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Société - Page 311

  • Confinement : des tas de suggestions sur aleteia.org

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  • Belgique : les baptêmes et les mariages religieux sont suspendus

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    Coronavirus : L’Eglise catholique de Belgique suspend aussi les baptêmes et mariages religieux

    Les autorités civiles ont pris des mesures plus restrictives contre le Covid 19. Seules des funérailles en cercle restreint sont possibles. Ainsi les baptêmes et mariages religieux ne sont plus autorisés, même en cercle restreint. SIPI – Bruxelles, lundi 16 mars 2020

  • Coronavirus : le début d'une ère nouvelle ?

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    Du Père Olivier Nguyen (prêtre du diocèse de Fréjus-Toulon) sur le site de La Nef

    11 mars 2020

    L’épreuve mondiale du coronavirus : les débuts d’un temps nouveau ?

    L’épidémie de coronavirus que subissent particulièrement une province de la Chine et différents foyers naissant dans le monde fait réfléchir les chrétiens sur sa cause, sa signification et l’espérance que nous pouvons avoir en ces temps qui sont particuliers. Sans être alarmiste, il est important d’interpréter comme nous invite à le faire le Seigneur les signes des temps. Ce qui frappe immédiatement l’esprit, c’est la révélation de grande faiblesse des structures économiques mondiales et dans le même temps celle de l’illusion d’un monde idéal qui pourrait se faire sans Dieu, fondé sur une économie puissante mondialisée. Tout d’un coup, « en une heure de jugement »[1] l’homme moderne s’aperçoit que la confiance dans les États nations, dans les grandes entreprises, dans le système économique mondial n’est pas assurée. En quinze jours, les ventes de voiture ont baissé de 90 % en Chine, des milliers de chaînes d’approvisionnement ont été rompues et de plus en plus, paraît difficile une reprise économique prochaine de la deuxième puissance mondiale assurant près de 15 % de l’économie planétaire. Comme si le Seigneur disait : « l’activité économique de ce monde moderne repose sur du sable, sur une technique idolâtrée mais qui ne peut pas sauver l’homme ni se sauver elle-même ».

    La propagation de ce virus semble comparable à cette petite pierre dont parle le livre de Daniel qui brise soudainement une statue de bronze et de fer au pied d’argile[2]. Par analogie, elle pourrait aussi exprimer un écroulement de fonctionnements nationaux et de grands dynamismes sociétaux reposant non pas sur le primat de l’homme et de Dieu mais sur le fer et le bronze de la machinerie d’une économie mondialisée. Un monde fondé sur le travail total, le tout économique et le sans-Dieu est-il en train de s’effondrer ? L’avenir le dira, mais plus rien ne sera jamais comme avant : chacun saura qu’il ne peut mettre sa confiance et son espérance dans un monde se fondant sur la recherche d’une croissance économique sans fin.

    Notre propos se veut objectif et en même temps rassurant car comme chrétiens nous savons que nous avons « déjà la victoire »[3] grâce à Celui qui nous a tant aimés. Il possède aussi un certain regard prophétique au sens d’une tentative de lecture dans l’Esprit de l’actualité internationale à partir de la parole de Dieu. Il s’articulera en trois parties : le kairos de cette épidémie, le jugement de la Chine, le jugement des nations. La conclusion donnera l’espérance que nous pouvons avoir.

    Lorsque nous parlons de jugement sur une ou des nations, nous n’entendons pas un châtiment divin, au sens positif que nous pourrions avoir, mais d’abord une certaine intervention de Dieu sur une période donnée et sur un ou des pays donné(s) en vue d’instruire et de corriger. Nous verrons plus loin quel sens plus précis nous pouvons donner à cette notion.

    Lire la suite sur le site de La Nef

  • Une Semaine Sainte sans fidèles

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    D'Antoine Mekary sur ALETEIA :

    Vatican : une Semaine sainte sans fidèle

    La place et la basilique saint Pierre inhabituellement vides, à cause du Coronavirus.

