BELGICATHO - Page 2377
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Proposition des éditions Artège pour vivre le carême
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Le « droit à l’enfant » devant la Cour européenne des droits de l’homme
L’ECLJ (European Centre for Law and Justice) intervient en tant que tierce partie avec 7 ONG et 51 parlementaires
Ce 23 février, la Grande Chambre de la Cour européenne des droits de l'homme a tenu une audience publique dans une affaire relative à la légitimité de l'interdiction de la fécondation in vitro avec tiers donneur, c'est-à-dire avec don d'ovule ou de sperme par une personne étrangère au couple souhaitant avoir un enfant (FIV hétérologue).
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Lybie, l’horreur d’un génocide
Le bilan officiel du gouvernement, après neuf jours d'affrontements, parle de 300 morts. Mais selon des sources locales, ils seraient 1.000 voire 10.000 selon la TV al-Arabiya qui cite un haut représentant libyen de la Cour pénale internationale. Tandis que les blessés s'élèveraient à 50.000. (...)
« Dans aucune des crises humanitaires et des conflits vécus ces vingt dernières années, nous n'avions assisté à une telle violence », commente don Vittorio Nozza, directeur de la Caritas italienne. « La surprise même des pays occidentaux devant la rapidité avec laquelle évolue cette crise est le signe d'une préoccupation diffuse que nous partageons et pour laquelle nous demandons la plus haute attention ». (...)
Mgr Giovanni Martinelli, évêque de Tripoli, voit dans cette tragédie humanitaire le désir des nouvelles générations de se donner l'occasion d'une vie meilleure : « Les populations, explique l'évêque dans un entretien à Radio 24, demandent plus de démocratie. Il y a un saut de qualité de la population marqué par le désir des jeunes de profiter des biens du pays ».
« A une révolte générationnelle semblable à celle de notre 68, explique encore Mgr Martinelli, au quotidien italien « La Stampa », s'ajoute, à cause des difficultés à trouver un toit et à établir une famille, la colère des jeunes de ne pouvoir obtempérer à l'obligation musulmane du mariage ». (...)
Pendant ce temps-là, les agences multiplient leurs informations, racontant ce que tout le monde assimile désormais à « un génocide d'Etat » et « un crime contre l'humanité ». La France souhaite une résolution du Conseil des droits de l'homme de l'ONU, tandis que se fait de plus en plus concrète l'idée de recourir à la justice internationale.
Les dernières informations rapportent la nouvelle terrifiante, donnée par le président de la Communauté du monde arabe en Italie (COMAI), selon laquelle « les escadrons de la mort seraient en train de semer la terreur parmi les habitants de Tripoli » : des hommes enrôlés par les militaires eux-mêmes, sur ordre du gouvernement, qui sillonnent les rues, arborant un casque et des vêtements jaunes. Leur mission est de réprimer les protestations et ils le font en entrant dans les habitations, semant la panique, frappant les hommes et violant les femmes ».
Pendant ce temps-là, des fosses communes sont creusées le long des plages pour donner une sépulture décente à tous ces hommes, toutes ces femmes et tous ces enfants sur lesquels s'est déchainée la vengeance inhumaine du Raìs.Mariaelena Finessi sur Zenit; lire l'intégralité de la note ICI
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G20 : contrôler la globalisation
"Pourquoi les États-Unis, la France et bien d’autres pays développés accumulent-ils dangereusement déficit extérieur et déficit public ? Pour une part importante, à cause du manque de contrôle de la mondialisation. Si nous voulons redresser la barre, il est nécessaire de prendre à ce sujet des mesures énergiques, dans un cadre multinational tel que précisément le G20, dont les ministres des Finances viennent de se réunir à Paris, le 19 février."
Découvrir ICI les pistes ouvertes par Jacques BICHOT (professeur émérite à l’université Lyon III, vice-président de l’association des économistes catholiques)
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Islam et démocratie
UNE MISE EN QUESTION radicale est en train de surgir dans le monde arabo-musulman et touche aux fondements mêmes du système islamique, basé tout entier sur la sacralisation de la soumission (c’est-à-dire de l’islâm en arabe) et de son corollaire, la domination. Elle prend l’Occident de court, tout comme en 1989, les « analystes » n’avaient rien vu venir de la chute du mur de Berlin.
