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Société - Page 501

  • Le pape et l'accueil des migrants : une approche unilatérale et abstraite ?

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    De Thibaud Collin sur le site de l'Homme Nouveau :

    Accueillir, protéger, promouvoir et intégrer les migrants… jusqu’où ?

    Publié dès le 21 août dernier, le Message du Pape François pour la Journée mondiale du migrant et du réfugié, qui aura lieu le 14 janvier prochain, porte son programme dans son intitulé : « Accueillir, protéger, promouvoir et intégrer les migrants et les réfugiés ». Ce texte a suscité de nombreuses réactions et repose toute la question du rapport entre le bien de la personne et le bien commun.

    Le Message du Pape pour la Journée mondiale du migrant et du réfugié, rendu public le 21 août, a suscité de nombreuses réactions et critiques, le sujet étant devenu inflammable en Europe depuis qu’elle subit une vague migratoire sans précédent et une montée en puissance de la présence musulmane. Notons que l’évêque de Rome intervient dans un contexte social et politique italien très tendu, puisqu’une réforme du code de la nationalité portée par le gouvernement de gauche de Gentolini vise à installer le droit du sol dans ce pays confronté à cette grande migration. Le texte du Pape est intitulé « Accueillir, protéger, promouvoir et intégrer les migrants et les réfugiés ». Le Pape décline sa pensée en s’appuyant sur ces quatre verbes.

    Un des passages les plus discutés est le suivant : « Le principe de la centralité de la personne humaine, fermement affirmé par mon bien-aimé prédécesseur Benoît XVI (cf. Lettre encyclique Caritas in veritate, n. 47), nous oblige à toujours faire passer la sécurité personnelle avant la sécurité nationale. » Force est de constater que la citation est sortie de son contexte puisque Benoît XVI parle effectivement de la centralité de la personne mais dans un paragraphe consacré au principe de subsidiarité appliqué au développement d’une économie plus humaine. Ni l’assistanat ni la pure logique froide et mécanique du marché ne peuvent assurer le développement, dit le pape Benoît, car c’est par la mise en œuvre de la vertu de prudence que le bien des personnes et des peuples peut être atteint.

    Comment faut-il alors comprendre cette priorité de la sécurité personnelle sur la sécurité nationale ? Si cela signifie que le respect des droits de la personne peut engendrer un mal pour la sécurité nationale, cela serait une remise en cause de la doctrine sociale sur le bien commun qui ne peut être considéré comme concurrent du bien de l’individu. Il faut donc probablement entendre cette expression dans le sens où un État risque d’invoquer la sécurité nationale pour légitimer le viol des droits de la personne humaine. Encore faut-il déterminer de quels droits il s’agit. Et c’est là que le texte s’obscurcit. Dans la tradition théologique assumant le droit naturel les droits sont toujours à prendre en tant qu’exprimant et réglant des relations déterminées entre des êtres humains qui ne sont jamais des êtres indéterminés. Ainsi par exemple aucun État n’a le droit de couler un bateau transportant des civils, mais il peut par un légitime esprit de défense réguler les flots de population, s’il juge qu’il s’agit d’invasion mettant en danger le bien commun du peuple qu’il sert.

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  • Le Frère René Stockman réagit à la décision de l'organisation des Frères de la Charité en Belgique de pratiquer l'euthanasie dans ses murs

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    Non à l'euthanasie ! (source)

    Le débat sur l'euthanasie dans l'organisation des Frères de la Charité en Belgique nous cause de graves préoccupations depuis un certain temps. C'est ainsi avec honte que j'ai appris, le mardi 12 septembre, le verdict final selon lequel l'organisation a décidé de maintenir leur texte d'orientation et de permettre ainsi la pratique de l'euthanasie chez les patients psychiatriques dans certaines conditions au sein de leurs et nos établissements.

