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  • François conclut les JMJ par un appel : "allez et de toutes les nations faites des disciples"

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    La foule sur la plage Copacabana (source)

    Devant une foule évaluée à trois millions de personnes, le pape a célébré la messe de clôture des JMJ et a adressé ce message (source); il a en outre annoncé que les prochaines JMJ auront lieu à Cracovie  :

    « Vénérés frères dans l’Épiscopat et le Sacerdoce.

    Chers jeunes !

    « Allez, et de toutes les nations faites des disciples ». Par ces mots, Jésus s’adresse à chacun de vous en disant : « cela a été beau de participer aux Journées mondiales de la Jeunesse, de vivre la foi avec des jeunes provenant des quatre coins du monde, mais maintenant tu dois aller et transmettre cette expérience aux autres ». Jésus t’appelle à être disciple en mission ! Aujourd’hui, à la lumière de la Parole de Dieu que nous avons entendue, que nous dit le Seigneur ? Trois paroles : Allez, sans peur, pour servir.

    1. Allez. Ces jours-ci, à Rio, vous avez pu faire la belle expérience de rencontrer Jésus, et de le rencontrer ensemble ; vous avez senti la joie de la foi. Mais l’expérience de cette rencontre ne peut rester renfermée dans votre vie ou dans le petit groupe de votre paroisse, de votre mouvement, de votre communauté. Ce serait comme priver d’oxygène une flamme qui brûle. La foi est une flamme qui est d’autant plus vivante qu’elle se partage, se transmet, afin que tous puissent connaître, aimer et professer Jésus Christ qui est le Seigneur de la vie et de l’histoire (Cf. Rm 10, 9).

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  • JMJ : le pape invite les jeunes à être un "champ de la foi" pour Dieu

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    Discours du pape lors de la veillée finale des JMJ de Rio (lavie.fr)

    Prononcé sur la plage de Copacabana, après un changement de lieu dû aux intempéries, le 27 juillet 2013.

    Chers jeunes,

    Vous voyant ici réunis, il m'est revenu l’histoire de saint François d’Assise. Devant le Crucifix il entend la voix de Jésus qui lui dit : « François, va et répare ma maison ». Et le jeune François répond avec rapidité et générosité à cet appel du Seigneur : « Répare ma maison ». Mais quelle maison ? Peu à peu il s’est rendu compte qu’il ne s’agissait pas de faire le maçon et de réparer un édifice de pierres, mais de donner sa contribution à la vie de l’Église ; il s’agissait de se mettre au service de l’Église, en l’aimant et en travaillant, pour qu’en elle se reflète toujours davantage le Visage du Christ.

    Aujourd’hui aussi, le Seigneur continue à avoir besoin de vous, les jeunes, pour son Église. Chers jeunes, le Seigneur a besoin de vous. Aujourd’hui aussi, il appelle chacun de vous à le suivre dans son Église et à être missionnaire. Chers jeunes, le Seigneur aujourd'hui vous appelle... Pas seulement de façon globale : il t'appelle toi, et toi, et toi, et chacun d'entre vous. Ecoutez-le dans vos cœurs. Je crois que nous pouvons apprendre quelque chose de ce qui s'est passé ces jours-ci, du fait que nous ayons annuler la veillée à Campus fidei, à Guaratiba, à cause du mauvais temps... Peut-être que le Seigneur veut nous dire que le véritable « champ de la foi » (Campus fidei) n'est pas un lieu géographique, mais chacun de nous. C'est vrai : chacun de nous, chacun de vous, moi, tout le monde... Et être missionnaire, c'est savoir que nous sommes un « champ de la foi » pour Dieu. En partant de cette image du « champ de la foi », j’ai pensé à trois images – trois – qui peuvent nous aider à mieux comprendre ce que signifie être disciple-missionnaire : la première, le champ qui est le lieu dans lequel on sème ; la seconde, le champ comme lieu d’entraînement ; et la troisième, le champ comme chantier.

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  • Chili : la cathédrale de Santiago attaquée par des militants pro-avortement

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    Attaque de la cathédrale de Santiago au Chili par des extrêmistes pro-avortement (source)

    C’est « l’irrationalité violente » et une « grave offense envers Dieu et à la communauté » qui résulte de l’attaque de la Cathédrale, à dit l’Archevêque de Santiago

    www.radinrue.com par : Agence FIDES.

