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Société - Page 744

  • Texas : plus d'avortement après 20 semaines de grossesse

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    Texas: la nouvelle législation sur l'avortement entre en vigueur (gènéthique.org)

    Ce jeudi 18 juillet, la loi adoptée le 13 juillet dernier par le Sénat du Texas (Etats-Unis) pour restreindre le champ d'application de la loi ancienne sur l'interruption volontaire de grossesse (IVG) (Cf Synthèse de presse Gènéthique du 15 juillet 2013), a été signée par le gouverneur républicain Rick Perry. Cette loi interdit notamment de procéder à une IVG après 20 semaines de grossesse, contre 26 antérieurement. 

  • L’Université Catholique de Louvain (K.U.L) va former des imams

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    Une application de la déclaration « Nostra Aetate » de Vatican II, pour une meilleure intégration de l’Islam au sein de la société occidentale ? Lu dans 7sur7 :

    « L'université catholique de Louvain (KU Leuven) offrira à partir de 2014 une option en théologie islamique et des sciences religieuses, a indiqué vendredi le ministre flamand de l'Enseignement, Pascal Smet, qui y voit une étape importante dans la création d'un "cadre académique pour l'islam" en Flandre.

    Cette nouvelle option s'inscrit dans le cadre de la formation de master sur les religions mondiales, le dialogue inter-religieux et l'étude des religions (WIDR).

    Selon M. Smet, des études ont montré que les responsables de la communauté musulmane en Belgique (comme les imams) sont souvent peu au fait de la langue et de la culture. Les imams sont fréquemment "importés" et ne connaissant guère le néerlandais. Ils ignorent aussi largement le cadre de vie de la jeune génération musulmane en Europe.

    La Flandre réfléchit dès lors à une meilleure formation des imams. Mais elle ne peut légalement l'imposer.

    La KU Leuven va toutefois lancer une option en théologie islamique et des sciences religieuses, qui sera élaborée en coopération avec d'autres universités. Elle est destinée aux titulaires d'un diplôme de bachelier académique se destinant par exemple à être conseiller islamique ou aumônier. Les imams pourront aussi la suivre, mais à condition de disposer d'un titre de bachelier.

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  • Embryons : Mgr d'Ornellas dénonce l'âge de l'"Homo technicus"

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    Sur son blog, J. Smits retranscrit une interview de Mgr d'Ornellas (Radio Vatican) :

    Recherche sur l'embryon : Mgr d'Ornellas dénonce l'ère de l'Homo technicus

    Répondant aux questions de Radio Vatican, Mgr Pierre d'Ornellas, évêque de Rennes chargé des questions de bioéthique par la Conférence des évêques de France, a commenté l'adoption de la proposition de loi autorisant par principe la recherche sur l'embryon humain. En voici une assez complète retranscription. (...)

    • Il s’agit d’un vote de partis, ce n’est pas un vote qui manifeste une grande conscience individuelle des législateurs. C’est un vote qui a lieu après une absence de débat caractérisée. Du coup, ce vote est plutôt indicatif d’un climat de parti contre parti, plutôt qu’indicatif d’une réflexion à hauteur des enjeux. (…)

    • L’enjeu est considérable, il est celui de l’embryon humain, de celui qui partage notre humanité. Tous ceux qui ont voté ont commencé à exister dans la condition embryonnaire ; je ne sais pas s’ils avaient conscience de cela. Ce vote est très surprenant, très déstabilisant, et je crains qu’il crée plus de trouble dans les consciences de nos concitoyens qu’il ne résout de problèmes.

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  • La seule voie pour être vraiment libre, ou quand Carine Brochier répond à Bruno Dayez

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    Sur La Libre.be :

    Une opinion de Carine Brochier, Project manager à l’Institut Européen de Bioéthique (Bruxelles) et animatrice de groupes de réflexion en Bioéthique. 

    En réponse, à l’opinion de Bruno Dayez du 8 juillet dernier dans La Libre, peut-on vraiment défendre "une liberté individuelle placée au pinacle des valeurs", au point, notamment, de parler d'un "véritable droit à la mort [personnelle]"? Cette vision ne risque-t-elle pas de nous transformer en monstres d'égoïsme?

