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  • Le conclave sur KTO

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    Mardi 12 mars
    Ouverture du Conclave

    Le conclave pour élire le prochain Pape s'ouvrira le mardi 12 marsKTO  ajuste sa programmation pour vous permettre de vivre en union avec l'Église universelle.

    Lundi 11 mars à 18h30, messe pour l'élection du Pape, présidée par le nonce apostolique, Mgr Luigi Ventura, à l'occasion de l'ouverture du Conclave, en direct de Notre-Dame de Paris. A 20h40, une Édition spécialeLe Conclave, en direct de Rome, permettra de relire le temps des Congrégations générales.

    Mardi 12 mars, KTO retransmettra en direct les différentes célébrations de la journée :
    - 10h00 : messe Pro Eligendo Pontifice.
    - 16h30 : Procession et entrée en Conclave jusqu'à l'Extra Omnes (fermeture des portes).

    - 19h00 : les premières fumées seront diffusées en direct.

  • Conclave : la vraie question

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    C'est Bosco d'Otreppe qui la pose sur son blog. C'est une des heureuses surprises que les circonstances actuelles nous ont réservée : la présence à Rome d'un envoyé spécial de la Libre animé par un esprit de bienveillance qui tranche réellement avec cette volonté de dénigrement systématique caractérisant la démarche de nombreux journalistes. Hier encore, l'un d'entre eux, n'hésitait pas à accuser les cardinaux, lors des conclaves, d'obéir à de méprisables réflexes moutonniers. Dans ses "Carnets du Vatican", notre envoyé spécial pose la bonne question : "qui élit le pape finalement ?". Et d'insister sur le rôle que joue l'acteur principal : l'Esprit Saint. Et d'expliquer le rôle que joue l'Esprit Saint et comment Il est appelé à le jouer. C'est ICI et cette démarche qui va à contre-sens des commentaires habituels mérite d'être soulignée.

  • Oraison pour la désignation d'un nouveau pape

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    Prions 

    Seigneur, nous vous en supplions humblement, que votre bonté infinie accorde à la Sainte Eglise Romaine un Pontife qui vous plaise toujours par sa sollicitude paternelle envers nous et dont le bienfaisant gouvernement mérite la vénération de votre peuple pour la plus grande gloire de votre nom. Par Jésus-Christ Notre Seigneur. Ainsi soit-il.

    Prier parce que, comme on le dit ICI :

    "La situation de l'Eglise est grave nous a fait savoir Benoît XVI en démissionnant. Tellement grave que l'idéologie passe au second plan Cette élection n'est pas celle d'un progressiste ou d'un traditionaliste, mais celle de l'homme donné, de l'homme efficace par le don qu'il aura fait de lui-même pour conduire la barque de Pierre à travers les récifs. Tout le monde comprend bien que "faire des réformes" ne suffit pas et qu'en une telle occurrence, les réformes constitueraient surtout un aveu d'impuissance. Le problème n'est pas de réformer mais de reformer l'Eglise (...), de retrouver l'élan initial, l'appel de Dieu sur lequel l'Eglise (qahal en hébreu) a été fondée. Pour réentendre cet appel, tous ensemble avec le prochain pape, il n'y a qu'une seule solution : la prière."

  • Liège, 14 mars : Le Saint Suaire de Turin, actualité sur une des énigmes les plus passionnantes

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    Le suaire de Turin est vénéré depuis bien longtemps avant l’invention de la photographie. S’agit-il du tissu qui recouvrait le visage du Christ lors de la résurrection ?

    Le premier photographe qui a développé l’image de ce célèbre tissu s’est rendu compte que le négatif représentait le corps et le visage d’un homme ressemblant à Jésus de Nazareth, portant des marques de clous dans les mains, les pieds et le côté !

    Cette énigme est l’une des plus passionnantes de notre époque. Elle divise les scientifiques dont certains ne parviennent pas à démontrer le contraire.

     

    « Le saint Suaire de Turin - actualité sur une des plus passionnantes énigmes de la Science »

    Par l’abbé Philippe Dalleur, spécialiste du sujet, docteur en Sciences Appliquées à l’Université Catholique de Louvain et professeur de philosophie à l’Université Pontificale de la Sainte Croix à ROME

    Jeudi 14 mars, dès 20h15, Presbytère de Saint Jacques, 8 place Saint Jacques, 4000 Liège

     

    Une organisation des groupes adultes et jeunes de la Communauté de l’Emmanuel sur Liège avec la paroisse Saint Jacques.

