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Livres - Publications - Page 158

  • Quand la théorie du genre s'invite à l'école

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    La théorie du genre s'immisce à l'école

    Source : Le Figaro.fr, Marie-Estelle Pech, Caroline Beyer

    Le principal syndicat du primaire propose des «outils» pour parler des «nouvelles familles».

    «Est-il nécessaire d'apprendre à nos enfants à aimer les travestis?», peut-on lire en boucle sur les réseaux sociaux. L'information bruisse sur les blogs des sympathisants de la Manif pour tous depuis quelques jours. Le livre Papa porte une robe ferait son entrée dans les salles de classe de l'école primaire. La polémique enfle à la suite d'un colloque du Snuipp, principal syndicat enseignant du premier degré, autour du thème «Éduquer contre l'homophobie dès l'école primaire». À l'occasion de cet événement organisé le 16 mai, jour de lutte contre l'homophobie, le syndicat a «mis à disposition» des professeurs des «outils théoriques et pratiques pour avancer». Libre à eux de s'en inspirer ou non. Le rapport de 192 pages déroule de nombreux chapitres, comme «Le genre, ennemi principal de l'égalité» ou «Déconstruire la complémentarité des sexes» et propose une vingtaine de «préparations pédagogiques» et ouvrages «de référence» - dont le fameux livre. «La littérature jeunesse est un support pertinent pour aborder toutes les questions sensibles», affirme Sébastien Sihr, secrétaire général du syndicat, avant de préciser qu'il s'agit de «suggestions» sans lien avec les programmes scolaires. «Le livre Papa porte une robe permet d'aborder les questions de sexisme et d'homophobie, qui sont liées», poursuit-il.

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  • Le nouveau Dan Brown : un manifeste anticatholique en faveur de la culture de mort

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    « Inferno », le nouveau roman de Dan Brown : « un manifeste anticatholique de la culture de mort » (source : aleteia.org)

    Outre la phobie de l’Eglise, le sociologue italien Massimo Introvigne y relève des appels répétés à l’avortement, la stérilisation forcée et l’euthanasie.

     « Le Vatican me déteste », déclare le docteur Elizabeth Sinskey, dans un passage du nouveau roman américain de Dan Brown « Inferno ». Celle-ci dirige l’Organisation mondiale de la santé et incarne une sainte  laïque qui apparaît en vision au personnage principal, le professeur en symbologie,  Robert Langdon, héros de ses trois précédents romans. « Vous aussi ? » lui répond ce dernier, « je croyais pourtant être le seul ».

    Encore une fois le Vatican, donc l’Eglise catholique, est dans le collimateur de l’auteur. C’est « le fil rouge qui unit tous ses romans », relève le sociologue italien Massimo Introvigne, directeur du CESNUR (Centre d’Etudes sur les nouvelles religions)  et auteur de trois ouvrages critiques vis-à-vis des précédents romans de Dan Brown. 

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  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique (15/5/2013) : euthanasie (enfants, droits des institutions, etc)

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    header_fr.jpgSommaire

  • Quand un Juif se convertit au catholicisme

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    FIC71747HAB47.jpgDe la kippa à la croix

    Présentation (Librairiecatholique.com) :

