Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

BELGICATHO - Page 2128

  • Autorité divine, autorités humaines

    IMPRIMER

    De Benoît XVI lors de l’Angelus de dimanche dernier sur la place Saint-Pierre à Rome (extrait):

    L’autorité divine n’est pas une force de la nature. C’est le pouvoir de l’amour de Dieu qui a créé l’univers et, en s’incarnant dans son Fils unique, en descendant dans notre humanité, guérit le monde corrompu par le péché. Romano Guardini écrit : «Toute la vie de Jésus est une traduction de la puissance en humilité… c’est la souveraineté qui s’abaisse à la forme de serviteur» (Il Potere, Brescia 1999, 141.142).

    Pour l’homme, l’autorité signifie souvent possession, pouvoir, domination, et succès. Pour Dieu, en revanche, l’autorité signifie service, humilité, et amour ; cela signifie entrer dans la logique de Jésus qui s’incline pour laver les pieds des disciples (cf. Jn13,5), qui cherche le vrai bien de l’homme, qui guérit les blessures, qui est capable d’un amour si grand qu’il donne la vie, parce qu’il est l’Amour. Dans une de ses lettres, sainte Catherine de Sienne écrit : «Il faut que nous comprenions et sachions, en vérité, avec la lumière de la foi, que Dieu est l’amour suprême et éternel, et qu’il ne peut rien vouloir d’autre que notre bien» (Ep. 13 in: Le Lettere, vol. 3, Bologna 1999, 206).

    Ici : Paroles de Benoît XVI à l'angélus, dimanche 29 janvier 2012

  • Belgicatho très fréquenté en janvier

    IMPRIMER

    Votre blog préféré a enregistré son taux de fréquentation le plus élevé depuis sa création durant le mois de janvier : 7896 visiteurs ont effectué 22271 visites, consultant entre 1912 et 2673 notes. Cela situe entre 718 et 973 la moyenne des visites quotidiennes.

  • Les effets du divorce sur les enfants

    IMPRIMER

    "Une nouvelle étude, faisant le tour et la synthèse de nombreuses analyses statistiques – américaines ou non – sur les effets du divorce sur les enfants, vient d'être publiée par les responsables d'associations pro-famille Patrick F. Fagan et Aaron Churchill. Ils ne cachent pas leur militantisme pour la famille traditionnelle et naturelle (un homme et une femme, pour la vie) mais cela n'ôte rien à la pertinence des chiffres qu'ils donnent, provenant de très nombreuses sources sociologiques, statistiques, psychiatriques, etc. L'étude a été publiée par « Marri Research » (Marriage and Religion Research Institute du Family Research Council).

    On peut résumer les conclusions des sources citées en une phrase : le divorce « diminue les compétences futures des enfants dans chacune des cinq plus importantes tâches ou institutions sociales : la famille, l'école, la religion, le monde du travail et le gouvernement »...

    Lire la note dans son intégralité, sur le blog de Jeanne Smits : divorce-des-effets-nefastes

  • Les martyrs d'Angers

    IMPRIMER

    Fêtés aujourd'hui : Guillaume Repin et ses compagnons.

    Source : "Ut pupillam oculi"

    "Guillaume Repin naquit à Thouarcé ( aujourd'hui dans le Maine-et-Loire ), le 26 août 1709. ll entra à dix-neuf ans au séminaire d' Angers et fut ordonné prêtre. De 1734 à 1749, il exerça son ministère sacerdotal à la paroisse de Saint-Julien d' Angers, puis fut nommé curé à Martigné-Briand. et devint chanoine. Il fut aimé de ses paroissiens pendant ses longues années de service. Tout allait changer avec la révolution : au début les changements furent vécus dans un calme relatif ; mais lorsque. la constitution civile du clergé fut votée en 1791, la situation empira.

