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BELGICATHO - Page 2016

  • Le patriarche d'Antioche espère que la visite du pape au Liban contribuera à la paix et à la réconciliation

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    L'Osservatore Romano publie un Entretien avec le patriarche d’Antioche des Syriens sur la visite du Pape au Liban

    Vérité et justice en arabe

    « Le mot arabe haqq a deux significations: vérité et droit, dans le sens de justice. Aucune autre langue, que je sache, ne possède cette richesse particulière exprimée dans un seul mot. Pour les peuples arabes n’est-ce pas une coïncidence significative, et même un engagement, qu’il existe un lien aussi fort entre vérité et justice? ». Pour Ignace Youssef III Younan, patriarche d’Antioche des Syriens dont le siège est précisément dans le quartier syrien de Beyrouth, « si la violence est toujours une horreur, au Moyen-Orient elle l’est peut-être plus encore ». Des paroles que le patriarche prononce « avec douleur », constatant combien en revanche « la paix est malheureusement en ce moment si éloignée de la vie de nos populations ». Syrien d’origine, le patriarche relance dans l’entretien à notre journal la proposition d’une table ronde pour la paix afin de mettre un terme aux violences et trouver une solution pacifique et partagée qui garantisse plus de démocratie et le respect des droits humains. Dans cette perspective l’on attend beaucoup de l’imminente visite de Benoît XVI, qui devrait arriver à Beyrouth vendredi 14 septembre. Pour le patriarche « l’idée de fond est simple: réaffirmer de manière claire la volonté des chrétiens et des musulmans de vivre ensemble, en paix, en collaborant pour construire un système plus démocratique de coexistence pluraliste ». Dans le cadre complexe du Moyen-Orient, la visite du Pape pourrait justement « ouvrir de nouvelles perspectives, pour l’instant impensables, et susciter des espoirs de paix et de réconciliation ». Et les musulmans sont prêts à l’écouter.

    Texte intégral en italien de l’entretien

  • La fatigue du vieux continent

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    Nous lisons dans l'Osservatore Romano :

    Un continent fatigué et en crise d’identité qui doit retrouver le sens de l’absolu

    «L’Europe ne sait plus bien quel est son rôle dans le monde», «elle est  retranchée» dans une perspective qui, dans une optique historique, est «perdante», « elle souffre d’une crise d’identité culturelle» et elle est parfois «masochiste», surtout lorsque la nécessaire autocritique «tourne à l’effondrement de nos valeurs», à «l’incapacité de saisir la grande vocation» du continent. Et certains signaux qui viennent aussi des récentes sentences de la Cour européenne des droits de l’homme «font soupçonner un cheminement, peut-être à petits pas, vers un libéralisme éthique dangereux». Voilà quelques-uns des passages clés de l’entretien accordé à notre journal par l’Observateur permanent du Saint-Siège auprès du Conseil de l’Europe, Mgr Aldo Giordano, à l’occasion de la rencontre organisée par cet organisme européen à Durazzo, intitulée «Taking responsibility for tomorrow’s Europe: the role of young people in the religious dimension of intercultural dialogue». Mgr Giordano s’est aussi arrêté sur l’état du dialogue interreligieux et œcuménique. Les visions différentes sur les thèmes éthiques, à l’intérieur des confessions chrétiennes, constituent «un grave problème œcuménique». Sur ces questions la «réflexion commune» n’a encore  enregistré que «de maigres progrès».

  • Valeurs non négociables et engagement des catholiques en politique

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    Zenit a mis en ligne un "dialogue entre un défenseur de la vie humaine et un prédicateur". (Propos recueillis par Thácio Siqueira et traduits par Océane Le Gall). Il s'agit du Brésil, mais ces propos peuvent s'appliquer aux catholiques de tous les pays concernés par l'adoption de nouvelles lois libéralisant l'avortement, l'euthanasie, le "mariage" homosexuel, etc.

