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Spiritualité - Page 394

  • Bruxelles (Flagey) : le Pôle Jeunes XL recrute pour ses colocations de jeunes pros

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    2015_06_25_558c019e8e36f.jpgColoc’7 jeunes pros - Projet chrétien - Flagey - 160m²Bruxelles Flagey (1050) Belgique - Location et Colocation

    Le Pôle Jeunes XL recrute pour ses colocations de jeunes pros (23-30 ans). Le Pôle Jeunes XL se veut être un lieu de foi et de convivialité dans le sud-est de Bruxelles, animé par des jeunes professionnels & étudiants. 

    Une année avec des jeunes travailleurs, dans un cadre de rêve (colocation complètement rénovée il y a 1 an), au carrefour de Bruxelles, à 2 pas des institutions européennes ; pour y vivre des moments fun, de vie commune, de prière, et d’engagement dans l’Eglise de Bruxelles. 

    Vidéo de présentation du projet : 
    Trailer 1 : https://www.facebook.com/PoleJ[...]?type=2&theater
    Trailer 2 : https://www.facebook.com/PoleJ[...]?type=2&theater
    Site web : http://polejeunesxl.be

    Chambres : 2 colocations de 7 places chacune. Il reste 2-3 places disponibles pour l’année prochaine. 
    Date : 12 mois à partir de septembre ou octobre 2015
    Prix : Entre 350 et 400 euros, toutes charges comprises.

  • Divorcés-remariés : plus question de communion sacramentelle ?

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    Cette fois, c’est sur le site « Aleteia »: encore une autre lecture de l'instrumentum laboris. Elle est signée par Elisabeth de Beaudouin:

    C'est une des particularités du document de  travail de la prochaine assemblée du synode sur la famille, publié en italien  mardi 23 juin 2015l: l'accès à la communion du document de  pour les divorcés-remariés dans certains cas et sous certaines conditions, avancée dans le document final du synode d’octobre 2014 (n°52) s’y efface au profit d’un "parcours de réconciliation ou voie pénitentielle".


    Objet d’un "commun accord" entre les pères synodaux, affirme le n°123 du nouvel Instrumentum laboris, ce parcours aurait pour objet, non pas d’ouvrir à la communion mais plutôt à "la vérification d’une éventuelle nullité de mariage", à "l’engagement à la communion spirituelle" et "la décision de vivre en continence". Si la référence à l’accès éventuel à la communion est rappelé dans le numéro qui précède (n°122), qui cite le document final du dernier synode d'octobre 2014, force est de constater qu’elle n’existe plus dans celui-ci (n°123), qui s’appuie sur la réflexion qui a eu lieu dans l’Église et à tous les niveaux ces derniers mois. 

    C’est davantage la position traditionnelle de l’Église qui est donc rappelée, avec d’ailleurs renvoi explicite à l’exhortation Familiaris Consortio de saint Jean Paul II (n°84) et à deux autres textes clés : la "lettre aux évêques de l’Église catholique sur l’accès à la communion des fidèles divorcés-remariés" de la Congrégation pour la doctrine de la foi (septembre 1994) et la "déclaration autour de l’admissibilité à la sainte communion pour les divorcés-remariés" du Conseil pontifical pour les textes législatifs (24 juin 2000). Faut-il y voir le fruit des (très nombreuses) réponses aux questions des lineamenta, envoyés à toute l’Église après la dernière assemblée, pour faire avancer la réflexion ?

    Ref. Divorcés-remariés : vers un parcours de réconciliation ?

    Regrettons l’absence, à ce jour, de traduction française de l’ « instrumentum laboris ».

    JPSC

  • Nativité de saint Jean-Baptiste (24 juin)

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    À L'EXEMPLE DE JEAN-BAPTISTE, VOIX DE LA PAROLE

    Homélie du Pape François (24 juin 2013 - source)

    Une Église inspirée par la figure de Jean-Baptiste : qui « existe pour proclamer, pour être la voix d’une parole, de son époux qui est la parole » et « pour proclamer cette parole jusqu’au martyre » de la main des « plus superbes de la terre ». C’est ce qu’a proposé le Pape François au cours de la Messe célébrée dans la chapelle de la Domus Sanctae Marthae, ce matin, lundi 24 juin, fête liturgique de  la nativité du saint, que l’Eglise vénère comme « le plus grand homme né d’une femme ».