    Certains curés - les jureurs - prêtèrent serment; d' autres - les réfractaires - refusèrent et durent vivre dans la clandestinité. Le vieux chanoine Repin, lorsque le maire de Martigné-Briand vint lui réclamer les clefs de l' église et lui faire signer le document le 10 février 1791, refusa de s'exécuter. Il partit se réfugier à Angers; mais les désordres y faisaient des ravages. Il fut arrêté, le 17 juin 1792, et emprisonné, avec un grand nombre de prêtres réfractaires de la région, au séminaire transformé en prison.

    Lire la suite

  • Le droit de cuissage, un mythe qui a la vie dure

    IMPRIMER

    Le site "défi culturel" a la bonne idée de mettre en ligne des études qui rétablissent la vérité historique. Ainsi un pdf sur le droit de cuissage est-il téléchargeable sur ce site : http://www.deficulturel.net/

    Présentation :

    La période médiévale fait l'objet de toutes les attaques. A lire les manuels scolaires, à écouter les documentaires, les journalistes et les œuvres littéraires et cinématographiques, on pourrait penser que cette époque est celle de l'obscurantisme et de la barbarie.
    Pourtant il n'en est rien.

    Jacques Heers est historien, spécialiste de l’histoire du Moyen Âge. Il a été professeur à la faculté des Lettres et Sciences humaines de Paris-Nanterre, puis directeur des études médiévales à Paris IV.

    Auteur de plus d'une vingtaine d'ouvrages traitant cette période, il a accepté de rédiger pour Défi culturel un article éclairant sur un des nombreux préjugés qui frappent notre imaginaire collectif : le droit de cuissage.

  • Un ensemble chantant de prêtres belges? Mgr Léonard ne serait pas contre...

    IMPRIMER

    D'après Kerknet,

    "Mgr. André-Joseph Léonard, archevêque de Malines-Bruxelles, a déclaré en marge de la prestation du groupe français "Les Prêtres" à Forest National, qu'il ne serait pas réticent à l'égard d'un groupe chantant constitué de prêtres belges. Les prêtres français ont vendu leur dernier album "Gloria" en un peu plus d'un demi-million d'exemplaires. Une partie importante du produit est répartie entre des organismes de bienfaisance.

    Mgr. Leonard considère que des prêtres qui se sentiraient appelés à témoigner de cette manière peuvent faire oeuvre pastorale. "C'est une façon magnifique et unique de contribuer à la nouvelle évangélisation." L'archevêque a déclaré que leur action sur le terrain attire une grande variété de publics de tous âges. S'il se constituait un groupe de prêtres belges chantants, il aimerait que le groupe soit composé d'un Flamand, d'un Wallon, d'un Bruxellois, et d'un germanophone. L'archevêque est déjà plein d'espoir: "Il ya un proverbe belge qui dit que s'il pleut à Paris, il tombe des gouttes à Bruxelles." Toutefois, prévient-il, il ne suffirait pas de singer l'exemple des prêtres chantants français ou irlandais, parce que cela risquerait d'en banaliser la formule.

    "Les Prêtres" ont commencé une tournée en mai, l'année dernière. Cela les a amenés en France, à travers la Belgique et même à Tahiti; la tournée a commencé en juin à Lourdes. Les concerts de samedi et de dimanche (à Bruxelles et à Banneux) ont eu lieu à guichets fermés. L'évêque français Di Falco, qui, à l'époque, a encouragé le trio à chanter, a assisté aux concerts dans notre pays."

  • Un vrai ratzingérien devient patriarche de Venise

    IMPRIMER

    903179-cattedra.JPGLe siège patriarcal de Venise est prestigieux. Le futur saint Pie X, le futur Jean XXIII et le futur Jean-Paul Ier l'ont occupé. D'après Sandro Magister, le nouveau patriarche a été désigné par le pape et c'est un vrai "ratzingérien" :

    "...Mgr Moraglia est connu du grand public depuis que, lors de l’inondation qui a durement frappé son diocèse de La Spezia au mois d’octobre dernier, il a immédiatement décidé que les séminaristes de son diocèse (leur nombre a augmenté depuis qu’il est évêque de La Spezia) se rendraient sur les lieux du désastre afin d’aider la population. Mais il y a déjà longtemps qu’il est apprécié par d’importants ecclésiastiques qui l’ont connu de près.

