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Société - Page 935

  • Ouf ! et reprenons tous en choeur (Leterme y compris) : "Bloei, o land, in eendracht niet te breken..."

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    armoiries_royales.jpgSans être encore vraiment sortie de l'impasse, il semble que la Belgique ait évité la crise majeure et l'éclatement que d'aucuns jugeaient inéluctable. Tout n'est pas gagné comme vous le découvrirez dans la "presse généraliste", mais le pire a pu être évité cette nuit avec un nouveau compromis sur cette pomme de discorde que représente la scission de l'arrondissement de Hal Vilvorde : une scission que les partis flamands ont enfin obtenue tandis que les francophones se consolent avec diverses garanties qui leur ont été octroyées.

    Cela démontre que par delà les clivages lingistiques et communautaires et malgré les intérêts contradictoires des partis engagés dans la négociation, personne n'a voulu endosser la responsabilité de mettre fin à l'existence du pays et que l'on s'est rendu compte que l'on ne pouvait en courir le risque dans les circonstances que l'Europe traverse actuellement avec les menaces qui pèsent sur son économie et sa monnaie.

    Et pour ceux qui trouvent que le maintien de la Belgique est une mauvaise solution, la démonstration est faite qu'on n'en a pas de meilleure. Il reste maintenant à voir si nos tristes politiciens vont se mettre d'accord sur les autres points de la négociation mais il semble que le plus dur soit fait.

    Quant à nous qui sommes convaincus du bienfait que représente une Belgique solidaire et qui pensons que toutes ces réformes et tous ces compromis constituent un mauvais chemin qu'il faudra rebrousser tôt ou tard, il nous reste à travailler pour convaincre les citoyens lambda du bienfait que représente l'existence de la Belgique. Cela suppose qu'on apprenne à se rencontrer, à comprendre (au moins passivement) la langue de l'autre, à développer les complémentarités trans-linguistiques (scaldiennes à l'ouest, entre Liège, le Limbourg et Anvers par ailleurs, etc.).

    On peut rêver aussi d'un vrai fédéralisme qui ne soit pas un fédéralisme de division et de dissociation, mais d'un fédéralisme d'union entre une multiplicité d'entités fédérées comme dans tout état fédéral digne de ce nom : pourquoi pas un fédéralisme unissant des provinces, voire des arrondissements? Mais pour cela, il nous faudrait une autre classe politique, non pas constituée de gens qui défendent d'abord les intérêts de leurs partis respectifs, mais des gens capables de se hisser au niveau de l'intérêt commun et des conditions nécessaires au bien-être de tous les citoyens de "ce pays".

  • Refusons, sous le couvert de l'instauration d'un cours d'éducation sexuelle dans nos écoles, le dévoiement de nos enfants

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    C'est ici, dans la Libre : http://www.lalibre.be/actu/belgique/article/685106/imposer-des-cours-d-education-sexuelle-a-l-ecole.html et vous pouvez participer à un sondage sur le sujet. (Nos adversaires se sont déjà mobilisés de façon efficace.)

    Il faut bien se rendre compte que l'introduction de tels cours, imposés dans les écoles, constituerait un véritable endoctrinement de nos enfants, banalisant les pratiques sexuelles dès le plus jeune âge. On se rend compte, en lisant ce genre de littérature, qu'il ne s'agit évidemment pas d'éduquer à une vie affective et amoureuse dans le respect de son corps, du corps de l'autre, et en développant le sens des responsabilités. Il s'agit, au contraire, d'initier les jeunes à des pratiques sexuelles, à des techniques de contraception, etc., qui leur permettront de suivre leurs pulsions sans la moindre référence à des valeurs éthiques en vue de constituer des couples durables et des familles équilibrées. La masturbation, l'amour libre, les relations homosexuelles, le recours à l'avortement, ... tout cela fait partie de ce que ces centres de planning familial proposent aux jeunes dans le cadre des informations qu'ils diffusent, et l'on voit bien où ce laxisme généralisé conduit notre société.

    Enfin, il faut que soient respectés les choix éducatifs des familles et que l'on ne vienne pas torpiller à l'école les valeurs que les parents responsables s'efforcent de transmettre à leurs enfants.