    I.Media | 15 mars 2020

    Alors que la Semaine sainte débute le dimanche 5 avril prochain avec le dimanche des Rameaux, la Préfecture de la Maison pontificale a d’ores et déjà annoncé que toutes les célébrations se dérouleront sans la présence des fidèles.

    “En raison de l’urgence sanitaire internationale actuelle, toutes les célébrations liturgiques de la Semaine sainte se dérouleront sans la présence physique des fidèles” au Vatican, a annoncé la Préfecture de la Maison pontificale sur son site internet le 14 mars 2020. Cette situation inédite est une première dans l’histoire contemporaine de l’Eglise catholique.

    En outre, en respect des consignes qui interdisent les rassemblements afin de prévenir la propagation du virus, les audiences générales du pape François et les prières de l’Angélus ne seront disponibles qu’en streaming sur le portail officiel Vatican News. Le chef de l’Eglise les prononcera depuis sa bibliothèque privée, au second étage du Palais apostolique du Vatican. De même, la messe que célèbre le pontife argentin tous les matins à la Résidence Sainte-Marthe continuera à être diffusée en direct sur les mêmes canaux.

  • Se serrer les coudes avec RCF

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    Dès ce lundi 16 mars, émission spéciale quotidienne en direct 9h-10h sur RCF. Pas de sensationnalisme, juste de la solidarité, du recul, de la proximité. Le souci d'être à l'écoute de nos auditeurs.

    Comment avez-vous vécu ce premier week-end de l'ère Covid-19 ?
    Avez-vous besoin d’entraide, de solidarité ?
    Que prévoyez-vous pour cette semaine ? 
    Le point avec le service de communication et des experts du CHU Liège.

    Envoyez-nous vos témoignages et questions via: 
    surtout email: serronsnouslescoudes@rcf.be
    standard téléphonique entre 9h et 10h : 04 237 00 74
    sinon en commentaire sous les publications de notre page Facebook 
    via Twitter @RCFLiège @1rcfBelgique @rcfbruxelles

    Les infos sont reprises sur notre page web : https://rcf.be/belgique/serrons-nous-les-coudes

    Emission retransmise en direct sur RCF Liège 93.8 FM, RCF Bruxelles 107.6 FM et 1RCF Belgique, partout disponible en DAB+ en Belgique Francophone. Sinon aussi via l'App RCF ou en streaming sur www.rcf.be

    Suivez le Facebook Live sur notre page Facebook « RCF - Serrons-nous les coudes Vs Covid19 »

    Rendez-vous pour la matinale dès 9h00 pour cette émission spéciale sur RCF : Bruxelles, Liège et 1RCF Belgique.

    #SerronsNousLesCoudes #RCF #Covid19

  • Quand le maire de Venise confie sa ville et la Vénétie au Coeur immaculé de Marie

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    (Via le Forum catholique)

    Témoignage de foi exemplaire du maire de Venise

    Le maire de Venise, Luigi Brugnaro, s'est rendu hier, revêtu de son écharpe tricolore, à la basilique de la Madonna della Salute pour invoquer la puissante protection de la Sainte Vierge, formulant entre autres cette prière: «Nous consacrons la ville de Venise et nos terres vénitiennes à Ton Cœur Immaculé".

    source

    N.B. : L’Eglise Santa Maria della Salute domine l’extrémité sud du Grand Canal. Elle fut construite entre 1631 et 1687 par l’architecte Longhena, en l’honneur de la Vierge, pour la remercier d’avoir mis fin à une violente épidémie de peste qui ravagea la population.

