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  • Des réfugiés yazidis racontent les tortures que leur ont fait subir les jihadistes

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    Lu sur le site de l'Orient - Le Jour :

    « Deux d’entre nous ont refusé et ils leur ont coupé la tête devant nous »

    Des réfugiés yazidis racontent les tortures que leur ont fait subir les jihadistes.

    « Lorsque j'ai rencontré Melhem Khalaf au Liban, il m'a dit qu'il voulait venir en aide aux réfugiés kurdes fuyant les daéchistes. Je lui ai dit que ceux qui étaient le plus dans le besoin étaient les yazidis. Il m'a dit pas de problème, nous sommes prêts à aider tout le monde, quelle que soit leur religion », raconte Bachir, un chrétien.

    « En quelques semaines, nous avons réussi à monter un petit campement à Dohouk, où nous venons en aide à environ 650 personnes ayant fui la montagne de Sinjar, à la frontière irako-syrienne, à l'approche des daéchistes », dit-il. Le camp est rudimentaire et assez sale. Il y a seulement deux toilettes et bien sûr pas d'eau chaude, mais au moins ces réfugiés ont des tentes de toile, des abris très précaires, alors que les grands froids de l'hiver approchent et toujours le même spectacle. De la marmaille souvent à moitié nue, des femmes à l'œuvre pour la lessive et la cuisine, et des hommes désœuvrés qui suivent les informations, fumant cigarette sur cigarette et buvant des litres de thé pour se réchauffer. « Ce qui nous manque cruellement, ce sont des écoles pour les enfants. Mais pour cela, nous avons besoin de l'aide du gouvernement irakien, qui, pour l'instant, a d'autres chats à fouetter », affirme Bachir. Il indique que les besoins du camp sont assurés seulement en nourriture par Offre-Joie et les églises chrétiennes de la région. Beaucoup de ces familles ont échappé à une mort certaine, ou pire pour les femmes, d'être utilisées comme esclaves sexuelles ou d'être vendues comme esclaves par les daéchistes. Sur ce chapitre, le récit Tahsin Khalaf est édifiant. « Quand on a su que les daéchistes arrivaient sur des véhicules sur Sinjar, nous avons fui vers la montagne. Là nous avons rencontré des Arabes sunnites qui ont tenté de nous rassurer. Sur ce, sont arrivés des daéchistes qui nous ont demandé pourquoi on fuyait. Retournez dans vos villages, il ne vous arrivera rien », poursuit-il.

    « Ils nous ont demandé si nous étions yazidis ou musulmans »

    « Nous sommes donc retournés. Mais à un barrage, les intégristes sunnites nous ont arrêtés. Ils nous ont demandé si nous étions yazidis ou musulmans. Ils ont laissé passer les musulmans et ont regroupé les yazidis, puis ils ont séparé les hommes des femmes, et lorsque l'un des maris a protesté, ils lui ont tranché la tête devant tout le monde après lui avoir tiré deux balles, raconte-t-il. C'est alors qu'on a commencé à avoir peur. Au début, on ne leur a pas menti parce qu'ils nous avaient assuré qu'on était en sécurité. »

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  • Europe : quand les animaux sont mieux protégés que les petits d'homme

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    D'Aleteia.org :

    Avortements tardifs et infanticides : En Europe, les animaux sont davantage protégés que les fœtus humains

    Des milliers de foetus ayant survécu à l'avortement sont chaque jour abandonnés tels des déchets. Un collectif d’ONG et de citoyens saisit le Conseil de l’Europe à ce sujet.

    GRÉGOR PUPPINCK (5)

    Face à l’incapacité du Comité des ministres et au refus du commissaire aux droits de l’homme du Conseil de l’Europe de condamner l’infanticide néonatal et de rappeler que toute personne née vivante a droit au respect de sa vie et aux soins, quelles que soient les circonstances de sa naissance, il convient de regarder la réalité en face.

    Pour dénoncer la pratique de l’infanticide néonatal, le European Centre for Law and Justice, soutenu notamment par le Bureau international catholique de l’enfance (BICE), a lancé une pétition officielle auprès de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, déjà signée par 150 000 personnes en quelques jours.

    Des pays européens permettent l’avortement alors que l’enfant est viable, sur simple demande, comme au Royaume-Uni (jusqu’à 24 semaines) et sans réel contrôle, comme en Espagne. Parfois, l’enfant naît vivant, suite à un « échec » de l’avortement. Ces enfants, qui peuvent être blessés par l’avortement, sont le plus souvent abandonnés à la mort sans soins, agonisant dans une bassine et luttant pour respirer, ou tués par injection létale ou asphyxie, en particulier lorsqu’ils sont viables, voire jetés avec les déchets biologiques. C’est un traitement inhumain et illégal, passé sous silence. Il est pourtant contraire au droit, censé protéger tout être humain dès la naissance.