  • Conférence à l'occasion du 30e anniversaire de l'encyclique 'Laborem exercens'

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    images.jpg"Le travail humain est une clé, et probablement la clé essentielle, de toute la question sociale, si nous essayons de la voir vraiment du point de vue du bien de l'homme. Et si la solution (...) de la question sociale, (...) doit être cherchée dans un effort pour «rendre la vie humaine plus humaine» , alors précisément la clé qu'est le travail humain acquiert une importance fondamentale et décisive." Laborem exercens

     A l'occasion du 30e anniversaire de l'Encyclique sociale Laborem Exercens

    vous êtes invités à assister à une Conférence

     LABOREM EXERCENS

    La place centrale du travail dans l’économie sociale de marché européenne

    Mercredi 21 septembre 2011

    14h30 - 17h30

    au Parlement européen, salle JAN 2Q2

    Conférence présidée par

    M. le Député Othmar Karas, Vice-Président du Groupe PPE

    M. le Député Gianni Pittella, Vice-Président du Parlement Européen, Groupe S&D

    Intervenant principal

    Cardinal Peter Turkson,

    Président du Conseil pontifical "Justice & Paix"

    Interprétation simultanée en anglais, français, allemand, italien, espagnol

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    Télécharger l' Invitation

  • Quand les adversaires de l'Eglise visent la tête...

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    La rentrée a bien eu lieu. Y compris celle des adversaires de l'Eglise. L'opération médiatique montée par le SNAP (cfr : http://www.belgicatho.be/) prenant le pape et trois cardinaux comme cible le montre bien. Les affaires de pédophilie qui désolent tout catholique normalement constitué constituent une arme que ces adversaires ne se lasseront pas d'utiliser.

    Nous nous sommes déjà expliqués sur ce blog et nous n'avons aucune indulgence à l'égard des faits de pédophilie (dont l'Eglise n'a pas le monopole) qui doivent être traités par les tribunaux civils avec toute la rigueur qui s'impose. Il suffit d'éplucher les gazettes pour se rendre compte que c'est un fait de société et que l'Eglise, sans y échapper, n'est pas, et de loin, l'institution qui compte en ses rangs le plus de pédophiles même si un seul serait encore, bien évidemment, un de trop.

    Il faut être de mauvaise foi pour ne pas reconnaître que ces scandales sont instrumentalisés pour jeter le discrédit sur l'Eglise du Christ et que cette campagne s'inscrit dans le cadre d'une persécution contre les chrétiens qui tend à prendre de plus en plus d'ampleur comme l'a montré le sommet de l'OSCE qui s'est tenu à Rome lundi dernier (cfr http://www.belgicatho.be/). Cet acharnement s'explique notamment par le fait que l'Eglise est la seule institution qui résiste aux dérives de ce temps en rappelant qu'il est une loi qui est au-dessus des lois humaines et qui interdit de tuer l'enfant dans le sein maternel, de nier la nécessaire complémentarité des sexes, de traiter l'être humain comme un objet, etc).

    En fait, l'Eglise est comme la voix de la conscience qu'il faudrait faire taire à tout prix. Les prêtres pédophiles, en affaiblissant le crédit moral de l'Eglise, ont offert à ses adversaires l'occasion rêvée pour tenter de l'étouffer. C'est une véritable épreuve et comme l'Eglise est le Corps du Christ, nous en ressentons tous la souffrance.

  • Sri Lanka : l'Eglise travaille à la réconciliation

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    AED International - Adaptation Robert Lalonde, AED Canada

    « Bien qu’elle ne représente qu’une minorité de la population, l'Église catholique peut jouer un rôle fondamental dans la reconstruction du Sri Lanka et l’aider à panser ses blessures, après de longues années de guerre civile qui a coûté la vie à 100 000 personnes », a confié le cardinal Malcolm Ranjith, archevêque de Colombo, à l’Aide à l’Église en détresse (AED).

    Il a dit que les catholiques détenaient « une position cruciale » pour aider à promouvoir la réconciliation entre les deux groupes ethniques du pays.

    Selon le cardinal Ranjith, après plus de 20 ans de guerre, l'Église peut aider à ramener la confiance entre Cingalais et Tamouls puisque les catholiques sont présents dans les deux communautés.

    « Un Cingalais ou un Tamoul, est avant tout un chrétien », a-t-il souligné, non sans penser qu’il y certains principes à respecter. « Si nous appliquons certains principes sincèrement, sans prendre partie, nous pouvons construire des ponts entre les deux communautés », a-t-il assuré.

    Pour l'archevêque de Colombo, des initiatives religieuses, comme le pèlerinage au sanctuaire Notre-Dame de Madhu, fréquenté par les deux groupes, peuvent aider à unir les habitants du pays. « Elles peuvent servir de catalyseur, d’exemple pour montrer que dans notre religion, les personnes peuvent vivre ensemble », a soutenu l’archevêque.