    Né à Gênes il y a 59 ans, le 25 mai, il est ordonné prêtre le 29 juin 1977 par le cardinal Giuseppe Siri, qui le nomme vicaire puis, en 1986, professeur de théologie à l’Institut supérieur de sciences religieuses de Ligurie. Sous l’épiscopat du successeur de Siri, le cardinal Giovanni Canestri, il devient en 1989 enseignant à la section génoise de la Faculté de théologie d’Italie du Nord, en 1990 assistant diocésain du MEIC [Mouvement Ecclésial d’Engagement Culturel], en 1994 président de l’Institut de sciences religieuses cité plus haut. Sous l’épiscopat du successeur de Canestri, le cardinal Dionigi Tettamanzi, il est nommé en 1996 directeur du service diocésain de la culture. Tarcisio Bertone succède à Tettamanzi et Moraglia devient en 2004 chanoine effectif du chapitre métropolitain de la cathédrale Saint-Laurent. Nommé évêque de La Spezia à la fin de 2007, il est consacré évêque à Gênes, le 3 février 2008, par le cardinal Angelo Bagnasco, archevêque de Gênes et président de la conférence des évêques d’Italie (CEI), et par l’archevêque Mauro Piacenza, aujourd’hui cardinal préfet de la congrégation pour le clergé, qui a toujours suivi de très près le parcours ecclésiastique de Moraglia."

    Toute l'information ici : chiesa.espresso

  • Scouts : une lettre ouverte

    IMPRIMER

    Les-scouts-belges-s-interrogent-sur-leur-identite-catholique_article_main.jpgUne lettre ouverte à tous les membres de la fédération, au président fédéral, aux cadres, aux chefs (ou animateurs), animés et parents; ainsi qu'aux aumôniers et paroisses concernés (source : "Touche pas à mon Dieu")

    Vendredi 2 mars, les Scouts ASBL voteront en assemblée fédérale un nouveau texte de loi.

    Selon le mouvement, cette idée part d’animateurs, ou « chefs », appelés par l’ASBL à représenter leurs sections lors du congrès fédéral, dit Odyssée, qui en rassemblait 700, en février 2011.

    Mais  je pense que cette « reformulation » a une conséquence bien plus importante que l’adaptation du texte au langage contemporain.

    Selon moi, ce déplacement de valeurs est une étape supplémentaire d'une sécularisation de la fédération. Depuis 1999 quand l’ASBL Fédération des Scouts Catholique est devenue la Fédération Catholique des Scouts ; et 2008 quand elle a abandonné le qualificatif « catholique », il semble qu’on délaisse, de plus en plus, (plus seulement de fait mais également de droit) ce qui se rapprochait d’abord de l’Église et aujourd’hui, toute référence déiste. Il ne s’agit pas là d’une ouverture à la diversité confessionnelle, mais d’une fermeture à tout le passé du mouvement depuis Baden-Powell.

    Faire partie d’une association sans référence à Dieu ne me dérange pas en soi, mais la question est toute différente quand il s’agit d’une association qui a retiré de ses fondements une valeur aussi importante que celle que le mot « Dieu » représente.

     

    L'ensemble des propositions sont disponible sur le site officiel des Scouts

    C'est signé Paul Forget
  • La politique d'Obama inquiète Benoît XVI

    IMPRIMER

    Source :  synthèse de presse de genethique.org

    "Le 27 janvier 2012 dans le cadre de la campagne électorale aux Etats-Unis, le pape Benoît XVI a exprimé son regret de constater "les efforts concertés accomplis afin de refuser aux catholiques leur droit à l'objection de conscience". Il a critiqué les plans santé du Président américain Barack Obama, qui prévoient de rembourser la contraception et la pilule abortive de contraindre tous les employeurs d'ici août 2013 à en faire autant (Cf Synthèse de presse du 24/01/12).