    Selon le British Journal of Obstetrics and Gynaecology, à 23 semaines de gestation, 10% des enfants survivent à l’avortement. Selon des témoignages de sages femmes, ce taux est plus élevé.

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  • Mort héroïquement pour ses paroissiens, un prêtre vietnamien bientôt sur les autels ?

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    Lu sur le site d'Eglises d'Asie :

    Ouverture du dossier de canonisation d’un prêtre vietnamien mort héroïquement pour ses paroissiens

    Le 31 octobre dernier, la Congrégation pour les causes des saints a informé l’évêque de Cân Tho que désormais rien ne s’opposait (Nihil obstat) à l’ouverture du dossier de canonisation du P. François-Xavier Truong Buu Diêp, un prêtre vietnamien mort héroïquement en 1946 au cours de la première guerre du Vietnam pour sauver la vie de ses paroissiens.

    La nouvelle a réjoui tout le diocèse ainsi que les très nombreux pèlerins chrétiens et non chrétiens qui affluent de tout le pays auprès de son tombeau à l’église de Tac Say, dans le diocèse de Can Tho, depuis plusieurs décennies. L’ouverture de ce dossier avait été proposée et demandée par l’ensemble de la Conférence épiscopale du Vietnam, lors de sa première assemblée annuelle de 2012 qui s’était tenue du 9 au 13 avril dans le diocèse de Xuân Lôc.

    En avril 2008, le cardinal Jean-Baptiste Pham Minh Mân, archevêque émérite de Saigon, dans une interview traduite par Eglises d’Asie, confiait que, dans son enfance, il avait connu ce prêtre. Le futur cardinal n’avait encore que 8 ans lorsque le P. Diêp, venu rendre visite à ses parents, leur conseilla d’envoyer leur fils apprendre le latin au petit séminaire.

    Le cardinal présentait ainsi le prêtre dont la canonisation est aujourd’hui demandée : « Le P. François-Xavier Truong Buu Diêp a été un saint prêtre, toujours soucieux de l’avenir de l’Eglise et encourageant les fidèles à s’engager dans la vie religieuse. Son attention a été tournée vers la population. Partout où il passait, il s’efforçait d’édifier un lieu de culte et de faire construire des habitations pour les fidèles. Il a vécu et il est mort pour eux. »

    Le petit village où François-Xavier Truong Buu Diêp a vu le jour en 1897 se trouve au sud-ouest du Vietnam, dans ce qui est aujourd’hui la province d’An Giang. Cette région dépendait à l’époque du vicariat apostolique de Phnom Penh, au Cambodge. C’est là qu’il fut ordonné prêtre en 1924 après des études au grand séminaire de Phnom Penh.

    En 1930, il est nommé curé de la paroisse de Tac Say. Il en sera le pasteur pendant seize ans, jusqu’à sa mort. Durant toutes ces années, il acquiert la réputation d’être un prêtre zélé, proche des fidèles, très attentif à leurs besoins, animé d’un grand esprit missionnaire ; il a fondé plus de huit chrétientés aux alentours de la paroisse.

    En 1945, c’est le début de la première guerre d’Indochine et moins d’un an plus tard, la région où il habite s’embrase. Une grande partie en est occupée par le Vietminh. La plupart des prêtres de la région se retirent. Le P. Diêp refuse de partir et reste près de ses fidèles.

    Le 12 mars 1946, le Vietminh l’arrête avec soixante-dix de ses paroissiens de Tac Say. Tout le groupe est enfermé dans un grenier à riz. Il propose alors à ses geôliers de prendre sa vie et de laisser la vie sauve à ses fidèles.

    On découvrira plus tard son corps nu et affreusement mutilé dans un étang proche du lieu où il avait été détenu.

  • Un "docu-drame" sur le drame vendéen

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    Via le Salon  Beige :

  • "Fêter Noël", un site à ne pas manquer

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    C'est une initiative de l'Eglise catholique en France :

    Sans titre.pngcliquer sur l'image pour accéder au site

     

  • Le pape fête le 45e anniversaire de son ordination

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    Aujourd’hui, c’est l’anniversaire de mon ordination sacerdotale. Je vous demande de prier pour moi et pour tous les prêtres.