(...) Quelque chose est vraiment en train de bouger dans tous les pays arabo-musulmans. Il serait temps d’ouvrir les yeux, même si le « mur de Berlin » islamique, qui est dans les esprits, mettra du temps à tomber, et d’autant plus de temps que nos « analyses » marquées par le sécularisme contribuent à l’entretenir. Le temps qui s’annonce sera un temps d’épreuve et de chance pour la vraie foi.
La pensée occidentale dominante voit dans la chute du président tunisien Ben Ali l’espérance d’une avancée démocratique dans l’un des « pays islamiques » (la Tunisie en fait officiellement partie en effet). Nombre de Tunisiens l’espèrent également. Néanmoins, on ne peut pas éviter un certain rapprochement avec ce qui fut dit du régime du Shah d’Iran lors de son renversement, un régime autocrate certes mais beaucoup moins sanguinaire et terroriste que celui qui suivit et qui avait été salué d’abord comme une avancée démocratique. Se défaire d’un clan au pouvoir est une chose ; établir un État démocratique et de droit en est une autre.
En Tunisie, le mieux que l’on puisse espérer est qu’un nouveau système autoritaire opposé à l’islamisme succédera au précédent. Le pire serait que se mette en place un système encore plus corrompu s’appuyant sur l’islam, et terroriste, qui étendrait alors son action destructrice au delà des frontières. (...)
Il apparaît ainsi que l’Islam n’est pas une culture qui, comme culture, serait intégrable à un État démocratique ; il s’agit d’un programme politico-religieux qui sape les bases mêmes de tout État de droit. Les Tunisiens veulent tourner la page du système autocratique et corrompu de Ben Ali, et c’est le mieux qui puisse être fait ; le plus probable est qu’il sera chargé bientôt de tous les maux, par les nouveaux maîtres de la Tunisie qui s’en serviront pour justifier leur pouvoir.
Quel sera-t-il ? Sera-t-il entre les mains de Tunisiens ayant le sens de l’État de droit, ouvert à tous et à l’avenir ? Le poids du conditionnement islamique va inévitablement peser. Il n’existe guère de chance que la conviction du Père Antoine Moussali soit infirmée : le système politique le moins mauvais qui puisse s’imposer à une population majoritairement musulmane est celui d’une tyrannie qui empêche toute contestation par un contrôle policier sans faille, qui se méfie de l’Islam, qui prévient la population de la misère en lui laissant quelques activités libres, et qui fait des largesses à ceux qui le soutiennent.
Quant au pire possible, il est presque déjà sous nos yeux en divers lieux du globe.
25 Février 2011 | dans Liberté politique.com où l'on découvrira l'entièreté de cette analyse
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Décès du Docteur Nathanson
Le Dr. Bernard Nathanson, gynécologue obstétricien américain, ayant supervisé et pratiqué de nombreux avortements avant de connaître un retournement de conscience complet, est mort d'un cancer à l'âge de 84 ans le 21 février 2011, chez lui, à New York.
Le Dr. Nathanson, qui avait formé des milliers de médecins à pratiquer l'avortement, estimait avoir lui-même interrompu 5000 grossesses et se déclarait "personnellement responsable de 75 000 avortements". Son entrée dans le "monde de l'avortement", écrira-t-il, commence dans les années 1940 quand il donne de l'argent à sa petite amie enceinte pour se faire avorter illégalement. En 1969, il aide à la création de l'organisation désormais connue sous le nom de NARAL Pro-Choice America et dans les années 1970, il dirige le Centre de Manhattan pour la santé reproductive et sexuelle, qui est alors le plus grand fournisseur d'avortements aux Etats-Unis.
