à la Shekinah, à Woluwe Saint-Pierre, chez les sœurs Annonciades d'Heverlee
Mardi 15 mars
"Dieu me pardonne"
avec le Père Patrick/Marie Jeunesse
Adoration et confessions
Les rencontres ont lieu de 9h00 à 11h45.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
à la Shekinah, à Woluwe Saint-Pierre, chez les sœurs Annonciades d'Heverlee
Mardi 15 mars
"Dieu me pardonne"
avec le Père Patrick/Marie Jeunesse
Adoration et confessions
Les rencontres ont lieu de 9h00 à 11h45.
Comme les disciples s'étaient rassemblés autour de Jésus, sur la montagne, il leur disait : « Aucun homme ne peut servir deux maîtres : ou bien il détestera l'un et aimera l'autre, ou bien il s'attachera à l'un et méprisera l'autre. Vous ne pouvez pas servir à la fois Dieu et l'Argent. C'est pourquoi je vous dis : Ne vous faites pas tant de souci pour votre vie, au sujet de la nourriture, ni pour votre corps, au sujet des vêtements. La vie ne vaut-elle pas plus que la nourriture, et le corps plus que les vêtements ? Regardez les oiseaux du ciel : ils ne font ni semailles ni moisson, ils ne font pas de réserves dans des greniers, et votre Père céleste les nourrit. Ne valez-vous pas beaucoup plus qu'eux ? D'ailleurs, qui d'entre vous, à force de souci, peut prolonger tant soit peu son existence ? Et au sujet des vêtements, pourquoi se faire tant de souci ? Observez comment poussent les lis des champs : ils ne travaillent pas, ils ne filent pas. Or je vous dis que Salomon lui-même, dans toute sa gloire, n'était pas habillé comme l'un d'eux. Si Dieu habille ainsi l'herbe des champs, qui est là aujourd'hui, et qui demain sera jetée au feu, ne fera-t-il pas bien davantage pour vous, hommes de peu de foi ? Ne vous faites donc pas tant de souci ; ne dites pas : 'Qu'allons-nous manger ? ' ou bien : 'Qu'allons-nous boire ? ' ou encore : 'Avec quoi nous habiller ? ' Tout cela, les païens le recherchent. Mais votre Père céleste sait que vous en avez besoin. Cherchez d'abord son Royaume et sa justice, et tout cela vous sera donné par-dessus le marché. Ne vous faites pas tant de souci pour demain : demain se souciera de lui-même ; à chaque jour suffit sa peine. (Evangile du jour, Matthieu 6,24-34)
L’émission de radio Orthodoxie, sur France culture, du dimanche 27 février, à 8 heures, aura pour thème: "Nicolas Berdiaeff, une approche autobiographique et anthropologique".
Présentation: "Entretien avec Pierre Aubert, aumônier-pasteur auprès des Hôpitaux universitaires genevois, auteur du livre Nicolas Berdiaeff, Une approche autobiographique et anthropologique, paru en janvier dernier aux éditions du CERF. Après l'évocation de la vie et de l'œuvre de N. Berdiaeff (1874-1948), philosophe russe orthodoxe, la discussion porte essentiellement sur l'actualité de l'anthropologie de celui-ci : l'homme qui ne se définit plus aujourd'hui dans son rapport à Dieu ou la nature, mais par rapport à la technique et à l'économie."
La Nonciature apostolique en Libye a envoyé à l’Agence Fides la note suivante : « A propos de la grave situation qui est venue à se créer ces derniers jours en Libye, les communautés religieuses opérant dans les deux Vicariats apostoliques de Tripoli et Bengasi continuent à être pleinement au service de la population et des fidèles. La majorité des 16 communautés féminines, composées de sœurs provenant de différentes nations, prête service dans le domaine sanitaire et, en ces heures, a intensifié l’assistance à la population. Les religieuses ont exprimé la volonté de rester aux côtés de ceux qui souffrent.
De la même manière, les deux Evêques et les 15 prêtres poursuivent leur service et entendent continuer la mission qui leur a été confiée. Même dans la situation difficile que traverse le pays, l’attitude des missionnaires présents en Libye vise à donner courage et à assurer toute forme d’assistance possible à la communauté catholique – qui compte 100.000 fidèles environ – et à l’ensemble de la population.
Il faut par ailleurs noter que même dans le contexte actuel, le peuple libyen manifeste, comme il l’a toujours fait, sa satisfaction pour la présence et le service des sœurs et des prêtres. Ces jours-ci, cette bienveillance se démontre au travers de gestes concrets de solidarité et de protection envers les religieux présents dans le pays ». (L.M.) (Agence Fides 26/02/2011)
"L'information est issue de L'Avvenire, le très fiable journal de la conférence des évêques italiens.
Ce n'est pas une menace en l'air, et elle glace le sang. Sans compter les implications qui (hélas!) ne se limitent pas aux menaces contre notre Saint-Père. (26/2/2011)"
L’école catholique de la Divine Providence sise à Tilakwadi, au sein du Diocèse de Belgaum, dans l’Etat indien du Karnataka, a fait l’objet d’une attaque de vandales qui ont brisé les vitres et endommagé la structure. L’agression, qui a eu lieu dans la nuit du 22 février dernier, a semé la panique parmi les Sœurs canossiennes qui la gèrent et parmi les élèves et les parents mais n’a fait aucun blessé.
