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Politique - Page 709

  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique du 15 septembre

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    images (4).jpgBulletin de l'IEB - 15 septembre 2011

    Sommaire

  • Le patrimoine religieux objet de concupiscences socialistes ?

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    Ce Communiqué de presse émanant du PS, transmis par l'Attachée de presse du Groupe PS au Parlement wallon ; Parlement de la Communauté, n'est pas sans arrière-pensées :

    "La Présidente du groupe PS au Parlement wallon, Isabelle Simonis : "restaurons et réaffectons nos églises classées en Wallonie"

    Parmi les 2.800 biens classés en Wallonie, plus de 700 sont destinés à l'exercice d'un culte, avec les répercussions financières que l'on sait sur les pouvoirs publics tant régionaux que locaux. 380 églises sont classées comme monuments et 200 chapelles bénéficient de la même protection. Parmi ces 380 églises protégées, 38 sont sur la liste du Patrimoine exceptionnel de Wallonie.

    A côté de ces monuments faisant l'objet d'une mesure de protection, s'ajoutent les édifices non classés, afférents également au culte catholique, qui se chiffrent à plus de 1.900 en Wallonie. En vingt ans, 120 millions d'euros ont été investis dans ces monuments classés. Pour l'année 2010, près de 5 millions d'euros ont été exclusivement consacrés à la restauration des édifices classés ouverts au culte.

    Rien qu'en citant ces chiffres impressionnants, on comprend les enjeux majeurs qui se trouvent derrière l'entretien de ces biens. Comment les pouvoirs publics et les établissements cultuels vont-ils faire face aux coûts d'entretien et de grosses réparations de ces édifices ? Le tout dans un contexte de déclin des pratiques religieuses.

    Soucieuse du problème, la Présidente du groupe PS au Parlement Wallon, Isabelle Simonis, vient de déposer, avec le député wallon Daniel Senesael, une proposition de décret visant à réaliser un cadastre des monuments classés affectés à l'exercice d'un culte en Région wallonne. Le but : disposer d'une photographie de la situation existante et d'une base objective nécessaire à toute décision raisonnée, tant en termes de restauration que de réaffectation.

    Isabelle Simonis et Daniel Senesael considèrent que les biens classés doivent être évalués sur des critères liés à leur état de conservation ainsi qu'à leur taux de fréquentation. Ainsi, les autorités compétentes disposeront d'un outil de choix afin d'opérer une planification des travaux de conservation et de restauration et de mener une réflexion concertée sur le devenir des édifices relevant de l'exercice d'un culte. Il s'agit donc avant tout de mener une réflexion sur le devenir des édifices de culte et sur leur éventuelle nouvelle affectation, sans remettre en cause l'opportunité d'octroi des subsides qui est acquise, s'agissant de monuments classés."

  • L'irréversibilité, un mythe qui a du plomb dans l'aile...

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    Il y a une plus de trente ans, avec une délégation d'enseignants, nous avions rencontré le ministre en charge de l'Education nationale pour lui faire part de nos objections concernant l'instauration du "rénové". Il nous avait répondu que c'était "irréversible" et qu'il ne fallait pas rêver de "retour en arrière".

    Constatons que cette "culture de l'irréversibilité des choses" s'est installée dans les esprits et que beaucoup se sont résignés avec fatalisme à une évolution inéluctable qui serait imposée par un prétendu "sens de l'histoire".

    Il faut bien prendre acte aujourd'hui que ce mythe de l'irréversibilité a du plomb dans l'aile. Ainsi avons-nous vu s'effondrer l'idéologie qui prétendait incarner l'avenir de l'humanité en accomplissant les prédictions de Karl Marx. Dans le domaine pédagogique, les théories novatrices des années '70 et suivantes sont de plus en plus remises en question en raison de leurs résultats désatreux : méthode globale, constructivisme, bannissement des savoirs au profit des compétences... tout cela est aujourd'hui largement discuté et l'on s'en réjouit. Sur le terrain institutionnel belge, ceux qui considéraient comme inéluctable la marche vers le séparatisme peuvent aujourd'hui constater que le monde politique lui-même se refuse à commettre l'irréparable. Enfin, ceux qui pensaient que l'Eglise avait opéré un tournant décisif et consommé une rupture définitive avec l'avant-concile s'aperçoivent aujourd'hui que le souci de la continuité l'emporte sur la manie des expériences et des remises en question, que ce soit dans la liturgie ou dans la doctrine.

    Libérés de ce fatalisme de l'irréversibilité, nous pouvons nous aventurer dans des initiatives et des expériences sans exclure celles qui ont fait leurs preuves, y compris celles de la Tradition, et c'est vraiment libérateur!

