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BELGICATHO - Page 2125

  • Un antidote aux délires concernant le sacerdoce catholique

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    FIC42076HAB40.jpgNous avons fait écho sur ce blog aux divagations du père Fourez concernant la prêtrise. C'est le moment de lire ou de relire l'excellent livre de Monseigneur Rey qui y est consacré :

    Publié à l’occasion de l’Année Sacerdotale inaugurée par le pape Benoît XVI en juin 2009.
    Depuis des années, Mgr Dominique Rey porte et exhorte ses frères prêtres à approfondir le mystère et accroître la fidélité à la vocation sacerdotale. A la suite de Benoît XVI, il invite chaque catholique à prier pour les vocations sacerdotales et la sanctification du clergé.

    L’ouvrage est une évocation large des différents aspects de la vie du prêtre. De l’appel de Dieu jusqu’aux exigences de la spiritualité d’une vie offerte à la suite du Christ, l’évêque de Fréjus-Toulon dans un langage vivant et concret nous dévoile la beauté et le bonheur de ce Don.

    Un livre qui nous éclaire sur ces hommes qui répondent à l’appel du Christ pour exercer le rude et exaltant métier d’Aimer et d’apprendre à Aimer, qui donne leur vie pour guider nos âmes.

  • "La Boutique de l'Orfèvre" projetée à Bruxelles le 8 février

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    boutique_orfevre_8_fev2012.jpg

    Inscription gratuite et obligatoire avant lundi 6 février 2012 sur www.fafce.org

    La Fédération des Associations Familiales Catholiques en Europe, FAFCE, est reconnue par le Conseil de l'Europe comme Organisation Non-Gouvernementale et dotée du statut participatif. Elle assure la représentation politique pour toutes les familles, d'un point de vue catholique, c'est-à-dire en se référant à l'enseignement social et familial de l'Eglise catholique ainsi qu'au témoignage de foi et au savoir empirique des chrétiens au sein de l'Eglise et de la société.

  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique - 3 février 2012

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    Sommaire

  • Bientôt la Saint Valentin ! Parlez-nous d'amour...

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    Bientôt la Saint Valentin! Quelle plus belle occasion de parler de l'amour? Mais comment aimer en vérité, comment bâtir un bonheur vrai, durable et solide?

     Un jeune prêtre venu de France, l'abbé Pierre-Hervé Grosjean,

     vous répond avec un langage sincère, clair, exigeant, plein d'humour

     le mardi 14 février 2012 à 20h précises

     à la Salle de conférence de l'UOPC

     Avenue Gustave Demey 14-16 -B-1160 Bruxelles

     Bus, Tram : 34 - 41 - 42 - 72 - 94
    Métro : Ligne 1A station Herrmann-Debroux
     Info: Barbara de MUYSER LANTWYCK : 0497 32 54 01 ...et Institut Sophia
  • Rome-Ecône : l’objet de la querelle demeure

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    Voici un extrait  du sermon prononcé ce 2 février 2012 au Séminaire lefébvriste de Winona (USA) par Mgr Fellay, Supérieur  général de la Fraternité Saint-Pie X :

     (…) je peux affirmer que ce qui nous est présenté aujourd’hui [remplit] toutes nos conditions, si je puis dire, au niveau pratique. Il n’y a pas beaucoup de problèmes sur ce plan. Mais le problème demeure à un autre niveau, au niveau de la doctrine. Toutefois, même dans le domaine doctrinal, on avance très vite, mes bien chers frères. La clé du problème est un principe (celui de la cohérence avec la Tradition). Ils nous disent : « vous devez accepter que dans les cas où il y a des difficultés dans les documents du Concile – tels points ambigus qui font débat – ces points, comme l’œcuménisme, la liberté religieuse, doivent être interprétés en cohérence avec l’enseignement de toujours de l’Eglise ». Et ils ajoutent : « ainsi lorsqu’il y a une ambiguïté dans le Concile, vous devez la comprendre comme l’Eglise a enseigné depuis toujours ».