  • Tous nos amis français seront à Paris le 24 mars

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  • Cet homme a blasphémé !

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    Le directeur des "Petits Riens" s'est demandé s'il était encore loisible à quelqu'un de penser que l'homosexualité puisse être une "maladie". Encore ne prenait-il pas cette supputation à son propre compte mais il posait simplement la question de savoir si l'on était libre ou non d'y réfléchir en ces termes. Toutefois, c'était suffisant pour susciter un tollé : le secrétaire d'Etat à l'égalité des chances a immédiatement réagi en affirmant : «  Chacun peut avoir son opinion, c’est vrai. On peut être contre l’homosexualité. Mais dire que c’est une maladie, c’est tout autre chose  ! ». Actiris, une asbl liée aux "Petits Riens" a suspendu sa collaboration avec eux tant que leur directeur n'aura pas clarifié sa position. Reconnaissons par ailleurs que ce dernier a commis effectivement un éditorial assez maladroit et doit à présent s'en mordre les doigts. Il faut croire qu'il n'avait pas pris la mesure de l'offensive que mènent actuellement les lobbies LGBT. D'ailleurs, il s'empresse à présent de préciser qu'il ne pense pas personnellement qu'il s'agisse d'une maladie. Toujours est-il qu'il a commis un véritable crime en osant imaginer que quelqu'un puisse être laissé tranquille dans le cas où il viendrait à se demander si l'homosexualité pourrait bien constituer un trouble par rapport à une hétérosexualité qu'il privilégierait éhontément. On peut bien sûr blasphémer quand il s'agit des religions, et d'ailleurs on ne s'en prive pas; mais s'il s'agit des "avancées sociétales" et particulièrement du dogme selon lequel l'homosexualité constitue une forme de sexualité qui mérite autant de considération et de droits que l'hétérosexualité, tout blasphème constitue un crime irrémissible qui sera aussitôt sanctionné par la censure médiatique et verra bientôt son auteur traîné devant cours et tribunaux. Il est d'ailleurs étonnant que le Secrétaire d'Etat ait affirmé que "l'on peut être contre l'homosexualité". C'est une hardiesse au sujet de laquelle on l'interpellera sans doute.

    __________________________

    P.S. : Définition de la maladie : "Altération de l'état de santé se manifestant par un ensemble de signes et de symptômes perceptibles directement ou non, correspondant à des troubles généraux ou localisés, fonctionnels ou lésionnels, dus à des causes internes ou externes et comportant une évolution." (source)

  • Le CDF a cessé d'exister

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    CDF – Chrétiens Démocrates Fédéraux

    Communiqué du 10 mars 2013

    Le CDF met fin à ses activités

    Réunis en kern ce 10 mars 2013, les instances des Chrétiens Démocrates Fédéraux – Christen Democraten Federaal (CDF) ont décidé de mettre fin à l’expérience entamée il y un peu plus de dix ans.

    Fondé à la Pentecôte 2002, au lendemain de la mutation du PSC en cdH, le CDF s’est donné pour mission ces dix dernières années d’offrir aux électeurs de notre pays la possibilité de continuer à voter pour une formation défendant un projet politique d’inspiration clairement chrétienne démocrate.

    • Primauté de la personne, impliquant respect de la vie, de la dignité, de la liberté et de la responsabilité de chacun.
    • Valorisation de la famille, fondée sur l’engagement d’un homme et d’une femme, en leur permettant de se consacrer à l’éducation de leurs enfants.
    • Promotion d’un enseignement revalorisé et de qualité pour tous, dans le respect d’un véritable pluralisme des réseaux garantissant un réel libre choix des parents, des jeunes, de pouvoirs organisateurs et d’équipes pédagogiques autonomes.
    • Favorable à une économie libre et responsable, portée par une conscience du bien commun et dans le respect de l’environnement, contribuant au recul de la pauvreté et au progrès de l’humanité, où chaque être humain est acteur et non spectateur de sa destinée et de celle de la société.
    • Un Etat garantissant paix civile et sociale, solidarité envers les plus démunis et accomplissant des missions de service public que l’initiative privée ne peut assurer.
    • Défenseur du fédéralisme d’union, fondée sur la monarchie constitutionnelle et parlementaire comme garante de l’unité et de la solidarité entre les Belges. Une Belgique insérée au sein d’une Union Européenne plus efficace et transparente, fonctionnant selon le principe de subsidiarité.
    • Des citoyens responsables et marquant leur adhésion aux droits et devoirs attachés à cette citoyenneté.