    J'étais encore plus surpris de lire qu'ils ont considéré leur décision en conformité même avec la doctrine catholique et l'ont décrite comme une sorte d'assistance miséricordieuse. (Lire la suite)

    Fr. René Stockman, Supérieur général des Frères de la Charité

     Télécharger l'article complet »

  • Défis éthiques : le pape invite les médecins et les professionnels de la santé à protéger le don de la vie

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    De zenit.org :

    Médecine: protéger « le don de la vie » face aux « défis éthiques »

    Le pape François a invité les médecins et les professionnels de la santé à protéger « le don de la vie » face aux « défis éthiques urgents », au cours de l’audience générale du 20 septembre 2017, place Saint-Pierre.

    Lors des salutations aux pèlerins anglophones, après sa catéchèse, le pape s’est adressé « aux nombreux médecins et professionnels de la santé présents », en encourageant « leurs efforts dédiés à respecter et à protéger le don de la vie face aux défis éthiques urgents de notre époque ».

    « Sur vous tous et sur vos familles, j’invoque la joie et la paix de Notre Seigneur Jésus-Christ », a-t-il ajouté.

  • La médiatisation du geste d'Anne Bert suscite des réactions indignées

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    MALADIE DE CHARCOT : « NOUS NE NOUS RECONNAISSONS PAS DANS LA DEMANDE D’ANNE BERT »

     

    L’Arsla[1], l’association pour la recherche sur la SLA[2], regrette la médiatisation du geste d'Anne Bert associé à la maladie et déplorent un « raccourci Charcot-euthanasie ».

    « Nous avons reçu beaucoup d'appels de malades et de leurs proches pour dire leur indignation. Peu se reconnaissent dans ce choix très personnel, même si chacun connaît la réalité de la souffrance de cette maladie », explique Christine Tabuenca, directrice générale de l’Arsla. « Cela leur renvoie une image négative et ultime de la maladie alors que la grande majorité d'entre eux ne pense ni à l'euthanasie ni au suicide, qu'ils sont au contraire dans l'espoir et la vie, dans le combat, qu'ils profitent du présent et font tout pour compenser la perte d'autonomie ».

    L’association déclare « respecter cette dame », mais considère que sa médiatisation va provoquer un raccourcit « Charcot-euthanasie » et témoigne aussi d’un « non-respect » « du travail des médecins et des chercheurs qui accomplissent un formidable accompagnement médical et humain pour diminuer les souffrances ».

    Le professeur William Camu, neurologue au CHU de Montpellier, déplore également une médiatisation « excessive » : « C’est dommage de parler de la SLA uniquement en donnant la parole à cette dame, dont les interventions choquent beaucoup de mes patients. Je peux comprendre la révolte dans laquelle elle se trouve. D’autres patients sont dans le même état d’esprit. Et depuis qu’elle témoigne dans les médias, j’en connais au moins deux qui se sont mis aussi à réclamer l’euthanasie. Mais il faut bien comprendre qu’ils ne sont qu’une petite minorité de l’ensemble des patients ».

    Par ailleurs, il évoque les pistes de recherches, en particulier de thérapie génique, face à la sclérose latérale amyotrophique (SLA). Bien qu’il n’existe pas de traitement permettant aujourd’hui de guérir la SLA, « un médicament, le riluzole, permet de diminuer la souffrance des cellules nerveuses et leur vitesse de dégénérescence […] et améliore le pronostic vital de 30 %. Cela veut dire qu’au bout d’un an et demi de traitement, il y a 30 % de décès en moins avec ce médicament. Globalement, cela permet de gagner une année de vie supplémentaire. Cela reste bien sûr insuffisant mais nous fondons de gros espoirs sur d’autres pistes de recherches, notamment fondées sur la thérapie génique ».

    Pour aller plus loin :

    Euthanasie : Agnès Buzyn répond à Anne Bert

    Fin de vie : un autre regard sur la maladie de Charcot

     

    [1] Association fondée en 1984 par un neurologue et un patient comptant 10.000 adhérents et accompagnant 3000 malades des 7000 à 8000 recensés en France.

    [2] Abréviation pour la sclérose latérale amyotrophique (SLA), ou maladie de Charcot (du nom du médecin qui l’a décrite au 19e siècle).

    Sources: La Croix, Pierre Bienvault (19/09/2017) ; Le Figaro, Delphine de Mallevoüe(19/09/2017)

  • Affaire Barbarin : tapez sur les cathos, il en restera toujours quelque chose...