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    via le Salon beige

  • Bruxelles (Stockel), 20 décembre : des airs de Noël sur le marché

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    UP STOCKEL-AUX-CHAMPS
    Le 20/12/2014 - Des airs de Noël au marché

    Nous vous invitons à venir écouter et à chanter avec la chorale et des Paroissiens de Notre-Dame de Stockel, des airs de Noël, le samedi 20 décembre à 10h30, sur la Place Dumon, près de la crèche, à l’occasion du marché.

    L’abbé Édouard Marot, soutenu par la chorale paroissiale, est l’initiative de cette joyeuse animation que nous avions déjà faite l’année dernière, pour la grande joie des passants.

    (source)

    Voir aussi : Le-20-12-2014-Bruxelles-chante

  • Embryon : dix vérités scientifiques pour conforter le oui à la vie

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    Du site aleteia.org :

    Embryon : Le oui à la vie en dix vérités scientifiques

    Ces dernières décennies, la connaissance de l'embryon a fait un bond en avant, et les conclusions sont très claires...

    1. Au cours des vingt-cinq dernières années, la science moderne nous en a révélé  davantage sur notre développement biologique que toutes les recherches menées  dans le monde en trois mille ans.

    2. On sait aujourd'hui que l'embryon humain est un sujet à part entière, un individu unique, un être vivant doté d'une nature bien définie, et non une partie du corps de la mère ou un appendice de celle-ci.

    3. Dès l'union d'un gamète (ou cellule) mâle et d'un gamète femelle, l'embryon possède déjà des caractéristiques structurelles et fonctionnelles distinctes de celles de la mère, que ce soit dans son étape unicellulaire ou dans les diverses étapes de la division cellulaire.

    4. Au cours de toutes ces étapes, l'embryon se comporte comme un système organique possédant une identité propre, un métabolisme propre, un système immunologique propre, des acides nucléiques et un groupe sanguin différents de ceux de sa mère, selon un modèle de développement vers des états définis, empiriquement détectables.

    5. En tant qu'individu autonome, l'embryon  s'auto-organise en vue de son unité, avec une totale autonomie. Toutefois, ce développement, bien qu'autonome, n'est pas indépendant de la mère. Il dépend de son utérus  durant un temps variable. Par la suite, à la naissance, l'embryon continuera de dépendre de la mère ou d'autres personnes, pour sa survie, durant un laps de temps plus long, également variable. L'être humain est l'espèce qui prolonge le plus sa dépendance alimentaire. Cependant son état de dépendance intra-utérine n'a rien à voir avec son autonomie et sa condition spécifique.

    6. Le développement embryonnaire est donc continu, sans sauts ni ruptures, irréversible et graduel ;  il s'opère en vertu de programmations effectuées par le génome pour permettre les étapes successives du développement de l'organisme humain individuel.

    7. Par conséquent,  il présente au cours de ces différentes étapes  le développement de structures reconnues comme préparatoires  aux étapes suivantes, celles-ci étant définitives. De sorte que, à dix-huit jours, l'embryon a un cœur qui bat, à vingt jours un système nerveux en croissance constante. À 42 jours il est déjà doté d'un squelette complet et de réflexes. À huit semaines, on peut lui faire un électrocardiogramme,  et il est possible d'enregistrer ses battements de cils, ses réactions, ses réponses à des stimuli.

    8. Toutes ces structures s'ajoutent, petit à petit, les unes aux autres de façon organisée et dans une unité fonctionnelle, pour aboutir à l'état final, définitif, de développement. C'est pourquoi cet être humain est à la fois un et lui-même, dans le plus strict respect de la connaissance biologique. C'est une seule et même personne, depuis la fécondation jusqu'à la gestation puis l'âge adulte.

    9. Pour avoir vieilli, un être humain a dû passer par des étapes : maturité, jeunesse, enfance, mais aussi fœtales et embryonnaires. Au cours de l'ensemble de ce processus continu, ce développement est ni plus ni moins celui d'un être humain, sans sauts ni apparitions mystérieuses d'une condition humaine.

    10. Il est scientifiquement inapproprié d'affirmer que c'est seulement quand apparaissent des structures cérébrales et mentales que l'embryon est à proprement parler 'humain', puisque, pour que ces structures cérébrales et mentales apparaissent dans l'embryon, celui-ci possède déjà une condition biologiquement humaine.