    Il insiste toutefois en disant que : « Plus que par la parole, nous devons témoigner dans les faits, montrer comment on vit les uns avec les autres ».

    Le cardinal a remercié l’AED pour l’aide qu’elle a fournie à l'Église durant et après la guerre civile, par exemple, en soutenant les séminaristes, la catéchèse, en contribuant au financement de matériel éducatif pour les chrétiens, en aidant les prêtres et en participant à la restauration d’édifices religieux endommagés par la guerre.

    L’AED est également intervenue au secours des personnes déplacées pendant le conflit. Selon le cardinal, 25 000 personnes se trouveraient encore dans les camps.

    source : https://www.facebook.com/note.php?note_id=10150294241212800

  • L'ONU et la "Population bomb", on remet ça...

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    C'est ICI

    "Ce n'est pas nouveau. Mais ça va mieux en le répétant de temps en temps : ONG et organisations internationales veulent à tout prix imposer au monde entier le contrôle de la population « choisi » par les femmes à travers la contraception.

    Mercredi dernier, organisé par l'Aspen Institute (qui est parrainé par Mary Robinson, Madeleine Albright et bien d'autres grands noms de la planète bien-pensante) un séminaire à Washington D.C. dans une série consacrée aux « 7 milliards » se penchait sur « La bonne gouvernance et le rendement-femmes ». Invitée d'honneur : Michelle Bachelet, ancienne présidente du Chili et directeur exécutif d'ONU-Femmes, et Vaira Vike-Freiberga, ancienne présidente de Lettonie.

    Il n'y a qu'une solution à l'explosion démographique (mais oui, on nous rejoue la Population Bomb d'Ehrlich qui s'était si lourdement trompé) : c'est de rendre la contraception plus accessible dans le monde en voie de développement, tel était le leit-motiv."

    Lire la suite ici : http://leblogdejeannesmits.blogspot.com/2011/09/7-milliards-dhommes-il-faut-plus-de.html

  • Nouvelle charge contre l'Eglise catholique : une plainte déposée au TPI

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    Nous traduisons l'article figurant sur le "Vatican Insider" (lastampa.it) qui présente l'initiative du SNAP :

    La plus grande association réunissant des victimes de la maltraitance d'enfants par des membres de l'Eglise catholique a demandé à la Cour pénale internationale (CPI) de poursuivre le Pape Benoît XVI et les chefs de la Curie romaine pour "crimes contre l'humanité."

    Le Snap (
    Survivors Netword of those Abused by Priests) a soumis à la Cour de La Haye un dossier de 80 pages (et de 20 000 documents annexés) pour démontrer que le Vatican aurait "toléré et rendu possible la couverture systématique et généralisée de viols et de crimes sexuels contre des enfants dans le monde."

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  • Les chrétiens en Europe de plus en plus marginalisés

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    Sur Radio Vatican :

    Les Chrétiens en Europe sont de plus en plus marginalisés. C’est le constat de Mgr Dominique Mamberti, Secrétaire du Saint-Siège pour les Rapports avec les États. Ce lundi le prélat a fait part de sa préoccupation lors du sommet organisé à Rome par l’Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe sur le thème des violences antichrétiennes. « Nous observons une augmentation importante de l’intolérance envers les chrétiens » a expliqué Mgr Mamberti en rappelant que même dans les pays à majorité chrétienne ces phénomènes de discrimination et de xénophobie existent.

    La plupart des actes discriminatoires ont lieu hors de la zone de l’OSCE, cependant ces pays n’en sont pas totalement à l’abri. Au contraire, on assiste dans certains pays d’Europe à une montée d’incidents préoccupants : des violences et des agressions contre des prêtres et des religieux et des profanations d’églises et de cimetières, tandis que des sites internet incitent à la haine contre les chrétiens. Selon des statistiques de la Gendarmerie française, on recense tous les deux jours en France une attaque contre une église catholique ou un cimetière. Ces gestes sont habituellement attribués par les médias à des hooligans, mais de plus en plus souvent ces actes sont accompagnés de slogans idéologiques contre l’Église et les prêtres pédophiles.

    « La liberté est le premier des droits de l’Homme parce qu’il est historiquement le premier à avoir été reconnu et parce que il concerne une dimension constitutive de l’être humain c’est à dire sa relation avec le Créateur », a rappelé Mgr Mamberti en citant Benoît XVI. En réponse à ce phénomène, le prélat a invité à lutter pour garantir la liberté religieuse, dont le respect est étroitement lié à la présence ou non de discrimination et de crimes à l’encontre des croyants. Parmi les propositions concrètes du Sommet de Rome, selon Andrea Tornielli, figurent la création d’une banque internationale de données sur les crimes contre les chrétiens qui favorise la connaissance du phénomène et la collaboration entre les polices et le lancement de campagnes d’informations.

