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Politique - Page 707

  • L'immigration, un droit naturel mais pas absolu

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    Le site "Cité et Culture" propose ce rappel :

    Accueillir ceux qui sont contraints de fuir leur pays

    L’Eglise reconnaît l’immigration comme un droit naturel du fait même de la destination universelle des biens : "Dieu a destiné la terre et tout ce qu’elle contient à l’usage de tous les hommes et de tous les peuples".

    On ne peut donc refuser à des personnes vivant dans des conditions particulièrement éprouvantes d’émigrer : "pour eux doivent être libres les voies de l’émigration, le droit naturel l’exige" . En conséquence, chacun est tenu de respecter la dignité des personnes concernées : tout immigré doit trouver dans le pays qui l’accueille les conditions d’une vie décente.

    Au premier rang de ces conditions minimales : une vie familiale normale. Doivent être respectés "la dignité et les droits de la personne humaine et de la famille, pour que celle-ci demeure réunie, qu’elle puisse créer un nouveau chez soi et y trouver le nécessaire, afin de vivre contente et agréable à Dieu", explique Pie XII . Alors que la question du regroupement familial se posait de manière aiguë en France dans les années 80, l’exhortation apostolique "Familiaris Consortio" confirme en 1981 "le droit d’émigrer en tant que famille pour chercher de meilleures conditions de vie".

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  • Révolutions arabes : évitons les simplismes

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    François Martin, sur le site de Liberté Politique ("Décryptage"), propose une approche critique du "printemps arabe" :

    "Les médias, suivant les recettes de la publicité plutôt que celles de l’information, ont une certaine tendance à nous présenter les révolutions arabes en nous racontant une histoire pour enfants et en nous passant un film en noir et blanc.

    Premier chapitre, le « romantisme révolutionnaire » : par une sorte de nécessité de l’Histoire, un grand vent pousse partout des « bons » manifestants à chasser de « mauvais » despotes, pour que s’instaure ensuite (on ne sait pas trop comment d’ailleurs) une société idéale, c’est-à-dire comme la nôtre. Deuxième chapitre, le « péril vert » : une fois que la révolution a eu lieu, et que les partis islamiques, comme il fallait s’y attendre, ont pris le pouvoir. Les nouveaux gouvernements sont alors frappés d’ostracisme car la charia y est programmée à terme avec une absolue certitude. On refuse donc de les croire légitimes, malgré qu’ils aient été élus par les peuples. La vérité est-elle aussi simple ?

    Lire la suite : Revolutions-arabes-Rien-n-est-simple

  • Un astre nouveau au firmament du Vatican

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    La Libre de ce jour publie la plaisante pasquinade que lui a adressée Mutien-Omer Houziaux :

    Une nouvelle consultante au Vatican

    Les Goemans, les Nougé, les Magritte, les Chavée, et autres hérauts belges du messianisme surréaliste risquent de perdre un peu de leur éclat singulier. En cette période de l’Epiphanie, c’est une nouvelle étoile qui vient d’apparaître au firmament des visionnaires de l’art aléatoire. L’astre nouveau a été baptisé Laurette; outre d’éminentes activités publiques, elle assumera désormais de tout autres fonctions, également élevées, quoique occultes. De source généralement bien informée, on apprend en effet que Rome l’aurait investie d’une prélature (putative) au titre de guide spirituelle et protectrice des catholiques belges. Chargée d’évaluer le travail des personnes à surveiller, elle aurait déjà, par courrier ultramontain, envoyé une première note plus que sévère à propos d’un suspect. Peu de choses ont filtré des prérogatives exactes confiées au nouveau primat (un titre encore non féminisé), mais il semble bien qu’une de ses principales missions serait de remettre le catéchisme de l’Eglise catholique en conformité avec la législation belge, en veillant toutefois à ne pas porter atteinte aux droits acquis d’autres confessions. Mission délicate s’il en est. Chacun sait, en effet, que le législateur belge a pris sur des questions au demeurant politiquement considérées comme mineures des positions avancées (comme on qualifie certains fromages de "un peu trop goûteux"). Au vu des informations qui circulent sur Internet, il semble que la tâche confiée à la nouvelle dignitaire pourrait connaître quelques revers de fortune, une certaine opposition se faisant de moins en moins silencieuse. Attendons donc le temps pascal : selon une tradition presque bimillénaire, il paraît que ce temps-là est propice à une certaine résurrection des esprits.