    L’Archevêque de Santiago, S.Exc. Mgr Ricardo Ezzati, a condamné l’attaque qu’a subi la Cathédrale de la ville de la part des manifestants en faveur de l’avortement et a fait état de « sa consternation face à ceux qui ont l’obligation de garantir la sécurité des personnes ».

    La note envoyée à Fides par l’Archidiocèse de Santiago fait état de ce que Mgr Ezzati a écrit dans la lettre adressée à la communauté nationale à propos des faits intervenus dans la Cathédrale métropolitaine, le jour même de la fête patronale de la ville, Saint Jacques (25 juillet). « L’entrée violente d’un groupe d’anarchistes qui a pris d’assaut l’église avec des slogans contre la vie et pour l’avortement, l’intolérance des fanatiques et leur irrationalité violente ont constitué une grave offense envers Dieu et la communauté des croyants dans le Christ. Elle a laissé des empreintes douloureuses au travers des agressions et des mauvais traitements (infligés) à différentes personnes et de la destruction et des dommages faits au patrimoine artistique et religieux de la principale église du pays ».

    « La Cathédrale métropolitaine est un lieu public, ouvert, déclaré monument national, où se rendent chaque jour des centaines de personnes, bien que ces derniers temps, elles aient été menacées par des bombes et d’autres attaques. Nous espérons pouvoir bénéficier à l’avenir d’une protection à laquelle nous avons droit ».

    L’Archevêque de Santiago a également annoncé que les avocats de l’Archidiocèse ont déposé plainte devant le tribunal contre les auteurs de l’attentat.

    Par ailleurs, l’agence de presse Fides annonce que le Président chilien, Sebastián Piniera, a condamné l’attaque menée contre la Cathédrale de Santiago, qui a eu lieu jeudi 25 juillet au cours de la célébration de la fête patronale de la ville, en la fête de l’Apôtre Saint Jacques. « Je désire exprimer notre condamnation absolue et le refus de tels actes, dans la mesure où cela signifie ne pas respecter les droits des autres » a déclaré le Président.

    Jeudi soir, environ 5.000 personnes ont manifesté dans le centre de Santiago afin de demander « l’avortement libre ».

    Un groupe de manifestants est entré dans la Cathédrale métropolitaine, a interrompu la Messe provoquant le chaos, détruisant une partie de l’église, barbouillant de peinture des autels latéraux et tentant d’incendier les bancs de l’église.

    « J’ai parlé avec l’Archevêque de Santiago afin de lui exprimer notre complète solidarité et de ratifier l’engagement de ce gouvernement en faveur de la liberté religieuse, de la liberté de culte et de la sauvegarde de la vie de l’enfant à naître » a ajouté le Président chilien.

    Le Maire de Santiago, Carolina Toha, a indiqué aux journalistes qu’elle « n’est pas croyante » mais qu’elle considère que « les personnes qui se trouvaient dans la cathédrale à ce moment-là ont été agressées de manière gratuite, ce qui est inacceptable ». Mme Toha faisait partie de ceux qui assistaient à la Messe célébrée par l’Archevêque métropolitain de Santiago, S.Exc. Mgr Ricardo Ezzati, à l’occasion de la fête de Saint Jacques, patron de la ville.

    radinrue.com

  • François : "allons à contre-courant !"

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    Appelés par Jésus, appelés à évangéliser et troisièmement appelés à promouvoir la culture de la rencontre. Dans beaucoup de milieux, et en général dans cet humanisme économiciste qu’on nous a imposé dans le monde, s’est développée une culture de l’exclusion, une « culture du rebut ». Il n’y a de place ni pour l’ancien ni pour l’enfant non voulu ; il n’y a pas de temps pour s’arrêter avec ce pauvre dans la rue. Parfois il semble que pour certains, les relations humaines soient régulées par deux “dogmes” : efficacité et pragmatisme. Chers Évêques, prêtres, religieux, religieuses et vous aussi séminaristes qui vous préparez au ministère, ayez le courage d’aller à contre-courant de cette culture. Ayez-en le courage. Souvenez-vous cela me fait du bien et je les médite fréquemment. Prenez le premier livre des Maccabées. Souvenez-vous quand ils ont voulu se modeler sur la culture de l’époque : mangeons de tout comme tout le monde. Bon, la loi oui mais sans exagérer. Et ils ont abandonné la foi pour se placer dans le courant de cette culture. Ayez le courage d’aller à contre-courant de cette culture de l’efficacité, de cette culture du rebut.

