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Livres - Publications - Page 160

  • Le Vatican complice de la fuite de nazis et autres criminels de guerre ?

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    Dans le Vatican Insider, Andrea Tornielli rend compte d'un ouvrage récent : « Les fichiers du Vatican », le nouveau livre de Matteo Luigi Napolitano qui s'attaque aux pages les plus brûlantes de l'histoire récente de l'Eglise :

    Tout comme la controverse sur le « silence » de Pie XII, celle relative aux réseaux grâce auxquels des criminels nazis et leurs collaborateurs ont pu s'échapper dans l'immédiat après-guerre – demeure l'une des plus chaudes en raison du rôle joué par les autorités de l'église. Quelques chercheurs, confrontés à l'évidence de l'aide et de l'accueil réservés aux Juifs persécutés par les monastères et les institutions ecclésiastiques persistent à soutenir que cette opération de sauvetage de grande envergure se serait déroulée à l'insu du pape, quand bien même il s'agit de couvents sous clôture dans la ville de Rome. Ce qui n'empêche pas les mêmes savants d'affirmer que le Vatican est impliqué dans la protection et la fuite de criminels nazis en Amérique latine.
     
    Vient de paraître en librairie « Fichiers » (São Paulo, 424 p., 17 euros), un essai de Matteo Luigi Napolitano, professeur de relations internationales à l'Université « G. Marconi » de Roma. Le livre parle de la diplomatie de l'Eglise et est basé sur la recherche de l'auteur à partir des archives et traite de plusieurs questions brûlantes de l'histoire récente de l'Eglise, de la controverse sur le pape Pie XII et la Shoah aux relations du pape Jean Paul II avec Reagan et Gorbatchev, pour aboutir aux « wikileaks » mises en réseau par Julian Assange, lorsqu'elles évoquent le Vatican.

    Un passage du livre est aussi consacré aux filières ("rat-lines") et à la participation présumée du Vatican à l'opération Odessa, organisée après la Seconde Guerre mondiale, afin de permettre aux criminels nazis de s'échapper. Napolitano considère tout d'abord « très étrange » que le Vatican, "conçu comme une institution, aurait pu avoir une raison plausible d'aider les criminels de guerre qui – ne l'oublions pas – ont également persécuté la liberté de religion et l'Église catholique ».

    Un cas célèbre est celui qui concerne le père franciscain Draganovic et le Collège croate à Rome, centre des opérations de sauvetage des criminels oustachis. Napolitano, dit que, dans ce cas, le Vatican ne songeait pas à soustraire des criminels à l'action d'une justice internationale impartiale, mais bien, à juste titre de les soustraire à la justice arbitraire des autorités yougoslaves du régime de Tito, qui s'appropriaient les causes relevant du tribunal de Nuremberg établi par l'Organisation des Nations Unies. Pour le Saint-Siège, le Tribunal International donnait plus de garanties d'équité qu'un « tribunal du peuple ».
     
    Cela ne signifie pas, observe le chercheur, que des opérations secrètes n'ont pas été menées par certains Instituts catholiques, sans l'approbation du Vatican. Les suspects se rencontraient à la Commission pontificale d'assistance, au Collège de Santa Maria dell'anima et à celui de Saint Jérôme. Au Collège dell'anima se trouvait l'évêque autrichien Alois Hudal, notoirement pro-nazi. Ces trois institutions ont été mises sous contrôle administratif par la Secrétairie d'État – écrit Napolitano – et leurs dirigeants ont été relevés de leurs fonctions (y compris l'évêque Hudal et Draganovic). Et l'indésirable « hospitalité », accordée durant un moment, a pris fin.

    Du reste, cela fait longtemps qu'on a déjà démontré, – par exemple grâce aux documents produits par le père jésuite Robert A. Graham – combien certains de ces personnages, dont par exemple Hudal, bénéficiaient d'un très piètre crédit au Vatican. De ces documents, écrit Napolitano, ressort clairement  la responsabilité indéniable de Hudal et de Draganovic dans la fuite de nazis et de sympathisants nazis en Argentine, mais en même temps la méfiance de ces deux personnages à l'égard du Vatican, « qu'ils déclaraient coupables d'agir à présent en « esclaves » du capitalisme américain et du bolchevisme ».