    Sur tous ces grands axes, dirigeants et militants, adhérents du CDF, se sont donnés ou ont généreusement soutenu le projet, sans compter, années après années, s’impliquant dans la vie locale ou réagissant dans le domaine de l’opinion, participant à toutes les élections.

    Malgré des débuts prometteurs: un congrès fondateur à Namur (plus de 800 participants) et un second congrès de plus de 1.200 participants à Louvain-la-Neuve, sans oublier que le CDF a compté jusque 4.500 membres dans les deux premières années, les résultats électoraux n’ont hélas pas suivi et l’effritement des membres et électeurs, ainsi que des militants actifs n’a cessé de se faire ressentir, de plus en plus durement.

    Les causes sont multiples, bien sûr. Relevons notamment, le seuil électoral fixé à 5% dès 2003, à l’instigation d’un cdH qui craignait l’émergence d’un nouveau parti chrétien démocrate ; son corollaire, l’argument du vote utile ; le financement électoral, réservé par eux-mêmes aux seuls partis présents au Parlement fédéral ; des procédures électorales et leur interprétation de plus en plus restrictives ; présence quasi inexistante des nouvelles formations dans les médias et les débats politiques.

    Le CDF ne pouvant plus raisonnablement compter sur une base assez large pour poursuivre le travail qu’exige un parti politique, ni sur un nombre suffisant de candidats capables de se présenter et défendre valablement son programme lors des différents scrutins, nous avons pris, à contrecœur certes, la décision de mettre fin à l’aventure ; restant convaincus du bien-fondé du projet en tant que tel, aujourd’hui autant qu’il y a 10 ans, mais devant nous rendre à l’évidence de l’état des lieux face auquel nous sommes confrontés.

    Nous voulons témoigner de notre infinie reconnaissance envers toutes celles et tous ceux qui ont cru en ce projet, aux premières heures et jusqu’à ce jour, qui ont permis au CDF d’exister vraiment dans le champ politique, d’avoir pu imposer une marque et d’avoir certainement influencé une part du débat public. L’axe politique défendu par le CDF reste pertinent, au vu des défis actuels, tant éthiques que sociaux, économiques et financiers, en matière d’enseignement, de démocratie ou de solidarité nationale et internationale.

    Nous ne doutons pas d’ailleurs que plusieurs parmi nous continueront de s’engager d’une manière ou d’une autre dans la société, nous les y encourageons, les jeunes en particulier, afin que « la chose publique » soit l’affaire de tous.

    Pierre-Alexandre de Maere d’Aertrycke, Président, co-fondateur

    Christine Dupuis, co-fondatrice

    Jean-Marie Bourgeois, Secrétaire Politique

    Emmy Ruritariye, Secrétaire Générale adjointe

  • Géographie du catholicisme

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    On pourra examiner sur chiesa.espresso la nouvelle donne catholique à travers le monde. C'est à la tête d'une Eglise désertée en Europe mais plus vivante que jamais sur les autres continents que se trouvera le nouveau pape:

    Le nouveau pape que les cardinaux s’apprêtent à élire guidera une Église qui a connu, au cours du siècle dernier, la plus vigoureuse croissance numérique de son histoire en même temps qu’un très fort changement de sa répartition géographique, les États-Unis constituant le point focal de cette évolution.

    Les catholiques représentaient, il y a un siècle, un sixième de la population mondiale et la moitié des chrétiens, deux proportions inchangées aujourd’hui. Mais, en chiffres absolus, ils sont quatre fois plus nombreux. En 1910, ils étaient 291 millions. En 2010, ils sont 1,1 milliard.