    N'exemptant aucune institution ou hôpital, cette mesure des "plans santé" du gouvernement américain a fait naître une polémique aux USA. Selon Kathleen Sebelius du Department of Health and Human Services (HHS), "cette proposition bouscule l'équilibre nécessaire entre le respect de la liberté religieuse et l'augmentation de l'accès aux services préventifs importants".
    Déjà le 19 janvier, s'adressant aux évêques américains, le Pape avait évoqué certaines "pratiques intrinsèquement mauvaises" contraires au respect de la vie humaine."

    Notre amie, sur son site "Benoît et moi", consacre à cette question une note circonstanciée : "Quatre ans après, l'imposture Obama explose"

  • Le regard d'un économiste flamand sur le message chrétien

    IMPRIMER

    Un économiste flamand souligne le « sens du message chrétien » : Geert Noels interviewé par Boudewijn Van Peteghem dans « Tertio » (source : zenit.org)

    “Le message chrétien a beaucoup de sens (…). Je n’exclus pas de revenir un jour à l’Eglise”, confie l’économiste flamand Geert Noels interviewé par Boudewijn Van Peteghem dans « Tertio », hebdomadaire flamand chrétien qui traite de thèmes politiques, sociaux, économiques, culturels, éthiques et religieux (Cf.Tertio n. 622 du 11 janvier 2012, http://www.tertio.be/sitepages/index.php?page=archief&id=2401). Pour l’économiste, il s’agit de bien autre chose que d’histoires d’argent. Pour sortir de la crise, il prône le retour à la « solidarité », en famille, entre amis.

    Mieke Derde, doctorante en théologie biblique à l'université de Leuven (Louvain) et professeur de physique-chimie, retient l'essentiel de cet entretien, pour les lecteurs de Zenit.

    Lire la suite

  • Le progressisme culturel

    IMPRIMER

    Selon Louis-Marie Lamotte,  sur le blog « contre-débat » le progressisme chrétien, le vrai, si l’on peut dire, celui de l’après-guerre et non ses actuels succédanés n’a tout d’abord pas songé à remettre en cause les vérités de foi :

     « (…) Ce que les progressistes remettaient en cause, c’était la doctrine sociale de l’Eglise, qu’ils regardaient comme un obstacle entre les chrétiens et la classe ouvrière : en sorte qu’ils préconisaient, avec plus ou moins de netteté, son abandon. (…)

     « La comparaison a ses limites et porte bien sûr une part d’anachronisme, mais il semble que les catholiques de France soient aujourd’hui en proie à la tentation de ce qu’on peut appeler un progressisme culturel, dont une partie de l’épiscopat, il faut bien le dire, a malheureusement tracé la feuille de route (…)

     « Qu’est-ce que le progressisme culturel ? De même que le progressisme de l’après-guerre voyait dans le communisme une force qui devait inéluctablement s’imposer, le progressisme culturel d’aujourd’hui voit dans les usages et dans la production du « monde de la culture » en place un fait qu’on aurait bien tort de négliger et plus encore de combattre, hélas séparé du Christ et de l’Eglise.

     « Et de même que le progressisme de l’après-guerre, à cette fin, liquidait la doctrine sociale de l’Eglise, ce mur supposé entre les chrétiens et la classe ouvrière, le progressisme culturel liquidera ce qui constitue à ses yeux le principal obstacle entre l’Eglise et le « monde de la culture », savoir : la culture chrétienne, cette culture qu’ont engendrée des siècles de foi marquant les sociétés de son empreinte temporelle.