    Regardons la réalité de la vie. Depuis notre naissance, nous sommes dans le monde, donnés au monde. Notre fragilité de nourrisson est un fait. C’est naturel et tellement attachant. Ceux qui nous entourent, les humains avec qui nous partageons la même dignité, sont « obligés » de s’occuper de nous de 0 à 18 ans, pour nous nourrir, nous soigner quand nous sommes malades, pour nous éduquer. Vient alors la question suivante : leur liberté serait-elle amputée par le fait qu’ils ont le devoir de prendre soin de chacun d’entre nous ? Et quand nous serons vieux, nous serons encore et toujours donnés au monde qui devra être solidaire de notre  fragilité grandissante. Faudra-t-il invoquer le fait qu’y trouvant moins de satisfaction et de plaisir personnels, nous serions plus ou moins libres de prendre soin les uns des autres ?

    Par notre appartenance à l’espèce humaine, nous avons une obligation, qui, si elle est bien comprise, nous ouvre à la vraie liberté. Les parents le savent bien. La responsabilité « obligatoire » de l’ouverture à l’autre qui prend du temps, de l’énergie, de la vie, nous ouvre à une dimension insoupçonnée de la personne.  C’est la seule voie pour être solidement solidaires. La seule voie pour être vraiment libres.

    Regardons  autour de nous. La solidarité n’est pas facultative. Librement choisie, elle est garante de notre futur et de l’avenir de l’humanité. La solidarité chère aux plus grands héros (Gandhi, Mandela,…) est synonyme de paix et donc d’une plus grande liberté du corps social et de chacun.

    Il est alors facile de comprendre que la liberté individuelle a comme ennemi premier l’égoïsme (je fais ce que je veux pour moi, et cela ne concerne que moi). Par contre, bien comprise dans une dynamique de don de soi pour les autres, elle donne le vrai bonheur à chacun. Une personne qui, au nom de sa liberté et de son choix personnel, se ferait euthanasier ne casse-t-elle pas ce lien solidaire en décidant avec l’aide de médecins de nous exclure tous de sa vie ? Son choix aujourd’hui n’est pas sans effet sur la société toute entière.

    Le dit-on suffisamment pour que nous en ayons tous conscience ?

  • Un "mariage" en douce France

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    Lu ici :

    Deux détenus de la prison de Poissy se mariaient, ce mercredi. Il s’agissait d’Alfredo Stranieri et de Germain Gaiffe, des individus ayant commis des crimes particulièrement horribles. Le premier a été surnommé « le tueur aux petites annonces ». Il a tué deux couples de restaurateurs en 2003. Quant à Gaiffe, il a été condamné pour l’assassinat d’un homme dont le corps a été retrouvé coupé en morceaux.

    Ils avaient rencontré Dieudonné lors d’un atelier d’écriture de chansons potaches et c’est ainsi qu’il s’est retrouvé témoin de leur mariage.

    Mais n’approuvant visiblement pas le mariage entre gays, il s’est présenté à la prison en robe de mariée. Il déclarait : « la loi sur le mariage pour tous a ouvert la porte du grand n’importe quoi ». Il a dû retirer la robe de mariée à l’intérieur.

    Le maire de Poissy a célébré le mariage.

    http://www.lameuse.be/769078/article/fun/buzz/2013-07-18/dieudonne-temoin-en-robe-de-mariee-d-un-mariage-entre-deux-tueurs-gays-a-la-pris

  • Prends soin de la vie, cela vaut le coup !

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    (Zenit.org - Anne Kurian) - Dans un message aux catholiques d’Irlande, d’Ecosse, d’Angleterre et du Pays de Galles à l’occasion de la Journée annuelle pour la vie, le pape François appelle à « reconnaître la valeur inestimable de toute vie humaine ».

    La Journée pour la Vie aura lieu dimanche 28 juillet, sur le thème « Prends soin de la vie - ça vaut le coup ».

    Citant l'enseignement de saint Irénée selon lequel « la gloire de Dieu c’est l’homme vivant », le pape encourage à « laisser la lumière de cette gloire briller si fort que tout le monde puisse venir reconnaître la valeur inestimable de toute vie humaine ».

    Il rappelle que « même les plus faibles et les plus vulnérables, les malades, les vieux, les enfants à naître et les pauvres, sont des chefs-d'œuvre de la création de Dieu, faits à son image, destinés à vivre pour toujours, et dignes de la plus grande vénération et de respect ».

    Enfin, il assure de ses prières afin que « la Journée pour la Vie aide à faire en sorte que la vie humaine reçoive toujours la protection qui lui est due ».

    Selon un communiqué de la Conférence des évêques nationale, plus d’un demi-million de tracts ont été envoyés aux paroisses en Angleterre et au Pays de Galles en préparation de cette Journée.