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    De Régis de Castelnau sur Causeur.fr :

    Affaire Barbarin: tapez sur les cathos, il en restera quelque chose!

    La mise à mort médiatico-judiciaire continue

    Le lugubre cardinal Barbarin a fait l’objet en son temps d’un lynchage médiatico-politiqueen grand que certains ont voulu transformer en lynchage médiatico-politique et judiciaire. Tous les médias à la manœuvre, le Premier ministre de l’époque lui-même sommant l’ecclésiastique « de prendre ses responsabilités » ! Et le ministère de l’Intérieur a joué un rôle assez trouble là-dedans. Le problème, c’est que la France est normalement un État de droit, et que toutes les plaintes déposées, parfois trente ans plus tard, se sont heurtées à la probité du parquet de Lyon qui a appliqué les principes impératifs régissant le procès pénal, et font la différence entre un pays civilisé et la république bananière dont semblent rêver certains.

    En prison les abbés !

    Le classement sans suite avait beau être inévitable et parfaitement motivé, il a été immédiatement suivi par la clameur et une levée de boucliers. Quand il s’agit de taper sur les curés on ne va quand même pas s’embarrasser des règles de droit, sinon on ne va pas s’en sortir. En prison les abbés !

    Alors, on va lancer une procédure à l’initiative des plaignants par le biais de la « citation directe en correctionnelle » pour qu’il y ait une audience pénale à grand spectacle. L’utilisation de cette procédure permet de contourner l’évidence de l’impossibilité des poursuites, et de saisir la juridiction pénale, contrainte d’audiencer l’affaire. Mais en application du droit de renvoyer les manipulateurs à leurs chères études. Le but n’est donc à l’évidence absolument pas d’obtenir une vérité judiciaire ou une condamnation qui ne peuvent pas advenir, mais bien d’organiser un cirque médiatique. Pour faire bonne mesure, on a cité tout un tas de mitrés, tout juste s’il n’y a pas le Pape dans la liste.

    Le « silence de l’Eglise » ?

    Écoutons Le Figaro. « L’archevêque de Lyon n’est pas le seul convoqué. Cinq autres personnes liées au diocèse le sont. Et une sixième, de grande importance: Mgr Luis Ladaria Ferrer. Au Vatican, ce jésuite espagnol est le préfet de la Doctrine de la foi, c’est-à-dire le gardien du dogme. François l’a nommé le 1er juillet 2017. » Là c’est du lourd, coco.

    Et tous ceux qui sont d’une prudence de serpent dès qu’il s’agit de l’islam intégriste s’en donnent cette fois-ci à cœur joie. Et les médias se préparent avec gourmandise. Y compris Le Figaro qui titre : « pédophilie, le silence de l’Eglise en procès. » Évidemment, on connaît bien l’opportunisme habituel de ce journal, mais on ajoutera cette fois-ci qu’il n’a même pas la reconnaissance du ventre. Les 8 % de français chrétiens qui pratiquent encore forment quand même les gros bataillons de ses lecteurs. Ni catholique, ni abonné, cela ne me concerne pas, mais à la place de ces ouailles, je résilierais mon abonnement…

    Lire la suite sur causeur.fr

  • Dominique Wolton interpelé sur son livre avec le pape à l'émission "On n'est pas couché"

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    Très symptomatique du climat culturel et médiatique dans lequel nous évoluons et qui, malgré tous les efforts du pape, reste fondamentalement allergique à tout ce que représente le catholicisme...

  • Famille : tourne-t-on le dos à l'héritage de Jean-Paul II ?

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    Diakonos.be a traduit la dernière note de Sandro Magister parue sur son blog :

    Adieu Wojtyla et Caffarra. Avec François, on change de famille

    Le tremblement de terre qui a métamorphosé le visage de l’Académie Pontificale pour la Vie a également frappé l’institut d’études sur le mariage et la famille créé par Jean-Paul II et celui qui fut son premier président, le théologien et ensuite cardinal Carlo Caffarra.

    A partir d’aujourd’hui, cet institut historique a été anéanti et remplacé par un autre institut avec un nom différent.