    Saint Paul, mon cher compagnon de route, a été retourné par le Christ en trois jours sur le chemin de Damas. Moi, Jésus m'a travaillé au corps pendant plus de trente ans ! Depuis que je suis petit garçon, alors que je ne connaissais rien à Dieu ni à la religion puisque ma famille ne pratiquait pas, Il m'attire à Lui. Il y a cinq ans, enfin, Il m'a donné le coup de grâce qui m'a permis de faire le grand saut de la Torah à l'Évangile. Voilà ce que je vais raconter dans ce livre, l'histoire de ma vie avec Dieu. Quand je la relis, je me dis que c'est une histoire de fou. «Ce qu'il y a de fou dans le monde, voilà ce que Dieu a choisi» : c'est saint Paul qui le dit. Dieu lui-même ne se comporte-t-il pas de façon complètement folle dans l'Ancien et le Nouveau Testament, par exemple, lorsqu'il demande à son prophète Osée d'épouser une prostituée ? «Ce qui est folie aux yeux des hommes est sagesse aux yeux de Dieu», écrit le même saint Paul. D'aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours été attiré par Jésus, à tel point qu'à l'adolescence j'ai voulu me convertir au christianisme. Pourtant je savais que cela ferait scandale chez les miens parce que lorsqu'un Juif se convertit, sa famille, même si elle n'est pas religieuse, le vit comme une trahison. Les voies de Dieu sont mystérieuses : je voulais être chrétien et je suis devenu Juif ultra-orthodoxe puis Juif hassid. Mon coeur me portait vers Jésus mais ma tête s'y refusait et mon identité juive me travaillait. Un jour, enfin, au terme d'un long cheminement, Dieu a levé un voile devant mes yeux. Alors là, tout s'est éclairé, il m'a donné une intelligence «nouvelle» et je voyais les choses sous un jour différent. Ce livre raconte une conversion, mais surtout l'histoire d'un homme qui a lutté très longtemps contre le Dieu de Jésus qui l'attendait et lui faisait signe.

    De nombreuses personnes à qui j'ai raconté mon parcours m'ont encouragé à écrire ce livre. De toute façon, comme l'ont dit les apôtres Pierre et Jean aux prêtres qui les avaient arrêtés et voulaient leur interdire de prononcer le Nom de Jésus, il m'est impossible de ne pas parler de ce que j'ai vu et entendu ! Cela me brûle de partager cette découverte du Dieu de Jésus qui a changé ma vie, de la partager largement, pas seulement aux personnes qui assistent aux conférences que je donne sur les Écritures. Cela fait cinq ans que je me suis converti au Christ ; le moment est venu de témoigner ouvertement, sans peur. Je me sens, intérieurement, poussé à le faire.

    J'adresse ce témoignage à tous mes frères. D'abord à ceux qui se disent non-croyants mais qui sentent qu'au fond d'eux-mêmes, ils cherchent Dieu sans le connaître. Je pense à certains qui hésitent à faire une démarche religieuse parce que cela les couperait de leur milieu familial ou intellectuel ou parce qu'ils ont peur de l'Église catholique, soit qu'ils en aient une mauvaise image à travers ce qu'en rapportent les médias, soit que leurs parents catholiques leur aient transmis une vision étriquée et faussée de l'Évangile, soit qu'ils imaginent que l'Église veut les enfermer, les empêcher d'être humains, alors que c'est tout le contraire ! Je pense également à ceux qui en veulent aux chrétiens du mal qu'ils ont commis tout au long de l'histoire, j'y reviendrai. 

    Février 2013, Salvator, 224 pages.

  • Une bibliothèque en ligne des encycliques pontificales

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    Un site met en ligne les grands enseignements des papes depuis 1789 :

    Pie VI (1775 – 1799)
    Discours du 11 juin 1793 suite à l’exécution de Louis XVI
    Grégoire XVI (1831 – 1846)
    Mirari vos (1832) – Sur le libéralisme et les maux de l’Eglise
    Pie IX (1846 – 1878)
    Qui Pluribus (1846) - Sur la Foi et la Religion
    Quanta cura (1864) - Principales erreurs de notre temps
    Syllabus (1864) - Catalogue des erreurs

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  • Le testament spirituel de Benoît XVI

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    FIC72122HAB40.jpgMon testament spirituel

    Benoît XVI

    Présentation :
    Benoît XVI a accepté de rassembler parmi ses textes (homélies, audiences, discours méditations…) ceux qui lui tiennent le plus à coeur et constituent à ses yeux son héritage spirituel. Certains textes sont publiés pour la première fois. Six grands chapitres constituent ce trésor de la prière du pape : Chercher Dieu, Rencontrer Dieu, Fondés en Christ, À l’école de Marie, La foi de l’Église, La nourriture de la prière. 
    Ce livre récapitule ainsi l’enseignement du Saint Père sur la voie de la prière chrétienne
     
    avril 2013 chez Bayard, 117 pages.
  • Le mensuel « La Nef » consacre le dossier de son nouveau numéro à Jacques Maritain

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    Le directeur de « La Nef », Christophe Geffroy, écrit : « Nous avons fêté le 28 avril le 40e anniversaire de la mort du grand philosophe catholique Jacques Maritain (1882-1973) : cet anniversaire ne sera pas médiatisé je le crains, aussi je vous invite à prendre connaissance de notre dossier (deux articles sont en ligne), de vous procurer ce numéro et, si vous le pouvez, d’en parler et de le diffuser .