    Ils vont encore plus loin et disent : « on doit rejeter tout ce qui est opposé à l’enseignement traditionnel de l’Eglise ». Bon, c’est ce que nous avons toujours dit. C’est surprenant, n’est-ce pas, que Rome nous impose ce principe ? Surprenant. Alors vous pourriez demander : « pourquoi n’acceptez-vous pas ? »

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  • La lutte pour la liberté scolaire marque un point en Espagne

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    source : zenit.org (3 février)

    Rejeté, un programme "d'éducation à la citoyenneté"

    Le programme d’Education à la citoyenneté et aux droits humains sera retiré du système éducatif, en Espagne, et remplacé par un programme d’éducation civique et constitutionnelle. Une victoire pour les parents d'élèves après des années de lutte "pour la liberté scolaire".

    Le ministre de l'Éducation José Ignacio Wert, l’a annoncé mardi 31 janvier, précisant, au nom de la commission parlementaire compétente, que le nouveau programme serait « libéré de questions controverses et d’endoctrinement idéologique ».

    « Ce programme était depuis sa naissance, objet de fortes polémiques, causant une sérieuse fracture dans la société et dans le monde de l’éducation », a-t-il commenté lors de sa première apparition au sein de la commission Education et sport du congrès des députés.

    Depuis 2008, plus de 55 000 demandes d'exemption ont été soumises par des parents qui s'opposaient à la dimension d'endoctrinement politique, moral et sexuel du cours d'éducation à la citoyenneté. Plus de 3 000 procès se sont tenus en Espagne et 400 parents espagnols ont fait appel à la Cour européenne des droits de l'Homme à Strasbourg pour voir leurs droits de premiers éducateurs reconnus. Chaque année scolaire, près de mille familles gardent leurs enfants plutôt que de les envoyer suivre ce cours.

    Selon le ministre espagnol, le gouvernement précédent, conduit par le Premier ministre socialiste, José Luis Rodríguez Zapatero, est allé « au-delà de ce qui devrait correspondre à une vraie éducation civique », en créant ce programme.

    Il a donc annoncé que le nouveau programme, dont le détail n’est pas encore connu, expliquerait la Constitution espagnole et le système démocratique du pays, sans tenter « d’influencer les valeurs des étudiants, et de façonner leur conscience et leur pensée à l'insu de leurs parents. ».

    Jaime Urcelay, président des Professionnels pour l’éthique, a exprimé sa satisfaction à cette annonce. « C’est une joie qui couronne de nombreuses années d’efforts et de lutte pour la liberté scolaire et contre un endoctrinement imposé par le gouvernement socialiste de l’époque », a-t-il commenté." (Traduction Isabelle Cousturié)

    Voir également : leblogdejeannesmits.espagne-contre-leducation

  • Liens du jour (4/2/2012)

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    Analyse: Un rapport du personnel de l’OMS demande la légalisation de l’IVG dans le monde civilisé. Mais les chiffres ont été gonflés. (Friday Fax - C-fam)

    Année de la foi : Pour une mobilisation des consacrés
    Journée mondiale de la vie consacrée (Zenit.org)

    France : La laïcité, instrument de la paix sociale
    Par le cardinal Vingt-Trois (Zenit.org)

    L'Eglise veut une politique efficace contre les abus sexuels
    Par Mgr Scicluna (Zenit.org)

    Les cardinaux planchent sur « l'annonce de l'Evangile aujourd'hui » (zenit.org)

    "IMG : malaise à l'hôpital" 03/02/12 (genethique.org)

    Création de neurones à partir de cellules iPS pour l’étude de la maladie d’Alzheimer 03/02/12 (genethique.org)

    Un collectif mobilisé contre la légalisation de l'euthanasie 03/02/12 (genethique.org)

    Justice : stérilisées à leur insu, cinq handicapées portent plainte 03/02/12 (genethique.org)

