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Solidarité - Page 61

  • Une histoire belge : l’aide humanitaire belge pour l’Irak clouée au sol

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    Deux avions C-130 remplis de denrées alimentaires sont prêts à décoller, mais attendent toujours le feu vert gouvernemental. Lu sur le site « aleteia » :

     « Didier Reynders, ministre de Affaires étrangères, l’avait assuré à l'issue d'une réunion de crise de l'Union Européenne : la Belgique comptait bien participer au transport de l'aide humanitaire vers l'Irak, de même que la France, le Royaume-Uni ou l’Allemagne.  Une annonce qui a éveillé de grands élans de générosité parmi les paroissiens de l’abbaye maronite de Bois-Seigneur-Isaac à Braine-l’Alleud, une commune francophone de la région wallonne, rapporte RTL.be. La population avoisinante s’est en effet grandement mobilisée pour venir en aide au Kurdes, récoltant une grande quantité de denrées alimentaires non périssables, suffisamment pour remplir deux avions. Mais il semblerait que les moines maronites se soient réjouis un peu trop vite en affirmant qu’un avion de la Défense belge s’envolerait rapidement vers l’Irak, dans la mesure où aucun financement n’a été validé pour cette entreprise.  La coopération belge a pourtant financé des aides supplémentaires pour l'Irak à hauteur de 2 millions d’euros la semaine dernière mais la somme n’était, semblerait-il, pas destinée à financer un tel transport.  La population espère dès lors qu’une décision sera prise promptement afin de venir en aide aux réfugiés irakiens qui souffrent tragiquement de faim. 

    Une polémique côté N-VA

    Parallèlement, du côté flamand, une polémique a débutée le 20 août suite aux propos du président du parti national-conservateur de la N-VA, Bart De Wever, qui a fermement déploré l’absence de réaction de la part de la communauté musulmane belge: "Si ces actes avaient lieu au nom de mon Dieu, je me dépêcherais de me distancier”, a-t-il ainsi déclaré lors d’une émission de radio. Une attaque à laquelle le président de l’Exécutif des Musulmans, Nordin Smaili, a répondu en estimant qu’il n’avait aucune distance à prendre avec l’EL: “Nous n’avons rien à voir avec les conflits qui se déroulent à l’étranger. Nous n’avons rien à voir avec l’EI ou d’autres groupuscules”, écrit-il sur son blog. »

     Ref.Irak : l’aide humanitaire belge clouée au sol

    JPSC

     Au bout du compte, et aux dernières nouvelles ce jeudi 21 août, le budget du transport aérien sera couvert par la Défense, les Affaires étrangères (sur le volet Diplomatie préventive) et Melchior Wathelet, qui a hérité des compétences “Multiculturalité et égalité des chances” de Joëlle Milquet.

    JPSC 

  • Irak: les djihadistes revendiquent la décapitation d'un journaliste américain

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    Lu sur le site web de "L'Express"

    Ce sont des images d'une rare violence: Les djihadistes, qui ont perdu du terrain en Irak après des frappes des Etats-Unis, revendiquent la décapitation d'un journaliste américain dans une vidéo diffusée sur Internet mardi soir. L'Etat islamique (EI) y montre un homme masqué et habillé de noir qui semble couper la gorge de James Foley, un journaliste américain qui avait été enlevé par des hommes armés en novembre 2012 en Syrie.  

    "Nous n'avons jamais été aussi fiers de notre fils Jim", a réagi sa mère, Diane Foley, dans un message sur Facebook. "Il a donné sa vie en essayant de montrer au monde les souffrances du peuple syrien." "Nous implorons les ravisseurs d'épargner la vie des autres otages. Comme Jim, ils sont innocents. Ils n'ont aucun pouvoir sur la politique du gouvernement américain en Irak, en Syrie ou ailleurs dans le monde", a-t-elle ajouté.

     Un deuxième journaliste apparaît sur la vidéo

     "Nous avons vu une vidéo qui prétend montrer le meurtre du citoyen américain James Foley par l'EI. Si elle est authentique, nous sommes horrifiés par le meurtre brutal d'un journaliste américain innocent et exprimons nos sincères condoléances à sa famille et ses amis", a indiqué Caitlin Hayden, porte-parole du Conseil de sécurité nationale dans un communiqué. Les services américains vont chercher à vérifier l'authenticité des images. 

    Dans cette vidéo, les djihadistes montrent aussi un autre journaliste américain identifié comme étant Steven Sotloff. Ils menacent de l'exécuter à son tour si le président américain Barack Obama ne met pas fin aux frappes aériennes américaines en Irak. Les deux journalistes sont vêtus d'une tenue orange, qui rappelle celle des prisonniers de Guantanamo. 