     Evénement

     VIENT DE PARAÎTRE

    FIC71574HAB27.jpg

    Après la renonciation surprise du pape Benoît XVI, plusieurs personnalités ecclésiales dressent, à la demande de Christophe Geffroy, un premier bilan de ce pontificat dans la collection de La Nef aux éditions Artège : Benoît XVI. Le pontificat de la joie, préface du cardinal Barbarin. A commander ici-même.

     Sommaire du n°248 de mai 2013

     

    FIC72116HAB33.jpgÉDITORIAUX

    Maritain, un maître pour notre temps, par Christophe Geffroy
    Sociologie des Veilleurs, par Jacques de Guillebon

    ACTUALITÉ

    Le temps joue pour l’embryon, par Jean-Marie Le Méné
    Vie de l’Église : Êtes-vous pop louange ?, par Loïc Mérian
    Contre « le mariage pour tous » : le réveil d’un peuple ?, par Christophe Geffroy
    Un nouveau président pour les évêques de France, par Robert Chermignac
    Géopolitique d’abord : Lointaine Chypre…, par Paul-Marie Coûteaux
    Série Vatican II (15) : de l’éducation & des médias, par l’abbé Laurent Spriet
    Lettres toscanes : La fille aînée, par Marc Fromager
    Chronique Vie : PMA et GPA pour tous, par Pierre-Olivier Arduin

    ENTRETIEN : Une âme en vie, entretien avec le Père Tikhon

    DOSSIER : JACQUES MARITAIN
    Maritain : un parcours, par Michel Fourcade
    Le Cercle d’Études Jacques et Raïssa Maritain, par René Mougel
    Maritain, au service d’un thomisme vivant, par Yves Floucat
    L’apport de Maritain à la théologie, par le Père Jean-Miguel Garrigues, op
    Maritain, philosophe de la Cité, par Christophe Geffroy
    Maritain et la démocratie
    , par Philippe Bénéton
    Maritain, l’art et l’éducation, par Jacques de Guillebon

    VIE CHRÉTIENNE
    Année de la foi : Les yeux de la foi (2/7), par l’abbé Laurent Spriet
    Question de foi : Vous avez dit violence ?, par l’abbé Hervé Benoît

    CULTURE
    Histoire : la fin des parlements, par Michel Toda
    Au fil des livres : Armand de La Rouërie, par Philippe Maxence
    Notes de lecture, chroniques musique, sortir, cinéma, Internet, livres jeunes
    Un livre, un auteur : Père Louis-Marie de Blignières
    Portrait : David Hockley, par Marine Tertrais

    BRÈVES : 
    Toutes les annonces du mois en ligne

  • Des questions éternelles, des réponses actuelles...

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    FIC70660HAB40.jpgCroire

    Questions éternelles, réponses actuelles

    Michel-Marie Zanotti-Sorkine

    Prix : 
    9,50 €
     ; 
    Année : 
    2012
    Editeur : 
    Artège; 
    Nombre de pages : 
    108


    Présentation de l'éditeur

    « Dans quelques instants, je vais devoir vous quitter et descendre dans mon église pour recevoir tous ceux qui sont à la recherche d’une lumière, d’une compréhension, d’une indulgence, d’une consolation, d’une prière, d’un respect, d’un sourire, d’un élan, en un mot, de Dieu ! Et à tous les coups, quelqu’un me demandera s’Il existe, un autre m’assurera que le Christ n’est qu’un homme et que toutes les religions se valent, et celui-ci me dira que la morale catholique est un carcan, et celui-là que le mal sur la terre prouve que Dieu est une invention des hommes, et en choeur, beaucoup ajouteront sans imaginer la peine qu’ils me causeront : « Nous n’avons pas besoin de Dieu et surtout pas de l’Église catholique ! » et je vais pleurer, à ma façon, c’est-à-dire en priant, et en espérant aussi que ces modestes pages…arriveront jusqu’à eux – et qui sait ? ouvriront peut-être dans leur coeur et leur esprit une brèche par laquelle Dieu pourra s’engouffrer comme un vent salutaire.»

