes de terrain, en particulier au Kenya et au Nigeria. Elle a présenté aussi la pensée de Michaël Waltzer aux éditions Temps Présent. Elle est professeur à l’Ecole des Mines de Paris et à l’Essec. Tous les deux enseignent au Centre Sèvres à Paris.

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  • Pourquoi l'auteur de "la merditude des choses" est fier d'être belge

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    Auteur d'un nouveau roman intitulé "L'entrée du Christ à Bruxelles", Dimitri Verhulst accorde un entretien à Guy Duplat dans La Libre. Flamand vivant à Huccorgne, il se positionne plutôt en défenseur de la belgitude. Malheureusement, pas celle qui nous plaît. Il déclare notamment. "Je préfère dire que je suis fier d’être belge quand je vois que l’on vient de l’étranger chez nous grâce à nos lois généreuses sur l’avortement et l’euthanasie. Nous avons eu de vrais débats et de vraies lois pour répondre à la souffrance des gens." Quand l'empathie dérape, elle cautionne malheureusement le n'importe quoi. Mais, s'il n'était pas rallié au politiquement et culturellement correct, cet auteur aurait-il droit aux plateaux de télévision et à des interviews dans la Libre ? Il est toutefois intéressant d'acter cette impasse qu'il signale: "Mon combat, mon idéal, ce n’est pas d’attendre un dieu, qui d’ailleurs ne viendra pas, mais de réaliser déjà ce monde meilleur, aujourd’hui. Pourquoi faudrait-il un retour des religions, avec leurs diktats et leurs "conseils" pour qu’on se préoccupe enfin des autres ? Je n’aurais jamais cru qu’en 2013, des siècles après les Lumières, on ait encore besoin de l’arrivée d’un dieu sur terre pour se préoccuper du bien des hommes. Mais il est vrai qu’aujourd’hui, l’égoïsme domine et que trop de gens, quand ils croisent un SDF à la gare centrale se disent qu’ils s’en foutent car de toute manière c’est de sa faute." Donc ?

  • Rendez-nous le petit catéchisme ?

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    Lu sous la plume de Jean Madiran, sur le « Forum catholique » :

    • Le débat autour des conséquences directes ou indirectes de Vatican II semble continuer à ignorer le comment et le pourquoi de la longue disparition du catéchisme catholique.

    Ici comme ailleurs avait joué la rumeur, rapidement devenue opinion dominante, que ce qui était antérieur au Concile devait désormais être tenu pour périmé. Tous les catéchismes existants furent disqualifiés. 

    Pendant vingt-sept années, de 1965 à 1992, l’Eglise s’est trouvée sans catéchisme officiel. L’espace d’une génération, il y eut une vacatio catechismi. Et de 1965 à aujourd’hui, l’absence de petit catéchisme pour enfants baptisés est une vacatio de quarante-huit ans dont on n’aperçoit pas la fin.

    -Le plus grand nombre des catholiques le sont parce que leurs parents les ont fait baptiser à leur naissance et ont veillé sur leur éducation catholique romaine : 

    « Une âme de petit enfant baptisé, écrivait Henri Charlier, a besoin d’un enseignement chrétien constant pour nourrir le germe que le baptême a déposé dans son âme. Sans quoi le germe s’étiole et meurt.

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  • En hommage au Père Pierre Defoux, jésuite et artiste

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    source : http://www.jesuites.com/2012/01/pierre-defoux/

    Le père Defoux nous a quittés ce 3 février.

  • L'attentat contre Jean-Paul II : les affabulations d'Ali Agça

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    Le P. Lombardi démonte les affirmations d'Ali Agça (ZENIT.org)
    Nouveau livre, cinq déclarations fausses - Anita Bourdin

    ROME, 2 février 2013 (Zenit.org) - Les versions de l’attentat contre Jean-Paul II que Mehmet Ali Agça a données jusqu’ici sont trop nombreuses – plus d’une centaine – « pour que l’on puisse y croire », déclare le père Lombardi au terme d’une contre-enquête précise sur le nouveau livre de l’ancien terroriste des « loups gris ».

    « Ils m’avaient promis le paradis. Ma vie et la vérité sur l’attentat contre le Pape » : c’est en effet le titre de l’autobiographie que Ali Agça a publiée le 31 janvier 2013 en italien (« Mi avevano promesso il Paradiso. La mia vita e la verità sull’attentato al Papa ») aux éditions Chiarelettere et qui sortira en France à L’Archipel.

    Au cœur du livre du Turc Ali Agça, aujourd’hui âgé de 55 ans, et alors âgé de 23 ans, se trouve cette affirmation que le commanditaire de l’attentat contre le pape Jean-Paul II, le 13 mai 1981, place Saint-Pierre, serait l’Iran de l'ayatollah Khomeiny. Le père Lombardi démontre la « fausseté » de 5 affirmations centrales.

    Le directeur de la salle de presse du Saint-Siège, le père Federico Lombardi, a fait une mise au point pour la presse, ce 1er février 2013. Radio Vatican en italien en publie le texte dont voici notre traduction :

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  • Cette nuit j’ai su que tu existais: une goutte de vie échappée du néant

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    De la chair et de l’esprit (Osservatore Romano)

     

    « Cette nuit j’ai su que tu existais: une goutte de vie échappée du néant ». Tel est le célèbre incipit d’un des plus beaux chants sur la maternité qui n’ait jamais été écrit au cours des derniers siècles. Le livre commence par un refus (« Tu t’es glissé en moi comme un voleur, et tu m’as dérobé mon ventre, mon sang, mon souffle. Maintenant tu voudrais me dérober tout mon existence »), avec la volonté d’éloigner une présence minuscule et fracassante, capable de précipiter la femme dans un puits où tout n’est qu’« incertitude et peur ».


    galeotti.jpgEt pourtant, ligne après ligne, la fermeture de la journaliste laïque florentine a la force et le courage de se transformer. Et, ainsi, la lamentation devient un chant d’amour.

    La mère n’est pas seulement celle qui accouche d’un enfant. La mère est la femme qui nourrit, qui accueille, qui berce, qui tranquillise, qui soulage, qui soutient, qui aide, n’importe quel enfant. C’est n’importe quelle femme qui se charge de son prochain dans l’ouverture inconditionnée qui ne recherche aucun retour. Sécher les larmes, encourager les succès, panser les blessures, fêter la beauté, courir derrière de petites jambes que l’on craint voir trébucher: gestation et éducation sont aussi – ou peut-être surtout – caractéristiques de l’esprit. Elles sont la capacité de ressentir et, donc, de laisser de la place à la force bouleversante en mesure de transfigurer toute chose.

    Aux pieds de la représentation de Marie d’Isabella Ducrot, à côté d’Oriana Fallaci et de sa merveilleuse lettre à l’enfant jamais né, nous déposons aussi les paroles d’une jeune juive hollandaise morte à Auschwitz le 30 novembre 1943.

    Dans les pages qu’elle nous a laissées, Etty Hillesum raconte un itinéraire intérieur, silencieux et étonnant. Le début est celui d’une jeune fille confuse et renfermée sur elle-même. Dix mois plus tard, le 12 octobre 1942, du camp de Westerbork elle écrivait: « J’ai partagé mon cœur comme si c'était du pain et je l’ai distribué aux hommes. (…) Ils étaient tellement affamés, et depuis longtemps ». Cette transformation radicale – advenue en peu de mois et guidée uniquement par le désir intime d’entrer en communion avec Dieu et avec le prochain – qu’est-elle d’autre, sinon une maternité?