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Spiritualité - Page 382

  • Les intentions de prière du pape pour le mois de juin 2016

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    Intentions de prière du pape en juin 2016: des villes solidaires (source : zenit.org)

    La solidarité dans les grandes villes et la formation des séminaristes et des novices sont les deux intentions de prière du pape François pour ce mois de juin 2016: deux défis de prière que le pape François confie à son Réseau Mondial de Prière.

    L’édito de ce mois, sur la solidarité dans les villes, a été écrit par le Père Thierry Monfils, sj, délégué du Réseau Mondial de Prière du Pape en Belgique.

    En juin, le pape François invite son réseau à prier pour que grandisse la solidarité dans les grandes villes :

    Pour que les personnes âgées, les marginaux et les personnes seules trouvent, même dans les grandes villes, des occasions de rencontre et de solidarité.

    Le défi évangélisation  concerne les formateurs des séminaristes et des novices:

    Pour que les séminaristes, et les novices religieux et religieuses, rencontrent des formateurs qui vivent la joie de l’Evangile et les préparent avec sagesse à leur mission.

    Fraternelles, nos villes ?

    Nous savons l’amour de Dieu pour les personnes âgées, isolées, pauvres. Le défi intention de François pour ce mois nous invite à confier à Dieu ces personnes ainsi que nos efforts pour mettre dans les villes une solidarité véritable.

    « Comme elles sont belles ces villes qui surmontent la méfiance maladive et qui intègrent ceux qui sont différents », disait François aux mouvements populaires (le 28 octobre 2014).

    Parfois, certains accueillent, c’est le cas de Charlotte, bénévole. Elle présente « Un toit sur la rue » halte de nuit à Toulouse, lieu d’écoute et de chaleur humaine, premier pas vers le lien social et le monde extérieur pour de nombreux hommes et femmes à la rue.

    Parfois des groupes s’efforcent d’habiller la ville de couleurs et de joie. C’est le cas pour la fresque murale « Le mur des Canuts ».

    La beauté et l’humanité au cœur de la ville nous invitent aussi à prier. En ce sens, vous pourrez lire les témoignages que nous présente Yves, jésuite, accompagnateur des « Exercices spirituels dans la rue ». Un court reportage sur la création de jardins familiaux pour créer des lieux de rencontre et de solidarité va dans ce même sens.

    Dieu nous rend la vie plus belle. Or nous sommes encore pécheurs : il nous voit enlaidis, défigurés. Mais nos fautes ne l’empêchent pas de venir à nous : il envoie le Fils éternel pour nous apprendre à aimer. Avec Saint Ignace, Yves, jésuite, nous aide à contempler l’Incarnation du Verbe.

    Oui, Jésus est fou d’amour pour nous. Alors que nous sommes si maladroits et rudes, il ne fait pas de reproches : il pardonne même à ceux qui le crucifient. Il nous aime « à la folie ! » et va pour nous jusqu’au bout. Il a le Cœur brisé d’être rejeté, même de beaucoup d’amis. Mais au sommet de sa souffrance, Jésus vit aussi le sommet de l’amour. « Tout est accompli ! » L’amour divin accompli à la croix, nous pouvons le vivre car Jésus nous donne son Esprit. Il nous pousse à sortir de nous-mêmes et à saluer même un inconnu, un mendiant qui attend notre sourire.

    Pour aimer un jour jusqu’au bout, « à la folie », il suffit de commencer à aimer « un peu ». Deux actes portent ainsi « la joie de l’amour » : le regard et la patience. Mendiants l’amour, nous aimons être regardés.« Que ne font pas parfois les conjoints et les enfants pour être regardés et pris en compte ! » (Pape François, exhortation apostolique Amoris Laetitia 128.) Regardons ceux qui sont là autour de nous. Bien les regarder est une façon de les aimer.

    La patience, aussi, exprime une volonté d’aimer : quand « je reconnais que l’autre aussi a le droit de vivre sur cette terre près de moi, tel qu’il est. Peu importe qu’il soit pour moi un fardeau, qu’il contrarie mes plans, qu’il me dérange (…), même quand il agit autrement que je l’aurais désiré. » (Amoris laetitia 92.) La patience apporte la joie parce qu’elle espère, elle sait que l’autre est capable de mieux se comporter. Elle est prophète et complice de la conversion du frère, de la sœur. Ainsi Jésus agit-il envers nous. Ainsi nous demande-t-il de nous comporter envers les autres.

    Recevons donc ces cadeaux de l’amour dès à présent, spécialement le 3 juin : d’une part, c’est le Premier vendredi du mois, et donc la Journée mondiale de prière, pour la solidarité dans les villes. C’est aussi la solennité du Sacré-Cœur., fête de l’amour passionné de Jésus pour nous. Offrons-nous avec simplicité au Cœur de Jésus. C’est formidable de pouvoir toujours commencer à aimer. « Un peu, beaucoup, tendrement… »

    Thierry Monfils, s.j.