    Ce recueil de réponses à toutes les questions que chacun se pose à un moment ou un autre de sa vie, le Père Zanotti-Sorkine l’a voulu dans la simplicité de coeur et la grande profondeur qui le caractérisent, comme un père parlerait à son enfant, comme le petit prince recevait avec les mots les plus simples les plus grandes leçons de sagesse. Ce bijou de spiritualité est à mettre entre les mains de tous, croyants ou non, car il a la double vertu d’éveiller et de nourrir la vie en Dieu…

    http://www.editionsartege.fr/

  • Le dialogue islamo-chrétien

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    La Communauté de l'Emmanuel invite ce vendredi soir à une conférence-débat sur un thème vraiment d’actualité, 

    « Vivre Dieu, rencontrer l’autre ». 

    « Chrétiens et musulmans, un appel de Dieu à vivre en frères ? »

    Par Bruno Vermeire, Philosophe et spécialiste du dialogue christiano-musulman.

    vendredi 26 avril à 20h15 au presbytère de St Jacques, place St Jacques, 8, 4000 Liège-Centre.

    Nous conseillons, à ce sujet, la lecture de : Edouard Marie-Gallez, Le malentendu Islamo-chrétien (éd. Salvator). Michel Gitton en rend compte sur France Catholique :

    Le P. Edouard-Marie Gallez n’aborde pas le sujet - ô combien difficile - des relations entre l’Islam et le monde chrétien sans avoir derrière lui de nombreux travaux sur le Coran et divers aspects de l’Islam, ainsi qu’une connaissance des chrétientés orientales et de leur sources écrites. Son principal ouvrage, Le Messie et son prophète (Editions de Paris 2005), en avait surpris plus d’un par l’audace de certaines de ses conclusions qui allaient jusqu’à remettre en cause l’image traditionnelle d’un Mahomet ignorant tout du christianisme et recevant une révélation totalement nouvelle.

    Aujourd’hui il nous invite à sortir du malaise qui est celui de trop de catholiques français, victimes d’une mauvaise conscience lancinante venant des souvenirs de la colonisation, et d’adopter une approche saine à l’égard de l’Islam. Au moment où les musulmans les plus durs trouvent des alliés inattendus dans les mouvements laïcistes pour éradiquer toute influence du christianisme sur la société, il importe que les chrétiens redressent la tête et se rendent compte que ce sont eux qui ont trop souvent ouvert la voie à un Islam qui n’avait plus grand-chose de religieux.

    La mystique du dialogue, inaugurée par celui dont la figure emblématique continue de dominer les relations islamo-chrétiennes, Louis Massignon (1883-1962), amène les catholiques à renoncer non seulement à tout effort pour partager leur foi avec leurs frères musulmans, mais à accueillir sans réaction les fables sur lesquelles est fondé la doctrine de l’Islam. Pour ne faire nulle peine à nos interlocuteurs, nous n’aurions pas le droit de dire que l’histoire a été constamment manipulée pour laisser croire à une génération spontanée, alors que les indices se multiplient qui prouvent que le premier noyau de la communauté du « Prophète » est issue d’un christianisme sans doute déviant, mais représentatif d’un courant messianique attesté par ailleurs.

    Au faux dialogue qui ne débouche que sur un affaiblissement du christianisme, le P. Edouard Marie oppose un « dialogue de salut » où les chrétiens n’ont pas peur d’aborder les questions fondamentales, qui sont celles que pose l’Islam sur le salut, et sur la récompense finale, sur le rôle du Messie et sur son retour à la fin des temps.