    Sur Twitter, nombreux sont ceux qui appellent ce mercredi à ne pas regarder ni partager la vidéo sur les réseaux sociaux pour respecter la mémoire de James Foley. Selon eux, reprendre les vidéos des djihadistes, cela à jouer le jeu de l'Etat islamique. Ils s'expriment notamment sous le hashtag #ISISmediaBlackOut. Les parents du journaliste sont peuvent d'ailleurs exiger le retrait de twitter des images de la scène, a expliqué un resopnsable de la plateforme.

     Réf. Irak: les djihadistes revendiquent la décapitation d'un journaliste américain

     Lire aussi: que penser du sondage selon lequel 15% des Français soutiennent l'Etat islamique? 

    JPSC

  • En Bosnie-Herzégovine, les catholiques sont discriminés

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    Extrait du Bulletin de l'Aide à l'Eglise en Détresse d'août-septembre 2014 :

    Il y a cent ans éclatait la première guerre mondiale. Le prétexte fut l’assassinat à Sarajevo de l’archiduc austro-hongrois François-Ferdinand et de son épouse. Quelle est la situation des chrétiens en Bosnie-Herzégovine aujourd’hui ? Qu’en est-il de l’aide de l’Europe ? Réponses du cardinal Vinko Puljic, archevêque de Sarajevo.

    Comment voyez-vous l’évolution de la situation des catholiques ces cent dernières années ?

    Selon nos statistiques, 458 990 catholiques vivaient en Bosnie-Herzégovine en 1914. Avant la seconde guerre mondiale, ils étaient 640 501. Et avant la dernière guerre, donc en 1991, les statistiques indiquaient 812 256 catholiques. Mais vingt ans plus tard, leur nombre a presque été divisé par deux : 443 084. Les familles catholiques ont toujours été les premières écoles de la foi. Mais à cause de la guerre de 1991, beaucoup de familles ont dû fuir, et ce sont surtout les personnes âgées qui sont revenues. La politique ne favorise pas le retour des catholiques. Aujourd’hui, il y a un manque de jeunes familles et donc de vocations religieuses.

    Les chrétiens vivent-ils aujourd’hui dans une plus grande paix qu’il y a 100 ans ?

    Sous la domination ottomane, les chrétiens étaient victimes de discrimination. Depuis 1914, une période de tolérance a commencé. L’administration ecclésiastique a été rétablie, ainsi que les écoles, églises et cathédrales qui ont été reconstruites. Aujourd’hui, l’Église catholique en Bosnie-Herzégovine est un pont entre Orient et Occident, d’un point de vue culturel et religieux. Sur cette voie du dialogue, l’éducation dans les écoles catholiques joue un rôle de premier plan. C’est aussi à cela que sert le Centre de jeunesse Jean-Paul II avec des programmes qui aident chacun à vivre sa propre identité.

    Il y a tant de choses que nous pouvons faire ensemble pour le bien de tous. Cet esprit de solidarité existe aussi chez beaucoup de musulmans. Mais depuis la guerre de 1991-1995, les relations ont changé. L’influence des pays arabes est devenue plus forte. La radicalisation se développe. Cela dérange même les vieux musulmans qui ont toujours vécu avec les chrétiens. Mais l’argent compte, surtout en politique. A cela s’ajoute l’incertitude juridique, surtout pour les catholiques.

    Les chrétiens reçoivent-ils de l’aide de l’Europe ?

    Très diversement. Deux exemples : quand l’Église orthodoxe serbe a commencé la reconstruction des églises orthodoxes détruites à Mostar, tous les représentants internationaux l’ont soutenue. Même chose pour celles de Sarajevo. Quand les musulmans ont commencé la restauration de la mosquée de Banja Luka, ils ont obtenu le soutien du gouvernement américain. Mais quand nous, catholiques, avons demandé de l’aide, on nous a répondu qu’on ne soutenait pas les Églises mais seulement le patrimoine culturel. L’Eglise catholique n’en fait-elle pas partie ? Il en va de même pour ce qui est du soutien aux réfugiés souhaitant rentrer. Beaucoup pour les autres, et peu, voire rien, pour les catholiques.

    La région récupère-t-elle de la catastrophe naturelle du printemps ?

    Quarante paroisses de mon archidiocèse ont été inondées. Dans vingt d’entre elles, les pertes sont totales. La première vague de solidarité a été formidable, c’était une question de survie. Maintenant, il s’agit de vivre. Le bétail a été décimé, les granges, maisons et meubles sont détruits. Beaucoup de gens n’ont tout simplement plus la force de recommencer à zéro. L’État a échoué. Personne ne se soucie des invasions de moustiques, ni de la réparation des digues fluviales endommagées. Mais le plus gros problème est la création d’emplois, le développement économique. De quoi allons-nous vivre ?

  • Le pape et l’Irak : Les chrétiens d’Erbil restent dubitatifs

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    D'Agnès Richieri, correspondante en Irak du journal « La Croix » :

    « Seul le gouvernement régional du Kurdistan semble avoir suivi de près l’intervention papale. Au camp de Mar Youssef d’Erbil ce matin, les déplacés chrétiens ne manifestent pas d’enthousiasme particulier. Il fait déjà chaud et une tempête de sable s’est abattue sur la ville.