    La figure de Saint Jean-Baptiste n’est pas facile à comprendre. Lui-même explique qu’il est une voix, une voix dans le désert. Cette voix est sans parole parce que la Parole vient d’un autre. Jésus dit qu’il est l’homme le plus grand qui soit jamais né. Mais si ensuite nous voyons ce qu’il fait et nous pensons à sa vie, nous nous apercevons qu’il est un prophète qui est passé, un homme qui a été grand, avant de finir comme un misérable.

    Il est frappant que l’Église choisisse de fêter Jean-Baptiste lors de la période de l’année où les jours sont les plus longs. Or Saint Jean-Baptiste était l’homme de la lumière, l’homme qui portait la lumière, non la sienne mais une lumière réfléchie. Voilà révélée la vocation de Jean-Baptiste : s’anéantir. Et quand nous contemplons la vie de cet homme si grand, si puissant – tous croyaient qu’il s’agissait du Messie –, quand nous voyons comment cette vie s’anéantit jusqu’à l’obscurité d’une prison, nous contemplons un mystère immense. En effet, nous ne savons pas comment se sont passés ses derniers jours. Nous savons seulement qu’il a été tué et que sa tête a fini sur un plateau comme le grand cadeau d’une danseuse à un adultère. Je crois qu’on ne peut pas aller plus bas que cela, s’anéantir plus.

    Dans la prison avant son supplice, Jean-Baptiste a connu des doutes. Il avait même appelé des disciples pour qu’ils se rendent auprès de Jésus afin de lui demander si vraiment il était le Messie. Cette obscurité, la douleur de sa vie, même cela ne lui a pas été épargné. La figure de Jean me fait tant penser à l’Église. L’Église existe pour proclamer, pour être la voix d’une Parole, de son époux qui est la parole, pour proclamer cette Parole jusqu’au martyre de la main des plus superbes de la terre.

    Pourquoi Jean est-il saint ? Jean-Baptiste pouvait se vanter, se sentir important, mais il ne l’a pas fait : il indiquait seulement, il se sentait la voix et non la parole. Cela est, le secret de Jean. Il n’a pas voulu être un idéologue. Il a été un homme qui s’est nié lui-même, pour que la parole grandisse. Voilà alors l’actualité de son enseignement : nous, comme Église, nous pouvons aujourd’hui demander la grâce de ne pas devenir une Église idéologisée, pour être en revanche seulement « l’Église qui écoute religieusement la parole de Jésus et la proclame avec courage », comme le dit la constitution conciliaire sur la révélation divine ; une Église sans idéologie, sans vie propre ; une Église qui est tel le « mystère de la lune », qui prend la lumière de son époux et qui doit abaisser sa propre lumière pour que ce soit la lumière du Christ qui resplendisse. Le modèle que nous offre aujourd’hui Jean est celui d’une Église toujours au service de la Parole ; une Église qui ne prend jamais rien pour elle-même.

    Demandons la grâce de ne pas considérer l’Évangile comme une propriété, d’être seulement une Église qui soit une voix qui indique la Parole, et ce jusqu’au martyre.

  • Liturgie : le cardinal Robert Sarah prêche pour l’action silencieuse du cœur

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    Du site de l'Homme Nouveau :

    Exclusif : une profonde réflexion du Cardinal Robert Sarah sur la liturgie

    Publié dans L’Osservatore Romano le 12 juin dernier, traduit en plusieurs langues à travers le monde, ce texte très important du cardinal Robert Sarah, Préfet de la Congrégation pour le Culte divin et auteur du livre remarquable Dieu ou rien, n’a pas été traduit jusqu’ici en langue française. Avec son aimable autorisation, nous sommes honorés d’en donner ici l’intégralité.

    Le texte est disponible en cliquant sur ce lien :
    http://www.hommenouveau.fr/medias/files/Sarah.pdf

  • L'autre pape François : celui qui prêche la chasteté avant le mariage

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    De Sandro Magister sur chiesa.espresso.repubblica.it :

    L’autre François: celui qui prêche la chasteté avant le mariage

    L’encyclique “Laudato si” a été lue, elle aussi, de manière sélective, en laissant de côté les passages gênants qui sont consacrés à la “santé reproductive” et aux différences sexuelles. Analyse d’une dissimulation qui falsifie l’image de ce pontificat

    ROME, le 23 juin 2015 – L'encyclique "Laudato si'" a eu, à l’échelle de la planète, un retentissement énorme mais, en, même temps, très sélectif.