    Source: Apostolat de la Prière http://www.prieraucoeurdumonde.net/

  • Mont Athos : un passage vers l'autre rive

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    Extrait du film "Περάσματα από τον παράδεισο" réalisé par Γιάννηs Λάμπρου:

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  • Le Magnificat

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    Magnificat anima mea Dominum,
    Et exsultavit spiritus meus in Deo salvatore meo.
      Mon âme exalte le Seigneur,
    Exulte mon esprit en Dieu, mon Sauveur !
    Quia respexit humilitatem ancillae suae.
    Ecce enim ex hoc beatam me dicent omnes generationes.
      Il s'est penché sur son humble servante ;
    Désormais, tous les âges me diront bienheureuse.
    Quia fecit mihi magna qui potens est.
    Et sanctum nomen eius.
      Le Puissant fit pour moi des merveilles ;
    Saint est son nom !
    Et misericordia eius in progenies et progenies timentibus eum.
    Fecit potentiam in brachio suo.
      Sa miséricorde s'étend d'âge en âge sur ceux qui le craignent.
    Déployant la force de son bras,
    Dispersit superbos mente cordis sui.
    Deposuit potentes de sede, et exaltavit humiles.
      Il disperse les superbes.
    Il renverse les puissants de leurs trônes, il élève les humbles.
    Esurientes implevit bonis, et divites dimisit inanes.
    Suscepit Israël puerum suum, recordatus misericordiae.
      Il comble de biens les affamés, renvoie les riches les mains vides.
    Il relève Israël, son serviteur, il se souvient de son amour,
    Sicut locutus est ad patres nostros, Abraham et semini eius in saecula.   De la promesse faite à nos pères, en faveur d'Abraham et de sa descendance, à jamais.
  • Plain-Chant sur Liège le samedi 11 juin 2016 : « Eia ! Mater », un florilège vocal dédié à la Mère de Dieu : concert à l’église des Bénédictines (16h) et messe chantée à l’église du Saint-Sacrement (18h).

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    logo_noir.jpgPlain-chant, diaphonies et faux-bourdons sur le Boulevard d’Avroy à Liège, le samedi 11 juin prochain, à l’abbaye des Bénédictines (Bd d'Avroy, 54, 16h00) et à l’église du Saint-Sacrement (Bd d'Avroy,18h00), avec les élèves de l’Académie de chant grégorien (dir. Maurice Besonhé), l’Ensemble vocal parisien « Livre Vermeil » (dir. Alicia Santos) et Thomas Deserranno (orgue). Au programme : Messe et Vêpres grégoriennes de la Vierge Marie, Extraits de Livre Vermeil de Montserrat (XIVe s), motets médiévaux et proses gallicanes. Entrée libre et réception ouverte à tous à l’issue de la manifestation.

    Renseignements : tel. 04.344.10.89 ou  academiedechantgregorienliege@proximus.be

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  • Solennité de la Fête-Dieu 2016 célébrée à Liège selon la forme extraordinaire du rite romain : l’évêque du diocèse souligne la richesse de la liturgie ancienne et la beauté des chants latins.

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    Mgr Delville.jpgA l’occasion de la Fête-Dieu 2016 à Liège, l’évêque du diocèse,  Mgr Jean-Pierre Delville, s’est rendu le samedi 28 mai à l’église du Saint-Sacrement au Boulevard d’Avroy, où il a célébré la Solennité de la Fête selon  la forme extraordinaire du rite romain. Plus de trois cents fidèles  ont pris part à cette messe festive que rehaussaient les chants grégoriens de la Schola  « Clamaverunt iusti » de Varsovie, dirigée par  Michal Slawecki, chef du chœur de l’université polonaise Cardinal Stefan Wyszyński . Son homologue du chœur universitaire de Liège, Patrick Wilwerth, lui fit écho à la tête de l’Ensemble  vocal liégeois« Praeludium » qui interpréta des motets polyphoniques anciens dédiés à l’Eucharistie. La célébration s’est terminée par la bénédiction du Saint-Sacrement et la vénération des reliques de sainte Julienne de Cornillon, suivies d’un vin d’honneur auquel  Mgr Delville a pris part en parcourant la foule des participants. Au cours de l’homélie de la messe, axée sur le thème de l’eucharistie miséricordieuse, l’évêque de Liège a bien voulu souligner en ces termes la pertinence de l’action entreprise par la communauté de l’église du Saint-Sacrement : « L’évangile de la multiplication des pains se termine par : « on ramassa les morceaux qui leur restaient : cela faisait douze paniers ». Douze: le chiffre des tribus d’Israël, le chiffre des disciples, le symbole de l’Église. C’est dans la communion ecclésiale que la communion au Christ donne ses fruits. Nous avons célébré ici dans cette église du Saint-Sacrement, où la communauté a voulu garder la richesse de la liturgie ancienne et la beauté des chants latins. Ainsi cette église est comme l’un des douze paniers qui composent l’Église et qui alimentent l’humanité ! »