    Mutien-Omer Houziaux

  • Pendjab : l'enseignement catholique confronté à une volonté d'islamisation

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    Le site des Missions Etrangères de Paris souligne la dégradation de la situation de l'enseignement catholique au Pendjab. Extrait :

    "Outre les problèmes financiers, les écoles chrétiennes du Pendjab, y compris les plus réputées, doivent affronter les discriminations liées à l’islamisation progressive du pays. En 2005, le ministre de l’Education du Pendjab, Imran Masood, déclarait pourtant aux responsables de l’enseignement catholique de Lahore : « Nous ne vous considérons pas comme des étrangers. Vos écoles sont nos écoles (…) et nous pensons que les minorités doivent participent pleinement à l’éducation de notre nation (…). S’il vous plaît, ouvrez des écoles secondaires et des universités. Nous vous accorderons volontiers toutes les autorisations nécessaires et nous vous restituerons toutes les écoles qui ne l’ont pas encore été » (2). Mais en 2006, malgré ses promesses, le gouvernement rendait obligatoire pour les établissements secondaires du pays « l’enseignement de l’islam et de l’arabe (l’Islamiyat) comme matière principale, et de la morale pour les non-musulmans ». Une mesure rapidement dénoncée par les minorités comme fortement discriminatoire, les élèves ayant choisi les cours de morale échouant systématiquement aux examens..."

    Lire l'entièreté de l'article

  • La solidarité, remède contre l'individualisme

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    Comme en chaque début d'années, le Saint-Père a reçu les organes dirigeants de la Région Latium, de la Municipalité et de la Province de Rome, devant lesquels il a évoqué la complexité et l'acuité des problèmes générés par la crise. Celle ci, leur a dit Benoît XVI, "peut être une occasion pour la société toute entière de voir si ses critères actuels ont produit un monde juste et solidaire, ou si il ne faudrait pas repenser profondément les valeurs de référence... Des valeurs qui peuvent favoriser une reprise économique mais aussi le développement intégral de la personne". Puis il a dénoncé "l'individualisme, qui occulte la dimension relationnelle de l'homme, et le conduit à se replier sur son petit monde, attentif à satisfaire avant tout ses désirs et besoins personnels au détriment des besoins d'autrui. La spéculation des loyers, un accès de plus en plus difficile à l'emploi des jeunes, la solitude accrue des personnes âgées, l'anonymat croissant des périphéries, comme une perception trop souvent superficielle de la marginalité et de la pauvreté", découlent de cette mentalité. Il convient donc de "retrouver la relation à l'autre comme élément constitutif de la vie", et de comprendre que Dieu "est seul capable d'offrir aux hommes un accueil sans condition et un amour infini".

    Les institutions publiques doivent favoriser la conscience de ce que nous sommes tous membres de la même réalité, en développant l'accueil, la solidarité et la légalité. Chaque individu "doit apprendre à se sentir hôte d'une maison commune, dont il doit lui aussi avoir soin". La solidarité, a poursuivi le Pape, "constitue une exigence de charité et de justice que, dans les moments difficiles, les plus aisés mettront au service de qui se trouve en difficulté". Quant aux institutions publiques, elles doivent "défendre la famille, fondée sur le mariage, qui est la cellule essentielle de la société", et appliquer la charité de façon particulière en faveur des jeunes. Ils " sont les plus pénalisés par le chômage" et ont besoin de "politiques en mesure de leur assurer un logement à prix correct ainsi qu'un emploi". Ainsi on leur évitera d'être "victimes de criminels, proposant de faux bénéfices". Le Saint-Père a conclu en disant qu'il est également "nécessaire de faciliter une culture de la légalité, en aidant les citoyens à comprendre que les lois servent à canaliser les énergies de la société en faveur du bien public". Ainsi a-t-il recommandé aux institutions publiques de prendre des mesures justes et équitables, "qui tiennent aussi compte de la loi que Dieu a inscrite dans le coeur de l'homme, et que la raison permet à chacun de connaître".