    Ce que propose globalement l'encyclique, c’est une écologie "intégrale". Et en effet, dans les quelque deux cents pages que compte le document, on trouve de tout. Cela va des grandes destinées de l'univers aux petits détails de la vie quotidienne.

    Mais c’est précisément en raison de cette surabondance encyclopédique, qui aborde de nombreux sujets plutôt qu’un seul, que beaucoup de gens ont été amenés à tirer du texte uniquement les éléments qui leur paraissaient les plus proches de leurs attentes personnelles.

    Une révélation intéressante à propos de la genèse de l'encyclique a été apportée par un évêque qui travaillé plus que d’autres à sa rédaction : Mario Toso, qui est aujourd’hui à la tête du diocèse de Faenza, mais qui était, jusqu’au mois de janvier dernier, secrétaire du conseil pontifical Justice et Paix.

    À l’occasion d’une interview qu’il a accordée au vaticaniste suisse Giuseppe Rusconi, il a déclaré :

    "L’encyclique, telle qu’elle nous est présentée aujourd’hui, présente un visage qui est différent de celui de la première ébauche. Celle-ci prévoyait une longue introduction à caractère théologique, liturgique et sacramentel, spirituel. Si la structure initiale avait été conservée, l’encyclique se serait adressée de manière plus immédiate au monde catholique. Au contraire le pape François a préféré modifier cette structure, en déplaçant vers le milieu et vers la fin du texte la partie théologique, de même que celle qui est relative à la spiritualité et à l’éducation. En agissant ainsi, il a restructuré la matière qui avait été mise à sa disposition et il l’a disposée en fonction d’une méthode d’analyse et de discernement qui implique la prise en considération de la situation, son évaluation, ainsi que la préfiguration d’indications pratiques en vue de la mise en route de la solution des problèmes. Ce faisant, il a cherché à impliquer le plus grand nombre possible de lecteurs, y compris parmi les incroyants, dans un raisonnement qui peut, dans une large mesure, être partagé par tout le monde".

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  • Opus Dei : à Bruxelles, le samedi 20 juin, journée en l’honneur de saint Josémaria et de Monseigneur Léonard

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    « Ce samedi 20 juin, plusieurs centaines de personnes se sont retrouvées au centre-ville pour une journée en l’honneur de saint Josémaria.

    558791893570f340d746eb97.jpgElle a commencé par une messe présidée par Mgr Léonard et a été suivie, en début d’après-midi, par une conférence de l’archevêque de Malines-Bruxelles intitulée « Le mariage, vocation chrétienne ».

    Dans son homélie, dans une église Saint-Jacques sur Coudenberg archicomble, Mgr Léonard a souligné le lien entre les lectures de la Messe et les traits de la spiritualité de saint Josemaría, décédé voici 40 ans, le 26 juin 1975. Ainsi, le récit de la Création que nous lisons dans la Genèse met en évidence la bonté fondamentale de cette création. En ce sens, le travail humain au milieu du monde est une réalité positive. Bien plus, les réalités terrestres sont un lieu de sanctification. Il s’agit d’un message précurseur de saint Josémaria, bien avant le concile Vatican II et la constitution pastorale Gaudium et Spes. L’Evangile de la pêche miraculeuse, quant à lui, est à l’image de l’élan missionnaire qui a toujours caractérisé saint Josémaria. Le Christ dit à Simon-Pierre et nous dit : Désormais, ce sont des hommes que tu prendras. De quelle manière ? En plaçant notre confiance dans la grâce de Dieu. Quant à la lettre aux Romains, elle souligne une troisième caractéristique de saint Josémaria : sa tranquille assurance que Dieu est notre Père et que nous sommes ses enfants. Mgr Léonard a terminé son homélie par ces mots : « Nous voulons aujourd’hui rendre grâces que cette spiritualité a atterri en Belgique voici 50 ans et pour tout le fruit que nous connaissons et pour lequel nous disons merci. »

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  • France : en 2015, près d’un prêtre sur deux sera ordonné en dehors du réseau diocésain

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    Lu sur « riposte catholique »

    « En 2015, les évêques ordonneront 68 nouveaux prêtres dans les diocèses de France, a annoncé dans un communiqué la Conférence des évêques de France. Il faut y ajouter les prêtres non-diocésains qui seront ordonnés et pour lesquels nous n’avons pas de chiffre global : fraternités sacerdotales, religieux… soit environ une cinquantaine. Quasiment 1 prêtre sur 2 sera ordonné en dehors du réseau diocésain.

