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Culture - Page 364

  • Les jeunes et les nouvelles influences idéologiques

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    "L'effondrement des idéologies politiques au profit du libéralisme des sociétés marchandes et la montée de l'individualisme ont favorisé la dévalorisation du politique et du système de représentation démocratique. Ce sont les revendications subjectives et sectorielles qui se sont substituées aux grands enjeux sociaux.

    En revanche, il faut noter que le politique se déconsidère aux yeux des jeunes générations lorsqu'il n'est plus capable d'avoir le sens de l'intérêt général. La valorisation du mariage, la famille composée autour d'un homme et d'une femme avec leurs enfants, l'école et l'éducation, la formation au sens de la loi civile et de la loi morale, l'insertion sociale et professionnelle des nouvelles générations, la qualité de l'environnement écologique, le sens de la justice et de la paix sont, parmi d'autres, des projets à promouvoir pour retenir leur intérêt dans la vie politique de la cité. Examinons l'influence de quelques mouvements d'idées sur les jeunes..."

    Ce texte de Tony Anatrella publié ICI conserve toute son actualité même s'il date de plusieurs années. A lire, ou à relire, donc.

  • Trois oeuvres d'art exceptionnelles de notre patrimoine artistique religieux présentes sur le site du VIF

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    Cliquer sur les liens suivants pour accéder aux reportages photographiques :

  • Choquant ? Comme vous y allez...

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    Sur une video, Prada présente ses modèles destinés aux adolescentes (13-18 ans). Tous les commentaires s'accordent sur l'ambiance lascive et suggestive de cette présentation. Une des protagonistes n'a ques treize ans... (cfr LeSoir.be)

    "Elle" commente : "13 ans et déjà à l’affiche de la nouvelle campagne automne-hiver 2011-2012 de la maison Prada. Ondria Hardin a rejoint le cercle des «  teen queens » en réanimant la polémique de la sexualisation des adolescentes. Tout juste sorties de l’enfance et statuées objet de désir ? De Hailee Steinfeld à Elle Fanning, nombreuses sont les mannequins adolescentes qui s’illustrent dans la promotion publicitaire en dépit de devenir elles-mêmes un produit convoité."

    Produit? Objet? Convoitise? Il est sans doute bien puritain celui qui s'en offusquerait! Les réactions seront pourtant différentes lorsque, dans cette société qui hypersexualise les plus jeunes, des êtres fragiles, troublés, malades, voudront en "consommer"... Ceux qui instrumentalisent ces adolescentes, les transformant en appâts, n'auraient donc aucune responsabilité?

  • Tout rapprochement avec une situation ou des faits réels...

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    "Sache ceci: que dans les derniers jours surgiront de durs moments. Les hommes en effet seront égoïstes, cupides, fanfarons, orgueilleux, blasphémateurs, rebelles à leurs parents, ingrats, impies, sans coeur, sans loyauté, calomniateurs, sans frein, sauvages, ennemis du bien, traîtres, emportés, enflés d'orgueil, amis de la volupté plus qu'amis de Dieu, avec les dehors de la piété, tout en ayant rejeté son pouvoir: éloigne-toi de ces gens-là Ils sont de ces gens-là ceux qui s'insinuent dans les maisons et captivent des femmelettes chargées de fautes, menées par toutes sortes de passions, toujours en quête d'apprendre sans pouvoir jamais parvenir à la connaissance de la vérité."

    2e épître à Timothée, chapitre 3, vv. 1-7.

  • Liège - Concert de chant grégorien par le quatuor Caliomène (Paris)

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    Caliomène272.jpg

  • Ramadan en août, y a-t-il un « choc de civilisations » plus fort ?

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    Les médias si peu diserts sur le carême catholique, nous rebattent les oreilles chaque année avec des reportages sur le ramadan islamique : nul ne peut ignorer que cette pratique religieuse musulmane vient de commencer. Ces jours-ci, le site de « France Catholique » (sous la signature de Dominique Decherf) saisit l’occasion pour nous rappeler que ce « ramadan » n’est pas vraiment comparable au carême, auquel un regard superficiel, relativiste ou « interreligieux », l’assimile un peu vite :

    « Alors que la majorité de nos compatriotes vont se délasser et se prélasser, savourer l’absence d’horaires réguliers, notamment pour les repas, non plus commandés par le rythme de travail, mais simplement par le bon plaisir, s’attarder à table, faire des barbecues fumants et odorants, sur la plage ou dans les jardins, environ dix pour cent vont observer le jeûne prescrit par leur religion, du lever au coucher du soleil !

