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Société - Page 745

  • Egypte : l’armée arbitre les luttes d’influence au sein d’une société divisée

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    Alors que la justice égyptienne a commencé à interroger dimanche 14 juillet 2013 le président déchu Mohamed Morsi et d’autres membres des Frères musulmans, accusé d’espionnage, d’incitation au meurtre de manifestants et de mauvaise gestion économique, Georges Fahmi, chercheur au Forum arabe pour l'alternative (basé au Caire) expose les prises de position des autorités religieuses égyptiennes, copte et musulmane. Lu sur le site de l’œuvre d’Orient cette interview qu'il a accordée au journal " La Croix":

     « Quel a été le rôle des autorités coptes et d’Al-Azhar dans le renversement du président Mohammed Morsi ?

    G.F. : Avant les manifestations de 30 juin, les autorités religieuses, copte et musulmane, ont insisté sur le droit de protester de manière pacifique. Ceci a été perçu par les Frères musulmans comme un encouragement aux manifestations contre le président Mohammed Morsi. Aussi, le cheikh de l’université Al-Azhar, Ahmad Al-Tayeb, et le pape copte Tawadros II ont participé aux négociations qui ont eu lieu le 3 juillet avec l’armée, les jeunes du mouvement Tamarod (« Rébellion »), Mohammad El Baradei comme représentant de Front de Salut National, Sakina Fouad, comme représentante des femmes, le chef du Conseil supérieur de la justice, et un représentant du parti salafiste Nour, afin de trouver une solution à la crise politique. Ils étaient aussi présents durant la déclaration officielle le soir du nouveau plan de transition démocratique. Le discours du général Al-Sissi, chef de l’armée, a été suivi par un discours d’Al-Tayeb et de Tawadros. 

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  • France : l’embryon humain devient un outil de l’industrie pharmaceutique

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    Communiqué de la Fondation Jérôme Lejeune (16 juillet) (source) :

    "Cet après-midi, les députés ont signé l’épilogue estival de l’entreprise de modification de la loi de bioéthique engagée par les radicaux de gauche et portée avec obstination par la ministre de la recherche. Compte tenu de la réserve et du blocage des votes mis en œuvre par cette dernière jeudi 11 juillet pour abréger l’examen des amendements de l’opposition, et afin d’éviter éviter à tout prix que l’un d’eux ne soit voté, le vote solennel global d’aujourd’hui ne revêtait pas un suspens insoutenable. Or, face aux directives de vote de la majorité et à la discrétion d’une partie des ténors de l’opposition, la Fondation Jérôme Lejeune regrette que les représentants politiques, n’aient pas voté en conscience alors que les conséquences de ce bouleversement sont majeures. Les conséquences concrètes d’une éventuelle adoption de la proposition de loi qui détruit des êtres humains vivants portent atteintes à l’Etat de droit.

    • L’embryon humain est présumé disponible pour être détruit dans la recherche. Le passage d’un principe d’interdiction (assorti de dérogations) à celui d’autorisation (encadrée) fait de façon inédite de l’embryon humain, d’un être humain, un matériau disponible pour des expérimentations sous pavillon de complaisance de la médecine. Nous devenons une société « embryocide » c'est-à-dire dont un des principes repose sur l’homicide de l’embryon humain.
    • La charge de la preuve ne s’impose plus au chercheur qui n’a plus à justifier de sa recherche sur l’embryon. Certains chercheurs partisans de ces recherches - faut-il rappeler que tous n’appellent pas à ce changement législatif loin de là – se sont dits « stigmatisés » par le régime actuel qui les contraint à justifier. Mais n’est-ce pas la moindre des choses, dès lors qu’il s’agit d’expérimenter sur du vivant humain ? Le principe de précaution tant valorisé lorsqu’il s’agit d’écologie par exemple s’évapore ici et un tapis rouge est déroulé à la marchandisation du vivant.
    • L’embryon humain dit « surnuméraire » devient officiellement un réactif de laboratoire. L’embryon humain deviendra un outil de l’industrie pharmaceutique, réelle bénéficiaire de l’adoption de cette proposition de loi. Déjà en 2011, le LEEM soutenait les positions suivantes au moment de la révision de la loi de bioéthique :