    Source : AC/VIS (Vatican Information Service) 20120112 (450)

  • Hongrie : où trouver un antidote à la désinformation ?

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    Il est difficile de trouver dans la presse en langue française quelque chose de correct à propos de la Hongrie. On n'entend que les aboiements indignés de la meute enragée. Comment ce pays ose-t-il braver le consensus du politiquement correct en édictant une constitution où la famille, l'embryon humain, et même Dieu, ont droit à des égards particuliers? Mais nos redresseurs de torts ont plus d'un tour dans leur sac et s'apprêtent à recourir à des pressions économiques pour contraindre la Hongrie à revenir à des sentiments plus conformes à notre modèle de "démocratie libérale avancée".Et "Dimanche" ne fait pas mieux, comme nous le fait remarquer une de nos lectrices :

    "Quelque chose de correct à propos de la Hongrie? Ce n'est sûrement pas dans le "Dimanche" de cette semaine que vous le trouverez. Le très "progressiste" Pascal André s'est fendu d'un article vengeur et sans nuances sur ce qu'il appelle la dérive inquiétante de Viktor Orban. Sans faire la distinction entre les aspects positifs du point de vue chrétien et d'autres purement politiques et économiques qui peuvent effectivement être l'objet de critiques. Mais de là à prétendre que "c'est salir et instrumentaliser le nom de Dieu que de l'associer à une telle dérive autocratique", il y a de la marge. Le moins que l'on puisse dire c'est que l'unique hebdo catholique francophone est plutôt orienté..."

    Notre amie du site "Benoît-et-moi" n'a pas ménagé ses efforts pour trouver, en Italie et en Angleterre, des articles qu'elle a courageusement traduits et mis en ligne. Nous vous invitons à en prendre connaissance :

    Où va la Hongrie? L'unanimité de la grosse presse contre ce petit pays d'Europe centrale méconnu, qui souffre d'être "mal" sorti du communisme, commence à ressembler à un lynchage télécommandé. Deux articles de la Bussola d'aujourd'hui apportent un éclairage différent. (11/1/2012)

    Ou va la Hongrie? (suite) En prolongement des deux articles de la Bussola traduits hier, voici un article du quotidien britannique The Telegraph, témoignage de l'écrivain anglais d'origine hongroise Tibor Fisher. (12/1/2012)

    Il faut prier pour la Hongrie! Une lettre d'un agent pastoral hongrois, ingénieur à la retraite. Mon amie Marie-Anne l'a traduite pour mes lecteurs, en les remerciant de leur sympathie pour ce pays en danger. (12/1/2012)

  • Prochaines présidentielles américaines: un catholique républicain face à Obama ?

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    imagesCAZ758LL.jpgLu sur le site de “La Vie” (extraits):