L'arrivée des nouvelles technologies, dont l'imagerie par ultrasons et les enregistrements du cerveau et du coeur du foetus, l'amène à refuser de pratiquer des avortements. "Pour la première fois, écrira-t-il dans son autobiographie, on pouvait vraiment voir le foetus humain, le mesurer, le regarder, et vraiment s'attacher à lui et l'aimer". Auteur d'un film de 28 minutes intitulé "Le Cri Silencieux", qui montre au moyen de l'échographie l'avortement en temps réel d'un foetus féminin de 12 semaines, le Dr. Nathanson fut au coeur du débat tumultueux sur l'avortement au milieu des années 1980. Les images montrent un processus violent et effrayant. "Une fois encore, nous voyons la bouche de l'enfant grande ouverte dans un cri silencieux", décrit-il tandis que le médecin insère un tube d'aspiration. "Pour la première fois, nous allons regarder un enfant être déchiré, démembré, désarticulé, écrasé et détruit par les instruments en acier insensibles de l'avorteur." Le Dr. Nathanson connaît alors un revirement complet. A la fin des années 1970, il devient une figure éminente du mouvement pour l'abrogation des lois sur l'avortement. Son film est largement diffusé et projeté à la Maison Blanche par le président Ronald Reagan qui presse les membres du Congrès américain de voir le film et d' "agir rapidement pour mettre fin à la tragédie de l'avortement". En 1985, Allan Rosenfield, alors président du Planning familial d'Amérique déclarera que ce film était "la plus puissante chose que le mouvement pour le droit à la vie ait présenté". Le Dr. Nathanson a produit un autre film intitulé "L'Eclipse de la Raison", qui décrit explicitement les avortements tardifs. En 1996, il est diplômé en bioéthique à l'Université Vanderbilt.Genethique.org (Washington Post (Emma Brown) 22/02/11)
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Une étude franco-belge dirigée par un professeur liégeois sur le "locked-in syndrome"
"Locked-in syndrome : une majorité de patients heureux" Une étude dirigée par le professeur de neurologie Steven Laureys de l'université de Liège et publiée sur le site du journal britannique BMJ Open*, indique que des patients atteints de locked-in syndrome (LIS) se disent en majorité "heureux" en dépit de leur handicap important. Cette maladie neurologique rare survient le plus souvent après un accident vasculaire cérébral. Les patients sont conscients et conservent leurs facultés intellectuelles mais totalement paralysés. Ils peuvent communiquer par des clignements de paupières ou des mouvements des yeux et dans certains cas peuvent recouvrer le contrôle des doigts, de la tête ou des pieds, voire la parole.
Menée en lien avec le CHU de Nîmes et l'association française Alis (association pour le locked-in syndrome), cette étude franco-belge avait pour objectif d'évaluer la qualité de vie de ces patients. 168 patients membres d'Alis ont été interrogés "sur leur histoire médicale, leur état émotionnel et leur qualité de vie" avec le concours des personnels soignants. Sur les 91 patients qui ont répondu, 65 ont répondu complètement. Parmi eux, 72% (47 patients) ont déclaré être heureux et 28% (18 patients) malheureux. Seul 4 patients ont indiqué qu'ils opteraient pour l'euthanasie.
"Cette étude montre d'abord qu'en dépit d'un handicap très lourd, il est possible de vivre avec cette pathologie" et que "contrairement à ce que certains peuvent penser, la vie avec cette pathologie vaut bien la peine d’être vécue" explique le Pr. Laureys. Il relève que sur les 91 patients ayant répondu, les deux tiers vivent chez eux avec un partenaire et la plupart (70%) ont des croyances religieuses. Si l'on ne peut "rester sourd face à la souffrance profonde" que révèle l'option pour l'euthanasie chez quelques-uns, le Pr. Laureys constate que les réponses varient selon la durée du syndrome. "On constate qu'il existe des phases différentes dans la maladie avec une sorte d'adaptation au fil du temps. On remarque par exemple que les personnes qui ne sont pas heureuses sont en général atteintes depuis moins d'un an par ce syndrome" précise le Pr. Laureys qui souligne la nécessité de comprendre leur désarroi. "C’est un message que la médecine mais aussi la société tout entière doivent entendre, notamment en facilitant l’accès à des services de rééducation qui, en France, est loin d’être optimal". Parmi les critères d'insatisfaction évoqués se trouvent l'anxiété et le manque de mobilité et de distraction.