    Dans les documents, dit l'historien, « il n'y a aucune trace de la responsabilité directe du Saint-Siège dans la dite « opération Odessa ». On a essayé de rendre Pie XII responsable de ce problème en prenant prétexte de son anticommunisme. Mais l'anticommunisme de Pacelli ne débouchait pas sur un éventuelle concours apporté à la fuite de criminels, tout simplement parce que le modèle d'anticommunisme que Pie XII avait à l'esprit, et qui lui a été une référence constante, n'était certainement pas un anticommunisme à la mode des nazis et des fascistes, mais bien le modèle américain, que Pacelli avait bien connu au cours de sa longue tournée en Amérique alors qu'il était Secrétaire d'Etat ».

  • Comment va la messe ?

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    Lu sur le « Forum Catholique » cette opinion de Jean Madiran  journaliste et essayiste réputé dans les milieux traditionalistes :

    « Parmi toutes les « crises » qui prolifèrent dans notre dislocation générale des institutions, des idées et des mœurs, la crise de la messe dans l’Eglise n’est pas terminée, contrairement à ce que beaucoup supposent. 

    C’est donc fort opportunément, en ce moment d’incertitude prolongée, que l’abbé Paul Aulagnier vient d’en dresser un « état des lieux ». Il est l’une des autorités historiques, intellectuelles et militantes les plus qualifiées sur la question, il en a une longue expérience. Une fois de plus il nous donne un vigoureux ouvrage qui devrait être lu dans toutes les paroisses de France (et même dans quelques monastères) :La réforme liturgique de Benoît XVI (un volume de centre vingt-quatre pages aux Editions Godefroy de Bouillon). 

    Qu’il demeure une lourde incertitude sur le proche avenir de la liturgie catholique, rien ne le manifeste aussi clairement que l’attitude du Souverain Pontife. On connaît son ardente vénération, d’ailleurs publiquement exprimée et fortement argumentée pour la messe traditionnelle. Depuis qu’il est pape, il ne l’a plus célébrée en public. Pas une seule fois. Pas même pour la fête liturgique de saint Pie V qui vient chaque année la réclamer. 

     Pourquoi donc une telle abstention ? 

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  • Un cardinal passionné par la dimension religieuse de l'homme

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    Un contact qui révèle une réalité supérieure

    2012-08-04 L’Osservatore Romano

    Julien Ries est né en 1920 à Arlon, en Belgique. Prêtre catholique du diocèse de Namur, il est historien des religions et le plus grand expert d’anthropologie religieuse. Pendant plus de vingt ans il a enseigné l’histoire des religions à l’université catholique de Louvain-la-Neuve, dont il est à présent professeur émérite. Il a été créé cardinal par Benoît XVI lors du consistoire du 18 février 2012. La maison d’édition italienne Jaca Book publie actuellement ses œuvres complètes, dont le plan prévoit onze volumes en dix-huit tomes. En 2009, il a donné sa bibliothèque, ses manuscrits et la correspondance qu’il a entretenue au cours des années avec des chercheurs du monde entier à l’université catholique de Milan : un patrimoine qui constitue les Archives Julien Ries pour l’anthropologie symbolique au sein de cette université. A partir de 1982, il a participé à de nombreuses éditions du Meeting pour l’amitié entre les peuples qui se déroule chaque mois d’août à Rimini. Cette année aussi (la manifestation se déroule du 19 au 25 août) son intervention est programmée le 20 août lors de la rencontre et s’intitule « Homo Religiosus ». L’entretien s’est déroulé chez lui en Belgique, une maison remplie de livres, de souvenirs et de projets. Aujourd’hui encore le professeur cardinal consacre une grande partie de son temps à l’étude.

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  • Benoît XVI a achevé le troisième tome du "Jésus de Nazareth"

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    Le Pape finit son troisième volume sur Jésus de Nazareth

    Source : Catholic news agency

    Cité du Vatican, le 3 août 2012 (CNA / EWTN News)

    Le Bureau de Presse du Saint-Siège a annoncé le 2 août que le pape Benoît XVI avait terminé le troisième volume de son ouvrage sur Jésus de Nazareth, qui se concentre sur l'enfance du Christ. Le pape a achevé son texte pendant ses vacances dans sa résidence d’été de Castel Gandolfo, en dehors de Rome.

    Selon le Bureau de presse, la version originale allemande est actuellement traduite en plusieurs langues. La publication de l'ouvrage est prévue une fois que toutes les principales versions linguistiques auront été réalisées.