    Les évêques américains contre le plan sanitaire Obama 03/02/12 (genethique.org)

    "Après une AMP, la majorité des couples souhaitent laisser faire la nature" 02/02/12 (genethique.org)

    Trisomie 21, une pathologie dont l’éradication des sujets pose question 02/02/12 (genethique.org)

    La Grande Loge Féminine de France milite pour le genre et l’IVG 02/02/12 (genethique.org)

    Décryptage du génome humain : nouveautés et inquiétudes 31/01/12 (genethique.org)

  • Les racines judéo-chrétiennes de l'Europe sont un fait indéniable

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    Source : zenit.org

    Les racines judéo-chrétiennes de l'Europe : un fait!

    Elles réconcilient l'Europe avec la « solidarité » et les « devoirs »

    Les racines judéo-chrétiennes de l’Europe sont une constituante « normale » de la réalité, souligne Joseph Weiler.

    Pour le professeur, juif, de droit européen à la New York University, ces racines sont une occasion, en ce temps de crise, de sortir d’un modèle purement « économique » pour renouer avec la « solidarité » et assumer des « devoirs » au lieu de revendiquer des « droits ».

    Récemment, le Sénat italien a en effet approuvé une motion sur la politique européenne de l’Italie, qui a introduit une référence aux racines judéo-chrétiennes. Joseph Weiler, commente cette décision au micro de Radio Vatican.

    Que pensez-vous de cet amendement ?

    Ce devrait être le cours normal des choses. Il reflète une réalité historico-culturelle que tous connaissent : les racines de la civilisation européennes sont Athènes et Jérusalem. Ce qui est étrange est de trouver quelqu’un qui résiste, qui veut nier, qui trouve scandaleux de le mentionner. Si, par exemple, on avait dit que les racines de l’Europe sont gréco-romaines, personne n’aurait objecté, parce que c’est évident. Personne n’aurait objecté: “C’est « exclusif » parce qu’on ne mentionne pas – que sais-je – les Persans ou les Indiens”. Car la réalité de l’Europe est ainsi : l’un des fondements de sa civilisation est gréco-romain. En revanche, quand on parle de la tradition judéo-chrétienne, il se trouve quelqu’un pour protester mais, en réalité, c’est tout aussi normal. Il s’agit de l’ordre historico-culturel: l’Europe est ainsi. Donc, pour moi, nous sommes dans la normalité : à présent, au moins en Italie, nous sommes dans une position saine. Personne, ni les « laïcs », ni les personnes qui ne sont pas de la tradition judéo-chrétienne, ne doit protester, parce que l’Europe est ainsi.

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  • Qui croit encore au "printemps arabe" ?

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    Philippe Oswald, sur Liberté politique, fait le point sur ce "printemps arabe" dont on nous rebattait les oreilles l'an dernier. Aujourd'hui, malheureusement, force est de dresser un bilan nettement plus mitigé, avec de sombres perspectives pour les minorités, notamment chrétiennes.

    "Bains de sang en Syrie, impuissance des islamistes « modérés » au pouvoir en Tunisie -harcelés par les salafistes- à contenir l’explosion du chômage et de la corruption, affrontements sanglants en Egypte ballotée entre les frères musulmans, les ultras et l’armée en embuscade, affrontements claniques et anarchie en Libye, combats sans merci entre chiites et sunnites en Irak, guerre civile au Yémen, tensions entre l’Iran et les Pays du Golfe (sunnites), guerre froide entre l’Iran, Israël, l’Amérique et ses alliés occidentaux, déroute de ces derniers en Afghanistan, collusion du Pakistan avec les talibans afghans… L’enthousiasme naïf de l’opinion occidentale pour la révolution démocratique du « printemps arabe » et l’espoir de sa propagation en « terre d’Islam » se sont beaucoup refroidis.  ... "

    Lire toute la note : Printemps arabe ou débâcle générale

  • Sainte Jeanne de France

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    source : "Marie de Nazareth"