  • Quand la Cour européenne des Droits de l’homme prive les membres de la profession médicale du droit à l’objection de conscience

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    De Grégor Puppinck sur le site de Valeurs Actuelles :

    Avortement : trois juges de la CEDH sapent le droit à l’objection de conscience

    Mineurs étrangers non accompagnés : La France n’a pas violé l’article 3 de la CEDH

    13 mars 2020

    Dans une décision rendue ce jeudi à propos des affaires Grimmark et Steen contre la Suède, la Cour européenne des Droits de l’homme prive les membres de la profession médicale du droit à l’objection de conscience. Une décision qui sacrifie au dogme de l’avortement, explique Grégor Puppinck, docteur en droit, directeur de l’ECLJ, auteur notamment “Droit et prévention de l’avortement en Europe” (LEH, 2016) et “Les droits de l’homme dénaturé” (Le Cerf, 2018).

    Par une double décision rendue publique ce jeudi 12 mars 2020, trois juges de la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) ont privé les sages-femmes européennes de la garantie de leur droit à l’objection de conscience face à l’avortement. Cette décision peut s’appliquer, par extension, à toute la profession médicale. Ils ont déclaré pour ce faire que l’avortement est un acte médical ordinaire, et que l’accès général à l’avortement prime le respect de la liberté de conscience personnelle.

    Les recours dont il est question avaient été introduits par deux sages-femmes suédoises qui ne peuvent exercer leur profession parce que leurs demandes de ne pas pratiquer l’avortement sont systématiquement rejetées par leurs employeurs. Ces refus furent validés par les autorités suédoises ; la Suède étant l’un des très rares pays à ne pas reconnaître de droit à l’objection de conscience face à l’avortement. L’avortement y est « libre » jusqu’à 18 semaines et porte sur un cinquième des grossesses.

    SUR LE MÊME SUJET : [Le scandale Soros] Un ancien juge de la CEDH réagit après les révélations de Valeurs actuelles

    La CEDH, saisie par les deux femmes, confia leurs requêtes à un petit comité de trois juges seulement, procédure réservée aux affaires simples. Ceux-ci donnent raison aux autorités suédoises, jugeant que l’obligation de pratiquer l’avortement poursuit « l’objectif légitime de protéger la santé des femmes qui cherchent à avorter ». Ils estiment en outre qu’il est nécessaire d’obliger ces deux sages-femmes à pratiquer l’avortement afin que cette pratique soit disponible sur tout le territoire suédois. Enfin, ils jugent que les sages-femmes ont choisi volontairement de ce métier, « sachant que cela impliquerait de participer à des avortements ».

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  • Des soignants opposés à l’extension de l’avortement

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    D'Alliance Vita :

    Belgique : des soignants opposés à l’extension de l’avortement

    Depuis octobre 2019, une proposition de loi relative à l’IVG est examinée par le Parlement fédéral belge.

    La loi devait être discutée à la Chambre (une des deux instances du Parlement belge) ce 12 mars, mais le débat a été reporté après que des députés ont annoncé leur intention de déposer des amendements qu’ils veulent envoyer pour avis au Conseil d’État. Le Conseil d’Etat a, quant à lui, déjà rendu un avis en février sur la teneur même de la loi.

    La proposition de loi prévoit plusieurs dispositions, qui visent à modifier le cadre de l’accès à l’avortement.

