Un de nos amis nous fait part de ses réflexions sur cette affaire qui a pris des proportions énormes au point d'occulter le reste de l'actualité pourtant fort déterminante en ces temps de "printemps arabes" et de surprenante fronde espagnole.
"A propos de l'affaire DSK, il est exact qu'on assiste en partie à un lynchage politico-médiatique classique. Mais une autre partie de "l'élite" témoigne d'une complaisance fondée sur des arguments à tout le moins surprenants. On pousse la présomption d'innocence jusqu'à présumer la victime coupable d'affabulation ou de participation à un complot. Ou encore, on traite la chose avec une singulière légèreté: cfr Jack Lang: "Il n'y a pas mort d'homme"; ou Jean-François Kahn qui s'étonne que la trajectoire d'un personnage aussi considérable puisse être brisée pour une affaire de "troussage de domestique" - ils se sont excusés depuis l'un et l'autre, mais ces premiers jets sont bien révélateurs de la mentalité de la caste dominante, d'idéologie libertaire et qui se croit tout permis.
Sur le site de la FAFCE (Fédération des Assosiations Familiales Catholiques en Europe) :
En février dernier, Chantal DELSOL a publié "L'âge du renoncement". Observant l'effacement du christianisme et de la culture qui lui était associée, elle y voit la fin d'une longue période (2500 ans) marquée par la recherche de la vérité et par la foi qui préluderait à un retour à une vision païenne des choses. Son analyse est interpellante :
C'est sur le blog du "Swiss Romain" que l'on découvre cette belle histoire de proximité du pape avec un des astronautes qui a perdu sa maman alors qu'il était en mission spatiale.