    Le reportage de Charles-François Brejon RealAudioMP3

    Parmi les initiateurs de l’évènement, Massimo Introvigne, représentant de l’OSCE pour la lutte contre le racisme, la xénophobie et la discrimination, en particulier religieuse. Un entretien réalisé par Charles-François Brejon RealAudioMP3

  • La controverse à propos de la théorie du "genre" ( gender )

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    I-Moyenne-6601-gender-la-controverse.aspx.jpg"Suite à l'inscription (en France) d'un enseignement inspiré des gender studies dans les programmes de Sciences et vie de la terre (SVT) de la classe de première, le conseil pontifical pour la famille a publié en France un ouvrage intitulé Gender, la controverse.

    La théorie du genre distingue l'identité sexuelle biologique et le "genre", masculin ou féminin, compris comme une construction sociale et culturelle. Réfléchissant sur la théorie du genre depuis les années 1990, L'Eglise catholique y repère une approche dangereuse en ce qu'elle remet en question la différence sexuelle intrinsèque à l'humanité et induit un changement de paradigme entraînant notamment la déconstruction de la famille et de la filiation. Tony Anatrella, psychanalyste, spécialiste des questions de famille et de santé, repère dans cette théorie une "idéologie totalitaire" relevant d'un "agencement conceptuel qui n'a rien à voir avec la science".

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  • De l'acceptation de l'avortement à celle de l'infanticide, n'y aurait-il qu'un pas à franchir?

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    C'est ce que l'on peut craindre lorsqu'on lit cet attendu formulé par une juge canadienne :

    « Bien qu'incontestablement de nombreux Canadiens considèrent l'avortement comme une solution qui est loin d'être idéale au problème du sexe non protégé et des grossesses non désirées, ils comprennent et acceptent en général et ont de la sympathie pour les femmes qui portent la lourde charge de la grossesse et de l'accouchement, spécialement les femmes qui personne ne soutient. Naturellement, les Canadiens sont attristés par la mort d'un nouveau-né, spécialement lorsqu'il meurt par l'acte de sa mère, mais les Canadiens pleurent aussi pour la mère. »

    à lire dans la note publiée hier sur le blog de J. Smits

  • Ne pas révéler le sexe de l'enfant en gestation pour protéger les petites filles à naître ?

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    La Libre rapporte ces informations parues sur le site 7sur7.be :

    "Une directive européenne pourrait interdire aux futurs parents de connaître le sexe de leur enfant à venir, rapporte le site 7sur7.be. C'est la proposition faite par la Commission européenne pour faire face au taux inquiétant d'avortements dû au sexe de l'enfant (avortement sélectif) dans certains pays de l'est.

    En Arménie, et en Albanie notamment, le nombre de filles nées chute contrairement au nombre de garçons.

    Nous ne sommes pas à l'abri pour autant dans les pays de l'Ouest. En effet, cette directive européenne s'appliquerait à tous les pays membres de l'Union. Cette proposition risque donc de provoquer de vives réactions de la part des futurs parents et des médecins. Sur Internet, les commentaires négatifs commencent à tomber.

    Interrogé par 7sur7.be, le professeur Gillian Lockwood estime que cela sera difficile à appliquer, de nombreux couples ayant appris à reconnaître eux mêmes le sexe de leur future progéniture.

    Gilliam Lockwood fait remarquer également que de nombreux parents souhaitent savoir à l'avance s'ils vont accueillir une petite fille ou un petit garçon seulement afin de préparer son arrivée."

  • Une crise européenne aux effets imprévisibles ?

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    "...le vendredi 9 septembre 2011, la plupart des grands médias institutionnels rabâchaient ad nauseam l’effondrement du World Trade Center, avec à la clé interviews des rescapés, témoins, commentateurs, anonymes etc.

    Le même jour, les ministres des sept principaux États de la planète, le G7, se réunissaient à Marseille sans arriver à se mettre d’accord sur une solution à la crise gravissime qui frappe la Grèce.

    Le même jour encore, la démission du N°2 de la Banque Centrale Européenne, l’Allemand Jürgen Stark, manifestait le fossé qui s’est creusé entre l’Allemagne et ses partenaires européens, la première refusant de financer à fonds perdus la dette publique de la Grèce et des autres pays méditerranéens de la zone euro...."

    Lire la suite ici, sous la plume de Joseph Savès