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  • « Je ne vous laisserai pas orphelins » : un hommage à Benoît XVI

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    misa26.jpgAlors que s’est achevé le pontificat de Benoit XVI, le Centre Île de Meuse (Opus Dei) à Liège, nous communique cette tribune de Xavier Echevarria, Evêque, Prélat de l’Opus Dei (photo),  parue sur le site du journal la Croix, le jour même où la renonciation du pape devint effective :

     « Je ne vous laisserai pas orphelins » (Jn, 14,18) dit le Christ aux apôtres. Il leur promit le Saint-Esprit qui, à son tour, ferait d’eux de véritables fils du Père. Je ne vous laisserai pas orphelins : voici les mots qui me viennent à l’esprit au moment où s’achève le pontificat de Benoît XVI. Il ne nous laisse pas orphelins, parce que son magistère est toujours vivant, parce qu’il va nous accompagner par sa prière et par son affection paternelle, parce que sa figure de Bon Pasteur s’affermit de jour en jour et, enfin, parce que le Saint-Esprit continuera de guider son Église avec un nouveau pape.

    La richesse du magistère de Benoît XVI montre son extraordinaire capacité à exprimer des vérités profondes avec des mots simples. Il a tiré profit de l’apparente « éclipse de Dieu » pour nous inviter à redécouvrir le sens de Dieu, Créateur et Rédempteur, qui est toujours à l’œuvre dans notre monde.

    Il nous a fermement rappelé que l’essence même de Dieu est l’amour et que, de ce fait, l’amour est la raison d’être et le chemin de l’homme. En cette Année de la Foi, celui-ci pourra s’appuyer sur les références sûres que sont le Catéchisme de l’Église Catholique et son Compendium, fruits du Concile Vatican II, et pour lesquels le cardinal Ratzinger joua un rôle essentiel. Le Catéchisme de l’Église Catholique nous invite à contempler et à vivre l’Église comme une Communion des Saints dans laquelle aucun baptisé ne se sent étranger et où l’on apprend à exercer la charité dans la vérité.

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  • Le pape à venir

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    Excellent "recadrage" de l'abbé Eric Iborra (sur Liberté politique) :

    Les dernières paroles publiques du bien aimé pape Benoît XVI, prononcées du balcon de la loggia de la résidence pontificale de Castel Gandolfo, étaient aussi pour nous : « Nous allons de l'avant, avec le Seigneur, pour le bien de l'Église et du monde ». « Aller de l'avant », selon ses vœux, c'est maintenant tourner notre regard vers le collège des cardinaux, dont les rencontres prépareront l'ouverture du conclave auxquels seuls les cardinaux électeurs prendront part.

     « ALLER DE L'AVANT », c'est donc attendre la désignation de celui que le Seigneur a choisi pour guider l'Église dans la tumultueuse traversée de ce monde. « Que le Seigneur vous montre celui qui est voulu par lui » disait Benoît XVI aux cardinaux au moment de prendre congé d'eux.

    Qui sera-t-il ? Nous n'en savons rien, mais nous l'attendons dans la foi. Et dans la prière, pour que « pleinement dociles à l'action de l'Esprit Saint », selon les mots du Pape, les cardinaux renoncent à toute vue humaine, trop humaine, de la charge. Pour qu'ils soient libres vis-à-vis du monde de la liberté même du martyr dont le rouge de leur habit est un symbole.

    Benoît XVI les y invitait lors de ses adieux, leur demandant – je le cite – « à grandir encore dans cette unité profonde, en sorte que le collège des cardinaux soit comme un orchestre où les diversités, expression de l'Église universelle, concourent toujours à une concorde et à une harmonie supérieures ». Car il sait que « tout royaume divisé en lui-même sera dévasté ».

    C'est à cette prière pour l'unité que nous sommes invités pendant cette période de vacance du Siège apostolique. C'est dans cet esprit que l’Eglise y ajoute les oraisons Pro eligendo Summo Pontifice à chaque messe jusqu'à l'élection du Souverain Pontife. Car le Seigneur ne nous laissera pas orphelins. Lui-même ne cesse de se rendre visible dans son Église, et en particulier à travers ceux qui représentent la tête de son Corps mystique, les prêtres, le sacerdoce. Et pour que l'unité du Corps soit visiblement manifestée, il a choisi Pierre pour la signifier, Pierre à qui il remet les clefs du Royaume des cieux. Le successeur de Pierre est le signe visible de cette unité nécessaire. Le pape qui sera élu représentera visiblement le chef invisible de l'Église.