    Le pape François, lors de la messe célébrée à Rio avec les évêques (plus d’un millier), les prêtres, les religieux, religieuses, et séminaristes présents à la XXVIIIe Journée mondiale de la jeunesse 2013, ce matin, samedi 27 juillet, à 9h, en la cathédrale Saint-Sébastien de Rio de Janeiro.

    L'intégralité de ce sermon se trouve ICI

  • Les "couillons de Compostelle" ou les propos injustifiables d'une conseillère MR

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    Lu ICI :

    "Les couillons de Compostelle", l'éthique sans tact d'une conseillère MR

    BELGIQUE "Ce tweet n'était pas fait pour heurter quiconque".

    Le drame ferroviaire de Compostelle est aussi et avant tout un drame humain: 78 personnes ont perdu la vie dans ce terrible accident survenu il y a quelques jours non loin du lieu saint de Compostelle. 

    L'information a fait le tour du monde. Aujourd'hui en Espagne, l'heure est au recueillement et au deuil, alors que tous les yeux sont rivés sur le conducteur du train accidenté, qui roulait beaucoup trop vite. 

    Pour beaucoup, difficile d'ironiser sur ce terrible drame. Mais pas pour tout le monde. 

    En effet, nos confrères de LaLibre.be ont été contactés par un membre du Mouvement Réformateur actif au niveau local, qui relate que plusieurs élus MR ont été choqués par les propos tenus par une proche de Charles Michel. Dans un tweet, Gaëlle Smet déclare que "Les couillons qui ont marché pendant des semaines pour joindre Compostelle sont privés de célébrations à cause de ceux qui arrivaient en train."  

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    Certains élus MR auraient donc du mal à comprendre que l'on puisse ironiser sur un tel événement et traiter de la sorte les pèlerins de Compostelle. Surtout quand on connaît le poste de l’intéressée: conseillère en matière éthique de Charles Michel, le président du Mouvement Réformateur. 

    Même si, comme elle s'en défend "les propos sur Twitter n'engagent que moi".

    "Ce tweet n'était pas fait pour heurter quiconque"

    Contactée par LaLibre.be, Gaëlle Smet  "s'étonne du procédé" de ses collègues qui "auraient du me contacter directement au lieu de passer par voie de presse." 

    Concernant le dérapant tweet - retiré depuis la parution de cet article - "il n'était pas question de choquer quiconque, c'était juste un peu d'humour noir par rapport à la situation des pèlerins qui avaient été marcher et étaient privés de cérémonie. Ce tweet n'était pas fait pour heurter quiconque et si tel est le cas, je ne peux que m'en excuser."

    Quant au fait de sa fonction qui rend "inacceptable" de tels propos d'après les élus, Gaëlle Smet se défend en assurant qu'il "s'agit d'un compte privé qui ne lie pas le MR ni les fonctions que je peux y avoir."

    Charles Michel est "furieux" et a pris contact avec la conseillère

    C'est en lisant l'article sur Lalibre.be que Charles Michel a découvert le tweet. "Charles Michel est furieux. Il ignorait l'existence de ce tweet totalement déplacé et de mauvais goût." assure Fred Cauderlier, porte-parole du MR. "Le Mouvement Réformateur se distancie des propos tenus par Gaëlle Smet et déplore bien évidemment la terrible tragédie de Compostelle." 

    Par ailleurs, le président du MR a pris contact avec la conseillère pour un "entretien sévère", ajoute Fred Cauderlier.

    Le commentaire de notre ami Jean-Pierre Snyers :

    Quelle haine !

    « Les couillons qui ont marché pendant des semaines pour rejoindre Compostelle sont privés de célébrations à cause de ceux qui arrivaient en train. »  Permettez-moi, madame Gaëlle Smet, conseillère éthique de Charles Michel, de trouver vos propos odieux, scandaleux et orduriers. Vous n'oseriez pas tenir un langage aussi haineux à l'égard d'une autre communauté que celle des chrétiens. Evidemment, ceux-ci sont sans doute pour vous des citoyens de seconde zone. Sachez, madame, que ces « couillons », comme vous dites, vivent un drame épouvantable suite à cet accident horrible. Si les larmes de  de ces êtres humains vous incitent à la plaisanterie, de grâce, allez vous faire soigner. Sûr qu'un psychiatre aura du boulot !