    Rick Santorum: “Le concurrent catholique de Mitt Romney à la course à l'investiture républicaine se veut le défenseur acharné des "valeurs familiales". Une image en décalage avec son passé d'homme politique proche des lobbies industriels, mais un discours radical qui plaît à une certaine Amérique profonde (…). Il a failli remporter le "caucus" de l'Iowa le 3 janvier, non sans surprise, et il est devenu un concurrent potentiel de Mitt Romney, le candidat favori. Incarnant les valeurs traditionnelles, ce conservateur "compassionnel" revendiqué fait figure de jeune premier, un peu gauche et avec un budget ridicule (son site officiel, où le candidat lance un appel au don, annonçait le chiffre de 22 000 dollars, lundi 9 janvier à 14h). Il y a encore quelques semaines, ni lui, ni ses soutiens ne pouvaient penser qu’il serait au centre des débats à la primaire dans le New Hampshire ce mardi 10 janvier. Mais c’est ainsi. Avec un discours populaire et simple, centré sur les questions de société, avec ses vêtements vieillots, type gilet sans manches et chemises impeccables, ce père de famille suscite d’emblée une certaine sympathie auprès des Américains chrétiens blancs, majoritaires dans les Etats du Midwest comme l'Iowa, et qui n’ont jamais vraiment été séduits par le mormon Mitt Romney. Ce dernier pourrait de surcroît être associé à l’élite économique et libérale du Nord-Est (…).

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  • Le régime des cultes en Belgique

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    govbel059_001.jpgPour mettre un peu d’ordre dans les idées du citoyen, après les déclarations extravagantes des milieux politico-médiatiques, ces derniers jours, nous proposons ce petit vade-mecum du droit en vigueur dans notre royaume :

    Les relations entre les Eglises et l’Etat belge, sont fondées principalement sur quatre articles de la constitution : les articles 19 (libre exercice du culte), 20 (absence de contrainte à y prendre part), 21 (liberté d’organisation), 181 (prise en charge par l’État de la rémunération des ministres des cultes reconnus) et, plus indirectement, sur une série d’autres dispositions constitutionnelles relatives aux libertés publiques dont, par exemple, celle de l’enseignement.

    S’agissant des trois domaines majeurs : l’exercice du culte,  l’organisation des Eglises et leur rôle dans la société belge, les commentaires suivants peuvent être apportés :

    Les actes du culte

    La liberté d’exercice des cultes est traditionnellement limitée par une triple restriction :

    - la poursuite des infractions au code pénal commises sous le couvert d’un acte cultuel, en ce compris l’attaque directe (et non la simple expression d’une opinion critique) de l’autorité publique par un ministre de la religion dans l’exercice de ses fonctions, article 268 du code pénal;
    - les nécessités de la police administrative pour maintenir l’ordre et la sécurité dans l’exercice public du culte, à l’exclusion de toute disposition préventive permanente (comme l’autorisation préalable) pour les cérémonies qui se déroulent dans les édifices du culte ;
    - l’interdiction faite par l’article 21 al.2 de la constitution (et sanctionnée par l’article 267 du code pénal) de célébrer un mariage religieux avant le mariage civil (sauf si l’un des conjoints est en danger de mort).

    Cette liberté est, par ailleurs, protégée ou favorisée par d’autres dispositions :

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  • S'acharner contre l'Eglise, c'est facile et cela ne coûte rien

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    Nos politiciens et les lobbies homosexuels s'en prennent à l'Eglise. C'est facile et cela ne coûte rien. S'inquiètent-ils de savoir ce que la communauté musulmane, qui prend de plus en plus d'importance chez nous, pense du "mariage" homosexuel ou de l'adoption par des couples de personnes du même sexe? Non seulement nos politiciens "progressistes" - et nos médias - ne semblent pas s'en inquiéter mais ils adulent la religion musulmane, espérant récolter le soutien et les voix des électeurs provenant de l'immigration. Pourtant, des informations comme celles-ci devraient les faire réfléchir :

    "Angleterre. Accusés d’avoir distribué à proximité de la mosquée Jamia de Derby un tract préconisant la peine de mort pour les personnes homosexuelles, cinq musulmans radicaux britanniques étaient convoqués ce mardi devant la justice britannique. C’est la première poursuite pour incitation à la haine fondée sur l’orientation sexuelle depuis l’entrée en vigueur de cette législation en mars 2010.