    Le thème de la Journée est tiré d'une homélie du cardinal Jorge Mario Bergoglio en 2005, lors d'une messe en l'honneur du protecteur des femmes enceintes, saint Raymond Nonnat.

    Dans cette homélie, le pape disait notamment : « Chacun d'entre nous doit prendre soin de la vie, chérir la vie, avec tendresse, chaleur ... donner la vie c’est ouvrir son coeur, et prendre soin de la vie c’est se donner dans la tendresse pour d'autres, avoir une préoccupation dans son cœur pour les autres ».

    « Prendre soin de la vie du début à la fin. Quelle chose simple, quelle belle chose ... Alors, allez de l'avant et ne vous découragez pas. Prenez soin de la vie. Ça vaut le coup ».

    La Journée de cette année est célébrée en particulier en l’honneur des enfants à naître et de leurs mères, des personnes âgées et des personnes suicidaires et leurs familles.

    Le produit de la collecte qui aura lieu dans les paroisses en Angleterre et au Pays de Galles soutiendra le travail du Centre de bioéthique de Anscombe et d'autres activités liées à la vie soutenues par l'Eglise.

  • Angleterre : un coup de frein à la pratique de l'euthanasie

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    C'est une belle victoire pour la vie, commente Jeanne Smits :

    Le protocole de « fin de vie » connu sous le nom de Liverpool Care Pathway, reposant sur la sédation « terminale » ou « palliative » devrait être abandonné d’ici à l’automne, aux termes d’une enquête parlementaire qui a mis en évidence les abus liés à la procédure, rapporte LifeSite.

    Le  LCP, « parcours de soins de Liverpool », prévoit notamment le retrait de l’alimentation et de l’hydratation couplée à une sédation profonde continue si cela est jugé conforme aux « meilleur intérêt » du patient souffrant d’une maladie incurable.

    Dans les faits, de nombreux médecins et proches de patients ont affirmé ces dernières années que le parcours est volontiers appliqué à des patients qui ne sont pas en fin de vie, sans concertation avec la famille, son utilisation constituant parfois ou fréquemment, selon les sources, une euthanasie lente.

    L’enquête parlementaire, sous le titre « Davantage de soins, moins de parcours », met en avant les cas de soins et de prises en compte des symptômes inadaptés ou insuffisants, et un recours systématique et sans humanité à ce protocole qui cause la mort dans les 29 heures, en moyenne.

    Ce sont les journaux tabloïdes plutôt conservateurs qui ont fait éclater le scandale en donnant la parole à des proches outrés de voir leurs proches poussés vers la mort alors qu’ils auraient pu vivre encore pendant une durée indéterminée.

    Le Parlement a alors joué son rôle, et il n’a pas démenti la crainte et l’indignation des proches des malades. Norman Lamb, ministre qui a commandé l’enquête, l’avait fait en expliquant qu’il avait été personnellement « horrifié » par les souffrances dont témoignaient les proches qui avaient perdu un être cher par le LCP.

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  • Existe-t-il des absolus moraux ?

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    Sur DIDOC.be : Y a-t-il des absolus moraux? (Stéphane SEMINCKX)

    « Est-il toujours mal d’ôter la vie à une personne innocente ? » Voilà la question que Peter Singer pose dans l'article "La question de Beatriz" (La Libre Belgique du 18-6-13). L’Eglise catholique répond oui, Singer prétend que non.

    Le cas de la jeune femme salvadorienne

    Qu’en est-il ? Peter Singer évoque le cas récent d’une jeune femme salvadorienne, souffrant de lupus érythémateux, enceinte d’un fœtus anencéphale, et dont la vie aurait été menacée par cette grossesse. Une particularité du cas est le fait que l’anencéphalie provoque souvent la mort du fœtus avant la naissance ; s’il vient à naître, l’enfant meurt rapidement.

    Pour Peter Singer, il est évident que, dans ce cas, on peut et on doit pratiquer l’avortement pour sauver la mère. Il signale que les tribunaux salvadoriens et la Cour Suprême en ont jugé autrement, s’appuyant sur l’interdit absolu de l’avortement. Finalement Beatriz a été autorisée à subir une césarienne avant terme, qui a été présentée, non comme un avortement, mais comme une « naissance provoquée ». Le nouveau-né est mort cinq heures plus tard. Pour Singer, tout cela est profondément absurde.