    Le nouveau volume est la suite de « Jésus de Nazareth », publié en 2007, et de « Jésus de Nazareth - De l'entrée à Jérusalem à la Résurrection», sorti en 2011. Les deux livres ont été publiés en sept langues, avec plus d'un million d'exemplaires vendus.

    En plus de terminer son livre, le pape prépare également les discours de son voyage apostolique au Liban - qui aura lieu du 14 au 16 septembre - pour la signature de l'Exhortation apostolique post-synodale de l'Assemblée Spéciale pour le Moyen-Orient du Synode des évêques. Le Secrétaire d'Etat du Vatican, le cardinal Tarcisio Bertone, a déclaré hier lors de la messe à la paroisse d'Introd dans le Val d'Aoste, où il se repose pendant quelques jours, qu’après la publication du livre sur Jésus, «une encyclique pourrait peut-être survenir », ce qui en ferait la quatrième rédigée par le Pape.

    Benoît XVI est également occupé à la rédaction de ses discours pour la prochaine célébration du 50ème anniversaire du Concile Vatican II et de l'ouverture de l'Année de la Foi, qui aura lieu le 11 octobre.

  • Trois petits tours et puis s’en vont

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    Lu sur le site web de la Conférence des évêques de France :

    « A la veille de la clôture du ConcileVatican II, le 7 décembre 1965, Paul VI et les Pères du Concile adressaient leur dernier message aux jeunes garçons et filles du monde entier. « C'est vous qui allez recueillir le flambeau des mains de vos aînés et vivre dans le monde au moment des plus gigantesques transformations de son histoire, écrivaient-ils (...). C'est pour vous (...), qu'elle (L'Eglise) vient, par son Concile, d'allumer une lumière: lumière qui éclaire l'avenir, votre avenir. »

    Presque 50 ans plus tard, Samuel Grzybowski a décidé de faire sienne cette adresse et de la partager. « C'est une évidence. Après les Ecritures, il est un texte central, assure le jeune homme âgé de 20 ans. Tout ce qu'on vit aujourd'hui comme Eglise vient de ce texte. Je pense à la liturgie, par exemple : la messe en français, le prêtre face à l'assemblée, etc. »

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  • "Le cheval rouge", un livre essentiel à lire absolument

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    Nous avons déjà attiré l'attention de nos visiteurs sur l'immense écrivain qu'est Eugenio Corti. Son plus grand livre, le Cheval Rouge, a été traduit dans de nombreuses langues et réédité plusieurs fois en français par la courageuse maison d'éditions "L'Age d'Homme". En cette période de vacances, cette très belle oeuvre mérite de figurer en tête de votre programme de lecture. En voici la présentation faite par Olivier de Boisboissel pour "Certitudes" :

    « Intrépide italien, à quoi bon t’obstiner à réveiller nos pères dans leur tombe, et les faire parler à ce siècle mort sur lequel pèse de telles nuées d’ennui ? Et comment reviens-tu si fort à nos oreilles et si souvent, voix antique des nôtres, depuis si longtemps muette ? »

    Giacomo Leopardi : A l’Italie, 1818

    En 1996 paraissait en français, aux éditions de L’Age d’Homme, Le Cheval rouge d’Eugenio Corti qui restera probablement, tant par son ampleur que par son ambition, comme un des grands romans italiens de cette fin de siècle. Publié en mai 1983 chez un modeste éditeur milanais, Le Cheval rouge, en raison à la fois d’un ton qu’on n’entendait plus dans les lettres italiennes depuis Alessandro Manzoni[i], d’un amour pur de la patrie et d’une salutation profonde aux vertus traditionnelles et chrétiennes, s’est progressivement imposé auprès d’un large public de la Péninsule, touché de retrouver là une image vraie de l’héroïsme et des épreuves de l’Italie. Je ne reviendrai pas sur les conditions de ce phénomène littéraire. François Livi, dans sa préface au roman[ii], a bien marqué que ce dernier était par essence anti-idéologique et que Corti, à l’exemple de Lampedusa, de Morselli, avait bénéficié, par la seule force de son talent, de la reconnaissance populaire obtenue, en grande partie, contre les modes littéraires et le conformisme intellectuel marxisant tout puissant depuis la guerre froide, encore bien vivace dans la tête des faiseurs d’opinion. Bien des lecteurs savaient pourtant qu’il était absurde d’enfermer la production littéraire dans les règles fixées par le Sicilien Elio Vittorini, et qu’il suffisait d’égrener les noms des plus illustres, depuis Bachelli ou D’Annunzio, pour comprendre que les lettres italiennes, un jour ou l’autre, nous donneraient, sans manichéisme, le panorama complet du siècle écoulé en évoquant, avec la compassion qui a tant manqué aux écrivains néoréalistes, tout le destin italien, la souffrance de ses fils et la résistance des consciences face au mal et à la teneur des idéologies modernes. C’est maintenant chose faite, et nous pouvons remercier Corti de s’être attelé, pendant plus de dix ans, à cette tâche immense.

