Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

BELGICATHO - Page 2216

  • Engager une bataille culturelle pour défendre l'honneur du Christ?

    IMPRIMER

    Le blog "pensées d'outre-politique" pose cette question : "Faut-il une bataille culturelle pour défendre l'honneur du Christ?". Le contenu de cette note correspond à notre sentiment sur cette question; c'est pourquoi nous prenons la liberté de le reproduire ci-dessous :

    "C’est le sujet du moment dans la blogosphère catholique, et au-delà, alors qu’après l’affaire du Piss Christ, l’institut Civitas refait parler de lui en menant une guérilla sans merci contre la christianophobie supposée de deux pièces de théâtre, Sur le concept du visage du fils de dieu et Golgota Picnic. Si ces pièces peuvent choquer le spectateur chrétien, faut-il pour autant rentrer dans une guerre culturelle qui plongerait perpétuellement les croyants sur la défensive et dans une position victimaire qui ne leur ressemblent pas? Modestement, je ne crois pas. Ce qui, il faut insister sur ce point, ne signifie absolument pas qu’il faille se taire et ne rien faire.

    Y’aura-t-il au sein de l’Eglise une guerre entre les « mous » et les « courageux »? Entre les « forts » et les « tièdes »? Entre ceux qui piaffent de sortir leur épée du fourreau, et ceux qui rechigneraient à combattre de cette manière? C’est ce qu’on peut craindre, après le communiqué vengeur diffusé jeudi par l’institut Civitas, le même que celui qui avait mené la fronde contre le Piss Christ à Avignon, et qui livre actuellement une nouvelle bataille contre deux spectacles jugés au choix, antichrétiens ou christianophobes : Golgota Picnic et Sur le concept du visage du fils de Dieu, dont les trois premières représentations parisiennes, jeudi, vendredi et samedi soirs, ont justement été perturbées par des membres de l’institut en question.

    Lire la suite

  • Mgr Rey : propositions pour la réforme de la réforme liturgique

    IMPRIMER

    arton55-cf691.jpgDans le bimensuel « L’Homme Nouveau » du 22 octobre 2011 l’abbé Claude Barthe a constitué un excellent dossier sur l’œuvre missionnaire de l’évêque de Toulon-Fréjus, Mgr Dominique Rey.  Abordant, entre autres, la question liturgique, ce dernier déclare que le chantier de la réforme de la nouvelle messe « s’inscrit dans l’esprit du motu proprio Summorum Pontificum, c'est-à-dire dans le souci de l’enrichissement mutuel des deux formes du rite romain. Mais c’est un long chemin qui est à parcourir, où en tout premier lieu la dimension sacrificielle et la dimension communautaire  inhérentes à la célébration eucharistique doivent être retrouvées ensemble ».

    « Ce sujet, poursuit l’évêque, recouvre en réalité de nombreux domaines de réflexion, de portée inégale. Dans la suite des travaux de Joseph Ratzinger devenu Benoît XVI, il faut rappeler que la position traditionnelle du prêtre à l’autel durant l’offertoire et l’anaphore ne peut que favoriser le sens de l’adoration et du religieux respect dans la célébration eucharistique. Cela vaut dans les deux formes du rite romain. Le Saint-Père donne aussi l’exemple de la remise en valeur de la communion sur les lèvres et si possible à genoux.(…)  On peut aussi souhaiter une place éminente pour le tabernacle, vu comme tente de la Présence, et sur l’autel lorsque c’est encore possible, comme particulièrement éducative pour la foi des fidèles (cf. Sacramentum Caritatis, n° 69).

    Lire la suite

  • Pourquoi Tintin reste jeune...

    IMPRIMER

    C'est Laurent Dandrieu, dans Valeurs Actuelles, qui met en lumière l'éternelle jeunesse de Tintin ("Tintin et le secret de jouvence", 20 octobre).