    Le nombre de prêtres diocésains ordonnés en France diminue régulièrement :

    • 82 en 2014
    • 92 en 2013
    • 97 en 2010

    Quelques diocèses comptent encore plusieurs ordinations :

    • 12 à Paris,
    • 4 à Grenoble-Vienne, Fréjus-Toulon et Versailles,
    • 3 à Bayeux et Strasbourg,
    • 2 à Avignon, Basse-Terre, Bordeaux, Cambrai, Lyon et Vannes.

    Les autres diocèses ordonneront un seul nouveau prêtre, comme les lecteurs de Perepiscopus ont pu le constater avec les articles de ces derniers jours :Ajaccio, Aix et Arles, Bayonne, Belley-Ars, Créteil, Digne, Évry-Corbeil-Essonnes, Gap, Lille, Meaux, Montpellier, Nancy, Nantes, Nîmes, Orléans, Rennes, Rouen, Saint-Étienne.

    Le patriarcat Chaldéen, ordinariat des catholiques orientaux, ordonne également un prêtre, de même que le diocèse de Monaco et l’éparchie ukrainienne. 7 prêtres diocésains seront ordonnés pour la Communauté de l’Emmanuel et 3 pour les Missions Étrangères de Paris.

    Enfin, 87 séminaristes seront ordonnés diacres en vue de la prêtrise, l’an prochain, si tout va bien »

    Ref. 68 nouveaux prêtres diocésains

    JPSC

  • « Apprendre à aimer Jésus, qui me pressait si fort de lui rendre amour pour amour... »

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    RENDRE AMOUR POUR AMOUR : UNE SPIRITUALITE DU COEUR DE JESUS

    Joël GUIBERT

    9782740318867.jpg

    (source) « Apprendre à aimer Jésus, qui me pressait si fort de lui rendre amour pour amour... » Sainte Marguerite-Marie (1647-1690) résume parfaitement toute la spiritualité du Sacré-Cœur : répondre à l'amour infini de Dieu par l'amour.

    Loin d'être dépassé, sentimental ou doloriste, le culte du Cœur de Jésus est l'assise sur laquelle peut s'irriguer toute action d'évangélisation, nourrissant le cœur des croyants et leur permettant de déployer toutes les potentialités de leur baptême.

    Oui, ce culte, encore à l'aube de son rayonnement, demandé par le Christ à sainte Marguerite-Marie, à la religieuse polonaise sainte Faustine (1905-1938), à Conchita (1862-1937) et à d'autres saints, est central, puisqu'il rassemble en lui-même les grands mystères de la foi, et décisif, puisque l'homme peut répondre aux avances amoureuses de Dieu.

    L'auteur fait découvrir avec pédagogie et simplicité les trésors du Cœur de Dieu, balayant tiédeur et incompréhensions de la foi (comment Dieu a pu envoyer son fils souffrir sur la terre, comment il est justice et miséricorde, comment il a pu aimer des êtres non encore nés, etc.). Tout baptisé prend alors conscience de sa mission sublime - soulager le Cœur douloureux de Jésus - et de la force de la consécration aux deux Cœurs unis de Jésus et de Marie.

    C'est donc une école de vie intérieure extraordinaire qui nous est proposée ici, non pas réservée aux saints, et d'autant plus importante aujourd'hui qu'elle est le moyen que Dieu propose face à la violence et au péché qui étendent, plus que jamais, leur emprise sur le monde.

    L'auteur

    Le père Joël Guibert, auteur entre autres de Renaître d'en haut et de L'art d'être libre (éd. de l'Emmanuel), est prêtre du diocèse de Nantes. Après avoir été curé de paroisse, il est désormais détaché par son évêque pour la prédication de retraites.
     