    Jean-Pierre Snyers - Blindef 2 - 4141 Louveigné - jpsnyers.blogspot.com

  • La Belgique, "le pays le plus uni au monde"; malheureusement pour le pire...

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    Voici comment l'ambassadeur des Etats-Unis (en partance), invité par la Libre, analyse la situation politique de la Belgique; et ce n'est pas réjouissant :

    Vous savez, je viens d’un pays profondément divisé sur le plan politique ! Comme je l’ai dit aux Belges, y compris au Roi, la Belgique est le pays du monde le plus uni politiquement! Le Roi m’a regardé - juste comme vous venez de le faire – comme si j’étais fou… (rires) Puis je lui ai expliqué mon raisonnement. Mon pays est divisé à 51% contre 49% sur de très nombreux sujets politiques : le droit à l’avortement, le mariage et les droits des homosexuels, le droit au port d’armes à feu, l’accès aux soins de santé pour tous, le choix entre une stratégie transatlantique ou un leadership seul,… Sur chaque sujet majeur, on retrouve cette division 51-49. Sur toutes ces questions, on a presque du 98% contre 2% en Belgique… je le répète, la Belgique est le pays le plus uni au monde sur le plan politique. (source)

  • Liturgie : des normes libératrices

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    Lu sur le site « Pro Liturgia »

     « (…)  Interrogé par l’agence Zenit, le Cardinal Raymond Burke [ndb : préfet du tribunal de la signature apostolique, juridiction suprême du Saint-Siège] demande vivement que l’on applique le véritable enseignement de Vatican II sur la liturgie, enseignement qui poursuit l’histoire de l’Eglise et de sa tradition.

    Selon le prélat, Paul VI d’une façon intense - puis Jean-Paul II et enfin Benoît XVI ont travaillé à la restauration de la véritable nature de la liturgie qui nous est donnée pour que nous puissions nous adresser à Dieu de la meilleure façon qui soit. Cette liturgie-là est la meilleure catéchèse qui soit, comme l’a souvent rappelé Benoît XVI ; elle doit être célébrée dans la beauté car elle l’œuvre du Christ ressuscité dont la gloire illumine toute l’Eglise.

    Abordant la question des normes liturgiques, le Cardinal Burke rappelle qu’elles nous sont données afin qu’en les suivant, nous entrions dans une discipline nous permettant de trouver une plus grande liberté pour suivre Dieu. Les normes liturgiques nous empêchent de devenir les esclaves de nos propres idées ou de celles d’une assemblée particulière : elles créent un espace de vraie liberté. 

    Concernant la forme « extraordinaire » de la liturgie - qu’il célèbre lui-même - le Cardinal Burke rappelle les vraies raisons qui ont poussé Benoît XVI à donner le Motu proprio « Summorum pontificum » : le Pape - aujourd’hui émérite - savait qu’à l’origine de l’attachement de certains fidèles à la forme « extraordinaire » se trouvaient les abus introduits après le Concile dans la façon de célébrer la forme « ordinaire ». Et lorsqu’on demande au Cardinal Burke si le Pape François ne va pas laisser de côté certains des enseignements de Benoît XVI sur la liturgie, il répond : « Je ne vois pas les choses de cette façon. Le Saint-Père, pour le moment, n’a pas encore eu l’occasion de parler de la liturgie avec toute son autorité ; mais ce qu’il en a dit est totalement dans la ligne des enseignements de Benoît XVI. Le Pape François est très respectueux des enseignements magistériels de Benoît XVI. »

    Pour lire l’interview complet en anglais, 
    cliquer ici.

    Référence : Selon le Cardinal Raymond Leo Burke, les abus liturgiques depuis Vatican II sont strictement liés à la corruption morale que l’on constate aujourd’hui dans le monde.

    On peut aussi penser qu’un certain libéralisme normatif, bien présent dans l’institutio generalis de la messe de Paul VI, a ouvert la porte à l’éparpillement de la « forme ordinaire » du rite romain dans toutes les autocélébrations communautaires que nous connaissons aujourd’hui : l’esprit du concile dispose là d’un excellent instrument pour s'autoriser à les fabriquer.

    Semblablement, la mentalité intégriste peut aussi se saisir des rubriques  de la « forme extraordinaire » pour la caricaturer dans une liturgie sourcilleuse et vétilleuse qui devient (comme les rituels de l’antiquité païenne) une fin en soi où, comme dit parfois ironiquement Mgr Léonard (pourtant lui-même bi-formaliste), « le latin est placé au dessus du Bon Dieu ».