    (ZENIT.org) – Il y a, dans la société, pour les catholiques, « trois types de valeurs non négociables », explique le P. Paul Ricardo. La légalisation de l’avortement prévue dans le projet de réforme du Code pénal du Brésil, inquiète la communauté catholique du pays.

    ZENIT a organisé à ce sujet une conversation entre le professeur Paulo Fernando Melo, vice-président du mouvement pour la défense de la vie humaine te de la famille et membre du comité de bioéthique de l’archidiocèse de Brasilia, et le P. Paulo Ricardo Azevedo Jr, du diocèse de l’archidiocèse de Cuiabá, célèbre pour ses prédications.

     

    Prof. Paulo Fernando - Comment voyez-vous la situation de la communauté catholique, de la société en général, face à la légalisation de l’avortement prévue dans le projet de réforme du Code pénal ?

    P. Paulo Ricardo - Le catholique est malheureusement tenu à l’écart de la vie politique. Parmi les catholiques il s’est créé une mentalité selon laquelle, sous prétexte que l’Etat est laïc, les personnes ne peuvent exprimer, en politique, leurs valeurs éthiques et religieuses. Cette mentalité est complètement absurde, car nous savons bien que chaque loi est la manifestation d’un ethos, d’une vision du monde et d’un tableau de valeurs.

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  • 100 questions sur Dieu

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    Un livre des éditions Artège

    (12,00 € - 2012 - 148 pages)


    Présentation de l'éditeur

    Bien souvent les questions les plus simples nous laissent sans réponse… Et qui n’a pas rêvé de s’entretenir avec des spécialistes pour répondre aux questions que soulève sa foi?

    Le frère Emmanuel Pisani a réalisé ces rencontres pour interroger de façon simple et complète de grands noms de l’Église ou de la pensée contemporaine tels le cardinal Georges Cottier, Mgr Robert Le Gall, Maurice Gilbert, Pierre Gardeil et bien d’autres.

    Après s’être interrogés sur Dieu lui-même, ils répondent aux questions à propos de Sa Parole, transmise par l’Écriture Sainte. Au final sont abordées de nombreuses questions très variées comme par exemple : « La Trinité est-elle une invention des théologiens? » ; « Peut-on penser Dieu après Darwin? » ; « Y a-t-il une bonne traduction de la Bible? »

    Des réponses claires et sans détour aux questions les plus difficiles de la foi.

    L'auteur :
    Emmanuel Pisani, dominicain de Montpellier, doctorant en islamologie, est également enseignant en islamologie à l’Institut catholique de Paris. Il a pendant quatre années animé l’émission « le café théologique » sur Radio présence à Toulouse.

  • Les Jeux paralympiques et le paradoxe de nos sociétés

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    La discrimination des personnes handicapées dans les législations

    (ZENIT.org) – Au village paralympique, règne « une passion vibrante et tangible pour la vie » : James Parker, un catholique, est coordinateur pour l’Eglise catholique britannique de l’aumônerie des Jeux olympiques et paralympiques de Londres et relève ce paradoxe dans une société occidentale qui discrimine les personnes handicapées avant même leur naissance.

    Il a appelé les chrétiens et tous ceux qui donnent du prix à la vie humaine à interpeller les responsables politiques du Royaume Uni pour changer ce qu’il considère comme des « lois discriminatoires et dépassées sur l’avortement ». James Parker, qui est le premier aumônier catholique laïc au service des Jeux, a lancé cet appel lors d’un entretien accordé à Radio Vatican le 5 septembre.

    Alors que les Jeux paralympiques vont s’achever le 9 septembre, M. Parker a parlé du temps passé à travailler pour les Jeux et avec certains des athlètes en disant : « Mon expérience personnelle du village paralympique, le lieu d’accueil sous haute surveillance de tous les athlètes et officiels le long du parc olympique, est que c'est un endroit sacré ».

