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Culture - Page 367

  • Quand un historien pourfendait l'illusion communiste

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    50264_277272060198_8081637_n.jpg"De nos jours, les historiens sont généralement un groupe timoré, réduisant la grande histoire de l’action humaine à une petite discipline académique anxieuse, dans laquelle les fonctions sont achetées par d’interminables volumes calculant de menus détails, comme la quantité de céréales qui fut consommée au XVème siècle par les Guatémaltèques.

    Il semble inutile d’observer qu’il n’en a pas toujours été ainsi. En fait, même de mémoire vivante, il n’en a pas toujours été ainsi. La publication en Anglais de l’ouvrage Le passé d’une illusion, Essai sur l’idée du communisme au XXème siècle, nous rappelle que François Furet, l’historien éminent de la Révolution française, est décédé en France (en 1997)  à l’âge de soixante-dix ans.  Et Furet, comme son précurseur intellectuel Alexis de Tocqueville, était quelqu’un qui prenait l’histoire au sérieux – appréciant de manière franche et impartiale le passé afin de guider la façon par laquelle nous devrions vivre aujourd’hui.

    Bien sûr, même de son propre temps – quand la plupart de ses pairs étaient des sur-spécialistes ou des historiens sociaux zélés, – Furet avait quelque chose d’un retour à la noble tradition historiographique du XIXème siècle, par l’accent qu’il mettait sur la politique et les forces personnelles et intellectuelles. Le Furet bourru, qui enseignait à la fois à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales à Paris et au Committee on Social Thought de l’Université de Chicago, tint seul pendant de nombreuses années, s’efforçant de modérer la fierté envers la Révolution française. Il devint la plus improbable des icônes culturelles. Son travail, qui l’a placé au centre du discours national français, est devenu l’une des forces les plus importantes de la réorientation de la compréhension moderne que la France avait d’elle-même...."

    Découvrir la suite de cet article de Kenneth R. Weinstein initialement paru dans The Weekly Standard, le 23 août 1999 (titre original : The Illusion that Failed) et dont la traduction paraît aujourd'hui dans "Nouvelles de France" : http://www.ndf.fr/

  • Lourdes : quand un coureur du Tour de France fait état de sa foi

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    « C’est vrai, je demande à Dieu de m’aider à bien courir, prolonge Yohann Gène, mais surtout, je lui demande de me protéger, moi et les autres gars du peloton… Ce qu’on craint tous, c’est la chute. Même si les gars n’en parlent jamais, ils savent qu’ils sont fragiles, que ça peut arriver très vite. Alors si la Vierge peut nous protéger, tant mieux… »

    C'est dans La Croix : http://www.la-croix.com/ où l'on découvrira la suite...

  • Hergé, militant de la mixité raciale ?

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    C'est sur Enquête&Débat et cela mérite le détour :

    Hergé fut censuré car trop favorable à la mixité raciale

    "Voilà un aspect pour le moins paradoxal de l’histoire : Hergé, accusé par des antiracistes d’être négrophobe, via notamment sa représentation des Africains dans “Tintin au Congo”, avait été censuré dans un autre album car trop favorable à la mixité raciale ! On attendra longtemps les applaudissements des mêmes antiracistes, toujours plus prompts à dénoncer qu’à féliciter…"

    Découvrir la suite ici : http://www.enquete-debat.fr/archives/herge-fut-censure-car-trop-favorable-a-la-mixite-raciale

  • Une citation de Aldous Huxley à méditer

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    En 1961, lors d'une conférence donnée à Santa Barbara, en Californie, au sujet du contrôle du comportement humain, Aldous Huxley confirmait ses propos et anticipait : « Il existera, dans la prochaine génération, une méthode pharmacologique pour que les gens chérissent leur servitude et génèrent, pour ainsi dire sans plaintes, une sorte de camp de concentration pour des sociétés entières, alors que les peuples verront leur liberté confisquée, mais s'en réjouiront plutôt, car ils seront dépouillés de tout désir de révolte par la propagande et le lavage de cerveau prodigué par des méthodes pharmaceutiques. Et cela sera la révolution finale. »

  • Ce que Padreblog.fr vous invite à lire pour bronzer intelligent...

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    J'espère que les "Padre" ne m'en voudront pas de reproduire leur sélection de livres pour l'été (merci Hélène!) :

    "Padreblog vous offre une petite sélection de livres pour l’été afin de bronzer intelligent. Gros pavés ou opuscules ils se lisent facilement, du genre « je-comprends-même-au-bord-de-la-piscine ». Bon été !

    Confessions d’une catho branchée par Frigide Barjot : prenez une femme un peu déjantée, mettez-y la Foi catholique, rajoutez beaucoup d’humour et l’audace désarmante d’une femme au franc-parler et vous obtiendrez cette autobiographie de Virginie Tellenne alias l’humoriste Frigide Barjot (Plon, 310 pages ; 22 €).