    Les islamistes ne sont pas poursuivis pour les tracts critiques envers l’homosexualité et le comportement homosexuel qu’ils ont également distribué dans le cadre de l’organisation d’une contre-manifestation en réaction à la gay pride de 2010." (source : Nouvelles de France)

  • BXL, 1er février : une conférence de Mgr Léonard

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    Le mercredi 1er février à 18h30,

    Mgr André-Joseph Léonard, Archevêque de Malines-Bruxelles

    viendra présenter son livre

    Agir en chrétien dans sa vie et dans le monde

    à l’UOPC, 14-16, avenue Gustave Demey, 1160 Bruxelles
    02 648 96 89

    Réservation souhaitée.

      Agir en chrétien
    Agir en chrétien Auteur(s) : André-Joseph Léonard (Mgr)
    Parution : 07-10-2011 

    Format : 14 x 21 cm • 120 p.
    ISBN : 978-2-87356-509-1 Prix : 9,00 €     
  • Avortement : la surdité morale est devenue la norme éducative en Occident

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    C'est à lire sur le site "Benoît et moi" :

    La surdité morale par rapport à l’avortement est aujourd’hui la norme éducative occidentale
    ------------------------------
    « La compréhension pour celui qui peut décider de par sa position de force de l’existence du faible n’est que l’autre face du traitement sans pitié infligé à la victime d’une inversion de toutes les valeurs de la vie et de l’amour. Qu’ils ne m’ennuient plus ces catholiques compréhensifs avec le thème de l’amour et de la solidarité ».

    C'est Giuliano Ferrara, un journaliste et homme politique atypique puisqu’il a commencé sa « carrière » au Parti Communiste Italien qui s’exprime ainsi. Certes il a bien gardé de ces origines une façon abrupte de s’exprimer mais sa « conversion » à la défense de la vie, même si elle n’a pas fait recette pour lui apporter des voix au niveau électoral, mérite d’être soulignée.
    Il n’est sûrement pas très loin de la porte du Temple, dans la cour des Gentils

    Lire la suite : http://benoit-et-moi.fr/

    Lire aussi "Redimensionner" la loi d'avortement, propose le patriarche de Lisbonne

  • Belgique : les catholiques bientôt privés de liberté d'expression ?

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    Lors des voeux adressés au corps diplomatique, le pape a rappelé l'importance de l'éducation et des lieux appropriés à celle-ci, en particulier la famille. A ce propos, il a insisté : "la famille, fondée sur le mariage d’un homme avec une femme. Il ne s’agit pas d’une simple convention sociale, mais bien de la cellule fondamentale de toute société. Par conséquent, les politiques qui portent atteinte à la famille menacent la dignité humaine et l’avenir même de l’humanité."

    Cela suffit évidemment pour donner l'occasion au lobby "holebi" de fustiger le pape accusé d'homophobie. Dans notre pays où les lois autorisent non seulement le "mariage" homosexuel mais aussi l'adoption d'enfants par des couples de même sexe, ces paroles du pape - qui se situent dans la plus pure logique de la morale chrétienne - font évidemment grincer des dents. Ainsi, une sénatrice VLD demande au ministre de convoquer le nonce pour le rappeler à l'ordre, entendez au désordre institutionalisé codifié dans notre loi. Et la RTBF de titrer, en toute malhonnêteté : "Benoît XVI: "Le mariage homosexuel: une menace pour l'humanité", alors que le pape ne s'est pas exprimé en ces termes. En effet, il a déclaré : "les politiques qui portent atteinte à la famille menacent la dignité humaine et l’avenir même de l'humanité."

    Il faut bien voir ce qui se trame après les déclarations de Madame Onkelinx, dimanche dernier, et avec cette nouvelle affaire. "Il n'y a pas de liberté pour les ennemis de la liberté", disait-on à l'époque de la Révolution française. Demain, ou après-demain, y aura-t-il encore la liberté de se réclamer des préceptes d'une morale catholique en contradiction avec des lois votées en Belgique sans risquer d'encourir des mesures répressives?