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  • Quand Olivier Bonnewijn évoque la richesse spirituelle du monde des enfants

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    "L'enfant révèle ce qu'est l'être humain" par Olivier Bonnewijn

    Source : ZENIT.org / propos recueillis par Anne Kurian

    « L’enfant révèle l’humain dans ce qu’il a de plus fondamental » car « il vit dans et par la relation ». Telle est la certitude du P. Bonnewijn : « L’homme est un être relationnel et l’enfant manifeste cette réalité à un degré très pur ».

    Olivier Bonnewijn, du diocèse de Malines-Bruxelles, est docteur en théologie de l'Institut pontifical Jean-Paul II pour les études sur le mariage et la famille. Vicaire épiscopal à la formation, il enseigne la théologie morale à l’Institut d’études théologiques.

    Il écrit par ailleurs des mini-romans pour les 11-12 ans, « les aventures de Jojo et Gaufrette », nés de ses nombreux services auprès d’enfants, lors de retraites, camps, scoutisme. Ces aventures ont un tel succès qu'elles vont être publiées en anglais à partir de Noël 2012.

    Le P. Bonnewijn a accordé cet entretien à Zenit, dans lequel il évoque le monde des enfants, leurs caractéristiques, leur spiritualité.

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  • Le Père Lang quitte son poste à Rome

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    Lu sur tradinews

    « L’excellent blog Messainlatino vient de confirmer un bruit qui courait depuis quelques mois : le père Uwe Michael Lang, de l’Oratoire de Londres, en poste à la Congrégation pour le culte divin, va quitter Rome pour retrouver la vie oratorienne et certainement poursuivre ses travaux personnels.

    Ce jeune prêtre particulièrement doué, discret et d’une grande humilité, a effectué un travail de fond à la Congrégation pour le culte divin dans l’esprit voulu par le cardinal Joseph Ratzinger et par le pape Benoît XVI. Résidant à deux pas du Saint-Siège, le père Lang célébrait chaque jour la messe dans l’usus antiquior dont il est un ardent défenseur.

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  • A propos de la dissolution du lien social

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    FIC68556HAB40.jpgLa guerre civile perpétuelle, Aux origines modernes de la dissociété, par Gilles Dumont (280 pages, 17,00 €, Artège, 2012)

    Présentation de l'éditeur

    Au-delà des idées convenues, comment penser les fondements d’une crise sociale inscrite dans le temps long ?

    La guerre civile perpétuelle évalue dans plusieurs domaines les ravages politiques de la philosophie de la modernité. Cette étude examine d’abord sa capacité à détruire à la racine la possibilité du lien social naturel, pour tenter par la suite de le recréer au moyen de divers artifices.

    Loin de se limiter au simple constat d’échec, l’originalité et la force de cet ouvrage résident dans l’analyse des causes d’un processus logique qui tend à imposer sa violence intrinsèque au cœur de la relation sociale.

    Avec les contributions de : Miguel Ayuso Torres, Guillaume Bernard, Jacques Bonnet, Danilo Castellano, Bernard Dumont, Gilles Dumont, José Miguel Gambra, Carlo Gambescia, Isabelle Huten, Aude de Kerros, Teodoro Katte Klitsche de la Grange, Marc de Launay, Pierre de Lauzun, Alain Mescheriakoff, Dalmacio Negro Pavon, Monica Papazu, Claude Polin, Christophe Réveillard, Giovanni Turco.

  • Une lecture instructive en ce temps de vacances...

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    index.jpgQui instrumentalise l’Eglise ?