    Nobody is perfect…

    La question véritable posée à la liturgie catholique d’aujourd’hui est celle de la rencontre raisonnable de deux mentalités, deux esprits, deux cultures au sein d’une même Eglise. Leur conciliation dans une  « réforme de la réforme » conciliaire est-elle encore possible ? JPSC.

  • L'échec du multiculturalisme

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    Un article paru dans la Dziennik Gazeta Prawna de Varsovie rend assez bien compte du malaise qui existe aujourd'hui face à l'évolution de nos sociétés :

    Souvent présenté comme le meilleur modèle pour nos sociétés, le multiculturalisme est en train d'échouer. Car pour pouvoir cohabiter paisiblement avec l’Autre, il faut d’abord être en accord avec soi-même, ce que l'Europe peine à faire, explique le philosophe polonais Marcin Król.

    Lire l'article

  • Echos des JMJ (27 juillet)

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    Cliquer sur les liens ci-dessous pour découvrir les grands moments des JMJ et les messages du pape :

    En soirée, la veillée avec les jeunes à Copacabana (26 juillet 2013)

    On est jamais seul, rappelle le pape François (26 juillet 2013)

    Le film de la 5e journée du pape à Rio (26 juillet 2013)

    Une joie à partager (26 juillet 2013)

    Fête des grands-parents de Jésus (26 juillet 2013)

    Une famille nombreuse typiquement brésilienne (26 juillet 2013)

    Homélie du pape à Sumaré, 25 juillet 2013 (26 juillet 2013)

    Briefing du P. Lombardi (26 juillet 2013)

    Veillée de fête et de prière à Copacabana (26 juillet 2013)

     

  • L'Est de l'Europe allergique à la propagande homosexuelle

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    La propagande homosexuelle bannie malgré l’indignation des pays occidentaux

    Par Stefano Gennarini, J.D.

    NEW YORK, 26 juillet (C-FAM) Les Etats européens de l’est suivent désormais l’exemple de la Russie pour protéger les enfants. Ils essaient de mettent un frein au militantisme favorable aux activités sexuelles « non traditionnelles ». Les associations d’homosexuels sont furieuses.

    Le mois dernier, la Moldavie a voté une nouvelle législation qui interdit la distribution d’informations « destinées à vulgariser la prostitution, la pédophilie, la pornographie et tout autre type de relation ayant un lien avec le mariage et la famille ». La Lituanie a récemment adopté une loi similaire, et le parlement ukrainien se pencherait sur la même question. 

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  • Bientôt Pâques pour la théologie de la libération ?

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    3173_theo_440x260.jpgSelon le “Monde des Religions” la théologie de la libération, que l’on pensait au tombeau,  espère ressusciter à la faveur de la grande “pagaille” (pour reprendre ses propres termes) agitée par le pape François. C’est du moins ce que pensent les nostalgiques des années 1970, mais est-ce si sûr ?  JPSC.

     Extraits:

    La théologie de la libération aujourd’hui

    .(…) Si l’autoritarisme latino-américain a été le terreau de ce mouvement religieux, si la théologie de la libération a introduit, dans le débat théologique et social, des questions de justice et de participation politique, elle ne semble pas être morte avec la démocratie.

    Mais non, la théologie de la libération vit. Toutefois, avec la démocratie d’abord, puis avec le tournant à gauche de l’Amérique Latine, les oppositions se sont amoindries, et la théologie de la libération a perdu en visibilité. Elle a moins accès aux médias de masse (télévision, grands quotidiens, internet) que d’autres mouvements religieux, parfois plus conservateurs (notamment les Églises évangéliques). Elle attire moins, mais elle continue d’exister. Elle a même gardé sa place dans le catholicisme romain. Aucun schisme – quelle option improbable ! – aucune désertion de l’Église n’a eu lieu (…).

    Le combat de la théologie de la libération contre les inégalités et les dernières prises de position du Pape François contre les dérives financières – et, de façon plus large, contre le néolibéralisme et la mondialisation – pourraient lui apporter un nouvel élan. Option fort possible, d’autant plus que la plupart de ses fondateurs (exception faite d’Helder Câmara, au Brésil, et d’Arnulfo Romero au Salvador) sont encore actifs : D’Escoto, Boff, Frei Betto, Guttiérez, Evaristo Arns (…).

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