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  • La non-discrimination, une notion pipée, faussée et dangereuse à manier

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    De Jeanne Smits, sur son blog :

    "... La non-discrimination est aujourd’hui, au cœur de la « morale laïque », une « valeur » qui ne se discute pas, qui s’est médiatiquement imposée, qui est à ce point chargée d’émotion et de bons sentiments que nul ou presque n’ose dire que la discrimination n’est pas toujours un mal. Qu’elle peut être un bien, une nécessité, une prudence.

    Avec le refus de la « discrimination à raison de l’orientation sexuelle », aujourd’hui inscrite dans la loi française et aussi, de manière plus agressive encore, dans la Charte européenne des droits fondamentaux, un pas décisif a été accompli pour fausser et confisquer le débat. Celui-ci exige de clarifier d’abord les termes. Je vois avec inquiétude des initiatives et des déclarations contre le « mariage » gay qui s’empressent d’emblée d’affirmer qu’il faut combattre toute discrimination à l’égard des personnes en raison de leur orientation sexuelle. Non pas par mauvaise volonté : c’est une manière, bien entendu, de dire que l’on ne veut pas de mal aux homosexuels que nous respectons et que nous devons aimer en tant que personnes, et approcher avec bienveillance, en voulant leur bien. Mais par une sorte d’automatisme imposé par le langage ambiant : il a fait perdre le sens des mots.

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  • Bangladesh : des centaines d'enfants chrétiens enlevés et convertis de force à l'Islam

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    BANGLADESH : près de 300 enfants chrétiens enlevés et convertis de force à l'Islam (source Asia News)
    Pris en charge par des intermédiaires après avoir convaincu les familles du village de payer pour une éducation dans de pseudo auberges pour jeunes, les enfants sont en fait incorporés à des madrassas (écoles islamiques) où les imams les forcent à abjurer le christianisme. Le dernier cas a cependant connu un heureux dénouement puisque 11 enfants ont pu échapper à la captivité.
    (Dhaka) Au Bangladesh, des enfants chrétiens des tribus Tripuri ont été enlevés à leurs villages et convertis de force à l'Islam. Selon des sources catholiques locales, qui ont demandé de ne pas livrer leurs noms, près de 300 enfants ont été envoyés aux madrassas (écoles islamiques).

    L'histoire est toujours la même. De soi-disant intermédiaires, provenant de la même ethnie Tripuri, visitent les communautés pauvres où ils convainquent les familles d'envoyer leurs enfants dans des missions, à charge de payer entre 6 000 et 15 000 taka (US$ 500 à 1 200) pour l'école et la pension. Après avoir empoché l'argent, les intermédiaires vendent ces enfants à des écoles islamiques situées ailleurs dans le pays.

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  • Ecologie : l'homme gardien de la création

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    (VIS). Benoît XVI a fait parvenir un message au XX Congrès oecuménique international de spiritualité orthodoxe, qui se tient au monastère de Bose (Italie) du 5 au 8 septembre: "L'homme gardien de la création": Pour la tradition chrétienne d'orient comme d'occident, habiter la terre est une mission confiée à l'homme, hôte et gardien de la terre. Tel est le thème dont débattent notamment le Prieur de Bosé Enzo Bianchi, Ioannis Zizoulas, Métropolite de Pergame et représentant du Patriarche oecuménique, auxquels le Pape a souhaité que la rencontre favorise la fraternité, la connaissance réciproque et le partage de la foi, afin a raviver l'engagement commun à sauvegarder le don divin qu'est la création. Le congrès rassemble des prélats orthodoxes, anglicans, réformés, et catholiques, dont le Cardinal Roger Etchégaray, Vice Doyen du Sacré Collège, Mgr.Antonio Mennini, Nonce en Grande Bretagne, Mgr.Mansueto Bianchi, Evêque de Pistoia et Président de la Commission épiscopale italienne pour le dialogue inter-religieux, des représentants aussi du Conseil oecuménique des Eglises et du Conseil pontifical pour l'unité. Pendant ces quatre jours de débat, ouverts au public, les participants approfondissent la dimension spirituelle et théologique du rapport entre l'homme et son environnement, s'interrogent sur les valeurs devant inspirer des décisions responsables face à la crise écologique causée par l'homme, et dont les conséquences sont parfois irréversibles pour la vie de la planète. Les positions orthodoxes sur cette problématique seront exposées par l'Evêque Amvrosij, Recteur de l'Académie de théologie de St.Petersbourg. La bonté de la création selon le récit biblique, le rapport entre la nature blessée et la nature guérie au long de l'histoire, la perception du lien homme nature dans la perception des pères de l'Eglise, d'Irénée de Lyon à Maxime Le Confesseur ou les pères syriaques, seront abordés par des chercheurs comme John Behr (USA), Nestor Kavvadas (Tübingen) ou Assade Elias Kattan (Münster).