    Traduit de l'édition hispanophone d'Aleteia par Elisabeth de Lavigne

    source:  Revista Ser Persona

  • Le troisième secret de Fatima sur les écrans

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    L'abbé Guillaume de Tanoüarn nous livre son sentiment à propos de ce film :

    m-et-le-3eme-secret.jpgLe Troisième secret au Cinéma

    Lorsque j'ai appris cela, j'ai cru que c'était un gag. Mais voilà que Marc, mon vieil ami, genre cathophile agnostique, me téléphone : "As-tu entendu, vu, que penses-tu de M ou le troisième secret de Fatima ?". Cette fois pas de doute : il y a un cinéaste, Pierre Barnérias, qui a osé faire ce film sur le troisième secret. Ce n'est plus radio-bigote. Ca existe en vrai. Marc est volontaire pour aller le voir une deuxième fois, parce que, me dit-il, "je t'avoue que je n'ai pas tout compris". Rendez-vous est donc pris Rue Saint-André des arts. Deux heures. On voit à peine passer le temps au cours de ce documentaire qui nous emmène aux quatre coins de la Planète, dans une enquête un peu échevelée sur... le surnaturel chrétien, et plus précisément sur le miracle catholique. Tout y passe : les images "interdites" de la messe au cours de laquelle, Mgr Decourtray officiant, l'hostie était restée dix centimètres au dessus de la nappe d'autel pendant un quart d'heure ; les icônes qui suintent de l'huile, non seulement en Syrie mais en banlieue parisienne ; la foudre qui tombe sur le Vatican au moment de la démission de Benoît XVI. Barnerias raconte. Il accumule. A vous de juger, semble-t-il nous dire. Je me tourne vers Marc, optimiste : "D'accord à 80 % - A 60 % tu veux dire". Je ne chipoterais pas : on n'est pas à 20 % près. Je dirais même : s'il n'y avait que 10 % de dur, 10 % d'irréfutable... Cela suffirait ! Je m'abstiens pour l'instant d'expliquer cela à mon voisin : le film n'est pas fini. Ca continue, un peu genre "Des racines et des ailes" me précisera Marc. C'est vrai, c'est du gros cinéma. Mais il y a des trucs... Impossibles!

    Lire la suite sur Metablog

    Voir aussi la video d'Arnaud Dumouch : http://youtu.be/BkP4wZITB4s dont voici la présentation :

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  • Les quinze ans de KTO

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    Chers Amis, 

    Ce week-end KTO fête ses 15 ans : l’occasion de vous remercier pour votre soutien et vos nombreux messages d’encouragement. C’est grâce à vous que KTO est aujourd’hui lachaîne catholique francophone de référence.

    Pour cet anniversaire, KTO a préparé une programmation exceptionnelle : des entretiens avec des cardinaux du monde entier sur les enjeux de l’évangélisation dans les différentes régions du monde, une édition spéciale, samedi 13, autour de la radicalité de l’appel à la conversion, mais aussi des temps de fête, avec Sœur Cristina et Gregory Turpin, ou avec les étudiants « Chrétiens en Grandes Ecoles » qui testent leurs connaissances religieuses dans notre jeu. 

    KTO a voulu commencer cette « séquence anniversaire » en diffusant plusieurs heures de direct depuis l’Irak, avec la délégation lyonnaise du cardinal Barbarin, les 6 et 7 décembre dernier, pour permettre au plus grand nombre de s’unir par la prière avec nos frères si durement éprouvés dans cette région.

    KTO est unique dans le paysage audiovisuel. Plus que jamais, dans un monde en manque de repères et en déficit d’espérance, il est nécessaire que la télévision, devant laquelle nos contemporains passent plusieurs heures par jour, contribue à nourrir l’esprit et élever l’âme

    Pour continuer nous avons besoin de vousKTO vit de votre générosité et ne reçoit aucune subvention ni de l’Eglise ni de l’état. Si vous le pouvez, à l’occasion des 15 ans deKTOfaites un don en ligne en faveur de ce magnifique projet au service de l’Evangile. Avec l’assurance de ma gratitude, je vous souhaite un saint et joyeux Noël.



    Philippine de Saint Pierre
    Directrice Générale
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  • Kenya : les musulmans ne peuvent se contenter de condamner du bout des lèvres

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    AFRIQUE/KENYA - Demande d’un « effort sérieux » de la part des responsables chrétiens aux musulmans pour bloquer la violence des Shabaabs (source)