    Voici le texte intégral de cette homélie :

    « Chers Frères et Sœurs,

    La Fête-Dieu de cette année est placée sous le signe de la miséricorde. Miséricorde signifie « avoir du cœur » pour celui qui est dans la misère ou la pauvreté « miséricorde ». Il s’agit de partager mes faibles moyens, mes propres pauvretés, avec celui qui est dans la difficulté et dans la faim.

    Ainsi à la dernière cène (1 Cor 11,23-26), face à la souffrance et à la mort, Jésus partage le pain et le vin. Face à la pauvreté de sa vie, à l’échec apparent de sa mission, face à la pauvreté des disciples qui vont se sentir abandonnés, Jésus ne baisse pas les bras, il ne tombe pas dans la déprime, encore moins dans la fuite. Il partage le peu qu’il a, le pain et le vin, en disant qu’ils sont son corps et son sang. Ils représentent une vie fragile, une vie qui va être enlevée. Mais ils représentent en même temps un partage de cette vie : prenez et mangez-en, buvez-en tous : ceci est mon corps, ceci est mon sang, dit Jésus. C’est comme à la multiplication des pains, qui avait commencé avec 5 pains et 2 poissons pour 5000 hommes : la pauvreté des moyens, quand elle est partagée, devient source de vie et de salut (Lc 7,11-17). Le corps et le sang du Christ, donnés en communion, nous associent à sa vie, à sa mort et à sa résurrection. Notre pauvreté est dépassée, nous sommes rassasiés, comme la foule au désert ; nous recevons une vie nouvelle, par notre communion à la pauvreté du Christ.

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  • L'homélie du pape pour la Fête-Dieu

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    L'homélie prononcée par le pape François lors de la célébration de la Fête-Dieu, le jeudi 26 mai, au Latran à Rome (source) :

    « Faites cela en mémoire de moi » (1Co 11, 24.25)

    Par deux fois, l’Apôtre Paul, écrivant à la communauté de Corinthe, rapporte de commandement de Jésus dans le récit de l’institution de l’Eucharistie. C’est le témoignage le plus ancien sur les paroles du Christ lors de la Dernière Cène.

    « Faites cela ». C’est-à-dire prenez le pain, rendez grâce et rompez-le ; prenez le calice, rendez grâce et distribuez-le. Jésus commande de répéter le geste par lequel il a institué le mémorial de sa Pâque, au moyen duquel il nous a donné son Corps et son Sang. Et ce geste est parvenu jusqu’à nous : c’est le “faire” l’Eucharistie, qui a toujours Jésus comme sujet, mais qui se réalise à travers nos pauvres mains ointes d’Esprit Saint.

    « Faites cela ». Déjà précédemment Jésus avait demandé aux disciples de “faire” ce qu’il avait déjà clair dans son esprit, en obéissance à la volonté du Père. Nous venons de l’entendre dans l’Évangile. Devant les foules fatiguées et affamées, Jésus dit aux disciples : « Donnez-leur vous-mêmes à manger » (Lc 9, 13). En réalité c’est Jésus qui bénit et rompt les pains jusqu’à rassasier tous ces gens, mais les cinq pains et les deux poissons ont été offerts par les disciples, et Jésus voulait précisément ceci : qu’au lieu de congédier la foule, ils mettent à sa disposition le peu qu’ils avaient. Et ensuite, il y a un autre geste : les morceaux de pain, rompus par les mains saintes et vénérables du Seigneur, passent dans les pauvres mains des disciples, qui les distribuent aux gens. Cela aussi c’est “faire” avec Jésus, c’est “donner à manger” avec lui. Il est clair que ce miracle ne veut pas seulement rassasier la faim d’un jour, mais il est signe de ce que le Christ entend accomplir pour le salut de toute l’humanité en donnant sa chair et son sang (cf. Jn 6, 48-58). Et cependant il faut toujours passer par ces deux petits gestes : offrir le peu de pains et de poissons que nous avons ; recevoir le pain rompu des mains de Jésus et le distribuer à tous.