Pour les auteurs, les résultats de cette étude contribuent au débat européen sur le suicide assisté que certains veulent rendre accessible à ces patients. Selon eux, les demandes de suicides assistés ne peuvent être considérées comme valides tant que les patients n'ont pas eu "une chance d'atteindre un état stable de bien-être subjectif".
* BMJ Open, "A survey on self-assessed well-being in a cohort of chronic locked-in syndrome patients: happy majority, miserable minority", Marie-Aurélie Bruno, Jan L Bernheim, Didier Ledoux, Frédéric Pellas, Athena Demertzi, Steven Laureys
La Croix (Pierre Bienvault) 25/02/11 - Le Quotidien du médecin (Dr. Guy Benzadon) 25/02/11 - Rtbf.be 24/02/11 - Les Echos.fr 24/02/11
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Cathobel en remet une couche
Publicité gratuite sur Cathobel, l'agence interdiocésaine d'information religieuse: encore un caucus sur le célibat des prêtres (cliquez ici : http://www.catho.be/index.php)! C’est dimanche prochain, 27 février, dans l’émission de la RTBF « Et dieu (avec minuscule évidemment) dans tout cela » de l’animateur Jean-Pol Hecq : avec deux libre-exaministes bon teint : Baudouin Decharneux, directeur du Centre Interdisciplinaire d’Etudes des Religions et de la Laïcité (CIERL) de l’Université Libre de Bruxelles et son adjointe, l’inénarrable Anne Morelli ainsi que l’abbé Eric de Beukelaer, ancien porte-parole du cardinal Danneels, pour jouer le rôle du chrétien de service. En fait, il s’agit d’ une resucée d’un débat organisé par l’ULB au mois de novembre 2010. Sur le même sujet, Cathobel vous invite, en prime, « à ne pas manquer l’édito » du P. Charles Delhez dans l’édition du journal paroissial « Dimanche » qui paraîtra le même jour. Nous avons déjà dit tout le mal que nous en pensions dans ce « post » :Encore le célibat des prêtres et l’ordination sacerdotale des femmes
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Les femmes qui vont à l’église sont plus heureuses
Enquête sur le bonheur « décroissant » des femmes
D'après une récente enquête, les femmes qui fréquentent régulièrement l'église sont mieux armées contre les hauts et les bas de la vie, et sont en général plus heureuses.
Alexander Ross, de l'Institut pour les sciences psychologiques est l'auteur de l'enquête qui met l'accent sur le bonheur décroissant des femmes américaines durant ces 36 dernières années.
Le chercheur a découvert que la fréquentation de l'église est un facteur significatif dans le bonheur des femmes, ce dernier constatant qu'un fléchissement de cette fréquentation dans la période allant de 1972 à 2008, a eu un effet direct sur le bonheur des femmes impliquées dans l'étude.
Au contraire, les femmes qui affirment fréquenter régulièrement l'église semblent davantage immunisées face aux éléments qui provoqueraient une baisse de bonheur chez les femmes en général.
Les femmes qui fréquentent l'église, estime Alexander Ross, seraient « moins sensibles à l'impact négatif » de certains changements qui se sont vérifiés dans notre société ces dernières décennies.L'étude, publiée dans le dernier volume de l'Interdisciplinary Journal of Research on Religion, relève également une chute de la fréquentation de l'église également chez les hommes au cours de la même période, mais sans implication significative sur leur bonheur.
Pour Alexander Ross, cela pourrait être dû au fait que les femmes, au fil des ans, ont modifié leurs habitudes relatives à la fréquentation de l'église de manière plus drastique par rapport aux hommes.
Il souligne qu'au plan des expectatives, le rôle des hommes et des femmes a changé durant ces dernières décennies, mais de manière plus radicale chez les femmes.
« Dans le contexte d'un sens plus aiguë de l'effritement social, les femmes ont peut-être bénéficié plus que les hommes de l'influence stabilisatrice d'une fréquentation régulière de l'église ».