    C’est ce qu’on peut lire à l’article 1 du motu proprio « Summa familiae cura » publié ce matin, par lequel le pape François a donné son aval au changement de cap :

    « Par le présent Motu proprio, j’institue l’Institut Théologique Jean-Paul II pour les sciences du Mariage et de la Famille qui, lié à l’Université pontificale du Latran remplace et succède à l’Institut pontifical Jean-Paul II pour les études sur le mariage et la famille, établi par la Constitution apostolique ‘Magnum Matrimonii sacramentum’ lequel, de ce fait, cesse d’être en vigueur. »

    Tous les professeurs du défunt institut sont donc congédiés, tandis que l’actuel grand chancelier Vincenza Paglia et le président Pierangelo Sequeri dont la nomination par le pape François fut, il y a un an de cela, un véritable cataclysme, restent en place.

    Tous deux accompagnent la publication du motu proprio d’une note qui souligne « l’implication directe » du pape, qui – tiennent-ils à préciser – « confie la mission de définir les règles, les structures et les opérations du nouvel Institut théologique » aux mêmes « autorités académiques de l’ex-Institut Jean-Paul II », c’est-à-dire précisément à eux deux et à personne d’autre.

    Pour décrire le « plus large cadre » dans lequel le nouvel institut exercera ses activités, Paglia et Sequeri font naturellement référence à « Amoris laetitia » mais également à « Laudato sii » et au « respect de la création ».

    Il reste désormais à voir qui seront les professeurs du nouveau programme, qui sera reconduit et qui ne le sera pas, aussi bien à Rome que dans les autres implantations ailleurs dans le monde.

    Tout comme on verra bien quel sort sera réservé aux dernières publications du défunt institut, en particulier celui de ce « Vademecum » sur la bonne interprétation d‘ « Amoris laetitia » qui est perçu comme la peste par les paladins de la communion aux divorcés-remariés.

    Un article de Sandro Magister, vaticaniste à L’Espresso.

    Lire l'analyse de Jeanne Smits : http://reinformation.tv/motu-proprio-summa-familiae-cura-francois-institut-jean-paul-ii-smits-74656-2/

  • Pakistan : un jeune chrétien condamné à mort après "un blasphème" sur un système de messagerie instantanée

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    De Fides.org (15 septembre) :

    ASIE/PAKISTAN - Condamnation à mort d’un jeune chrétien après un blasphème sur un système de messagerie instantanée

    Lahore (Agence Fides) – Un chrétien accusé de blasphème a été condamné à mort en première instance par un tribunal de Gujrat, au Pendjab pakistanais. Nadeem James, 24 ans, résidant dans la colonie chrétienne de Yaqoobabad, avait été accusé d’avoir commis un blasphème en juillet 2016, consistant dans l’envoi de messages blasphématoires à partir du téléphone portable d’un musulman par le biais du système de messagerie instantanée What’s App. Ainsi que l’a appris Fides, le propriétaire du téléphone, Yasir Bashir, un ami de la famille de Nadeem James, avait porté plainte au commissariat de police de Sarai Alamgir avec l’assistance de deux imams liés au groupe Sunni Tehreek, connu pour son intransigeance religieuse, réclamant l’arrestation immédiate de Nadeem James. Le 10 juillet 2016, Nadeem James avait été inculpé sur la base des articles 295a et 295c du Code pénal pakistanais, qui punissent le blasphème contre l’islam. Peu après le dépôt de la plainte, Nadeem James avait fui et, en son absence, la police a retenu ses deux sœurs, les malmenant par ailleurs, afin qu’elles révèlent le lieu où Nadeem James s’était caché.

    Le procès en première instance devant le tribunal s’est désormais conclu sur une condamnation à mort accompagnée d’une lourde amende. Dans une décision de 28 pages, le tribunal a déclaré que Nadeem James avait envoyé des messages blasphématoires via What’s App à Yasir Bashir et qu’il devait donc être condamné à mort.