    Nairobi – « Nous désirons voir un effort sérieux et concerté de la part de nos frères et sœurs musulmans. Ils doivent aller au-delà de la simple condamnation de la vague d’attaques qui ont pris pour cible les non musulmans, pour commencer à entreprendre des initiatives à l’encontre des sympathisants de la terreur en nous aidant à construire des ponts entre fois et communautés » affirment les responsables chrétiens du Kenya dans une déclaration conjointe intitulée « L’Etat de la Nation ».
    Selon ce qu’indiquent les Agence catholiques CISA et CANAA, la déclaration, présentée à la presse le 10 décembre, a été signée par les responsables religieux catholiques, anglicans, presbytériens, méthodistes et de l’African Inland church.Les responsables chrétiens affirment avoir « réfléchi profondément et avec un cœur brisé » à l’Etat de la Nation après les dernières attaques perpétrées par les intégristes somaliens d’Al Shabaab. « Les attaques qui ont initialement pris pour cible les lieux de culte chrétiens de Nairobi, Garissa et Mombasa, sont maintenant dirigés contre des chrétiens innocents se trouvant dans les transports publics ou sur leur lieu de travail » affirme la déclaration, faisant référence aux récents massacres des 22 novembre et 2 décembre au sein du comté de Mandera dans le cadre desquels plus de 60 personnes ont trouvé la mort sur la seule base de leur appartenance religieuse .
    « Au cours de cette seule année, plus de 20 attaques ont eu lieu, laissant un sillage de mort et de destructions, plus de 200 kenyans ayant perdu la vie dans ce cadre » souligne le document.« La réalité de cette situation nous porte à la conclusion que ces attaques, perpétrées par des personnes qui affirment appartenir à Al Shabaab, ont pris une dimension religieuse » affirment les responsables chrétiens, qui invitent les kenyans « à éviter les déclarations qui incitent ultérieurement à la haine et divisent le pays suivant des lignes de partage religieuses ».
    Les chefs des confessions chrétiennes concluent en soulignant la nécessité de surmonter le manque de coordination entre les organes de police et de renseignement, et en rappelant les responsables politiques à leurs responsabilités propres afin qu’ils oeuvrent pour l’unité nationale et ne profitent pas en revanche de l’insécurité pour alimenter de nouvelles divisions à des fins électorales.

  • L'hommage de Daniel-Ange à Fabiola "Reine-Lumière"

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    Lu sur france-catholique.fr :

    Fabiola, Reine-Lumière 
     
    par Daniel-Ange

     

    Ce 5 décembre, premier vendredi du mois, à l’heure du Cœur transpercé de Jésus, Fabiola la tant-aimée de son peuple, s’est élancée pour rejoindre son Époux aux Noces royales du Ciel. Juste 54 ans après son mariage avec Baudouin (le 15 décembre 1960), quand la Belgique enthousiasmée l’accueillait comme sa reine, inaugurant de manière nuptiale un règne sans faille de 33 années-lumière.

    Baudouin découvre cette ardente jeune Espagnole pour la première fois à la Grotte de Lourdes et c’est là qu’ils vivront leur premier éblouissement mutuel sous le Regard de la Reine du Ciel. Elle lui communique son fantastique enthousiasme, sa vivacité, sa spontanéité, sa fraîcheur, sa gaieté naturelle. L’extraordinaire complicité d’âme, de cœur avec elle, a touché profondément le cœur des Belges. Cette bouleversante tendresse entre eux non seulement ne s’est jamais démentie, mais n’a jamais cessé de s’intensifier, en crescendo. Ils n’ont jamais eu honte de la laisser paraître en public — parfois en pleine réception ou cérémonie officielle  : échange d’un regard, d’un mot, main du roi sur les épaules ou le genou de la reine, sourires complices. Je connais des couples qui y ont puisé la force de continuer ensemble, de s’aimer davantage, parfois de retrouver la fraîcheur d’un premier amour. Leur ressembler, quoi  ! Avec la grâce de Dieu  ! Et cela s’est avéré possible  !

    Le Roi ne disait-il pas  : «  Celui qui veut l’unité dans son pays doit s’exercer à la faire dans son foyer et sa famille. En effet, les deux maisons sont construites avec le même ciment, celui de l’amour.  » C’était du vécu au quotidien. Elle sera pour lui une source intarissable de bonheur. Il faut ici laisser la parole à Baudouin lui-même, avec la simplicité d’un cœur d’enfant  : «  Pourquoi Seigneur, as-tu bougé le Ciel et la terre pour me donner cette perle précieuse qu’est ma Fabiola  ?

    Elle a une manière d’être avec les gens qui est idéale. Elle est tellement attentive, tellement toute aux autres, que je comprends qu’on l’adore. Seigneur, merci. [...] Remplis Fabiola de ta sainteté. Qu’elle vive de ta joie et de ta paix. Apprends-moi à l’aimer avec ta tendresse.[...] Jésus, je te remercie d’avoir fait grandir en moi un immense amour pour ma femme. Je Te remercie de m’avoir donné une épouse qui m’aime après Toi par-dessus tout. Que nous croissions en Toi Seigneur. [1] »

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