    « Les choses n’avancent pas, ici »

    « Ah bon, le pape s’est prononcé en faveur d’une intervention en Irak ? », répète Amir, un réfugié de quarante ans venu de Qaraqosh. Lassé de ces médias occidentaux qui viennent faire leurs interviews comme on fait ses courses, il hausse les épaules et s’éloigne.

    Autour, personne ne semble être au courant. À peine sont-ils intrigués par la nouvelle. « Ils (la hiérarchie ecclésiale) ne font toujours que parler, explique Souleimane, lui aussi réfugié de Qaraqosh. Sans Internet ni télévision, on ne sait pas ce qu’ils disent. Mais ce qu’on voit, c’est que les choses n’avancent pas ici. »

    Pas d’aide de Bagdad, ni du Kurdistan 

    Depuis deux semaines, les déplacés chrétiens sont pris en charge exclusivement par l’Église et la communauté chrétienne d’Erbil, avec l’aide ici et là d’organisations internationales.

    L’aide promise par le gouvernement central de Bagdad puis par le gouvernement régional du Kurdistan n’est toujours pas arrivée.

     La logistique avant tout 

    Mgr Georges Casmoussa, ancien archevêque syrien-catholique de Mossoul, comprend bien ses ouailles. Lui non plus n’a pas entendu parler de l’intervention du pape, pris comme il est par la logistique du nouveau camp qui vient d’ouvrir en face de l’église : « Que le pape soutienne l’entente occidentale pour chasser Daesh (nom arabe de l’État islamique, NDLR) de cette région et que cette chasse mène ensuite à la libération des régions chrétiennes, yézidies etc., c’est aussi pour sauvegarder les intérêts du Kurdistan et donc l’Occident », commente-t-il.

    Les seuls qui semblent avoir suivi de près l’intervention papale sont les membres du gouvernement régional du Kurdistan, qui se positionne habilement depuis quelques semaines comme une terre de minorités et de défenseurs des droits de l’homme.

    « On apprécie le soutien du Vatican, remercie Sirwan Zahawi, conseiller juridique du premier ministre kurde. Mais on espérait plus, notamment une visite du pape, comme reconnaissance de la coexistence pacifique qu’offrent les Kurdes. »

     La perennité de la communauté 

    « Cette intervention papale va faire le tour des médias pendant quelques jours, ajoute Mgr Casmoussa. On va analyser ce que ça représente en termes de Guerre Sainte etc. mais l’on oubliera encore l’essentiel qui est le respect de la liberté et le droit à la vie des chrétiens d’Orient. »

    À ses yeux, protéger les terres chrétiennes ne suffira pas à assurer la pérennité de sa communauté. « Seules des garanties locales, à travers une évolution des mentalités et des droits égaux reconnus dans la Constitution irakienne, pourront accomplir cela, explique-t-il. Seulement voilà des années que nous demandons une pression internationale sur Bagdad pour l’obtenir, en vain. Nous écrivons donc à mes yeux les dernières lignes de notre histoire en Irak. »

    Ref. Les chrétiens d’Erbil restent dubitatifs

    Dans l’avion qui ramenait le pape de Séoul à Rome, à la question d’un journaliste américain : « Alors que les États-Unis ont commencé à bombarder les terroristes en Irak pour prévenir un génocide, soutenez-vous ces frappes ? », François avait répondu qu’il est « licite d’arrêter l’agresseur injuste.  Je dis bien ‘arrêter’, je ne dis pas bombarder ou faire la guerre. Les moyens de l’arrêter devront être évalués ». Le pape n’a donc pas fermé la porte à une intervention militaire, mais il n’a pas non plus donné son approbation aux opérations américaines actuelles. Le problème, à ses yeux, tient à ce que les États-Unis ont décidé de manière unilatérale leur intervention militaire. Or, pour le pape, « un pays ne peut pas juger tout seul comment arrêter l’agresseur injuste ».  

    A ce train là, le Califat islamiste aurait donc encore quelques beaux jours devant lui. Mgr Silvano Tomasi, représentant permanent du Saint-Siège à l’ONU avait été beaucoup moins en retrait,  estimant, dès le 9 août : « peut-être  l’action militaire est–elle nécessaire en ce moment pour arrêter l’avancée des djihadistes en Irak ».

    Quant à une éventuelle visite aux réfugiés, le pape François s’est montré plutôt évasif  (« en ce moment ce n’est pas la meilleure chose à faire »).

    JPSC

  • Chrétiens persécutés : dans l'Orient compliqué, ne jamais abandonner ses amis

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    De Renaud Girard sur « Figaro-Vox » ;

    "Il aura fallu attendre l'été 2014 pour que le grand public occidental réalise enfin le drame de l'éradication des Chrétiens d'Orient. Le phénomène n'est pas nouveau, mais il s'est accéléré depuis la chute de Mossoul aux main des  fanatiques de l'État islamique (Isis, selon son acronyme anglais).Dans cette ville de Haute Mésopotamie baignée par le Tigre, qui est l'antique Ninive, le christianisme remontait au 4ème siècle.