    Comment certains lobbies tentent d'asservir Rome au politiquement correct, par Martin Peltier, [318 p., 28€]

    Présentation de l'éditeur :

    Staline croyait plus aux chars qu’à l’esprit. Il demandait avec ironie : « L’Eglise, combien de divisions ? » Beaucoup, pourrait-on répondre, hélas, aujourd’hui ! Depuis Vatican II, la tunique sans couture craque et décline de partout. Le but de ses ennemis n’est plus de l’abattre mais de se servir d’elle. Avec la complicité de fidèles désorientés, d’évêques très particuliers, de « théologiens » hallucinés et des médias internationaux, ils organisent des campagnes de diffamation afin de l’asservir par la peur. Ils espèrent ainsi changer sa discipline et sa doctrine pour en faire la supplétive du politiquement correct. Qui instrumentalise l’Eglise démonte les mensonges antiromains dominants, leurs auteurs et leur stratégie. Les controverses abracadabrantes sur le sida, la capote, la pédophilie, le célibat des prêtres ou la béatification de Pie XII visent à obtenir la soumission du siège de Pierre au Nouvel ordre mondial et à ses invasions, en même temps qu’à une religion nouvelle.

  • La livraison de La Nef de juillet-août

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    Voici le sommaire de cette excellente publication; certains articles en lignes sont accessibles (cliquer sur les liens) :

    SOMMAIRE DU N°239 DE JUILLET-AOÛT 2012

    ÉDITORIAUX
    Abandonner le politique ?, par Christophe Geffroy
    La pornographie, par Jacques de Guillebon

    ACTUALITÉ
    Rome recadre la théologie, par l’abbé Christian Gouyaud
    Développement durable : Rio ne répond plus, par Falk van Gaver
    « Vatileaks » : esquisse de bilan, par Pierre Mayrant
    Milan, capitale de la famille, par Robert Chermignac
    Vie de l’Église : Un pape serein, par Loïc Mérian
    Syrie et Égypte : vers le chaos ?, par Annie Laurent
    Série Vatican II (7) : Le concile et les clercs, par l’abbé Laurent Spriet
    Chronique : Lady Gaga et l’islam, par Marc Fromager
    Chronique Vie : Dieu et la bioéthique, par Pierre-Olivier Arduin

    ENTRETIEN
    « La foi doit être fortifiée »,
    entretien avec le Père Dominique-M. de Saint Laumer

    DOSSIER : RÉFLEXIONS POST-ÉLECTORALES
    L’impuissance du politique, par Jacques de Guillebon
    Une classe politique usée, par Thomas Hude
    Un cœur intelligent, par François-Xavier Bellamy
    Une forme supérieure de la charité, par Falk van Gaver
    Chrétiens et postmodernité, entretien avec le P. Thierry-D. Humbrecht, op
    La droite fantôme, par Michel Toda

    VIE CHRÉTIENNE
    « Tu ne voleras pas », par Guillaume de Lacoste Lareymondie
    Proclamer l’Évangile, par le Père Pavel Syssoev, op
    Question de foi : « Combinazioni », par l’abbé Hervé Benoît

    CULTURE
    Gustave Thibon, mystique et réaliste, par Jacques de Guillebon
    Au fil des livres : P.D. James, par Philippe Maxence
    Notes de lecture, chroniques musique, cinéma, sortir
    Internet, livres jeunes
    Un livre, un auteur : abbé Gérald de Servigny

    BRÈVES
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  • Sommes-nous seuls dans l'Univers ?

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    Seuls dans l'univers? Le comment et le pourquoi de la vie sur terre

    Explications du prof. Elio Sindoni

    Source : ZENIT.ORG

    Pourquoi existe-t-il des étoiles ? Pourquoi y en-a-t-il des milliards Et qu’a avoir la Terre avec l’univers? Pourquoi y a-t-il la vie? Pourquoi l’humanité ? Les hommes sont-ils les seuls êtres intelligents à comprendre comme fonctionne l’univers? Notre civilisation est-elle la seule ? Existe-t-il d’autres planètes avec la vie? Et si oui, existe-t-il d’autres civilisations plus avancées que la nôtre? Et où sont-elles?

    Seraient-ils faits comme nous? Ou bien sont-ils différents ? Sont-ce des extraterrestres? Des êtres pacifiques ? Ont-ils des pouvoirs extraordinaires? Et s’il était possible que nous soyons seuls dans l’univers? Sommes-nous les seuls? Et quelle est la raison de notre existence?

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