L’Eglise locale a été immédiatement alertée et a déposé plainte auprès de la Police. L’Evêque de Belgaum, S.Exc. Mgr Peter Machado, a fait part de sa profonde préoccupation suite au fait. Il s’agit de la deuxième attaque contre des écoles catholiques du territoire en l’espace d’un mois, attendu que le 17 janvier dernier avaient été concernés l’école et le couvent de Saint Joseph à Camp.
(Agence Fides)
Un chrétien a été sauvé mais d’autres risquent leur vie : l’Afghanistan a besoin de toute urgence de nouvelles lois qui « respectent pleinement les droits fondamentaux de la personne humaine, la liberté de conscience, d’expression et de religion ». C’est ce que déclare à l’Agence Fides Afzal Nooristani, Avocat et Directeur exécutif de la « Legal Aid Organization of Afghanistan » (LAOA), exprimant sa satisfaction pour le fait que Sayed Musa, un afghan converti de l’islam au christianisme et qui risquait la peine de mort pour apostasie ait pu être sauvé. L’organisation, qui fournissait l’assistance légale à cet homme, confirme à Fides que l’homme a été libéré la nuit dernière et qu’il est sain et sauf.
Les derniers temps n’ont guère été propices à l’Eglise dans notre pays. Le scandale provoqué par les comportements inqualifiables de ceux qui étaient censés être des bergers et qui se sont transformés en loups a jeté le discrédit sur l’institution toute entière. Une tempête médiatique a balayé la Belgique prenant prétexte de chaque nouvelle révélation pour s’amplifier. D’autres événements, comme la nomination de Monseigneur Léonard à l’archevêché de Malines-Bruxelles ont été exploités systématiquement pour entretenir un climat « cathophobe » dans la société belge ; la presse et la radio-télévision n’ont pas manqué une occasion pour se livrer à des attaques en règle contre le pape, le nouvel archevêque et l’Eglise toute entière.
Face à ce déferlement, les médias catholiques belges ne sont pas vraiment à la hauteur quand ils ne contribuent pas insidieusement à l’affaiblissement interne de l’Eglise par des remises en question et des critiques à peine voilées des positions défendues par elle. Pendant ce temps, l’enseignement de la religion et la transmission de la foi sont rendus difficiles par des cours et des catéchèses souvent inappropriés. Nombreux sont ceux qui déplorent cette situation et participent à une sorte de « mur des lamentations » sans que cela contribue le moins du monde à rendre espoir à tous ceux que cela décourage.
Les moyens de communication moderne, via internet en particulier, offrent une opportunité extraordinaire pour créer peu à peu un autre état d’esprit. Il s’agit de diffuser des informations qui manifestent la pertinence des positions défendues par l’Eglise, de faire circuler des analyses et des réflexions qui permettent d’approfondir notre foi et de renforcer notre espérance. Lors d’un récent discours à l’occasion de la journée des communications, le pape a insisté sur l’importance de ces nouveaux moyens de communication. Bouderons-nous cette opportunité ?
Comme nous disposons d’un peu de temps, nous avons lancé sur l’océan du net un petit esquif : un blog catholique belge qui tâche quotidiennement d’apporter des informations, d’ouvrir des perspectives, de soutenir des initiatives, de nourrir notre attachement au Christ et à l’Eglise.
En six semaines d’existence, « www.belgicatho.be » a mis en ligne 477 notes et reçu près de 8000 visites. C’est un bon début mais il y a moyen de faire beaucoup mieux… avec votre concours. Il vous suffit de faire connaître ce blog, de le mettre en lien sur vos propres blogs et sites, de nous transmettre des informations, de nous faire part de vos remarques, suggestions, propositions. Vous pouvez aussi réagir en dessous des notes en y rédigeant vos commentaires...
Avec votre aide et surtout la grâce de Dieu, notre travail est appelé à porter des fruits toujours plus nombreux.
Croyons à ses promesses, elles sont là pour nourrir notre espérance. Merci pour votre action.
F.
"Depuis le début de son pontificat, Benoît XVI met souvent l’accent sur la pénitence. Une notion qui semblait tombée en désuétude, mais que des catholiques redécouvrent aujourd’hui, à travers le sacrement de réconciliation..."
la Croix s'en fait l'écho cliquer ICI
...et le diocèse de Liège de publier une brochure sur le même thème :
"Célébrer la réconciliation"
1 150 collégiens de la Sarthe se sont retrouvés, mercredi 23 février, au Palais des congrès du Mans pour un grand rassemblement sur la Parole de Dieu. « La Croix » leur a demandé en qui ils croient...
Comment demeurer indifférents face aux problématiques qui découlent de phénomènes tels que les changements climatiques, la désertification, la dégradation et la perte de productivité de vastes surfaces agricoles, la pollution des fleuves et des nappes phréatiques, l’appauvrissement de la biodiversité, l’augmentation des phénomènes naturels extrêmes, le déboisement des zones équatoriales et tropicales? Comment négliger le phénomène grandissant de ce qu’on appelle les «réfugiés de l’environnement»: ces personnes qui, à cause de la dégradation de l’environnement où elles vivent, doivent l’abandonner – souvent en même temps que leurs biens – pour affronter les dangers et les inconnues d’un déplacement forcé? Comment ne pas réagir face aux conflits réels et potentiels liés à l’accès aux ressources naturelles? Toutes ces questions ont un profond impact sur l’exercice des droits humains, comme par exemple le droit à la vie, à l’alimentation, à la santé, au développement.