    Devant ces photos de jeunes chrétiens crucifiés pour avoir refusé d'abjurer leur foi, l'Occident se rend compte de l'extraordinaire gâchis qu'il a provoqué en Irak. Quoi, c'est cela le résultat des interventions militaires occidentales entre le Tigre et l'Euphrate! Deux invasions terrestres de l'Irak (l'une avortée en février 1991, l'autre totale en mars 2003), toutes les deux ordonnées par des présidents américains chrétiens pratiquants, pour aboutir à ces crucifixions! A Mossoul sous Saddam Hussein, il était dangereux de faire de la politique. En revanche, chacun pouvait y pratiquer son culte à sa guise et les femmes pouvaient marcher librement dans la rue, voilées ou non, sans que personne ne vienne les inquiéter. Je me souviens du père dominicain Youssef Thomas qui, en février 2003 à Bagdad, se réjouissait secrètement devant moi de l'arrivée des Américains, pensant qu'ils allaient réussir à y implanter la liberté politique, la démocratie et l'État de droit. Combien d'espoirs de citoyens irakiens sincères George W. Bush et Tony Blair ont-ils trahis! Que les États-Unis utilisent aujourd'hui leur aviation et leurs forces spéciales pour endiguer la vague noire du fanatisme islamique de l'Isis est la moindre des choses. Le fiasco anglo-américain en Irak de 2003-2010 représente un gigantesque abandon des chrétiens, car c'est cette communauté ancestrale qui a payé le plus cher le prix du chaos. Sourds aux conseils de leur allié français, les anglo-saxons ont commis une grave faute politique en envahissant l'Irak le 20 mars 2003. Mais ils en ont commis une encore plus grave, morale et stratégique, en se retirant sans avoir réussi à construire le «Nouveau Moyen-Orient» démocratique qu'ils avaient imprudemment promis urbi et orbi. En abandonnant à leur sort les Irakiens qui avaient cru en elle - au premier rang desquels les chrétiens -, l'Amérique n'a pas commis qu'une faute morale. Stratégiquement, elle a perdu son pouvoir dissuasif dans le monde arabo-musulman. Au Moyen-Orient, si vous abandonnez un ami, c'est que vous êtes faible. Et vos ennemis ne tarderont jamais beaucoup à venir exploiter votre faiblesse.

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  • Collecte de dons pour les Chrétiens d'Orient

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    Des C-130 belges décolleront mercredi ou jeudi  pour une mission humanitaire en. L’Eglise de Belgique a lancé un appel urgent pour collecter des .

    Dans le cadre de l’opération « Chrétiens d’Orient-Chrétiens d’Occident: unis et solidaires, pour vivre en paix et en dialogue », l’Eglise de Belgique a lancé un appel urgent aux dons. Des collectes de médicaments, de nourriture et  de vêtements sont organisées dans plusieurs église ou monastères de la région bruxelloise. Une collecte d’argent a déjà été organisée dans les églises le 15 aout, mais c’est aujourd’hui un appel aux vivres qui est lancé. Ces biens seront acheminés par des C-130 belges vers les populations chrétiennes qui doivent fuir les régions tombées aux mains des djihadistes de l’Etat Islamique. Ces populations ont un besoin urgent de recevoir des vivres non périssables (riz, pâtes, ou aliments en conserves en priorité), mais aussi des médicaments, des vêtements et des couvertures.

    A noter que des dons d’argents peuvent aussi être versés directement sur les comptes de Caritas International et d’Aide à l’Eglise en Détresse, avec la mention « Moyen-Orient. » Sachez qu’une attestation fiscale est fournie pour chaque don effectué.

    Lieux de récoltes pour l’opération « Chrétiens d’Orient-Chrétiens d’Occident: unis et solidaires, pour vivre en paix et en dialogue » :

    • Eglise Sainte Thérèse, Rogierlaan 350 in Schaarbeek
    • Monastère St Charbel, rue Armand De Moor 2, 1421 Ophain-Bois-Seigneur-Isaac
    • Sint-Jobkerk/Eglise St Job : Place Saint-Job, 1180 Uccle
    • Eglise St Jean Chrysostome, rue de l’Orient 41, 1040 Etterbeek
    • Eglise Ste Marie Mère de Dieu, rue Jacobs Fontaine 122, 1090 Jette / Contacter   T 02 426 95 89 (pater Sabri)
    • Eglise St Georges, rue Léopold I 296, 1090 Jette
    • Notre Dame du Liban: avenue des Grenadiers 27, 1050 Ixelles

    Vos dons financiers à :

    Caritas International - http://www.caritas-int.be/fr/

    Aide à l’Église en Détresse don socio-caritatif via Aide et Espoir: CBC 196-0135761-16  IBAN: BE72 1960 1357 6116  BIC: CREGBEBB (avec attestation fiscale pour tout don supérieur ou égal à 40€). IBAN: BE25 1960 0933 4182 BIC: CREGBEBB (sans attestation fiscale)

    source

  • Irak : le diocèse de Liège récolte du paracetamol

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    Opération Paracetamol !