    Insistant sur le "grand écart" qui a conduit le jeune reporter des pages du "Petit XXème" au grand écran, Laurent Dandrieu y voit

    ...quelque chose "d'assez symptomatique d’une oeuvre fédératrice sans être aucunement centriste, qui témoigne d’un art particulier à marier l’eau et le feu, la sagesse et la folie, le calme et la tempête, le souffle vibrant de l’aventure et la sérénité de la contemplation – bref à tenir, comme disait Bossuet, les deux bouts de la chaîne."

    "Et si le secret de l’éternelle jouvence de Tintin était là, dans l’aptitude de son créateur à tenir ensemble ce qui paraît contraire, à concilier en un seul monde ce qui paraît inconciliable, à faire tenir dans ses pages toute la diversité, toutes les contradictions, tous les tiraillements et en même temps toute la profonde unité de l’existence ? Si Tintin parle aux gamins de 1929 comme à ceux de 2011, aux jeunes comme aux vieux, aux enfants sages comme aux casse-cou, aux contemplatifs comme aux histrions, n’est-ce pas d’abord parce que son univers renvoie chacun de nous à sa profonde dualité, à ces apparentes contradictions qui se fondent en chacun de nous pour forger notre unicité ? Je dirais même plus : pour forger notre unicité."

    Dans cet article bien ficelé, l'auteur montre comment Hergé sait allier réalisme et fantaisie, sérieux et comique, positif et négatif, l'ancien et le nouveau, la clarté et la complexité, et comment il sait éviter aussi l'écueil d'un parti-pris idéologique : 

    "Ni de droite ni de gauche, bien au contraire Dans ses aventures latino-américaines, Tintin sait bien qu’une dictature en remplace une autre sans que jamais rien ne change. Sans illusion sur la nature humaine, il ne rêve pas de lendemains qui chantent. Il fait juste ce qu’il peut pour éviter qu’ils déchantent de trop. Sans parti pris idéologique : d’un anticommunisme primaire dans Au Pays des Soviets, il n’est pas plus indulgent vis-à-vis du capitalisme technicien et corrompu et de sa dureté à l’égard des minorités dans Tintin en Amérique. Épousant sans mauvaise conscience le paternalisme colonialiste dans Tintin au Congo au nom du progrès matériel indéniable qu’il apporte aux populations locales, il combat résolument l’impérialisme nippon dans Le Lotus Bleu. Mettant en 1956 en échec dans l’Affaire Tournesol une Bordurie dominée par un régime moustachu d’allure stalinienne, il avait en 1938 empêché cette même Bordurie, alors fascisante, d’engloutir la paisible Syldavie, ce qu’Hergé lui-même décrivait comme un « Anschluss avorté » en référence à la mainmise nazie sur l’Autriche. Et ce faisant, désignait ce qui est sans doute l’idéal politique d’Hergé – et de Tintin : la Syldavie du roi MuskarXII, monarchie éclairée où le souverain agit comme père de ses sujets. Car, foncièrement indifférent à la politique moderne comme à tout ce qui divise, Tintin n’a qu’un souci, celui d’un humaniste : que chacun, qu’il soit petit vendeur d’oranges, tireur de pousse-pousse, romanichel ou indien d’Amérique, soit traité et respecté comme une personne à part entière. Ni droite ni gauche : monarchie populaire." 

    Et pour conclure, Laurent Dandrieu, évoquant le goût de la "bourlingue et de l'amour des pénates", conclut :

    Hergé a "compris que les véritables aventures sont intérieures, et qu’il est vain de vouloir chercher une quelconque vérité à l’autre bout de la Terre. Il nous l'a montré, à vrai dire, dès le Trésor de Rackham le Rouge, où le fameux trésor, que nos héros ont vainement cherché aux antipodes, était resté tout le temps sagement caché à Moulinsart. « Car c’est de la lumière que viendra la lumière », disait le parchemin laissé par François de Hadoque. Il aurait pu aussi paraphraser l’Évangile de Matthieu : « Là où est ton coeur, là sera ton trésor. »

    Merci, Laurent Dandrieu, pour ce bel hommage à notre compatriote et à son héros!