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  • Harry Potter : Liberté politique poursuit son travail de discernement

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    Liberté Politique poursuit son examen du "phénomène Harry Potter" :

    "À propos de Harry Potter, Mona Mikaël et la rigueur scientifique par Antoine Gazeaud" (29 Juillet 2011)

    "Dans le cadre de notre saga d’été sur Harry Potter, nombreux sont ceux qui nous ont indiqué un ouvrage qui dénoncerait l’influence maléfique de l’œuvre de J.K. Rowling. Après examen, il semble que cet ouvrage largement cité dans la blogosphère catholique ne présente pas les règles élémentaires de la rigueur scientifique. Petit aperçu d’une méthode problématique..."

    Lire la suite ici : http://www.libertepolitique.com/


    Liberté Politique publie également son deuxième article critique sur Harry Potter :

    "Harry Potter et l’au-delà de la fiction (2/5) : Voldemort, une allégorie du mal ?"

    "Dans un second volet de notre série d’été sur la saga des Harry Potter et ses enseignements philosophiques, libertepolitique.com propose des pistes de réflexion sur la définition du mal à travers les sept tomes et tout particulièrement l’identité de l’ultime ennemi du héros : Voldemort. Cette analyse tentera de faire la lumière sur la conception du bien et du mal sous-jacente à la saga : un élément non déterminant mais essentiel pour juger d’une bonne ou une mauvaise littérature jeunesse."

    C'est ici : http://www.libertepolitique.com/culture-et-societe

  • Un enfant à tout prix ?

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    Généthique.org relaie les propos de deux spécialistes à propos de l'assistance médicale à la procréation :

    Dans un article intitulé "Le désir d'enfant peut-il aller trop loin ?", le magazine Marie Claire donne la parole à Elisabeth Belghiti, psychologue et membre du Centre d'éthique clinique de l'hôpital Cochin à Paris et à Sophie Marinopoulos, psychanalyste au CHU de Nantes.

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  • Pâque Nouvelle : l’Église existe pour évangéliser

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    pâques nouvelles 3271.jpgLes revues belges de bonne qualité destinées à la formation chrétienne de l’ « honnête homme » ne courent pas les rues. Pâque Nouvelle en est une. La deuxième livraison 2011 de ce périodique trimestriel vient de paraître.

    Dans la rubrique consacrée à la doctrine de la foi, l’abbé Serge Théate, professeur d’écriture sainte au grand séminaire de Namur, aborde le sujet de la rétribution divine du bien et du mal  (Dieu punit-il nos actes mauvais ? Les bons sont-ils toujours récompensés ?) en montrant combien cette notion s’est purifiée au fil de l’histoire biblique pour acquérir la plénitude de son sens dans la personne du Christ.  Mgr Julien Ries, ensuite, évoque les représentations de l’au-delà telles qu’elles se sont développées dans l’Église à partir des textes fondateurs du christianisme, dont il résume ainsi la doctrine en la matière : « la certitude d’un jugement pour tout homme et dont la référence est son comportement au cours de sa vie ; l’état de béatitude de celui qui se trouvera définitivement avec le Christ dans sa gloire ; la situation misérable de celui qui, librement, a choisi de se séparer du Christ de manière définitive » et précise-t-il ailleurs « le besoin de purification, exprimé dans les doctrines de la réincarnation des religions anciennes et dans la croyance de beaucoup de nos contemporains, qui trouve dans le purgatoire une expression conforme à l’amour de Dieu pour l’homme et au mystère de la Rédemption par le Christ ».

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  • "Lourdes" sur les écrans

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    Alors que plusieurs dizaines de salles françaises ont l'à propos douteux, en cette période de pèlerinages, de programmer le film "Lourdes" de Jessica Hauser (2010), c'est le moment de republier la critique qui en a été faite par Vittorio Messori et qui a été traduite sur "Benoît et moi" en février 2010.

    "Un Lourdes trop sombre pour être vrai"

    Corriere della Sera, 12 Février 2010
    de Vittorio Messori
    ------------------------
    La perspective de Jessica Hausner dans son Lourdes est déclarée immédiatement, dès la scène d'ouverture, avec le plan du réfectoire des pèlerins. Pas de fenêtres, mais une lumière artificielle faible, dans un environnement claustrophobique: noir le sol, noirs les murs où sont accrochés des crucifix noirs, noirs les jupes et les pantalons du personnel, noires les pélerines des Hospitalières avec la croix de Malte, noirs les uniformes des Chevaliers de l'ordre, noirs les clergymen des prêtres.