    Le défi du Diocèse de  pour les Chrétiens d’Irak !

    Des C-130 belges devrait décoller fin de cette semaine pour une mission humanitaire en Irak afin de les acheminer.

    Dans le cadre de l’opération « Chrétiens d’Orient-Chrétiens d’Occident: unis et solidaires, pour vivre en paix et en dialogue », le  a décidé d’organiser une récolte de paracetamol ce mercredi 20 août de 9 à 14 heures au 25 rue de l’Evêché à 4000 Liège. Ils seront embarqués dans les avions à destination de l’Irak.

    Les Chrétiens d’Orient, en ont grand besoin ! Parlez en autour de vous, on compte sur nous !

    A retenir  le grand rendez-vous pour l’opération Paracetamol du Diocèse de Liège :

    Collecte de  mercredi 20 août de 9 à 14 h au 25 rue de l’Evêché, 4000 à Liège ! Au profit de nos frères et soeurs d’Irak.

    Une collecte d’argent a déjà été organisée dans les églises le 15 août. A noter que des dons d’argents peuvent aussi être versés directement sur les comptes de Caritas International et d’Aide à l’Eglise en Détresse, avec la mention « Moyen-Orient. » Sachez qu’une attestation fiscale est fournie pour chaque don effectué. Compte BE88 0000 0000 4141, de Caritas, qui a déjà commencé sur place son travail d’aide au réfugiés.

    « L’Europe ne peut vivre indifférente quand de nombreuses guerres s’enflamment autour du continent ! » a déclaré Mgr Delville, notre Evêque dans son homélie du 15 août.

    source

  • Chrétiens d'Irak : quand le Vif pointe la frilosité belge

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    Lu sur le Vif :

    Chrétiens d'Orient : la frilosité belge

    Le martyre des chrétiens d’Orient laisse de glace une bonne partie du monde politique belge. L’Eglise fait profil bas. Pourquoi ce manque de solidarité ?

    Une véritable terreur s’est abattue sur le nord de l’Irak. L’une après l’autre, les villes tombent aux mains des djihadistes de l’Etat islamique (EI), bien décidés à imposer leur foi et leurs lois. Environ 200 000 chrétiens et membres d’autres minorités, comme les yézidis, sont chassés, certains réduits en esclavage, voire massacrés. Ces abominations ne sont pas neuves. Pourtant, personne n’a évoqué jusqu’à présent la fameuse “responsabilité de protéger”, qui avait justifié, en 2011, l’intervention occidentale en Libye, quand Benghazi et ses insurgés étaient menacés par les troupes de Kadhafi.

    L’embarras diplomatique est patent. Etats-Unis, France et Royaume-Uni reçoivent en pleine face le retour de leurs politiques erratiques dans ce monde arabe compliqué. L’invasion américaine en Irak en 2003 (sans l’aval de la Belgique) n’a pas fini de produire ses effets délétères. Non seulement ces pays ont joué aux apprentis sorciers de la démocratie, avec des opérations militaires sans vision stratégique, mais ils ont noué des relations perverses avec des monarchies du Golfe, qui apportent du combustible aux conflits syriens et irakiens.

    La Belgique aurait pu se démarquer de cette incohérence. Mais non. Alors que le gouvernement belge avait décidé, en 2011, d’envoyer des F-16 en Libye afin de protéger les civils menacés par Kadhafi, il n’a pris, en 2014, aucune mesure concrète pour aider les minorités d’Irak.

    Aujourd’hui, c’est un silence assourdissant qui prévaut dans les travées de nos parlements, comme dans les milieux associatifs ou académiques. Pourquoi cette frilosité qui confine à l’abandon pur et simple de populations en détresse ? « Les chrétiens orientaux considèrent les pays européens comme leurs alliés naturels, rappelle au Vif/L’Express le député flamand Ward Kennes (CD&V). En 2011, il avait fait adopter à l’unanimité une résolution en leur faveur au Parlement flamand. « Si nous ne prenons pas notre responsabilité, personne ne le fera à notre place, poursuit-il. Or je constate même un sentiment de gêne chez beaucoup de Belges et d’Européens par rapport à la défense des droits fondamentaux des minorités chrétiennes ».

    Malgré les récentes déclarations très fermes du pape François, même l’Eglise belge semble tétanisée à l’idée de prendre une position trop en pointe. Rien de tel en France, où l’épiscopat et les autorités politiques se sont mobilisés. Pourquoi cette frilosité ?