  • Ouf ! et reprenons tous en choeur (Leterme y compris) : "Bloei, o land, in eendracht niet te breken..."

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    armoiries_royales.jpgSans être encore vraiment sortie de l'impasse, il semble que la Belgique ait évité la crise majeure et l'éclatement que d'aucuns jugeaient inéluctable. Tout n'est pas gagné comme vous le découvrirez dans la "presse généraliste", mais le pire a pu être évité cette nuit avec un nouveau compromis sur cette pomme de discorde que représente la scission de l'arrondissement de Hal Vilvorde : une scission que les partis flamands ont enfin obtenue tandis que les francophones se consolent avec diverses garanties qui leur ont été octroyées.

    Cela démontre que par delà les clivages lingistiques et communautaires et malgré les intérêts contradictoires des partis engagés dans la négociation, personne n'a voulu endosser la responsabilité de mettre fin à l'existence du pays et que l'on s'est rendu compte que l'on ne pouvait en courir le risque dans les circonstances que l'Europe traverse actuellement avec les menaces qui pèsent sur son économie et sa monnaie.

    Et pour ceux qui trouvent que le maintien de la Belgique est une mauvaise solution, la démonstration est faite qu'on n'en a pas de meilleure. Il reste maintenant à voir si nos tristes politiciens vont se mettre d'accord sur les autres points de la négociation mais il semble que le plus dur soit fait.

    Quant à nous qui sommes convaincus du bienfait que représente une Belgique solidaire et qui pensons que toutes ces réformes et tous ces compromis constituent un mauvais chemin qu'il faudra rebrousser tôt ou tard, il nous reste à travailler pour convaincre les citoyens lambda du bienfait que représente l'existence de la Belgique. Cela suppose qu'on apprenne à se rencontrer, à comprendre (au moins passivement) la langue de l'autre, à développer les complémentarités trans-linguistiques (scaldiennes à l'ouest, entre Liège, le Limbourg et Anvers par ailleurs, etc.).

    On peut rêver aussi d'un vrai fédéralisme qui ne soit pas un fédéralisme de division et de dissociation, mais d'un fédéralisme d'union entre une multiplicité d'entités fédérées comme dans tout état fédéral digne de ce nom : pourquoi pas un fédéralisme unissant des provinces, voire des arrondissements? Mais pour cela, il nous faudrait une autre classe politique, non pas constituée de gens qui défendent d'abord les intérêts de leurs partis respectifs, mais des gens capables de se hisser au niveau de l'intérêt commun et des conditions nécessaires au bien-être de tous les citoyens de "ce pays".

  • Monsieur Leterme, un peu d'héroïsme que diable !

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    Monsieur le Premier Ministre,

    Ainsi, il paraît que vous voulez nous quitter pour devenir secrétaire-adjoint de l'OCDE, poste auquel vous entreriez en fonction au mois de décembre prochain. Même si, on peut vous l'accorder, vos confrères politiciens font preuve de stupidité et d'absence totale de sens du bien commun, pouvez-vous ainsi quitter la barre d'un navire qui risque de s'échouer pour de bon? Dans les circonstances que traverse la Belgique, l'Europe, le monde, est-ce bien le moment de se débiner et d'opter pour une fonction sans doute plus gratifiante mais où votre présence est nettement moins indispensable? Nous vous sommes évidemment reconnaissants d'être resté au poste pendant tous ces mois écoulés et durant lesquels nos politiciens ont donné au monde le spectacle surréaliste d'une crise interminable et toujours non résolue. Grâce à vous, nous avons vécu une période de tranquillité au point de penser que la formule idéale serait de gérer les affaires courantes et d'interdire aux politiciens d'aborder l'"institutionnel". Aujourd'hui, nous nous rendons compte que le bloquage est complet : les partis autour de la table craignent de perdre la face et surtout de perdre des électeurs : le MR appréhende de perdre son électorat FDF, le CDNV ne veut pas risquer de voir son aile nationaliste le quitter au profit de la NVA...

    Alors, qu'est-ce qui prévaut d'abord? Allez! Un effort! Un peu de sens du sacrifice, et votre nom restera dans l'histoire comme celui d'un homme qui aura sauvé ce pays de l'éclatement.