    L’Église n’est pas aux ordres du monde

    Qui sera-t-il ? Encore une fois nous n'en savons rien, mais nous nous gardons en tout cas des spéculations de certains médias qui veulent réorganiser l'Église à la manière dont ils poussent les parlements occidentaux à bouleverser la société des hommes.

    Nous nous méfions de ceux qui ne mettent jamais les pieds dans une église mais qui prétendent nous dicter ce que l'Église a à penser, à dire et à faire. Nous nous gardons de ceux qui nous déclarent nous imposer un prélat venu du tiers-monde, mais à condition bien sûr qu'il partage les préjugés libéraux de ceux qui font l'opinion occidentale. Nous nous méfions des donneurs de leçon en modernité chrétienne, car nous ne voulons pas nous dissoudre dans une comprehensiveness à l'anglicane, aussi large d'esprit qu'elle est vide de contenu.

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  • Une parole agissante, capable de transformer nos vies

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    Evangile du jour : Jean, 4, 43-54

    Jésus, après avoir passé deux jours chez les Samaritains, partit pour la Galilée. (Lui-même avait attesté qu'un prophète n'est pas honoré dans son propre pays.) Il arriva donc en Galilée ; les Galiléens lui firent bon accueil, car ils avaient vu tout ce qu'il avait fait à Jérusalem pendant la fête de la Pâque, puisqu'ils étaient allés eux aussi à cette fête. 

    Ainsi donc Jésus revint à Cana en Galilée, où il avait changé l'eau en vin. Or, il y avait un fonctionnaire royal, dont le fils était malade à Capharnaüm. Ayant appris que Jésus arrivait de Judée en Galilée, il alla le trouver ; il lui demandait de descendre à Capharnaüm pour guérir son fils qui était mourant. Jésus lui dit : « Vous ne pourrez donc pas croire à moins d'avoir vu des signes et des prodiges ? » Le fonctionnaire royal lui dit : « Seigneur, descends, avant que mon enfant ne meure ! » Jésus lui répond : «Va, ton fils est vivant. »

    L'homme crut à la parole que Jésus lui avait dite et il partit. Pendant qu'il descendait, ses serviteurs arrivèrent à sa rencontre et lui dirent que son enfant était vivant. Il voulut savoir à quelle heure il s'était trouvé mieux. Ils lui dirent : « C'est hier, au début de l'après-midi, que la fièvre l'a quitté. » Le père se rendit compte que c'était justement l'heure où Jésus lui avait dit : « Ton fils est vivant. » Alors il crut, avec tous les gens de sa maison. 

    Tel est le second signe que Jésus accomplit lorsqu'il revint de Judée en Galilée.

    Homélie du Père Joseph-Marie Verlinde (homélies.fr) (Archive 2009)

    C’est avec le quatrième évangile que nous cheminerons désormais vers Pâques. Nous y entrons au chapitre 4 avec le second signe que Jésus accomplit, et qui se situe, comme le premier, à Cana en Galilée. Jésus est en provenance de Judée et a pris le temps de s’arrêter deux jours en Samarie où il a reçu un bon accueil après la rencontre avec la femme samaritaine au bord du puits de Jacob (Jn 4, 1-42).

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  • Mgr Maroy : « et si la Belgique se penchait sur la RDC ? »

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    Lu sur le site des médias catholiques belges :

    De passage en Belgique, Mgr François-Xavier Maroy, archevêque de Bukavu à l’Est du Congo, souhaite que la Belgique intervienne militairement au Congo. Il pèse à peine ses mots : « Pourquoi ne pas participer à une mission de paix en tant qu’ancien colonisateur ? Que d’autre fait la France au Mali ? »

    Originaire de la capitale du Kivu, Mgr François-Xavier Maroy Rusengo sait bien que le siège d’archevêque de Bukavu qu’il occupe n’est pas des plus stables. Il est déjà le troisième successeur du jésuite Christophe Munzihirwa Mwene Ngabo, assassiné en octobre 1996. Par ailleurs, il a aussi la charge, en tant qu’administrateur, du diocèse d’Uvira, depuis la nomination de Mgr Jean-Pierre Tafunga Mbayo au siège archiépiscopal de Lubumbashi.

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