    Rompre : c’est l’autre parole qui explique le sens du « faites cela en mémoire de moi ». Jésus s’est rompu, il se rompt pour nous. Et il nous demande de nous donner, de nous rompre pour les autres. Justement ce “rompre le pain” est devenu l’icône, le signe de reconnaissance du Christ et des chrétiens. Rappelons-nous Emmaüs : ils le reconnurent « à la fraction du pain » (Lc 24, 35). Rappelons-nous la première communauté de Jérusalem : « Ils étaient assidus […] à la fraction du pain » (Ac 2, 42). C’est l’Eucharistie, qui devient depuis le commencement le centre et la forme de la vie de l’Eglise. Mais pensons aussi à tous les saints et saintes – célèbres ou anonymes – qui se sont « rompus » eux-mêmes, leur propre vie, pour “donner à manger” à leurs frères. Que de mamans, que de papas, avec le pain quotidien, coupé sur la table de la maison, ont rompu leur cœur pour faire grandir leurs enfants, et les faire bien grandir ! Que de chrétiens, comme citoyens responsables, ont rompu leur propre vie pour défendre la dignité de tous, spécialement des plus pauvres, des exclus et des discriminés ! Où trouvent-ils la force pour faire tout cela ? Justement dans l’Eucharistie : dans la puissance d’amour du Seigneur ressuscité, qui aujourd’hui aussi rompt le pain pour nous et répète : « Faites cela en mémoire de moi ».

    Puisse aussi le geste de la procession eucharistique, que nous allons accomplir dans peu de temps, répondre à ce mandat de Jésus. Un geste pour faire mémoire de Lui ; un geste pour donner à manger à la foule d’aujourd’hui ; un geste pour rompre notre foi et notre vie comme signe de l’amour du Christ pour cette ville et pour le monde entier.

  • Liège, samedi 28 mai 2016 à 18h00 : Solennité de la Fête-Dieu célébrée par Mgr Delville à l’église du Saint-Sacrement (Bd d’Avroy, 132)

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    F+¬te-Dieu 2016 - flyer_B.jpg

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    Schola gregoriana "Clamaverunt Iusti" de Varsovie:

    Voir aussi : Liège, samedi 28 mai 2016 à 18h00 : Solennité de la Fête-Dieu célébrée par Mgr Delville à l’église du Saint-Sacrement (Bd d’Avroy, 132) et

    Michal Slawecki à Liège pour la célébration de la Fête-Dieu 2016

    JPSC

  • Dimanche 29 mai – Fête Dieu – Procession du Saint sacrement à Bruxelles

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    Lu sur le site des paroissiens de l’église Sainte Catherine à Bruxelles

    Ce dimanche 29/05/16 une procession du Saint Sacrement partira vers 19h15 de l’église des Carmes à Bruxelles (avenue de la Toison d’Or – Métro lignes 2 et 6 – arrêt Louise) à l’église Saint Jacques sur Coudenberg (place Royale – tram 92)

     Comme en 2015:

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    JPSC

  • Beuzet, dimanche 26 juin : Marche vers la Chapelle Saint-Pierre

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    cliquer sur l'annonce pour agrandir

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  • Célébration de la Fête-Dieu à Liège ce jeudi 26 mai

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    JEUDI  26 MAI 2016

    Basilique Saint-Martin

    Image procession

    9h30 : Office des Laudes

    10h00 à 18h00 : Prière et adoration du Saint-Sacrement

    19H00 : EUCHARISTIE FESTIVE

    présidée par Mgr Jean-Pierre DELVILLE, Evêque de Liège

    avec les chorales de l’Unité Pastorale St-Martin.

    20H15 : PROCESSION SOLENNELLE

    21H15 : ARRIVEE A LA CATHEDRALE

    (+ verre de l’amitié)

    Parking jusque minuit à l’Institut St-Laurent, rue St-Laurent, 29

    Voiturettes prévues durant la procession pour personnes à mobilité réduite et bénévoles pour les guider. Car prévu à la cathédrale vers 22h30 pour le retour au parking St-Laurent

    Editeur responsable : Eric de Beukelaer, Pastorale urbaine,e.debeukelaer@catho.be

  • Bruxelles, 29 mai : procession de la Fête-Dieu

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    procession_fête_dieu.jpg

  • Une année de césure pour fonder sa vie dans le Christ en se laissant travailler par Sa Parole

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    Donne Une année de VERTICALITE grâce à la Parole de Dieu !

    Les inscriptions sont ouvertes !
     
    Une année de césure pour fonder sa vie en Christ en se laissant travailler par Sa Parole : voilà ce qui est offert à des jeunes entre 18 et 25 ans durant une année à Bruxelles.

    Se poser les bonnes questions sur le sens de la vie :
    • 1 année de formation de niveau universitaire (philosophie, anthropologie, bioéthique, écriture sainte)
    • 1 occasion unique de réfléchir comment déployer un projet de vie en vérité et ancré dans le Christ
    • 1 expérience en résidence étudiante avec d’autres jeunes catholiques
    Rentrée académique 23 septembre 2016
    Candidature et info (Bruxelles) : + 32 477 042 367
    institutsophia@yahoo.fr http://www.institutsophia.org