    Inigo de François Sureau : comment un gentilhomme espagnol découvre l’enjeu de la vie : se divertir ou se convertir. Le boulet tranchera … (Gallimard, 150 pages ; 12.50 €).

    Claire de Castelbajac du Père Dominique-Marie Dauzet : l’histoire de cette jeune fille, disparue en 1975 qui découvre l’amour de Dieu, immense, étonnant, si simple. Une sainte pour notre temps ? (Presses de la Renaissance, 250 pages ; 18.50 €).

    Les réseaux cathos de Marc Baudriller : un feu d’artifice d’infos et d'anecdotes qui présente le visage d'une communauté catholique diverse, plus libre et plus audacieuse. Pour enfin comprendre que l'époque de l'enfouissement est révolue et qu’il est temps de rayonner dans ce monde tel qu'il fonctionne et tel qu'il est (Robert Laffont, 330 pages ; 20 €).

    Deux petits pas sur le sable mouillé d’Anne-Dauphine Julliand : la poignante histoire de Thaïs atteinte d'une maladie génétique orpheline. Et celle de sa mère qui lui fait la promesse d’une vie trop courte où ne manquera jamais l'amour. Une énorme leçon de courage et, paradoxalement, une hymne à la vie (Les Arènes, 230 pages ; 17 €).

    Le camp des saints de Jean Raspail : pas très politiquement correct mais tellement bien écrit ! La réédition du roman qui prédit la troisième guerre mondiale, sans armes, entre une multitude affamée et une minorité de nantis. « Le récit de notre inconscience et de notre acquiescement face à ce qui va nous dissoudre » dit l’auteur … (Robert Laffont, 372 pages ; 22 €).

    Dieu est Humour (volumes 1 et 2) du Père Bernard Peyrous et Marie-Ange Pompignoli : deux petits dictionnaires de spiritualité humoristique … à conseiller et à offrir à tous et surtout à ceux qui croient que le catholicisme est une religion de tristesse (Editions de l’Emmanuel, 140 pages ; 14 €).

    Dix raisons de croire du Père Guillaume de Menthière : on ne peut aujourd’hui être un chrétien adulte sans l’avoir voulu et réfléchi. Un exposé simple et accessible qui montre que la foi ne relève pas d'une déficience mentale. Le livre qui pourra aider pour les discussions du soir entre amis (Salvator, 240 pages ; 18.50 €).

    Initiation à la lectio divina du Père Joseph-Marie Verlinde : le livre qui vous permettra de suivre la récente invitation du pape à prendre l’évangile dans vos bagages de vacances ! (Parole et Silence, 180 pages ; 17 €).

    Pour une libération sexuelle véritable de Thérèse Jacob-Hargot : l’appel impertinent pour que se lève une génération qui aspire à la véritable libération, qui soit au service de l'amour et de la sexualité, respectueuse de la vie humaine et de l'environnement (FX de Guibert, 137 pages ; 15 €).

    Et pour finir, un best-seller mondial :

    Lumière du monde de Joseph Ratzinger-Benoît XVI : une série d’entretiens où le pape se livre sans détours. On a l’impression d’être en face de Benoît XVI, assis dans un bon fauteuil, avec, dans la cheminée, le feu qui crépite ! Le ton est libre, simple, léger parfois, mais au fil de la « soirée », la conversation se fait plus profonde, embrassant les enjeux du monde et de l'Eglise ou les grandes interrogations spirituelles (Bayard Centurion, 300 pages, 21 €)."

    http://www.padreblog.fr/blog/45-eglise/158-livres-dete-le-coup-de-coeur-des-padre

  • Une nouvelle langue universelle pour l’Église ?

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    imagesCARJACLQ.jpgLe latin, fût-ce comme langue savante internationale, a fait son temps. Même l’Église l’a abandonné. Comme la nature a horreur du vide, l’anglais est en passe de devenir la langue « civilisée » commune à l’ère de la mondialisation et l’Église n’y échappera pas. C’est ce que nous dit  l’abbé Éric de Beukelaer sur son blog, dans un post récent intitulé « Pope on line » :

    « Ce 29 juin, l’Eglise célèbre la solennité des Saints Pierre et Paul, les deux grand apôtres considérés comme les « colonnes de l’Eglise ». En ce jour, les catholiques prient plus particulièrement pour le Pape, successeur de Pierre. Bien que pétri de culture classique, Benoît XVI n’a pourtant pas rechigné à choisir la veille de cette solennité pour envoyer son premier « tweet » et annoncer le lancement du nouveau site d’actualité du Vatican http://www.news.va/en. Par-delà l’anecdote qui a été reprise par la presse du monde entier, il est heureux de souligner que le Vatican semble avoir pris la mesure de la mondialisation numérique.