  • Les conférences épiscopales européennes au chevet de l'Europe

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    Nous lisons, sur catho.be :

    En crise, l’ attire surtout l’attention par les tentatives de solutions pour résorber les déficits publics des états et leurs dettes souveraines. Pourtant, penser l’avenir du Vieux Continent sous le seul aspect financier et économique est réducteur. Lors d’une rencontre organisée actuellement par le Conseil des Conférences épiscopales d’ () à Chypre, le vice-président de la a estimé que « l’Europe est beaucoup plus que l’euro » et qu’elle doit « retrouver son unité de fond » pour trouver des solutions à la crise.

    Lire la suite sur catho.be

    N.B. : lorsque nous publions une information parue sur catho.be, ou ailleurs, nous citons la source. Dommage que la réciproque ne soit pas toujours vraie et que, sur de nombreux sites où l'on utilise notre blog, on évite soigneusement d'indiquer la référence à belgicatho.

  • La culture du narcissisme

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    Des propos de Boris Cyrulnik, trouvés sur le Net, à propos de notre société :
    Les sociologues américains parlent de la culture du narcissisme. Ils disent que pour se réaliser, pour s’épanouir, il faut faire des performances. Ça c’est la culture de Narcisse, c’est à dire une perversion sociale ou l’autre n’existe pas. On voit en effet de plus en plus d’hommes qui disent à leur femme « Je veux bien vivre avec toi mais surtout pas d’enfant, parce que j’ai du travail, j’ai mon aventure humaine à faire ». On voit également de plus en plus de femmes, même si elles sont minoritaires, qui se font stériliser, définitivement, pour ne jamais mettre au monde d’enfants, de façon à pouvoir tenter une aventure sociale ou une performance intellectuelle, c’est à dire la réalisation de soi. C’est à dire Narcisse. Narcisse est en train de caractériser notre culture et maintenant ce qui va faire honte aux jeunes c’est la non réalisation narcissique c’est à dire l’échec dans la performance intellectuelle ou sociale.

    (...)

    La réalisation de soi, l’épanouissement, la satisfaction, ont été la fierté des familles. Le nombre de pères ouvriers qui ont accepté de souffrir en faisant un métier atroce pour que leurs enfants puissent apprendre un beau métier ; le nombre de mères de famille qui se sont sacrifiées pour que leurs enfants ou leurs maris puissent faire des performances… C’était la culture de nos grands-parents ou de nos parents. Elle est en train de changer, on en voit les prémisses. On voit beaucoup de femmes brillantes qui réussissent intellectuellement, qui réussissent socialement et qui, arrivées à la quarantaine, disent : « Voilà j’ai réussi, je suis seule, ma vie n’a pas de sens ». On voit beaucoup d’hommes qui ont tout sacrifié, y compris eux mêmes, pour le bonheur de leur famille et pour s’épanouir, et qui, arrivés à la cinquantaine, disent : « Je suis un monstre, j’ai tout sacrifié pour réussir. J’ai réussi ; je suis un monstre. » ...