    - L’assouplissement des démarches nécessaires au développement des lignées et du champ possible d’investigation en matière de cellules souches embryonnaires

    - La mise en place d’autorisations d’importations de lignées de CSE sans dérogation et de l’autorisation de réaliser des transferts de noyau sous contrôle strict (en d’autres termes, du clonage)

    - Faire entendre la voix de la France via les instances concernées (INPI, …) afin de faire revenir l’OEB sur sa décision d’exclure de la brevetabilité les produits issus de cellules souches embryonnaires

    • La recherche non-embryonnaire – la seule à être à la fois éthique et efficace aujourd’hui - sera sacrifiée dans les plans de financement. Alors que cette dernière reçoit des crédits croissants dans les pays développés en pointe sur l’innovation thérapeutique tel que le Japon, la France va creuser son retard pour des raisons idéologiques.

    La Fondation Jérôme Lejeune constate que, si ce n’est pour des raisons évidentes d’éthique, les députés n’ont pas su discerner les enjeux stratégiques qui se jouent en termes de recherche sur les cellules souches. Ils ont choisi d’enfermer la France dans l’aveuglement et le fantasme entretenus autour des prétendues (depuis plus de 20 ans…) perspectives de la recherche utilisant l’embryon humain au lieu de miser courageusement et efficacement dans ses alternatives. La Fondation Jérôme Lejeune soutient en France l’initiative citoyenne européenne Un de nous qui avance vers le million de signatures et portera à l’automne devant la Commission européenne une requête pour stopper les financements européens aux programmes de recherche sur l’embryon humain."

  • Quand une femen trône en allégorie de la république sur les timbres français

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    Où va la France ? A grandes enjambées, elle rattrape le peloton des pays du libéralisme le plus avancé qui pratiquent généreusement l'avortement, promeuvent le mariage gay et l'adoption par les couples homos, adoptent la théorie du gender, détruisent les embryons humains dans des laboratoires, etc. A présent, elle se dote de nouveaux timbres où Marianne arbore les traits de la fondatrice ukrainienne du mouvement des femen. C'est tout un symbole. Et une déclaration de guerre à celles et ceux qui restent attachés à tout ce que ces harpies foulent au pied, notamment la religion, les lieux consacrés, la famille, la pudeur... Saluons cette réaction de Marie-Claude sur "France Catholique" :

    Moi, citoyenne normale, ni de droite ni de gauche, je ne décolère pas devant l’affront fait au peuple français : une femen en guise de Marianne ! Glorifier ainsi le leader d’un mouvement qui tronçonne le mémorial des victimes du Stalinisme constitue une offense sans précédent aux millions de morts des camps et famines de Staline. C’est une gifle cinglante à la mémoire de tous ceux qu’une idéologie meurtrière a réduit au silence. Apologie dissimulée du totalitarisme ? Retour aux goulags en vue ? Quand on accorde l’asile politique à quiconque bafoue la mémoire de millions de victimes d’une idéologie, on signe consciemment sa complicité avec cette même idéologie. Voilà bien de quoi trembler ! N’est-ce pas dans la suite logique de la Police de la pensée qui sévit actuellement en France ? Tout cela est dangereusement cohérent… A quand l’effigie d’un négationniste sur les pièces de monnaie ?

    La République, avec cette Marianne, vient d’apposer le sceau « haine religieuse validée par l’Etat ». Ne nous endormons pas… La stigmatisation haineuse par un Parti politique d’une frange de la population, éveille de sombres souvenirs dans l’Histoire et constitue une alerte rouge. Un timbre…. et voilà le peuple français pris en otage devenant, à chaque lettre envoyée, colporteur malgré lui d’un message totalitaire et christianophobe. Non possumus !