  • Maltraitance des mineurs dans les écoles coraniques de Grande-Bretagne

    IMPRIMER

    Voici une réalité sur laquelle nos médias, si soucieux de l'enfance maltraitée, se montrent bien peu diserts. Natalia Trouiller en fait état dans les Matinales de La Vie de ce matin :

    "400 CAS DE MALTRAITANCE DANS LES MADRASAS DE GRANDE-BRETAGNE
    C'est la BBC qui le révèle - et ce pourrait être, selon un procureur anglais, "la partie émergée de l'iceberg". 250.000 enfants sont actuellement scolarisés dans des écoles coraniques outre-Manche. Un exemple du "choc des cultures"? L'enseignement religieux tolère en effet les châtiments corporels "dans la limite du raisonnable". Le président du Conseil consultatif national des mosquées et imams a vivement réagi, promettant que le problème serait traité "de façon urgente" et qualifiant ces chiffres d'"extrêmement inquiétants et choquants". Le procureur royal pour le Nord-Ouest de l'Angleterre, Nazir Afzal, a quant à lui allégué que ces chiffres représentaient sans doute "une sous-estimation importante du problème". Le ministre de l'Enfance a refusé de répondre aux journaliste, se contentant d'un communiqué précisant que le gouvernement anglais "n'approuve pas les châtiments corporels". Ces derniers n'ont été interdits dans les écoles publiques britanniques qu'en 1986, et dans les écoles privées en 1999."

  • Cardinal Vingt-Trois : « le dialogue interreligieux amène à être plus fidèle à sa foi »

    IMPRIMER

    Le cardinal André Vingt-Trois prendra part à la rencontre du Trocadéro à Paris, le jeudi 27 octobre prochain. Le président de la Conférence des évêques de France explique pourquoi il est normal que l’Église catholique soit motrice dans cette démarche de dialogue…

    Benjamin Coste l’a interrogé à ce sujet pour L’’hebdomadaire « Famille Chrétienne » :

    Qu’attendez-vous de la Rencontre des religions pour la paix organisée à Paris  en écho au rassemblement d’Assise ?

    Je souhaite montrer que l’écoute et le respect mutuel sont inhérents à chaque religion, je souhaite que nous donnions une image publique de ce vers quoi tout le monde s’efforce d’aller.

    Dans nos sociétés occidentales, certains courants idéologiques accusent les religions d’être l’une des causes de la violence sociale. Nous, responsables religieux, devons être capables de nous tenir publiquement ensemble pour dire que nous voulons la paix et que nous nous y employons.

    Lire la suite

  • Protestations contre un spectacle outrageant la foi chrétienne à Paris

    IMPRIMER
    "Jeudi 21 octobre se tenait à Paris un spectacle intitulé "Sur le concept du visage de Dieu". Ce spectacle fait polémique chez les catholiques car certaines scènes sont jugées blasphématoires. Une manifestation organisée contre ce spectacle a failli virer au drame."
    Voir ici : http://www.terrafemina.com/ (article et video)

  • L’automne du printemps arabe

    IMPRIMER

    En Egypte, alors que le régime militaire matraque toujours sa version de la répression des coptes le 9 octobre, le sort de deux blogueurs, l'un chrétien et l'autre musulman, montre le vrai visage de la junte “démocratique”  au pouvoir.