    • Le délai autorisé pour pratiquer une IVG, actuellement permis jusqu’à 12 semaines, serait allongé jusqu’à 18 semaines (soit 4 mois et demi de grossesse.)
    • Serait abrogée toute sanction spécifique en matière d’IVG pratiquée hors cadre légal, dès lors que la femme y consent. Ce qui signifie donc qu’un médecin pourra pratiquer un avortement sur une femme bien au-delà de 18 semaines, avec le consentement de la femme, sans être condamné. Toutes les lois d’encadrement de l’IVG sont dès lors dépourvues de toute force contraignante effective.
    • Le délai de réflexion minimum obligatoire pour prendre une décision après une première consultation passerait de six jours à 48 heures (hors urgence médicale).
    • L’obligation d’informer la femme enceinte sur les aides financières, sociales et psychologiques offertes par la loi aux familles, aux mères (célibataires ou non) et à leurs enfants, ainsi que sur les possibilités d’adoption de l’enfant à naître, serait supprimée. Elle serait remplacée par une proposition d’accompagnement médico-psychologique, et ce seulement après l’avortement.
    • L’accès à l’IMG (interruption médicale de grossesse) est élargie. Alors qu’à l’heure actuelle, une IMG ne peut être pratiquée que « lorsqu’il est certain que l’enfant à naître sera atteint d’une affection d’une particulière gravité et reconnue comme incurable au moment du diagnostic », la proposition de loi prévoit que l’IMG soit permise dès qu’il existe un « risque élevé, selon l’état actuel de la science. »
    • Il serait interdit aux établissements de santé d’établir avec des médecins des conventions excluant la pratique de l’IVG.
    • Concernant le délit d’entrave à l’IVG, la définition serait élargie et les sanctions renforcées. « Celui qui tente d’empêcher physiquement », « de quelque manière que ce soit » une femme d’aller subir une IVG » pourrait être condamné à une peine de prison (entre trois mois et un an) et une amende (cent à cinq cents euros).
    • L’IVG serait considérée comme un acte médical, qui entrerait dans les droits des patients et dans le champ d’application du personnel médical.

    Le Conseil d’Etat belge a rendu un avis sur la loi, pointant du doigt plusieurs contradictions. Concernant le délit d’entrave à l’IVG notamment, le Conseil relève que son champ d’application n’est pas clair : est-ce que sont sanctionnées seulement les fausses informations, ou également les opinions ? A partir de quand l’expression de la désapprobation, quand elle provient du conjoint de la femme, est-elle punissable ?

    Cependant, le Conseil d’Etat est resté assez distant du reste de la loi, s’appuyant sur une jurisprudence de la Cour européenne des droits de l’homme qui laisse une “ample marge d’appréciation” aux Etats pour définir le cadre légal de l’accès à l’avortement.

    Plus de 750 soignants ont signé une pétition pour s’opposer à cette proposition de loi, qui entraîne le « délitement des balises éthiques » et « brise le nécessaire équilibre entre la liberté de la femme et l’attention portée à l’enfant à naître qui se développe dans son corps ». « Tenter de faire croire que c’est un soin de santé comme un autre, c’est d’abord et avant tout mentir aux femmes » affirment-ils. Un collectif représentant 2500 soignants opposés à la proposition de loi, a tenu une conférence de presse, le 10 mars, demandant à être reçu par les députés.

    L’éthicien, psychologue et infirmier Eric Vermeer, qui accompagne des femmes ayant subi un avortement, a dénoncé « une loi qui mène au silence » dans une tribune parue dans la Libre Belgique . « D’ici peu, l’avortement risque de devenir un acte médical, totalement dissocié d’un questionnement éthique » explique-t-il. « Aurons-nous encore le droit, demain, en tant que thérapeutes, d’oser parler des diverses conséquences négatives de l’IVG, en particulier du syndrome post-avortement, reconnu par la majorité des soignants concernés ? (…) Sans poser le moindre jugement sur la personne qui décide d’interrompre une grossesse, tout thérapeute mesure l’importance de “prendre soin” et d’ouvrir un espace d’écoute empreinte de douceur et d’empathie. »

  • Ne laissons pas la solitude se propager

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    Communiqué de presse
     
    Coronavirus : Redécouvrons nos relations
     
    Rome - Paris, le 13 mars 2020
     
    « Il n’est pas bon que l’homme soit seul ». Dans ce contexte de pandémie, c’est pourtant la solitude qui est appelée à se propager. Et le seul remède reste la famille.
     
    Au cours des derniers jours, la crise de santé publique du coronavirus a pris une ampleur sans précédent partout en Europe et la coordination semble difficile. Notre Président, Vincenzo Bassi, présente ce message : « Nous souhaitons exprimer notre proximité à toutes les familles en Europe, aux pères et aux mères de famille, sans qui nous ne pourrions pas surmonter cette phase. Il n’est pas évident de rester longtemps ensemble dans des maisons qui deviennent rapidement étroites. Mais dans le même temps, nous vivons ce moment comme une occasion pour redécouvrir nos relations humaines et reconnaître le rôle essentiel de la famille pour nos sociétés. Les mesures d’urgence prises pour les familles doivent être universelles et automatiques : elles ne doivent pas être dépendantes des revenus ni comporter des procédures bureaucratiques, mais être facilement accessibles pour tous ».
     