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  • Quand il s'agit bel et bien d'un embryon humain

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    Fabrice Hadjadj est interviewé dans le Figaro où il répond aux propos du Professeur Frydman; extraits :

    LE FIGARO. - Beaucoup affirment que «l'embryon n'est pas une personne». Qu'en pensez-vous?

    Fabrice HADJADJ. - C'est curieux, on ne vient jamais chercher un philosophe pour effectuer une PMA ; mais on n'hésite pas à demander à un médecin de se prononcer sur des questions philosophiques. Je rappelle que la notion de personne est une notion métaphysique, d'origine théologique même, et qu'on ne peut l'employer comme ça sans être plus arriviste et plus fat que Le Bourgeois gentilhomme . D'ailleurs, je ne sais si vous avez remarqué, on s'évertue à dire l'«embryon», tout court. Mais de quoi s'agit-il? D'un embryon de veau, de macaque, d'ornithorynque? Non, il s'agit d'un embryon humain. M. Frydman a beau jeu d'argumenter en disant: «Un œil non averti ne peut différencier un embryon de souris d'un embryon humain.» Lui, le défenseur du «in vitro veritas», connaissant la génétique et maniant le microscope électronique, refuse tout d'un coup de voir le code génétique de cet embryon, fait la promotion de l'«œil non averti». Implante-t-il un embryon de souris chez les femmes qui lui demandent une PMA? Pourquoi pas, si ça ne fait aucune différence? L'évidence, c'est que l'embryon dont il est question est humain. Aucun scientifique ne peut dire le contraire. Or supprimer un être humain, c'est un homicide. Faire de l'être humain un matériau disponible, c'est le comble de l'exploitation. Je n'émets pas ici un jugement de valeur. Après tout, il peut y avoir des motifs d'être homicide, et de nombreux États ont légalisé l'exploitation et la manipulation des humains, au nom du progrès. Ce que je reproche, en tant que philosophe, c'est que l'on refuse d'appeler un chat un chat, et qu'on se livre à des détours de langage qui relèvent de la dissimulation. (...)

    Est-il possible d'affirmer en même temps que l'embryon humain «n'est pas une personne», et qu'«il est une personne en devenir» dans la mesure où il s'inscrit dans un projet parental?

    Les scientifiques qui le soutiennent sont en vérité des adeptes de la magie noire. Abracadabra! Je veux que ce soit une personne, et c'est une personne. Ça n'entre pas de mon projet, et pouf! La personne disparaît! On est vraiment dans le règne des apprentis sorciers. Mais cette manière de voir, si elle fait penser à la magie, est typiquement technocratique. Son principe est que la volonté prime sur l'être, et que dès lors tout le donné naturel, mon corps y compris, n'est qu'un matériau que je peux manipuler au gré de mes caprices. Je rappelle cependant ce que disait Hannah Arendt à la fin du Système totalitaire: l'essence du totalitarisme se trouve dans le refus de la naissance comme événement absolu, c'est-à-dire dans le fait de vouloir que l'individu n'ait de valeur que s'il s'inscrit dans une planification, que s'il est le rouage d'un dispositif antérieur à sa venue, qu'il s'agisse de l'idéologie du Parti, ou du projet des parents. (...)

    L'article est ici : Fabrice Hadjadj, "l'embryon dont il est question est humain"

  • Irlande : quand une ministre irlandaise refuse de voter une loi autorisant l'avortement

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    Lu sur le blog de Jeanne Smits :

    Une ministre irlandaise préfère perdre son poste que de voter l'avortement

    Elle s'appelle Lucinda Creighton, elle a 33 ans, elle est irlandaise, elle est ministre et étoile montante de son parti, le Fine Gael. Ou plutôt, elle l'était. Car elle a préféré démissionner plutôt que de voter, comme l'y obligeait son statut de ministre aux Affaires européennnes, pour la loi sur l'avortement défendue par le gouvernement auquel elle participe.

    Cela s'est passé jeudi soir : les membres du Dail en étaient à l'amendement 56 rendant l'avortement légal pour les femmes enceintes menaçant de se suicider en cas de poursuite de la grossesse.