    Ce qu’il ne dit pas, c’est que l’on avait conseillé l’avortement à Beatriz, déjà malade, lors de sa première grossesse, que celle-ci a refusé, et que tout s’est bien passé. Ce qu’il ne dit pas, c’est que la Cour Constitutionnelle a interdit l’avortement mais a recommandé de tenter de sauver la vie tant de la mère que de l’enfant. Ce qu’il ne dit pas non plus, c’est qu’un collège d’experts a signalé au Tribunal que la pathologie de la mère n’était pas grave au point de craindre sa mort imminente. Ce qu’il omet de signaler aussi, c’est que la solution adoptée, à savoir la naissance provoquée par césarienne, à la 27ème semaine de grossesse, était conforme à la sentence de la Cour Constitutionnelle.

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  • JMJ : si tu vas à Rio…

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    De Gérard Leclerc sur le site de « France Catholique » :

    « Il y a quelques mois encore, on ne pouvait prévoir que les Journées mondiales de la jeunesse, qui devaient se tenir en juillet dans la capitale brésilienne, seraient présidées par un pape d’origine sud-américaine. Nul doute que cette dimension va beaucoup compter pour conférer à l’événement une valeur ajoutée significative. On savait que le continent latino-américain était celui qui regroupait le plus de catholiques au monde et que le Brésil lui-même était la première des nations pour le nombre de fidèles en communion avec l’évêque de Rome. Le centre de gravité du catholicisme mondial, du point de vue démographique, doit se trouver du côté des Caraïbes. C’est dire l’enjeu de la vitalité religieuse de cette partie du monde. Comment les JMJ de Rio ne seraient-elles pas au diapason de cette réalité, de ces interrogations, de ces angoisses et de ces espoirs  ? Par ailleurs, le catholicisme latino-américain se trouve en proie au défi de l’emprise profonde des Églises évangéliques protestantes sur les populations. Dans son essai récent sur le protestantisme américain [1], Alain Besançon parle de la réussite brillante de cette mission qui pourrait même menacer dans quelques décennies l’identité catholique du Brésil. Et l’historien d’avancer plusieurs raisons  : « Le brouet marxisant de “la théologie de la libération” a préparé le terrain. La mission américaine, elle, propose le salut par Jésus Christ et non par la lutte des classes, ce qui peut attirer les Brésiliens restés chrétiens. Elle bénéficie de l’immense prestige de la nation dominante. Devenir protestant est un premier pas pour devenir américain. »

    N’est-ce pas justement pour l’Église catholique un puissant stimulant pour son propre réveil qu’une telle provocation  ? Pour autant qu’elle s’était assoupie, qu’elle ait mal perçu les évolutions profondes du continent, elle se trouve dans l’obligation de puiser de nouvelles énergies afin de ne pas être inférieure en fait de ferveur, de renouvellement de son annonce de l’Évangile et de sa présence dans toutes les couches de la société. Il n’est pas jusqu’aux manifestations actuelles, avec leur remise en cause du système politique, qui ne soit propice à un aggiornamento, où la lumière de la foi pourra éclairer puissamment le catholicisme afin qu’il se déploie dans une civilisation en pleine transformation."

    [1] Alain Besançon, Le protestantisme américain de Calvin à Billy Graham, Éditions de Fallois, 240 pages, 19 euros.

    Référence ici : Il y a quelques mois encore

    Témoignage d’un couple de jeunes liégeois : partis, voici peu, non pas au Brésil mais dans un grand pays voisin, l’Argentine (le pays du pape Bergoglio), ces jeunes sont aujourd’hui déjà de retour, déçus par le marasme économique et social. Côté religion, ils réagissent à chaud : les églises sont plus fréquentées que dans notre désert belge, mais sur le fond la crise doctrinale, spirituelle et morale de l’Eglise catholique est la même…

    JPSC

  • Dénaturation du mariage : les évangéliques américains tiennent bon, pas les catholiques

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    Selon un sondage réalisé par The Barna Group et publié le 3 juillet dernier, 93% des chrétiens évangéliques américains (définis strictement, soit 8% de la population totale) pensent que le mariage doit être défini comme l’union d’un homme et d’une femme. C’est trois points de plus qu’il y a dix ans. 98% pensent que les relations homosexuelles sont immorales (contre 95% en 2003). Enfin, seulement 5% des évangéliques se déclarent favorables à un changement des lois allant dans le sens des revendications homosexuelles contre 12% il y a une décennies. Seul point négatif : le droit d’adopter des enfants est soutenu par 18% des chrétiens évangéliques en 2013 contre 12% en 2003.