« Saint Augustin ne serait pas surpris de notre découverte, car il enseignait que Dieu est le plus grand bien pour l'humanité », a conclu Alexander Ross. -
Une instruction romaine redoutée
Une grande inquiétude a vu le jour parmi les fidèles et les prêtres attachés à la célébration et à la diffusion de la forme extraordinaire du rite romain à propos de la prochaine publication de l’instruction précisant le cadre d’application du Motu Proprio Summorum Pontificum. Blogs et médias du monde entier, attachés ou non à la forme extraordinaire du rite romain, relaient cette préoccupation au point qu'un « appel international » pour la défense du Motu Proprio a vu le jour (cliquer ici).
Fondée ou pas, cette vive réaction montre en tout cas que l’intégration des traditionalistes dans les structures normales de l’Église est encore loin d’être un fait acquis. Ce n’est un secret pour personne que le motu proprio « libérateur » de 2007 a été interprété ou contourné malicieusement dans beaucoup de diocèses (on pourrait citer de nombreux cas manifestant cette opposition toujours latente, sinon déclarée) et ceci explique peut-être la crainte de cela : une instruction « interprétative » restreignant, formellement cette fois, la portée matérielle et l’esprit même du « motu proprio ».
Ce 24 février, « Paix Liturgique » a publié une « lettre ouverte », adressée au pape par des séminaristes du diocèse de Milan, qui illustre bien la recrudescence des tensions. Les extraits ci-après donnent le ton, pas très serein :
« Saint Père, Éminences, Excellences, fidèles : venez voir comment on célèbre au séminaire de Milan, quel est l'aménagement liturgique de notre chapelle, venez voir la prétendue statue de la Vierge (une femme dénudée assise dans une posture sensuelle devant le tabernacle). Et vous comprendrez. Pour notre part, nous comprenons bien que les temps changent, que l’histoire évolue, mais le cœur des gens a besoin des réponses de toujours, d’une Vérité toujours égale : Jésus Christ, identique hier, aujourd’hui et toujours.
« Pourquoi, comme catholiques et comme séminaristes, ne pouvons-nous pas être formés à la connaissance de la Tradition bimillénaire de l’Église ? Nous ne demandons pas que soit imposé le rite ancien. Cela nous convient qu’il demeure une forme extraordinaire. Mais pourquoi ne pouvons-nous pas l’étudier officiellement et, ponctuellement, le célébrer et le pratiquer, au lieu de le faire en cachette, clandestinement, à l’insu du Recteur et de notre père spirituel, de nuit, dans nos chambres, comme s’il s’agissait d’un acte de désobéissance envers l’Église ?
« Tout au contraire, nous vient imposée la sensibilité liturgique créative inventée de la communauté de Bose, qui n’est pas notre vocation, qui ne correspond pas aux raisons qui nous ont fait choisir de suivre le Seigneur dans l’Église catholique. Nous ne voulons pas devenir prêtres pour vivre façon Bose ou pour célébrer des rites syncrétistes. Ceux qui ont cette sensibilité sont parfaitement libres d’aller à Bose.
« Nous voulons pouvoir chanter le Tantum Ergo en latin (interdit par notre règlement !) et pas uniquement des canons de Taizé en anglais ou en espagnol.Est-il possible que celui qui pense ainsi doive vivre dans la dissimulation, se taisant et feignant que tout va bien ? Quel mal y a-t-il, nous demandons-nous, à vouloir être catholiques du troisième millénaire, évangélisateurs de notre temps et dans le même temps prier comme ont prié les prêtres, les laïcs de l’Église catholique ambrosienne ?
Nous le répétons : nous ne voulons pas absolutiser, nous ne demandons pas un retour absolu au rite ancien mais nous voulons un vrai respect, authentique, non idéologisé, envers l’Église, Son histoire, Sa Tradition, Sa richesse spirituelle qui peut nourrir véritablement une âme qui veut se conformer au Christ Prêtre ».
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Du "rock chrétien"? Pourquoi pas ?
On peut aussi découvrir un sympathique groupe belge CX Flood
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Mgr di Falco-Leandri dénonce les pratiques de certains journalistes (KTO)