    Notre Président d’honneur, Antoine Renard, souligne le service rendu par la famille à la société toute entière : « En ces moments d’urgence, les médecins et tout le personnel soignant sont soutenus par leurs familles, tout comme les personnes les plus vulnérables telles que les personnes âgés ». Il y a aujourd’hui environ 44 millions de ménages en Europe sont composés d’une seule personne, et 32% des personnes de plus de 65 ans vivent seules.
     
    Chaque famille devrait pouvoir s’occuper de ses ainés et les associations familiales doivent être soutenues dans leur service aux familles et aux personnes isolées : « Il faut assurer par tous les moyens possibles ce contact avec les personnes âgées et être très inventifs pour conserver ces liens et éviter la solitude », affirme Antoine Renard.
     
    Vincenzo Bassi, rappelle enfin que « Dans cette crise, nous avons tous notre part de responsabilité vis-à-vis du bien commun. Nous remercions le Saint-Père pour sa proximité, rendue concrète par la Sainte Messe transmise en ligne chaque matin à 7h00 : nous lui adressons nos meilleurs vœux aujourd’hui, à l’occasion du 7e Anniversaire de son élection pontificale ! En contenant au minimum les mesures de fermeture des églises et d’arrêt des sacrements, les Pasteurs peuvent nous accompagner dans la prise de conscience de l’action de Dieu dans l’histoire, qui nous permet de voir ce virus comme une opportunité nouvelle. Les familles tout particulièrement sont appelées à se redécouvrir comme églises domestiques, lieu premier de la transmission de la foi et de la prière. Des conseils pour la liturgie domestique sont déjà diffusés en ligne et les nouvelles technologies nous offrent des alternatives pour rester connectés dans la prière ».
    N’oublions pas que, depuis 2016, une Sainte Messe est célébrée chaque matin à 8h00 dans le Sanctuaire de Notre-Dame de Czestochowa à l’intention de toutes les familles en Europe.
     
    Fédération des Associations Familiales catholiques en Europe (FAFCE)
    Square de Meeus, 19
    B-1050 Bruxelles
    BELGIQUE

    La Fédération des Associations Familiales Catholiques en Europe (FAFCE) représente 26 associations locales et nationales: nous sommes la voix des familles d'une perspective catholique au niveau européen. La FAFCE détient un statut participatif auprès du Conseil de l'Europe et fait partie de la plateforme des droits fondamentaux de l'Union européenne.

     
  • Coronavirus : RCF sur la brèche

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    Communiqué - RCF Belgique Vs Covid19 - Serrons-nous les coudes !

    Nos radios 1RCF Belgique, RCF Bruxelles et RCF Liège s’adaptent, s’associent et accompagnent la population belge francophone dans cette période de confinement.

    Veuillez trouver ci-joint notre communiqué de presse.

    En très bref,

    • Dès ce lundi, une émission spéciale quotidienne en direct « serrons-nous les coudes » de 9 à 10h : libre antenne, questions-réponses, le point sur le Covid-19 avec des experts, des trucs et astuces etc.
    • Suite à la suspension de toutes les messes qui privent plus de 350.000 pratiquants francophones, célébrations et retransmissions en direct sur RCF le samedi à 17h00 et chaque jour de semaine à 19h00.
    • Renforcement des 13 bulletins d’actualités quotidiens avec notamment 3 journaux internationaux par jour.
    • Le carême avec RCF, 40 jours pour se concentrer sur l’essentiel et réorienter sa vie.

    Cordialement,

    L’équipe RCF Belgique

    www.rcf.be