    Sainte Jeanne de France, fondatrice de l'Annonciade (1464-1505)

    Le règne de Louis XI ne se comprend tout à fait qu'aux lumières du bûcher de Jeanne d'Arc. C'est l'oeuvre spirituelle de Jeanne d'Arc qui a permis l'oeuvre temporelle de Louis XI. Si ce roi calculateur, rusé, quelque peu superstitieux, ne fut point un saint, sa fille Jeanne le sanctifia. Douloureuse, humiliée, offerte, canonisée par Pie XII, elle est la sainte de la Maison de Valois, la quatrième des dynasties de France.

    Une fille de roi dont l'enfance fut particulièrement humiliée

    Trente-trois ans après Jeanne d'Arc, une autre Jeanne, de France et de Valois, vient de naître. Qui la connaît ? Elle n'est pas au catalogue des grandes dames de l'histoire dont les médias nous offrent le programme des vies et des exploits, formant ainsi et à l'année longue, des modèles d'égéries passionnées plus que de femmes fortes. Elle n'est pas même non plus au catalogue habituel des saintes françaises. Bien qu'elle soit fille, soeur et femme de roi, aucune enfant ne sera plus asservie, aucune épouse plus méprisée que Jeanne, pas une féminité plus dédaignée, pas une reine ne sera plus humiliée. Elle est pourtant de celles dont le coeur souverain a porté non seulement les siens mais la vocation de son pays.

    Ce qui lui est refusé en premier, c'est sa naissance. Louis XI, son père, qui a déjà une fille Anne, pour aînée, attend un héritier mâle. Il le veut. Et promet à cet effet à Notre-Dame de Cléry, une statue en argent du poids du nouveau né. Aussi, lorsque la reine, Charlotte de Savoie, met au monde une fille, Jeanne, le roi révolté n'accorde pas une attention à l'enfant. Dépité par cette cadette, il lui préfèrera toujours la compagnie de ses grands oiseaux et de ses lévriers. Privée de la tendresse naturelle de son père, Jeanne a cependant une mère aimante et attentionnée. L'éducation chrétienne qu'elle reçoit de la pieuse reine Charlotte est d'autant plus décisive pour l'enfant que, dès ses première années, Jeanne révèle une véritable profondeur spirituelle.

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  • Monseigneur Léonard à la Foire du Livre

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    Malgré la dérobade de la Vice-Première, le primat de Belgique sera à la Foire du Livre pour y débattre avec quelques politiciens. Catho.be publie cette information :
     
    Récemment, Madame , Vice-Première ministre, a déclaré que « les catholiques méritaient mieux que Monseigneur Léonard ». Les Médias Catholiques ont donc convié les principaux intéressés au dialogue. Si l’Archevêque de Malines-Bruxelles a trouvé l’idée de cette rencontre « très intéressante », l’invitation a dû être déclinée par l’actuelle ministre des Affaires sociales et de la santé qui sera à ce moment en période de contrôle budgétaire. Mais le primat de Belgique sera donc bien présent à la Foire du Livre de Bruxelles où il rencontrera Denis Ducarme (MR), Karine Lalieux (PS), Georges Dallemagne (CDH), et Philippe Lamberts (Ecolo). Les politiciens interpelleront le primat de Belgique sur des sujets d’actualité. La rencontre se déroulera le dimanche 4 mars à 18h00 et sera animée par Jean-Jacques Durré, directeur de la rédaction des Médias Catholiques, auxquels se joindront Christian Laporte, journaliste à La Libre Belgique, et Ricardo Gutiérrez, journaliste au Soir.

  • Un prêtre pour la messe ?