    Marie-Cécile Royen et François Janne d’Othée

  • Chrétiens d'Orient : l'idée de Charles Aznavour

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    Du FIGAROVOX/TRIBUNE :

    L'artiste, d'origine arménienne, propose que la France accueille les minorités menacées en Irak et en Syrie et qu'elle les aide à faire revivre nos anciens villages.

    Charles Aznavour est chanteur, compositeur et diplomate franco-arménien. Il réside à Genève, en Suisse, où il est l'ambassadeur de l'Arménie et représentant permanent de ce pays auprès de l'ONU. Il est aussi, depuis 1995, représentant permanent de l'Arménie auprès de l'Unesco.

    Dans la guerre de religions qui est en train d'embraser l'Irak et la Syrie, il est essentiel, certes, de se préoccuper du sort des chrétiens d'Orient, des Kurdes, des yazidis et des autres. Mais dans cette énumération,il ne faut pas oublier une communauté chère à mon cœur, les Arméniens. On n'en parle jamais, et pourtant, en Syrie, hier encore, ils étaient quelque deux cent mille. Je suis bouleversé par les drames qui se jouent là-bas au quotidien. Notre devoir n'est-il pas d'aider moralement, et concrètement, ces populations, le plus vite possible?

    Je ne veux donner de leçons à personne. Je ne suis pas quelqu'un qui croit avoir raison sur tout. Je propose seulement une idée simple.

    Dans la situation actuelle, ces chrétiens, ces Kurdes, ces yazidis, ces musulmans et ces Arméniens doivent, comme tant d'autres, quitter ce pays le plus vite possible. Oui, mais pour aller où? Et pourquoi pas en France? Mes tournées et mes voyages les plus récents à travers l'Hexagone m'ont permis de découvrir de charmants villages, aujourd'hui totalement à l'abandon. Les terres sont en friche. Il y a des écoles, des bureaux de Poste, mais personne n'y a sans doute mis les pieds depuis quelques années.C'est aussi le cas des églises. Je viens d'ailleurs de traiter le sujet dans un couplet d'une chanson de mon prochain album: «Et Dieu même a quitté l'église dont les cloches ne sonnent plus.»

    Lire la suite sur FigaroVox

  • Errare americanum est

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    Lu sur le site web « Boulevard Voltaire » :

    « Les Américains », disait Churchill, « trouvent toujours la bonne solution après avoir essayé toutes les autres. » En ce qui concerne l’Irak, et en espérant que l’avenir confirmera l’optimisme de ce bon vieux Winston, force est de constater que le passé a jusqu’ici, hélas, prouvé sa clairvoyance.

    Ce fut une première erreur – morale – des États-Unis, après avoir envoyé Saddam Hussein combattre en première ligne l’Iran révolutionnaire de Khomeiny, d’avoir payé d’ingratitude le dictateur irakien et de ne lui avoir proposé aucune contrepartie en échange de son engagement de bon petit soldat de l’Occident au cours d’une guerre de huit ans qui avait coûté un peu plus d’un million d’hommes aux deux belligérants. Il n’était pas si aberrant qu’on voulut bien le dire à l’époque que Saddam, dépité, ait tenté de se payer sur la bête en annexant le Koweït, arbitrairement détaché du reste de l’Irak et artificiellement érigé en État indépendant par la Grande-Bretagne, avide de mettre la main (par émir interposé) sur ses richesses pétrolières.

    Ce fut une seconde erreur – géopolitique, celle-là –, après avoir affaibli le pouvoir du « maître de Bagdad », comme disaient à l’unisson nos bons médias, d’en finir avec celui-ci sur la base d’accusations mensongères sans avoir la moindre idée de la complexité du pays où la coalition laborieusement constituée et emmenée par Washington mettait ses pieds et ses gros sabots ni de la façon dont on comblerait le vide laissé par la chute de l’homme fort qui faisait tenir ensemble, tant bien que mal, les morceaux de l’ensemble hétéroclite qu’avaient imaginé les vainqueurs de la Première Guerre mondiale.

    Accueillis par certains en libérateurs, les héros de la deuxième guerre du Golfe ne tardèrent pas à être tenus par la grande majorité de la population irakienne – à la notable exception des Kurdes – pour des occupants.

    Ce fut une troisième erreur, dont la région et le monde paient aujourd’hui les conséquences, après avoir créé les conditions du chaos, de laisser s’en dépatouiller le gouvernement corrompu, sectaire, autoritaire et impuissant qu’on avait mis en place et après être venu quand ce n’était pas nécessaire de s’en aller quand il aurait fallu rester.

    C’est une quatrième erreur d’ajouter à l’anarchie et au désarroi ambiants une crise politique et de congédier comme un laquais Nouri al-Maliki après avoir utilisé ses services pendant huit ans. Était-il véritablement important, urgent et intelligent de s’ingérer une fois encore dans les affaires intérieures de l’Irak au moment où ce n’est plus seulement la stabilité mais l’existence même de ce pays qui est en cause, et alors que les 350.000 hommes censés constituer l’armée et les 600.000 hommes enrégimentés dans les forces de police irakiennes sont mis en déroute par les combattants fanatiques, aguerris, motivés et suréquipés de l’État islamique ?