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  • La petite fille espérance

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    L’Espérance voit ce qui n’est pas encore et qui sera.
    Elle aime ce qui n’est pas encore et qui sera.
    Dans le futur du temps et de l’éternité.
    Sur le chemin montant, sablonneux, malaisé.
    Sur la route montante.
    Traînée, pendue aux bras de ses deux grandes soeurs,
    Qui la tiennent par la main,
    La petite espérance.
    S’avance.
    Et au milieu entre ses deux grandes soeurs elle a l’air de se laisser traîner.
    Comme une enfant qui n’aurait pas la force de marcher.
    Et qu’on traînerait sur cette route malgré elle.
    Et en réalité c’est elle qui fait marcher les deux autres.
    Et qui les traîne,
    Et qui fait marcher tout (...)

    Charles PEGUY, Porche du Mystère de la Deuxième vertu

  • Liberté ou servitude ?

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    La Libre met aujourd'hui en ligne une tribune consacrée au "consentement sexuel"; il s'agit d'une opinion de Luc VAN CAMPENHOUDT, Directeur de la Revue Nouvelle.

    Bien sûr, l'auteur n'y fait pas l'apologie des valeurs que défendent les chrétiens, les catholiques en particulier, en matière de sexualité. Son approche part du constat selon lequel le "modèle normatif" d'autrefois (basé sur des références religieuses ou sur la loi naturelle) aurait disparu pour céder la place à un "second modèle normatif n’est plus basé sur des garants méta-humains, comme les lois divines ou celles de la Nature, mais sur le consentement entre "partenaires" égaux en droit comme en dignité, qui se choisissent librement et sont amants avant d’être parents." Ce glissement d'un modèle à l'autre (propre à l'Occident) devrait réjouir les partisans de la liberté individuelle, mais voilà, ce n'est pas si simple, et c'est là que cet article est intéressant parce qu'il met en évidence les limites et les dérives de ce "modèle libéré".

    Ainsi dénonce-t-il les conséquences du contexte individualiste et consumériste qui pervertit le nouveau modèle :

    "Dans la mode, les loisirs, les vacances, le spectacle, les médias, les soins et l’entretien du corps, partout où la dimension sexuelle est potentiellement présente, une certaine industrie a vite fait de construire et d’exploiter sans vergogne une vision réductrice et trompeuse mais rentable de la libération de la femme qui n’a plus grand-chose à voir avec le projet émancipateur du féminisme.

    Il ajoute : "Souvent associée au dispositif de sexualité, la culture individualiste et hédoniste ambiante, n’est pas moins normative que la précédente; elle l’est seulement autrement. Elle impose des standards bien en phase avec ceux en vigueur dans d’autres domaines, comme les affaires, le sport ou la politique. En matière de sexualité aussi, il faut désormais être performant, c’est-à-dire sexuellement actif et capable d’y trouver un maximum de plaisir tout en prenant en compte celui de l’autre.

    Ce "culte de la performance" a pour corollaire l’angoisse de ne pas être à la hauteur et incite à recourir à des formes de dopage (psychotropes, alcool, hallucinogènes, Red Bull, Viagra ) qui désinhibent et stimulent ce qui doit l’être, dans la tête et en dessous de la ceinture. L’injonction à être libre et autonome peut conduire à ne jamais s’engager vraiment, à considérer l’autre sinon comme un objet que l’on consomme, au moins comme un tiers avec lequel on passe un contrat, chacun se sentant quitte de toute obligation à partir du moment où il en a rempli sa part, et à n’être finalement dépendant que de ses intérêts et de ses pulsions. Liberté ou servitude ?"

    Ces observations, nous les faisons nôtres même si nos conclusions ne vont évidemment pas dans le même sens. Là où l'auteur invite à repenser cette problématique dans l'optique du politiquement et culturellement correct actuel, avalisant les "conquêtes" de la libération sexuelle, nous plaidons pour l'approfondissement d'une vision authentiquement chrétienne de l'amour qui ne sacrifie pas les valeurs fondamentales (différence sexuelle, indissolubilité du mariage, accueil de la vie, défense de la famille "traditionnelle", etc) à l'air du temps.