    Lucinda Creighton, membre du Fine Gael depuis ses 18 ans, savait exactement ce qu'elle avait à faire et et elle en avait mesuré les conséquences. En votant contre l'avortement soutenu par le gouvernement auquel elle participe, elle savait qu'elle serait automatiquement exclue et qu'elle n'aurait plus qu'à démissionner du poste ministériel qu'elle occupait depuis plus de deux ans?

    Souriante et calme, elle s'est jointe au 23 autres élus qui ont osé voter contre (130 élus ont voté pour), après avoir expliqué longuement et posément qu'elle n'était pas une militante pro-vie, mais qu'elle était absolument opposée à l'adoption d'une loi que le parti s'était solennellement engagé à ne pas adopter au cours de sa campagne électorale.

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  • Pakistan : quand les manuels scolaires incitent à la haine

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    Lu sur "Eglises d'Asie" :

    Une fois de plus, l’Eglise catholique dénonce les contenus incitant à la haine présents dans les manuels scolaires

    C’est un combat plusieurs fois mené et toujours recommencé, année après année, et qui ne semble pas couronné de succès. Pourtant, le 10 juillet dernier, en prenant la parole à Karachi lors d’un colloque consacré à « l’éducation pour la paix », Mgr Joseph Coutts, archevêque catholique de Karachi, a encouragé les membres de l’Eglise à ne pas baisser les bras. « J’invite toutes les personnes de la société pakistanaise, laquelle est pluri-religieuse, pluriethnique, multiculturelle et multilingue, à prendre les initiatives nécessaires pour faire comprendre à tous que le fanatisme et l’intolérance n’ont pas leur place dans les manuels scolaires », a déclaré l’évêque, qui préside la Conférence épiscopale catholique pakistanaise.

    La présence dans les manuels scolaires du Pakistan de contenus présentant en termes négatifs et péjoratifs les non-musulmans, l’Inde et l’Occident est une réalité ancienne et bien documentée. Toutefois, de récents travaux de la Commission nationale ‘Justice et Paix’ (NCJP), instance rattachée à la Conférence épiscopale catholique, montrent que la tendance n’est pas à l’atténuation de ces travers mais à leur accentuation.

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  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique (10/7/2013) : Fin de vie / Euthanasie / Mourir à la maison

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  • A lire, sur ZENIT.ORG (13.07) :

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    Finances du Vatican : tolérance zéro

    Les comptes de Mons. Scarano gelés

    (12 juillet 2013) 

    Née grâce à la prière de Maria Goretti

    Témoignage du Canada

    (12 juillet 2013)

     
     
     

    Une loi éthiquement inacceptable et scientifiquement injustifiée

    Recherche sur l'embryon : passage en force

    (11 juillet 2013)

    Suisse: tragédie de l'euthanasie, sur erreur de diagnostic

    Un magistrat italien se croyait incurable, mais il n'avait rien

    (11 juillet 2013)

     
     

    Soudan du Sud : prière nationale pour la réconciliation

    2ème anniversaire de l'indépendance le 9 juillet

    (11 juillet 2013)

  • A propos des gay pride

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    Lu avec intérêt sur "le soupirail et les vitraux" :

    La Fabrique des homophobes

    Petite leçon LGBTQ à travers la Gay Pride de Lyon

    Au-delà de ce que j’ai ressenti comme une fête industrielle, débordante d’une joie factice, banale et triste, aux rythmes saturés, je crois discerner dans le phénomène de la Gay Pride un fait politique décisif. La mise en valeur de "fiertés" particulières dues à certaines pratiques sexuelles juxtaposées à la lutte proclamée contre les "phobies" correspondantes, elle-même mêlée à des réclamations de "droits" particuliers (en l’occurrence la PMA pour les couples de lesbiennes), tel est le principe étrange – et pour le moins paradoxal – de cette manifestation. Et c’est justement cet amalgame douteux qui est à mon sens le facteur le plus générateur d’"homophobie"…

    Fier d’être normal ou d’être marginal ?