    C’est une cinquième erreur de limiter l’intervention militaire que justifie pleinement la situation à quelques bombardements ciblés suffisants pour que les islamistes dénoncent la nouvelle ingérence américaine mais insuffisants pour enrayer la déroute du régime irakien et l’exode des populations que chasse devant elle, comme un troupeau de moutons, l’offensive djihadiste.

    Il est des moments dans l’histoire – et nous sommes dans un de ces moments – où les demi-mesures sont dépassées, où les tergiversations sont criminelles, où les bêlements humanitaires ne servent plus de rien, où la parole est aux armes.

    Quitte à froisser le Qatar, quitte à déplaire à l’Arabie saoudite, quitte à conforter Bachar el-Assad, quitte à s’allier avec l’Iran, les États-Unis et l’Union européenne peuvent encore réparer et effacer toutes leurs fautes passées en déclarant la guerre aux fous monstrueux qui sont entrés en guerre contre l’humanité. C’est maintenant qu’il faut agir, sous peine d’être accusés devant les hommes et devant l’histoire de non-assistance à civilisation en danger. »

    Ref . Errare americanum est

     N’en déplaise à ceux qui estiment qu’après tout, les djihadistes du Califat autoproclamé sont loin d’atteindre le niveau de nocivité auquel sont parvenus Robespierre,  Staline ou Hitler. Mais c’est peut-être ce que pensaient déjà ceux qui ont laissé faire ces derniers.

    JPSC

  • Chrétiens d’Irak : le patriarche de Babylone, Mgr Louis Sarko, est un homme concret

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    Le Patriarche de Babylone des chaldéens confie à Aleteia collaborer avec le gouvernement pour conduire les réfugiés chrétiens jusqu'à Bagdad. Extraits de l’interview :

    (…) Mark Arabo, homme d’affaires californien et leader chrétien, a récemment évoqué au micro de CNN un “génocide des chrétiens” et une “décapitation systématique des enfants” de la part de l’EIIL, en précisant qu’il existe à Mossoul “un parc où ont été décapités des enfants, et dont les têtes ont été enfilées sur de bâtons”. Pouvez-vous confirmer ou infirmer ces propos ?

    Mgr Sako : Il n’y a rien eu de ce genre. Aucune décapitation. A Mossoul, de l’argent a été volé, mais les chrétiens n’ont pas été attaqués physiquement. Il y a eu un exode de masse et beaucoup de panique dans la plaine de Ninive. Les personnes ont été littéralement chassées de leurs propres villages. Il n’y a eu qu’un mort, un homme qui a tenté de traverser un check point dans un moment de tension.

    Est-il vrai que les militants de l’EIIL exigent des taxes de la part des chrétiens pour les avoir épargnés, et qu’ils kidnappent les femmes pour en faire leurs épouses ? 

    Mgr Sako : Les deux nouvelles sont vraies. Il y a eu des enlèvements de femmes chrétiennes, de même que l’exigence de taxes. Ces fanatiques islamiques demandent en particulier de l’argent aux chrétiens pour leur permettre de retourner dans leur maison. Mais les chrétiens de leur font pas confiance. Ces gens là changent constamment d’idée : ils ne sont pas fiables. Il se peut qu’un chrétien paie aujourd’hui, qu’il rentre chez lui pour y vivre en paix et que demain les milices l’attaquent à nouveau avec des conséquences que l’on ignore.

    Le gouvernement de Bagdad a accusé les jihadistes sunnites de l’EIIL d’avoir jeté des centaines de Yézidis dans les fosses communes, avec parmi eux des femmes et des enfants. Que pouvez-vous nous en dire?

    Mgr Sako : Ce qui s’est passé pour les Yazidis est vrai. Plus de mille femmes ont été capturées en emmenées. Beaucoup d’enfants sont morts aussi. Ces gens n’ont ni nourriture ni eau et se sentent isolés du reste du monde. Ils ne savent que faire ni où aller.

    Au sujet de la crise irakienne, Mgr Silvani Maria Tomasi, Observateur permanent du Saint-Siège pour l’ONU de Genève, a dit que “l’action militaire était une nécessité dans ce contexte”. Que pensez-vous de l’intervention militaire américaine?

    Mgr Sako : Les frappes partielles ne suffisent pas. La solution de cette crise ne peut se trouver que par un accord plus ample avec l’implication du gouvernement kurde et du gouvernement central irakien. Sans une stratégie globale, le rêve de voir les gens rentrer chez eux ne se réalisera jamais !

    En ce moment, les chrétiens ont-ils le droit de s’organiser pour se défendre ou leur conseillez-vous de se résoudre plutôt à la fuite? 