  • Conférence à l'occasion du 30e anniversaire de l'encyclique 'Laborem exercens'

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    images.jpg"Le travail humain est une clé, et probablement la clé essentielle, de toute la question sociale, si nous essayons de la voir vraiment du point de vue du bien de l'homme. Et si la solution (...) de la question sociale, (...) doit être cherchée dans un effort pour «rendre la vie humaine plus humaine» , alors précisément la clé qu'est le travail humain acquiert une importance fondamentale et décisive." Laborem exercens

     A l'occasion du 30e anniversaire de l'Encyclique sociale Laborem Exercens

    vous êtes invités à assister à une Conférence

     LABOREM EXERCENS

    La place centrale du travail dans l’économie sociale de marché européenne

    Mercredi 21 septembre 2011

    14h30 - 17h30

    au Parlement européen, salle JAN 2Q2

    Conférence présidée par

    M. le Député Othmar Karas, Vice-Président du Groupe PPE

    M. le Député Gianni Pittella, Vice-Président du Parlement Européen, Groupe S&D

    Intervenant principal

    Cardinal Peter Turkson,

    Président du Conseil pontifical "Justice & Paix"

    Interprétation simultanée en anglais, français, allemand, italien, espagnol

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    Télécharger l' Invitation

  • Sri Lanka : l'Eglise travaille à la réconciliation

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    AED International - Adaptation Robert Lalonde, AED Canada

    « Bien qu’elle ne représente qu’une minorité de la population, l'Église catholique peut jouer un rôle fondamental dans la reconstruction du Sri Lanka et l’aider à panser ses blessures, après de longues années de guerre civile qui a coûté la vie à 100 000 personnes », a confié le cardinal Malcolm Ranjith, archevêque de Colombo, à l’Aide à l’Église en détresse (AED).

    Il a dit que les catholiques détenaient « une position cruciale » pour aider à promouvoir la réconciliation entre les deux groupes ethniques du pays.

    Selon le cardinal Ranjith, après plus de 20 ans de guerre, l'Église peut aider à ramener la confiance entre Cingalais et Tamouls puisque les catholiques sont présents dans les deux communautés.

    « Un Cingalais ou un Tamoul, est avant tout un chrétien », a-t-il souligné, non sans penser qu’il y certains principes à respecter. « Si nous appliquons certains principes sincèrement, sans prendre partie, nous pouvons construire des ponts entre les deux communautés », a-t-il assuré.

    Pour l'archevêque de Colombo, des initiatives religieuses, comme le pèlerinage au sanctuaire Notre-Dame de Madhu, fréquenté par les deux groupes, peuvent aider à unir les habitants du pays. « Elles peuvent servir de catalyseur, d’exemple pour montrer que dans notre religion, les personnes peuvent vivre ensemble », a soutenu l’archevêque.

    Il insiste toutefois en disant que : « Plus que par la parole, nous devons témoigner dans les faits, montrer comment on vit les uns avec les autres ».

    Le cardinal a remercié l’AED pour l’aide qu’elle a fournie à l'Église durant et après la guerre civile, par exemple, en soutenant les séminaristes, la catéchèse, en contribuant au financement de matériel éducatif pour les chrétiens, en aidant les prêtres et en participant à la restauration d’édifices religieux endommagés par la guerre.

    L’AED est également intervenue au secours des personnes déplacées pendant le conflit. Selon le cardinal, 25 000 personnes se trouveraient encore dans les camps.

    source : https://www.facebook.com/note.php?note_id=10150294241212800

  • L'ONU et la "Population bomb", on remet ça...

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    C'est ICI

    "Ce n'est pas nouveau. Mais ça va mieux en le répétant de temps en temps : ONG et organisations internationales veulent à tout prix imposer au monde entier le contrôle de la population « choisi » par les femmes à travers la contraception.

    Mercredi dernier, organisé par l'Aspen Institute (qui est parrainé par Mary Robinson, Madeleine Albright et bien d'autres grands noms de la planète bien-pensante) un séminaire à Washington D.C. dans une série consacrée aux « 7 milliards » se penchait sur « La bonne gouvernance et le rendement-femmes ». Invitée d'honneur : Michelle Bachelet, ancienne présidente du Chili et directeur exécutif d'ONU-Femmes, et Vaira Vike-Freiberga, ancienne présidente de Lettonie.

    Il n'y a qu'une solution à l'explosion démographique (mais oui, on nous rejoue la Population Bomb d'Ehrlich qui s'était si lourdement trompé) : c'est de rendre la contraception plus accessible dans le monde en voie de développement, tel était le leit-motiv."

    Lire la suite ici : http://leblogdejeannesmits.blogspot.com/2011/09/7-milliards-dhommes-il-faut-plus-de.html

  • La controverse à propos de la théorie du "genre" ( gender )

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    I-Moyenne-6601-gender-la-controverse.aspx.jpg"Suite à l'inscription (en France) d'un enseignement inspiré des gender studies dans les programmes de Sciences et vie de la terre (SVT) de la classe de première, le conseil pontifical pour la famille a publié en France un ouvrage intitulé Gender, la controverse.