    Au cours de ces dernières semaines, un autre chrétien, Asif Masih, âgé de 18 ans, a été arrêté sous une accusation de blasphème dans le village de Jam Kayk Chattha, sis aux environs de Wazirabad, ville du centre du Pendjab. Le jeune homme a été accusé d’avoir brûlé des pages du coran. Après son arrestation, une foule de quelques 200 hommes s’est rassemblée hors du commissariat de police, demandant à grands cris qu’il soit exécuté.

    Selon l’ONG connue sous le nom de Commission pour les Droits fondamentaux du Pakistan, 40 personnes se trouvent actuellement dans le couloir de la mort des prisons pakistanaises, suite à une condamnation à la peine capitale due à un blasphème alors que les groupes ou individus radicaux islamiques ont tué au moins 71 personnes dans le cadre d’exécutions sommaires suite à un présumé blasphème depuis 1990.

    En avril dernier, un étudiant musulman, Mashal Khan, a été tué par une foule de ses collègues après avoir été accusé de blasphème dans la ville de Mardan et l’épisode a, de nouveau, ouvert le débat sur la nécessité d’une réforme de la loi pour en éviter l’usage abusif.

    Nasir Saeed, un activiste chrétien de l’ONG Centre for Legal Aid, Assistance and Settlement (CLAAS) remarque pour Fides : « La loi sur le blasphème frappe injustement non seulement les minorités religieuses au Pakistan mais également les citoyens musulmans. En outre, elle contribue à détériorer les relations internationales de notre pays et à causer des dommages à son image au sein de la communauté internationale. Une réforme est urgente, pour le bien de la nation ». (PA) (Agence Fides 15/09/2017)

  • Parution d'un livre consacré aux dérives de l'euthanasie dans notre pays

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    Dans le Soir du 12 septembre dernier, la présidente de l'ADMD s'inquiète elle-même des dérives d’une éventuelle loi euthanasie… pour fatigue de vivre :

    Jacqueline Herremans alerte surtout sur les risques de dérives. La personne n’est-elle pas soumise à des pressions extérieures (de son entourage, de sa famille, par exemple) qui la pousseraient à demander l’euthanasie ? Autre dérive potentielle selon la présidente de l’ADMD : « On pourrait se dire : puisque des personnes âgées peuvent mettre fin à leur vie sereinement, pourquoi encore les soigner ? Il ne faudrait pas que des choix individuels deviennent de nouvelles normes sociétales… » Depuis l’élargissement de la loi aux mineurs, l’euthanasie n’a plus suscité d’importants débats remontant jusqu’au Parlement. L’ouverture du droit à l’euthanasie pour les personnes âgées « fatiguées de vivre » pourrait vraisemblablement en devenir un. La population belge semble prête, voire demandeuse. (Le Soir, 12/09/2017)

    Un ouvrage consacré à cette question devrait paraître ces prochains jours comme le signale SudInfo :

    Les dérives de l'euthanasie recensées dans un ouvrage qui pointe les pratiques en Belgique

    Le 23 septembre 2002, la loi euthanasie entrait en vigueur en Belgique. Sept jours plus tard, Mario Verstraete, atteint par la sclérose en plaques, était le premier à demander son application. Ce jeudi paraîtra un livre de l’université de Cambridge, auquel a participé un spécialiste belge. Il dénonce les dérives d’une pratique devenue « normale » en Belgique.

    Cela fait quinze ans que la loi euthanasie est d’application en Belgique. Notre pays est à la pointe de cette pratique qui est même « ouverte » aux mineurs. Ce jeudi, un livre sortira aux éditions de la célèbre université de Cambridge. Cet ouvrage, dont le titre traduit de l’anglais, est « Euthanasie et suicide assisté. Leçons de la Belgique », revient sur ces quinze années qui ont changé la fin de vie de bon nombre de Belges.

    Des milliers d’euthanasies sont déclarées chaque année en Belgique… Mais de nombreuses ne le sont pas  !