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    La Libre de ce jour donne la parole aux anciens combattants du concile. En l’occurrence le P. Gérard Fourez, s.j., professeur émérite aux Facultes Notre-Dame de la Paix (Namur) . Extraits :

    (…) Qu’est-ce qui, en priorité, caractérise une Eucharistie chrétienne ? Est-ce la présence ou les paroles du prêtre ? 0u bien est-ce l’existence d’une communauté qui, à la suite de Jésus, dit : "Voici ma vie que je donne". Dans cette perspective, ce ne sont pas les paroles de la consécration qui font qu’il y a Eucharistie et que Dieu est présent. C’est, fondamentalement, l’engagement de la communauté qui, suscitée par l’Esprit et par l’Evangile, se met à la suite de Jésus. C’est ainsi que, quand une communauté se réunit pour faire mémoire - en paroles et en action - de la bonne nouvelle en Jésus-Christ, elle célèbre l’Eucharistie. Qu’un prêtre ordonné soit présent ou pas, c’est secondaire, car c’est l’Eglise qui célèbre l’Eucharistie et pas le prêtre officiant.

    Une telle perspective n’implique pas que les prêtres n’aient aucun rôle. En effet, il faut des ministres (des serviteurs) de la communauté dûment mandatés pour parler au nom du Christ et de l’Eglise, pour la réunir, pour la présider, pour proclamer le pardon de Dieu, pour dénoncer officiellement en son nom les injustices, pour accueillir en son nom de nouveaux membres, pour animer des réunions et des célébrations, etc.(…) Mais l’absence de prêtres ordonnés selon les règles du droit canon ne peut empêcher la communauté de vivre et de prendre des mesures pour être vivante. Ainsi, en cas de besoin, il pourra être acceptable de transgresser les règles établies, en pleine liberté, pour que tous vivent. C’est d’ailleurs ce que Jésus nous a appris, par exemple en refusant de condamner la femme adultère ou en guérissant le jour du Shabat. L’Evangile nous montre qu’il y a des transgressions légitimes.

    Un certain nombre de personnes, des hommes et des femmes, ont le don de bien animer une communauté. Elles y exercent un leadership. C’est à elles que l’Eglise doit confier un mandat, c’est-à-dire qu’elle doit les ordonner. Pour que cela se passe bien, il importe que l’Eglise se donne des structures institutionnelles et juridiques adéquates.(…). Mais s’il n’y a pas de ministre ordonné selon les règles de droit, cela ne veut pas dire que la communauté doit cesser de vivre, et de célébrer cette vie dans l’eucharistie. Une règle d’or est de mise : les ministères et les sacrements sont pour l’église et non pas le contraire. L’Evangile et l’histoire de l’Eglise montrent d’ailleurs de nombreux cas où des communautés ont été amenées à transgresser des règles pour rester fidèles à la bonne nouvelle.

     Dans nos communautés du monde industrialisé, la conception magique de la prêtrise n’est plus guère de mise.. Il est important que les communautés évoluent, instituent de nouveaux types de ministères et reprennent conscience que là où deux ou trois sont réunis à cause du Christ, celui-ci est au milieu d’eux.(…) Quant à l’ordination, elle n’est à prendre ni comme un rite de transmission d’un pouvoir magique, ni comme un acte purement juridique, mais plutôt comme la célébration de ce don de Dieu qu’est un leadership qui anime une communauté et qui la respecte.(…). "

    Tout l’article ici :  Un prêtre pour la messe ?

     En bon protestant (qui s’ignore ?) le jésuite namurois Gérard Fourez renie  son sacerdoce ministériel, celui qui, de main en main, depuis Jésus a été conféré aux apôtres et à leurs successeurs les évêques, dont procèdent les pouvoirs des πρεσβύτεροί .  En aucune manière de la communauté. C’est ce que contestent Luther et ses disciples depuis le XVIe siècle. L’esprit stérile, et aujourd’hui chenu, de Vatican II n’a rien inventé. Mais il a beaucoup détruit et cette destruction est à l’origine du tarissement des vocations sacerdotales, dont on feint aujourd’hui de se plaindre (pour « trouver » des solutions « alternatives »).