    La théorie du genre distingue l'identité sexuelle biologique et le "genre", masculin ou féminin, compris comme une construction sociale et culturelle. Réfléchissant sur la théorie du genre depuis les années 1990, L'Eglise catholique y repère une approche dangereuse en ce qu'elle remet en question la différence sexuelle intrinsèque à l'humanité et induit un changement de paradigme entraînant notamment la déconstruction de la famille et de la filiation. Tony Anatrella, psychanalyste, spécialiste des questions de famille et de santé, repère dans cette théorie une "idéologie totalitaire" relevant d'un "agencement conceptuel qui n'a rien à voir avec la science".

    Lire la suite

  • Ne pas révéler le sexe de l'enfant en gestation pour protéger les petites filles à naître ?

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    La Libre rapporte ces informations parues sur le site 7sur7.be :

    "Une directive européenne pourrait interdire aux futurs parents de connaître le sexe de leur enfant à venir, rapporte le site 7sur7.be. C'est la proposition faite par la Commission européenne pour faire face au taux inquiétant d'avortements dû au sexe de l'enfant (avortement sélectif) dans certains pays de l'est.

    En Arménie, et en Albanie notamment, le nombre de filles nées chute contrairement au nombre de garçons.

    Nous ne sommes pas à l'abri pour autant dans les pays de l'Ouest. En effet, cette directive européenne s'appliquerait à tous les pays membres de l'Union. Cette proposition risque donc de provoquer de vives réactions de la part des futurs parents et des médecins. Sur Internet, les commentaires négatifs commencent à tomber.

    Interrogé par 7sur7.be, le professeur Gillian Lockwood estime que cela sera difficile à appliquer, de nombreux couples ayant appris à reconnaître eux mêmes le sexe de leur future progéniture.

    Gilliam Lockwood fait remarquer également que de nombreux parents souhaitent savoir à l'avance s'ils vont accueillir une petite fille ou un petit garçon seulement afin de préparer son arrivée."

  • Une crise européenne aux effets imprévisibles ?

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    "...le vendredi 9 septembre 2011, la plupart des grands médias institutionnels rabâchaient ad nauseam l’effondrement du World Trade Center, avec à la clé interviews des rescapés, témoins, commentateurs, anonymes etc.

    Le même jour, les ministres des sept principaux États de la planète, le G7, se réunissaient à Marseille sans arriver à se mettre d’accord sur une solution à la crise gravissime qui frappe la Grèce.

    Le même jour encore, la démission du N°2 de la Banque Centrale Européenne, l’Allemand Jürgen Stark, manifestait le fossé qui s’est creusé entre l’Allemagne et ses partenaires européens, la première refusant de financer à fonds perdus la dette publique de la Grèce et des autres pays méditerranéens de la zone euro...."

    Lire la suite ici, sous la plume de Joseph Savès

  • L'Egypte se prépare à affronter un automne intense

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    Roberto Simona, responsable de l’association l’Aide à l’Église en détresse, écrit à Oasis depuis l’Égypte, pays qui se prépare à affronter un automne intense. Il nous décrit le regard qu’un voyageur occidental pose sur ce grand pays sorti d’un printemps chargé d’espérance, encore incertain et à la recherche d’un nouveau profil interne et international :

    Le printemps arabe en cet été 2011? En Égypte, il semble s’être arrêté avec l’éviction du président Hosni Moubarak. Qui oserait aujourd’hui énoncer le nom d’un leader pour ce pays, une personnalité qui serait capable de répondre aux cris des jeunes qui continuent à réclamer, chaque vendredi sur la place Tahrir, la liberté, à clamer « hourriyya» ? Qui serait à même de prédire l’avenir du pays et imaginer des projets possibles ?

    La situation sur le terrain et les rencontres avec les autochtones n’apportent par vraiment de réponses à ces questions, mais permettent d’établir un constat. C’est la stagnation qui règne dans le pays, dans les villes et les villages. Du Caire à Louxor, la situation est catastrophique. Le marasme d’une économie en pleine chute s’y exprime notamment par le boycott du tourisme, dont la perte est déjà chiffrée à quelques milliards d’euros. Mais, en dépit de cette situation, les Egyptiens parlent de thaoura, de révolution. Nous constatons qu’il y a eu une révolution dans le fait que nous pouvons traverser la Haute Égypte en voiture ou en train, sans être accompagnés. Nous pouvons également visiter différents villages sans que la police de sécurité rattachée à la tristement célèbre Emn Daula du Ministère de l’Intérieur ne doive être informée de nos déplacements ou ne soit obligée de nous escorter, comme c’était le cas auparavant...

    la suite se trouve ici : http://www.oasiscenter.eu/fr/node/7279