    A lire et à faire lire.

    NB : Lire également les réactions sur France Catholique en-dessous du compte-rendu de Michel Gitton.

  • La grandeur de la fragilité

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    couv9765g_200.jpgFragilité, dis-nous ta grandeur !
    Un maillon clé au sein d'une anthropologie postmoderne

    Sous la direction de Bernard Ars — Préface de Bruno Cazin

    Paru le 19 Avril 2013

    20,00 € - Disponible - 258 pages

    Collection « Recherches morales »

    aux Editions du Cerf


    Résumé (sur le site des Editions du Cerf)

    Dimension incontournable de notre humanité, condition de nos pauvretés, de nos maladies et de nos peines autant que de nos relations d'amour et de tendresse, la fragilité humaine soulève des réactions ambivalentes de rejet et d'accueil. 

    Dans une société où les valeurs d'autonomie, de maîtrise et de performance prédominent, celles et ceux qui rendent visible notre fragilité commune subissent souvent des formes de dépréciation, voire de discrimination. Écarter la fragilité de l'ordre du langage explicite et, le cas échéant, de l'acte de soin ne veut pas dire qu'elle n'existe pas implicitement dans l'existence de chacun. 

    À contre-courant, les spécialistes ici rassemblés affirment que la grandeur d'une société se mesure à l'aune de la prise en compte de la fragilité de tous ses membres, spécialement ceux qui se trouvent en situation de grande précarité physique, psychique, morale ou spirituelle.

    Collaborations :  Bernard Ars -  Bruno Cazin -  Philippe De Woot -  David Doat -  Bertrand Galichon -  Édouard Herr -  Pascal Ide -  Dominique Lambert -  Xavier Le Pichon -  Jean-Guilhem Xerri

    Dimensions : 215 x 135 x 20  - Poids : 315 grammes

    ISBN : 978-2-204-09966-0 - SODIS : 8296528 - EAN : 9782204099660
  • Croire rend-il crétin ?

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    Emmanuel Jaffelin, auteur d'un livre intitulé "On ira tous au Paradis : croire en Dieu rend-il crétin" (Flammarion, 2013), répond aux questions de Philippe Couture sur Radio Canada :

    Alors qu'une majorité d'Occidentaux vilipendent les institutions religieuses, le philosophe Emmanuel Jaffelin rame à contre-courant dans son plus récent livre. Jugeant que la religion nous sort du matérialisme dans lequel le marché nous emprisonne, il croit aussi que les athées se posent moins de questions que les croyants et vivent davantage dans l'apathie. Son opinion dérange, dans une société où l'athéisme est devenu le nouveau prêt-à-penser.  

    Audio-vidéo : Écouter l'entrevue avec Emmanuel Jaffelin

  • Des zombies, les catholiques ?

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    C'est ce qu'affirment deux auteurs,  Le Bras et Todd, d'un livre censé analyser "le mystère français". Jean-Pierre Denis, dans La Vie, analyse cet ouvrage et dénonce les travers auxquels succombent ces auteurs :

    Les catholiques sont-ils des zombies ?

    Un côté de la France résiste à la crise : celui où la culture chrétienne perdure alors que la foi y serait morte, avancent Le Bras et Todd, fascinés par ce"mystère".

    Comment va la France ? Mal, répondra-t-on sans réfléchir, sûr de ne pas trop se tromper. Pas si mal, répondent dans Le Mystère français (Seuil) Hervé Le Bras, démographe, et ­Emmanuel Todd, anthropologue, pointant de multiples indicateurs auxquels on prête trop peu d’attention : faiblesse du taux de suicides, excellent niveau éducatif, fécondité relativement élevée, baisse des homicides… Cartes à l’appui, leur ouvrage dresse un portrait pour le moins inattendu de notre pays. À peu près seuls contre tous, ils jugent les Français « inconsciemment optimistes ». Un travail aussi original que riche et passionnant, servi par la clarté du propos.

    Lire la suite sur La Vie