  • Mensuel "La Nef": le numéro de la rentrée et son dossier consacré à l'islam

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    Un certain nombre d'articles sont en ligne et donc accessibles en cliquant sur le titre.

    Sommaire du n°240 de septembre 2012

    SOMMAIRE DU N°240 DE SEPTEMBRE 2012

    EDITORIAUX

    Un peu d’espérance…, par Christophe Geffroy
    Richard Millet et la France, par Jacques de Guillebon

    ACTUALITÉ
    Anniversaire : La mission de Jeanne d’Arc, par Michel Toda
    Les enjeux du voyage de Benoît XVI au Liban, par Annie Laurent
    Ichtus : « Apprendre à voir », entretien avec Nicole Buron
    L’apostasie silencieuse, par Karim Ouchikh
    Vie de l’Église : Mgr Gerhard Müller, par Loïc Mérian
    Rome et la FSPX : Dans l’attente d’un accord, par Christophe Geffroy
    Série Vatican II (8) : La Constitution Dei Verbum, par l’abbé Christian Gouyaud
    Les « droits reproductifs », par Pierre-Olivier Arduin
    Géopolitique d’abord : Causes et conséquences, par Paul-Marie Coûteaux
    Chronique : Lettre ouverte à… Napoléon, par Henri Hude
    Chronique Vie : L’homoparentalité discréditée, par Pierre-Olivier Arduin

    ENTRETIEN
    Se recentrer sur le Christ, entretien avec le cardinal Marc Ouellet
    Cardinal Marc Ouellet : portrait, par le Père Geoffroy de la Tousche

    DOSSIER : L’ISLAM DANS L’IMPASSE
    Le marasme de l’islam, par Annie Laurent
    Islam et islamisme, par Annie Laurent
    Islam et démocratie, par Annie Laurent
    Islam et immigration, entretien avec Christopher Caldwell
    Moderniser l’islam ?, par Annie Laurent
    Un dialogue nécessaire, entretien avec Mgr Bernard Ginoux
    L’islam est-il réformable ?, entretien avec le Père Samir Khalil Samir

    VIE CHRÉTIENNE
    Prier avec saint François d’Assise (1/2), par Falk van Gaver
    Question de foi : Devisons, par l’abbé Hervé Benoît

    CULTURE
    Renan ou le clerc retourné, par Michel Toda
    Au fil des livres : Evelyn Waugh, par Philippe Maxence
    Notes de lectures, chroniques musique, cinéma, sortir, internet, livres jeunes
    Un livre, un auteur : Florian Michel
    Portrait : Frédérique Bedos, par Marine Tertrais

    BRÈVES
    Toutes nos annonces du mois en ligne

    Voir ici: Sommaire du dernier numéro

  • La polémique au sujet du testament spirituel du cardinal Martini

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    Après Martini, une dispute à propos de son testament spirituel

    "La polémique a été provoquée par sa dernière interview, publiée après sa mort et que la haute hiérarchie de l'Église a passée sous silence, à la seule exception du cardinal Ruini. Raison de plus pour en faire une analyse critique

    par Sandro Magister

    ROME, le 6 septembre 2012 – "Le cardinal Martini ne nous a pas laissé un testament spirituel, au sens explicite du mot. Son héritage tient tout entier dans sa vie et dans son magistère et nous devrons continuer à y puiser longtemps. Mais il a choisi la phrase à inscrire sur sa tombe. Elle est tirée du psaume 119 [118] : 'Ta parole est la lumière de mes pas, la lampe de ma route'. Ce faisant, il nous a lui-même donné la clé qui permet d’interpréter sa vie et son ministère".

    En s’exprimant ainsi, le 3 septembre, au cours de l’homélie qu’il a prononcée pour les funérailles de son prédécesseur le cardinal Carlo Maria Martini, le cardinal Angelo Scola, archevêque de Milan, a refusé la qualité de "testament spirituel" à l'interview de Martini publiée au lendemain de sa mort par le "Corriere della Sera" :

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