    > Le livre s’attarde aussi sur l’euthanasie pour les personnes vulnérables comme les enfants, les handicapés

  • Associations chrétiennes et Marche pour l'avortement : un démenti d'Entraide et Fraternité

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    Dans un "post" mis en ligne le 11 septembre consacré à la Manifestation européenne pour le droit à l'avortement du jeudi 28 septembre à Bruxelles, nous avions relevé que plusieurs associations chrétiennes de notre pays étaient liées au mouvement organisateur, celui de la "Marche Mondiale des Femmes". Mais, nous rétorque-t-on, cela n'implique pas que ces associations chrétiennes soutiennent toutes les initiatives de la Marche Mondiale des Femmes, comme le signale un démenti d'Entraide et Fraternité. Nous en prenons acte tout en regrettant que ces associations chrétiennes acceptent de faire partie d'une plate-forme qui promeut des manifestations et des mobilisations en opposition avec l'éthique chrétienne et le respect de la vie. 

    Entraide et Fraternité et Vivre Ensemble ne soutiennent en aucun cas cette manifestation pro-avortement. Nous ne sommes pas du tout liés ni à l’organisation ni à la promotion de cet événement.  

    Nous sommes effectivement membres de la plateforme la Marche Mondiale des Femmes comme organisme de lutte contre la pauvreté. Celle-ci regroupe différents membres qui ont en commun la défense des femmes. Il s’agit d’un vaste mouvement de solidarité autour des 4 thèmes suivants :

    • Pauvreté & indépendance économique – femmes et travail décent,
    • Violences envers les femmes,
    • Paix et démilitarisation,
    • Biens communs et accès aux ressources – souveraineté alimentaire. 

    http://www.marchemondialedesfemmes.be/index.php/fr/membres-marche-fr/liste-des-participants-fr Ces différents membres ne soutiennent pas tous toutes les actions de la Marche des Femmes ni  ne soutiennent toutes les mêmes revendications.

    Comme vous pouvez le voir sur la page web de cet  événement, nous ne sommes pas partie prenante/corganisateur ni promoteur de cette manifestation : http://www.marchemondialedesfemmes.be/index.php/fr/rencontre-europeenne-de-la-mmf-2017-bruxelles/flyer-de-la-manifestation-du-28-september. Notre nom n’y figure pas.

    Nous ne soutenons absolument pas cette marche contre (ô lapsus...) l’avortement. Nous déplorons que le blog de Belgicatho qui se veut blog de réinformation fasse de la désinformation à ce sujet et utilise notre nom et ceux d’autres organisations proches comme Justice et Paix. Que cherche-t-ils en faisant de tels amalgames malhonnêtes ?

    A Entraide et Fraternité/Vivre Ensemble, nous nous battons pour que le Livre de la Vie soit précisément réalité pour tant d’enfants, de femmes et d’hommes dans le monde et ici. Pas de doute que nous nous rejoignons dans le même combat, ainsi qu’avec les communautés chrétiennes de Belgique et nos partenaires d’ici et d’ailleurs.

    C'est, somme toute, une bonne nouvelle ! Et alors, on peut rêver de voir Entraide et Fraternité soutenir activement la prochaine Marche pour la Vie... 

  • Les "samedis philo" : programme du premier trimestre 2017-2018

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    programme-du-premier-trimestre-2017-2018-3-1_orig.jpg

  • "Bâtir sa maison sur le Roc" : deux cycles de formation au mariage à Bruxelles et à Rixensart

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    Sans titre.jpgBâtir sa maison sur le Roc :
    ce cycle de formation au mariage s’adresse tant aux couples fiancés que mariés, qui souhaitent fonder les bases de leur mariage sur le Christ, pour bâtir leur foyer sur le Roc, à l’aide des enseignements de l’Eglise, d’une meilleure connaissance des vertus humaines du mariage et d’une communication favorisée par des questionnaires préalables à chacune des sept soirées étalées sur une année scolaire. Le tout, dans une ambiance familiale et conviviale. 

    Deux nouveaux cycles de formation à l'amour et au mariage "Bâtir sa maison sur le roc", débuteront en parallèle :

    • l’un à Bruxelles (WSL), chez et animé par Oriane et Christophe de Hemptinne (première soirée le samedi 28 octobre 2017), 
    • l’autre à Rixensart, chez et animé par Véronique et Christophe Depreter (première soirée le vendredi 17 novembre 2017).  
    Les autres dates se trouvent sur le site : www.batirsamaisonsurleroc.be