    Selon “La Vie” Ayman Youssef Mansour, un blogueur musulman, vient d'être condamné à 3 ans de prison, assortis de travaux forcés, pour blasphème. Autre actualité dramatique pour les blogueurs égyptiens: ce samedi, Mark Sanad, le frère du blogueur chrétien Mikail Nabil Sanad a voulu rendre visite à son frère à la prison d'El Marg. Surprise: il apprend alors que son frère a été transféré à l'hôpital psychiatrique Abbasiya du Caire, établissement de sinistre réputation "réservé aux patients les plus gravement atteints et connu pour traiter les malades de façon inhumaine", nous apprend l'Assyrian International News Agency. Motif officiel: le tribunal militaire qui a décidé de ce tranfert voulait "évaluer le degré de responsabilité de ses actes". Il doit y rester 45 jours, durant lesquels "il recevra certainement des électrochocs afin de lui faire perdre la raison, ce qui permettrait de le libérer", selon plusieurs militants d'une association de défense des droits de l'homme, le Dr. Weesa et l'avocat Mamdouh Nakhla. Le procès en appel de Mikail Sanad, ajourné une première fois la semaine dernière, devait reprendre le 1er novembre, mais l'internement du blogueur repousse la tenue du procès à une date extrêmement incertaine. Lire ici: Sale printemps pour l'Egypte

    Fêtant à Bengazi l’assassinat de Khadafi comme l’acte fondateur de leur démocratie, les dirigeants lybiens ont annoncé par la voix de  Mustapha Abdeljalil, président du “conseil national de transition”, que la loi fondamentale de la Lybie  serait désormais la charia islamique, ce qui promet là aussi de beaux jours aux minorités religieuses et politiques.

    … Et en attendant de connaître le résultat des élections en Tunisie. Ces résultats ne seront annoncés que mardi après-midi, mais les premières tendances donnent déjà la victoire au parti Ennahda (Renaissance) fondé avec le concours d’intellectuels inspirés par les Frères musulmans égyptiens.

  • Le 550e anniversaire de la canonisation de Catherine de Sienne, docteur de l'Eglise et patronne de l'Italie

    IMPRIMER

    catherine_de_sienne-71bdd.jpg« Une mère spirituelle pour de nombreux chrétiens »

    Le Vatican organise un congrès international sur Catherine de Sienne à l’occasion du 550e anniversaire de sa canonisation. Une sainte à la foi inébranlable » qui fut une « une mère spirituelle pour de nombreux chrétiens », a expliqué le P. Bernard Ardura, président du Comité pontifical des sciences historiques, au cours de la conférence de presse de présentation de ce congrès.

    Le congrès dédié à sainte Catherine de Sienne et à son héritage est organisé par le Comité pontifical des sciences historiques, en collaboration avec l’ordre dominicain, l’archidiocèse de Sienne et le centre international des Etudes sur Catherine de Sienne. Son thème : « Virgo digna coelo : Catherine et son héritage. 550e anniversaire de la canonisation de sainte Catherine de Sienne » (Rome-Sienne, 27-29 octobre 2011).

    Lire la suite

  • Le pape pourrait-il sauver le monde de la crise économique ?

    IMPRIMER

    ...Le pape "ne va certes pas dicter aux spécialistes des règles miraculeuses permettant d’assainir le système monétaire et financier, voire de le reconstruire. A chacun sa spécialité. La sienne, c’est de faire connaître aux hommes un être, à la fois humain et divin, qui s’est identifié à la vérité. C’est de faire connaître un livre, la Bible, qui montre comment les hommes ont pris progressivement conscience du respect qu’ils se doivent les uns aux autres comme enfants d’un même Père. Or le respect du prochain, l’amour du prochain, requièrent la recherche de la vérité. Il se trouve que le Pape actuel, Benoit XVI, a justement écrit un beau texte à ce sujet : « La charité dans la vérité ».

    Jésus, et les Papes qui lui ont été fidèles, n’ont jamais rien imposé : le respect de la liberté de l’homme est un principe pour lequel Jésus a accepté le supplice de la Croix. Mais ils proposent aux hommes une forme de changement qui vient de l’intérieur : la conversion. Le monde de la finance a besoin de se convertir."

    Cet extrait d'une note parue sur Atlantico.fr sous la plume du trés sérieux Jacques Bichot montre que l'éclairage de la doctrine sociale de l'Eglise sur l'économie mériterait d'être davantage connu et médité.

  • Philippe et Mathilde, des atouts majeurs pour les missions économiques belges ?