    Chaque Gay Pride repose sur une contradiction fondamentale. Il s’agit de donner une visibilité à l’homosexualité, à la culture qu’elle est censée produire, mais surtout de faire de la pub au business gay-friendly qui ne manque jamais de déployer son "arsenal commercial" (Jean-Sébastien Thirard, ancien président de l’association Lesbian & Gay Pride Paris). Cette entreprise de "visibilisation" apparaît traversée par deux tensions contraires : la prétention à la normalité et l’affirmation d’une singularité. Proclamer une "fierté", c'est nécessairement poser un acte clivant, car qui dit fierté" dit "appartenance", c’est-à-dire distinction, voire exclusion, ce qui tendrait à légitimer les sentiments de "honte", "jalousie", "regret", consécutifs à la non-appartenance.

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  • Allez, les Belges, réveillez-vous !

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    Un de nos amis attire notre attention sur deux initiatives importantes sur le plan éthique :

    1. Pétition "Un de nous" www.oneofus.eu .

    Cette pétition demander d'arrêter le financement de la recherche sur l'embryon par la Commission européenne.

    Pour qu'elle contraigne la CE à prendre une initiative, il faut obtenir plus d'un million de signatures avant le 1er novembre 2013 et il faut qu'au moins 7 pays aient plus que leur quota de signatures.

    Trois quart de l'objectif est atteint. L'Italie est le pays qui a recueilli le plus de signatures, suivi par l'Autriche, la Hongrie, la Pologne, la Slovaquie.

    Toutefois, la Belgique n'a recueilli que 15% des signatures nécessaires à son quota et Bruxelles est la capitale de l'Europe...

    Retroussons nos manches !

    2. Le site d'information http://www.euthanasiestop.be/ Ce site permet une expression publique de voix 'discordantes' par rapport à la tendance visant l'extension du champ de la loi sur l'euthanasie.

  • Aujourd'hui sur Euthanasie Stop - 10/07/2013

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    Tu seras plus heureux quand tu seras mort...

    Publié par Philippe habitant à Bruxelles (Patent Attorney (life science))

    Lire « Tu seras plus heureux quand tu seras mort... »

    Un parlement même démocratiquement élu a-t-il tous les droits ?

    Publié par Philippe de la FAILLE (Retraité)

    Lire « Un parlement même démocratiquement élu a-t-il tous les droits ? »

    L'ultime dignité ou l'ultime solitude ?

    Publié par Charles DELHEZ (Chroniqueur)

    Lire « L'ultime dignité ou l'ultime solitude ? »

    Découvrez nos autres articles en Néerlandais : 

    Een "menswaardig" levenseinde bezorgen

    Publié par Augustinus KERCKHOFS o. praem. (Kloosterling, Tongerlo)

    Lire « Een "menswaardig" levenseinde bezorgen »

    Nooit een banale daad

    Publié par Euthanasiestop.be in de PERS (Pers)

    Artikel uit "Kerk en Leven", 16/05/2013

    Lire « Nooit een banale daad »

  • Respecter l'écosystème humain est impératif

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    "Le progrès n'est vrai que si éthique et science sont reliées. La science est nécessaire, avec ses voies de recherche : les cellules iPS, les cellules souches adultes, la « conversion directe » des cellules différentiées. L'éthique reconnaît que l'embryon humain « doit bénéficier du respect lié à sa qualité », comme le souligne le Comité Consultatif National d'Éthique, car il partage notre humanité : nul n'est une personne sans avoir été d'abord un embryon humain ; nul ne devient humain qui ne l'est pas.

    Le principe d'interdiction de recherche sur l'embryon humain alerte sur l'existence de cet écosystème humain. Ne pas le respecter se retourne toujours, à plus ou moins longue échéance, contre nous. La science ne peut guider les choix politiques. Ceux-ci doivent discerner comment l'écosystème humain, qui précède l'État, est promu. L'écologie, si nécessaire et urgente, est aussi humaine."

    Mgr d'Ornellas, archevêque de Rennes (source)