     « Il me semble qu’on retrouve assez nettement ces thèmes dans le discours d’un évêque français que je ne nommerai pas (…) Ainsi, nous dit ce prélat, (...) la « sanctuarisation » des images, des idées ou des mots de la foi chrétienne contribue à les affubler d'un copyright qui les met sous une protection telle qu'ils deviennent impropres à garder leur capacité à être entendus dans leur élan de vie. Si l'on préserve la foi du choc des cultures, on la tue. (…), la foi n’est plus possible qu’inscrite dans le « foisonnement de la vie et des expressions culturelles ». Après la fameuse pastorale de l’enfouissement de l’Eglise dans le monde, le progressisme culturel entend donc enfouir la foi dans la culture dominante, ce qui signifie très logiquement liquider la culture chrétienne.(…)

     « Rome, quant à elle, n’était pas dupe. Le 19 janvier 2012, la secrétairerie d’Etat du Vatican, en réponse à une question du R.P. Cavalcoli O.P., appelait les chrétiens à une « ferme réaction » au spectacle de Romeo Castellucci, que tel archevêque français nous donnait pour une catéchèse sur la kénose. Et surtout, le Pape Benoît XVI, lors de son voyage à Malte, répondait par avance à la tentation du progressisme culturel :« Dans le contexte de la société européenne, les valeurs évangéliques encore une fois deviennent une contre-culture, tout comme elles l’étaient au temps de saint Paul » Bien loin de la tentation du progressisme culturel, le Souverain Pontife plaidait donc pour une culture chrétienne de dissidence et de résistance. Il reste à souhaiter qu’il soit largement entendu…. Voir ici : Le progressisme culturel

  • Quand les religions stimulent la Franc-maçonnerie...

    IMPRIMER

    De Jean-Marie Guénois (« Le Figaro ») sur son « religioblog » :

    Les années électorales sont passionnantes. Surtout quand on ne « fait » pas de politique : ainsi de la Religion, ainsi de... la Franc-maçonnerie. Que s'est-il donc passé cette semaine ? (…)

    Pour ce qui est de la Franc-maçonnerie, il y a eu la présentation commune des vœux par six obédiences, dont le Grand Orient de France et la Grande Loge féminine de France (…)  Des gens qui parlaient peu publiquement comme les Francs-maçons, commencent à prendre la parole. C'est la seconde fois que la Franc-maçonnerie organise en effet une conférence de presse commune. Guy Arcizet a parlé « d'aurore de la communication ». Avec l'ambition de parler « d'une seule voix » même si les différences demeurent importantes. Tous les responsables présents ont d'ailleurs bien pris soin d'expliquer que les ennuis et les scandales d'une obédience, en l'occurrence La Grande Loge Nationale Française, ne devait pas entacher l'image des autres obédiences.

    Les loges maçonniques européennes ont, semble-t-il, du mal à se faire entendre dans les instances européennes. Lors de cette conférence de presse, Denise Oberlin, Grande Maîtresse de la Grande Loge Féminine de France (14 000 membres, première obédience maçonnique féminine) a expliqué l'efficacité de l'action menée par l'Institut Maçonnique Européen qui l'occupe beaucoup et qui a été récemment créé pour faire entendre la voix des Francs-Maçons dans les différences instances européennes.

     « La Franc-maçonnerie est mal reconnue en Europe a renchérit Guy Arcizet, Grand Maître du Grand Orient. Nous n'avons pas beaucoup d'écoute au niveau européen parce que nous nous avons besoin d'être identifiés en tant que laïques. Il existe une spiritualité laïque. Nous sommes souvent mal compris ou réduits à l'anticléricalisme ou à l'antireligieux. Nous devons mener un lobbying humaniste. Les religions, elles, ont très compris. Il y a, à Bruxelles, un lobbying religieux puissant avec des bureaux. Les religions s'y font entendre parce qu'elles se sont alliées ».

    Il n'est pas si fréquent que les religions stimulent, en ce sens, les franc-maçonneries !

    Et il faut s'attendre, donc à un renforcement de l'action de la Franc-maçonnerie sur les instances européennes. Comme il existe une « Franc-maçonnerie unie en Afrique ou en Amérique du Sud », ce Grand Maître a appelé de ses vœux une Franc-maçonnerie unie "sur le plan européen".

    Toute la note ici : Quand les religions stimulent la Franc-maçonnerie...