    IMPRIMER

    C'est en tout cas l'avis de l'envoyé spécial de la Libre.be :

    "Si vous demandez aux hommes d’affaires qui participent aux missions économiques présidées par le prince Philippe quel en est l’atout majeur, tous répondent que c’est la présence du fils du Roi.

    Mais au fond, ne faut-il pas aussi - surtout ? - chercher la femme ? La présence de Mathilde est en effet une arme pas si secrète qui permet d’ouvrir finalement les portes les plus récalcitrantes du côté du pays hôte, même si contre les cas de force majeure elle ne peut forcément pas faire l’impossible."

    On s'en réjouit, même si l'on préfèrerait que d'autres pays moins compromis dans les atteintes aux droits de l'homme bénéficient du savoir faire de Philippe et Mathilde.

    Et qui est cet envoyé spécial sympathique qui ne ménage pas ses compliments adressés aux membres de notre famille royale? Christian Laporte en personne, tellement sympathique lorsqu'il célèbre les qualités de notre dynastie qu'on aimerait le voir limiter son activité à ce domaine dans les pages de la Libre.

  • La Libye "libre", vraiment ?

    IMPRIMER

    Grâce à l'intervention internationale, y compris celle de la Belgique, la Libye a été débarrassée du régime dictatorial de Kadhafi. A présent, la "démocratie" (?) va pouvoir y être installée, mais pas n'importe laquelle : une démocratie où le droit et les lois devront être régies par la loi islamique : la charia. C'est ce que confirme cet article publié sur Euronews et bizzarement intitulé "La Libye est libre" :

    "Les nouvelles autorités du Conseil national de transition ont rendu hommage aux combattants, aux victimes et aux disparus de ce conflit. Moustapha Abdeljalil, le président du CNT a appelé à la réconciliation nationale, il a encouragé les Yéménites et les Syriens dans leur mouvement en faveur de la démocratie. Il annonce aussi l’instauration de la charia, la loi coranique :“En tant que nation musulmane dit-il, nous avons adopté la charia islamique comme source du droit, donc n’importe quelle loi contredisant les principes de l’islam est également nulle.” http://fr.euronews.net/2011/10/23/la-libye-est-libre/

  • L'évêque de Tournai et l'Islam

    IMPRIMER

    Lors des Etats Généraux du christianisme qui se sont tenus à Lille il y a une dizaine de jours, Monseigneur Harpigny - qui est expert en islamologie - y a fait une communication intitulée "Faut-il avoir peur de l'Islam". L'agence cathobel en a fait le compte-rendu qui a été publié dans l'Avenir.net, le 19 octobre dernier :

    "Inquiétante Histoire

    « Si l’on s’en réfère à l’Histoire, il y a de quoi craindre l’islam », dit l’évêque de Tournai.

    Beaucoup de facteurs poussent à avoir peur de l’islam. L’islam a blessé les Églises orientales du Proche-Orient, il a envahi l’Espagne en grande partie chrétienne, entraînant la reconquista et les croisades. L’islam a pris la place de l’empire romain d’Orient (chute de Constantinople), coupant l’Église latine des Églises orientales. L’islam a menacé l’Europe centrale (Vienne). La situation en Méditerranée était dangereuse (razzias, prises d’otages, conversions de force). Le péril turc était conjuré jusqu’à l’ouest de l’empire des Habsbourgs.

    Au XXe siècle, des régions à majorité musulmane sont en marche vers l’indépendance. De l’ouverture aux techniques du monde occidental au refus de l’impérialisme occidental (américain), un abîme se creuse entre la manière de vivre l’islam dans les pays à majorité musulmane et les démocraties basées sur les Droits de l’Homme.

    Avec la question d’Israël, on assiste à un durcissement de certains groupes musulmans à l’égard de ce qui n’est pas musulman. Dès lors, beaucoup de communautés chrétiennes du Proche-Orient sont obligées de quitter leur terre d’origine.

    Et aujourd’hui ?

    Que constatons-nous à l’heure actuelle en France et en Belgique ?

    Lire la suite