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  • L'inspiration catholique de la bande dessinée belge de la grande époque

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    Un ouvrage vient d'être consacré par Philippe Delisle à la bande dessinée belge : Philippe Delisle, Spirou, Tintin et Cie, une littérature catholique ? Années 1930 / Années 1980, Paris, Karthala, 2010, 184 p.

    Le site "Chrétiens et sociétés" publie un compte-rendu de cette étude sous la plume de Yves Krumenacker. De cette publication, il ressort clairement que la bande dessinée belge fut, dans ses premières décennies, une littérature "engagée" marquée par l'appartenance catholique de ses auteurs et qu'il en fut ainsi jusqu'à l'époque du Concile Vatican II...

    Extrait de ce compte-rendu :

    "Le thème peut paraître évident car la plupart des éditeurs et des auteurs viennent du catholicisme. La « bonne presse », en Belgique, a un quasi monopole, avant-guerre, dans les publications pour enfants : suppléments de journaux comme Le Petit Vingtième (supplément du Vingtième Siècle), organes de mouvements comme La Croisade Eucharistique ; le Journal de Spirou (1938), non confessionnel, n’y échappe pas vraiment puisque son fondateur, Jean Dupuis, a d’abord travaillé dans un quotidien catholique, où il a manifesté de fortes convictions religieuses, et que son fils Charles demande à ses auteurs un discours catholique. Quant au public, même des publications non confessionnelles comme Tintin ou Spirou, il est lui aussi majoritairement catholique. Cette B.D., fruit d’un des « piliers » de la Belgique, se différencie alors nettement de ce qui se fait en France (Les Pieds Nickelés, Zig et Puce, etc.). Les auteurs (Hergé, Charlier, Mitacq, Peyo, Jijé, etc.) ont généralement été formés dans des écoles catholiques, pour leurs études secondaires et souvent professionnelles, ils font partie de mouvements catholiques, ils travaillent pour le scoutisme. Seul Franquin, de ces auteurs éduqués dans le catholicisme, affirme avoir rompu profondément avec la religion. On ne s’étonnera donc pas de l’imprégnation chrétienne de beaucoup de récits : de nombreux auteurs mettent la Bible ou l’ « histoire sainte » en images, racontent la vie des saints (Jijé, Pilamm, Raymond Reding, etc.), le genre culminant avec les « Belles histoires de l’Oncle Paul » des années 50 ; on trouve aussi des récits d’aventure « catholiques » dont les héros sont des gladiateurs convertis, des croisés, des missionnaires du Far West, … Dans d’autres histoires, le scénario est plus « neutre », mais apparaissent des églises, des missionnaires, même des messes (le pilote Michel Vaillant y participe !), révélant qu’on est bien dans un milieu catholique. Rares sont les séries, comme Spirou ou Félix, où manquent les références chrétiennes explicites."

    Qu'on ne s'illusionne pas; le propos des auteurs du livre et du compte-rendu est dans l'air du temps et ne se prive pas de critiquer cette inspiration catholique, mais cela se révèle intéressant, notamment quand on constate que :

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  • Un nouveau blog dédié à l'art sacré italien

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    "Aujourd’hui, nous dit son initiateur, nous entamons un périple à travers l’architecture, la sculpture et la peinture au cœur de l’art sacré italien. Des propositions de visites de sanctuaires, de musées et d’expositions, un regard détaillé sur telle ou telle œuvre majeure ou moins connue de maîtres de l’époque médiévale, de la Renaissance ou du Baroque : tout cela sera au rendez-vous chaque semaine à partir de la rentrée de septembre 2011.

    De Venise à Naples, de Turin à Parme, en passant par la Toscane ou l’Ombrie (et bien d’autres), sans oublier les grandes collections publiques ou privées de par le monde."

    Le maître d'oeuvre : "Frédéric Curnier-Laroche est né en 1963. Historien de l'Art (Ancien élève de l'Ecole du Louvre et de la Sorbonne) il a été ordonné prêtre en 1996. Ancien curé "in solidum" de Cluny, il est le responsable de la commission diocésaine d'art sacré du diocèse d'Autun. Sur narthex.fr, il a animé pendant un an et demi le blog « Abbaye de Cluny 910-2010 »."

  • Les méfaits des méthodes de lecture globale et autres farfeluteries pédagogiques

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    "Les francophones (de Belgique) moins bons en lecture que la moyenne européenne : 23,3 % des francophones de 15 ans éprouvent des difficultés pour lire, soit plus que la moyenne européenne qui est de 20 %."

    C'est dans Le Vif et à découvrir ICI : levif.rnews.be/fr/news/actualite/belgique/

  • Récitals d'Orgue à Mons (Sainte Waudru)

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