    Toujours selon ce même sondage, les protestants pratiquants (environ 25% de la population totale, comprenant une grande partie des chrétiens évangéliques, qui sont très pratiquants) définissent le mariage comme l’union d’un homme et d’une femme à 70% (-5 points en dix ans), les catholiques pratiquants à 50% (-14 points). Les premiers sont seulement 15% à juger les relations homosexuelles moralement acceptables (+3 points), les seconds 37% (+18 points). Les évêques vont avoir du travail…

     Ici: Dénaturation du mariage : les évangéliques américains tiennent bon, pas les catholiques

  • Permettrons-nous la disparition totale de l’enseignement de la foi catholique ?

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    Des laïcs catholiques prennent la parole

    Tel est le titre de la pétition organisée par la Ligue d’Action Pro-Vie et le Forum laïc catholique romain. Elle veut réagir contre la politique menée par Madame Mieke Van Hecke en matière d’enseignement religieux dans les écoles catholiques flamandes. Du fait que l’état de l’enseignement religieux n’est guère meilleur dans les écoles francophones et que la pétition s’adresse à l’ensemble des évêques belges et au nonce apostolique à Bruxelles, nous sollicitons aussi la signature des catholiques francophones.

    Madame Mieke Van Hecke est directrice générale du VSKO (Secrétariat flamand de l’enseignement catholique). Récemment, elle s’est ralliée à l’objection que, d’après un article de journal, un et un seul père de famille avait formulée contre un cours d’éducation sexuelle que Pro Vita avait donné dans une école de l’enseignement communautaire (soit dans un établissement qui ne relève pas du VSKO).

    Contrairement au Ministre de l’Enseignement flamand, M. Pascal Smet, libre penseur, qui affirma que les écoles communautaires étaient libres à cet égard, le directeur de l’enseignement catholique « libre » fit savoir qu’il n’y avait pas de place pour Pro Vita dans « son » réseau d’écoles.

    Nous croyons que Madame Van Hecke a non seulement outrepassé ainsi ses compétences, mais qu’elle a en plus jeté son dernier masque en préférant à Pro Vita, une association qui enseigne à nos élèves l’authentique morale catholique, un organisme tel que Sensoa, qui propage une morale sexuelle athée.

    Nous nous adressons donc à nos évêques en les priant de mettre enfin et définitivement un terme à la néfaste politique menée par Mieke Van Hecke en matière d’enseignement religieux, politique responsable du fait que les jeunes sortant de l’enseignement catholique ignorent tout ou presque du contenu de la foi catholique.

    Toutes les personnes de bonne volonté, quels que soient leur âge, leur rang et leur situation, à qui la transmission de la foi catholique aux nouvelles générations tient à cœur, sont donc aimablement invitées à signer cette pétition, qu’elles trouveront à l’adresse :

    www.katholieke-leken-nemen-het-woord.be

    Veuillez coopérer à la diffusion de cette pétition. Envoyez-la s'il vous plaît à toutes les personnes dont vous pensez qu’elles se rendent compte, comme vous, de l’importance d’une éducation complète et correcte de la religion catholique

    Ensemble au service du Christ et de son Église,

    Ludovic Werpin - Secrétaire de l’asbl FLCR, section francophone

  • Les parents, voilà l'ennemi !

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    Une amie nous écrit :

    Avez-vous déjà vu la campagne publicitaire d’Inter rail pour les jeunes ?

    « Pars loin du regard de tes parents »…

    J’ai participé à un concours l’autre jour où Inter Rail avait un stand.

    On y prenait une photo des jeunes. Et aujourd’hui, nous sommes recontactés par mail avec une copie de la photo.

    Et en-dessous, des phrases :

    « Ta photo :TERRIBLE ! Des gens sympas, de la bonne musique et la boisson qui coulait à flots.  D'ailleurs, tu te souviens que notre photographe t’a pris en photo ?

    Pas de panique, nous avons déjà rendu ta photo "parent-proof".

    Ainsi, ce sera un chouette souvenir dont tu n'auras pas à rougir.

    Peut-être qu'entre-temps, ça t'a donné des envies de faire encore plus la fête ? Plus longtemps ? Ailleurs ? Mais surtout très loin du regard de tes parents.

    Avec InterRail, pars où tu veux en Europe et ramène plein de souvenirs que tes parents ne verront jamais. Choisis le Pass qui te convient et commence déjà ton aventure !

    Génial ! Les parents, voilà l'ennemi...