    Mgr Sako : Comment pourraient-ils s’organiser? Ils sont avant tout en nombre réduit, de 400 à 500 000 en tout. Et la plupart d’entre eux ont déjà fui les villages. Ils sont tous éparpillés. Ensuite, étant donné leur situation actuelle, ils ne seraient même pas en mesure de donner vie à une milice. D’autant plus qu’il ont en face des extrémistes aguerris !
     
    Quels sont les scénarios possibles des prochains jours selon vous?

    Mgr Sako : Je crains que la situation n’empire. Il y a un vrai problème dû aux réfugiés, à l’urgence humanitaire et un autre problème d’ordre politique. Je ne vois pas d’issue pour le moment. Le monde entier doit se mobiliser pour la situation de l’Irak, faute de quoi une solution stable et permanente, à mon avis, s’éloignera irrémédiablement.

    Vous excluez un dialogue avec les jihadistes de l’EIIL?

    Mgr Sako : Pouvez-vous m’indiquer comment dialoguer avec un fanatique ? Vous avez face à vous un mur, et c’est tout ! Moi-même, au début de la crise, j’ai essayé de discuter avec l’un d’entre eux, mais c’est difficile, il n’y a aucune confiance, et ils changent d’avis continuellement.

    Y a-t-il un risque que l’influence de ces extrémistes islamistes puisse atteindre Bagdad ? 

    Mgr Sako : Il y a le risque qu’ils trouvent des sympathisants. Il leur sera difficile d’arriver jusqu’à Bagdad, mais ce n’est pas impossible pour autant.

    Comment l’Eglise catholique essaye-t-elle d’agir pour le drame des réfugiés?

    Mgr Sako : Dans toutes les églises du pays, nous avons installé des écoles, des dortoirs, des espaces pour manger. Dans chaque ville, dans les environs des villes attaquées par les milices, les zones d’accueil sont bondées. A présent, la meilleure chose à faire reste de transférer le plus de personnes possible vers Bagdad. Je suis en contact avec le gouvernement pour que cela se fasse.

    De quelle façon ce transfert devrait-il s’opérer?

    Mgr Sako : Les voies terrestres sont fermées, l’unique possibilité est la voie aérienne. Ici dans la capitale, nous avons plus d’espaces pour accueillir les gens qui risquent l’épuisement d’un moment à l’autre. Et puis il y a des hôpitaux et des lieux pour les soigner. Vingt familles ont déjà quitté l’enfer et sont arrivées à Bagdad, mais nous faisons tout pour en accueillir d’autres sous peu.

     *Interview traduite de l'édition italienne d'Aleteia par Solène Tadié
     

     Ref.INTERVIEW. "Les miliciens de l’EI n’ont pas torturé et décapité des chrétiens", précise Mgr Sako

    JPSC

  • Irak : un communiqué des évêques de Belgique

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    Communiqué de presse des évêques de Belgique

    Face au drame humanitaire que vivent les populations du Nord de l'Irak et du Moyen Orient, où les communautés chrétiennes sont particulièrement touchées, le Saint-Père lance un poignant appel. Le Pape François demande aux Églises locales de répondre résolument à sa pressante invitation pour que « s’élève, dans toute l’Église, une prière ardente et unanime invoquant l’Esprit Saint pour le don de la paix. »

    Rappelant un précédent appel à la prière pour ces populations sans défense, victimes d’une violence inouïe, le pape François répète : « Puisse le Dieu de paix susciter en tous les cœurs un authentique désir de dialogue et de réconciliation. La violence ne peut être vaincue par la violence. La violence n’est vaincue que par la paix! Prions en silence, implorons la paix ; tous en silence... Marie, Reine de la paix, priez pour nous! ». 

    Les évêques de Belgique demandent qu’aux célébrations du 15 août, fête de l’Assomption de Notre Dame, dans toutes les églises du pays, s’élève une prière unanime pour la paix. Une collecte sera organisée en solidarité avec nos frères et sœurs d’Orient, selon les projets concrets transmis par Caritas International et Aide à l’Eglise en Détresse. Le fruit des collectes pourra être immédiatement versé aux comptes :

    • BE88 0000 0000 4141 de Caritas International avec la mention “Moyen-Orient”

    • BE25 1960 0933 4182 de Aide à l’Eglise en Détresse avec la mention “Moyen-Orient”

    Le dimanche 31 août, à 18 heures, une veillée de prière sera organisée à la Basilique de Koekelberg « Chrétiens d’Orient unis aux Chrétiens d’Occident : une même foi, une même prière, une même solidarité pour la vie et la paix en Orient ». Invitons largement et soyons là !

    Et si vous le souhaitez, des dons personnels peuvent être versés avec attestation fiscale : 

    • Aide à l’Eglise en Détresse : BE72 1960 1357 6116 avec la mention “Moyen-Orient”
    • Caritas International : BE88 0000 0000 4141 avec la mention “Moyen-Orient”

    Informations sur les projets d’aide en cours :