     
    Extraits en ligne ICI
  • Eglise Sainte-Catherine à Bruxelles : un communiqué de Monseigneur Léonard

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    P9200323.jpgPour éviter tout malentendu, la Fabrique d’église de Sainte-Catherine de Bruxelles-centre, sous couvert de son Président Yvan Nobels et de son secrétaire Jean-Roger Drèze, transmet le communiqué suivant émanant de Monseigneur A.-J. Léonard, archevêque de Malines-Bruxelles : 

    « En juillet de l’an dernier, après en avoir dûment informé Monsieur Alain Courtois, Premier Echevin de la Ville de Bruxelles, il avait été décidé de procéder à la réouverture de l’église Sainte-Catherine pour une période expérimentale allant de septembre 2014 à juin 2015. Le but était de déterminer, dans l’éventualité d’un usage partagé de l’édifice, quel espace, plus ou moins grand, devait être réservé au culte catholique, tout en laissant ouverte la possibilité que la fréquentation de l’église soit telle qu’elle doive être consacrée entièrement au culte et à la vie paroissiale. 

    Pour que les décisions concernant l’avenir de cette église puissent être prises sur une base expérimentale concrète, une équipe de jeunes prêtres a été chargée d’assurer l’animation liturgique et pastorale de l’église et de la paroisse.

    Le succès de l’entreprise a dépassé toutes les espérances. La phase expérimentale ayant été plus que concluante, la conclusion s’impose : l’église Sainte-Catherine restera vouée au culte conformément à sa destination originelle.» 

    Par la voix de son Président, la Fabrique d’église de Sainte-Catherine fait, elle aussi, le constat suivant : les prêtres responsables du culte ont fait preuve d’un accueil pastoral chaleureux durant toute cette année pastorale de septembre 2014 à juin 2015. C’est ainsi que l’archevêque, à qui seul appartient en vertu du droit canonique la décision de désacralisation, après en avoir averti l’Echevin Courtois, a annoncé officiellement à la fin de la Messe de 11h du 30 mai 2015, que l’église restera vouée au culte. Les commerçants du quartier s’en sont félicités. Ils ont offert, après l’office, un délicieux pique-nique qui fut unanimement apprécié et qui a revigoré ce quartier stratégique au cœur de Bruxelles.

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  • Un scoutisme qui se porte bien

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    Du V.I.S. :

    La bonne santé du mouvement scout catholique en Italie

    Cité du Vatican du 13 juin 2015 (VIS). En fin de matinée Place St.Pierre, le Pape François reçu près de 80.000 scouts italiens, auxquels il a rappelé qu'ils sont une portion importante de l'Eglise de leur pays. Faisant l'éloge de l'excellence de la méthode scout, le Saint-Père a tenu à souligner qu'elle se fonde "sur la sagesse, de grandes valeurs, le contact avec la nature, la religiosité et la foi, l'éducation à la liberté dans la responsabilité". Lorsqu'on demanda en 1926 à Baden Powell s'il y avait un rapport entre la religion et le scoutisme, a-t-il ensuite rappelé, le fondateur du mouvement répondit qu'il existait un aspect religieux dans le scoutisme: "Il est tout entier fondé sur la religion, sur la prise de conscience de Dieu et son service... Les structures comme la votre sont une richesse pour l'Eglise que l'Esprit suscite pour évangéliser les différents milieux. Je suis certain que l'AGESCI peut apporter à l'Eglise une nouvelle ferveur évangélisatrice, une nouvelle capacité de dialogue avec la société. Soyez dialoguant, construisez des ponts dans une société qui a tendance à dresser des murs. Mais il y a deux conditions. Les groupes ne doivent pas perdre le contact avec leurs paroisses, là où ils ont leur siège que souvent ils ne fréquentent pas... Ensuite, établir des rapports francs et collaboratifs avec les évêques, les curés de paroisses et les autres prêtres, les éducateurs et les membres des autres associations paroissiales. Ne vous contentez pas non plus d'une présence décorative le dimanche et dans les grandes circonstance!".

  • Le règne de Dieu, comme une graine de moutarde

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    Vidéo- (6 min) par le Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine

    Parabole de la graine de moutarde et du levain