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  • Coronavirus : le début d'une ère nouvelle ?

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    Du Père Olivier Nguyen (prêtre du diocèse de Fréjus-Toulon) sur le site de La Nef

    11 mars 2020

    L’épreuve mondiale du coronavirus : les débuts d’un temps nouveau ?

    L’épidémie de coronavirus que subissent particulièrement une province de la Chine et différents foyers naissant dans le monde fait réfléchir les chrétiens sur sa cause, sa signification et l’espérance que nous pouvons avoir en ces temps qui sont particuliers. Sans être alarmiste, il est important d’interpréter comme nous invite à le faire le Seigneur les signes des temps. Ce qui frappe immédiatement l’esprit, c’est la révélation de grande faiblesse des structures économiques mondiales et dans le même temps celle de l’illusion d’un monde idéal qui pourrait se faire sans Dieu, fondé sur une économie puissante mondialisée. Tout d’un coup, « en une heure de jugement »[1] l’homme moderne s’aperçoit que la confiance dans les États nations, dans les grandes entreprises, dans le système économique mondial n’est pas assurée. En quinze jours, les ventes de voiture ont baissé de 90 % en Chine, des milliers de chaînes d’approvisionnement ont été rompues et de plus en plus, paraît difficile une reprise économique prochaine de la deuxième puissance mondiale assurant près de 15 % de l’économie planétaire. Comme si le Seigneur disait : « l’activité économique de ce monde moderne repose sur du sable, sur une technique idolâtrée mais qui ne peut pas sauver l’homme ni se sauver elle-même ».

    La propagation de ce virus semble comparable à cette petite pierre dont parle le livre de Daniel qui brise soudainement une statue de bronze et de fer au pied d’argile[2]. Par analogie, elle pourrait aussi exprimer un écroulement de fonctionnements nationaux et de grands dynamismes sociétaux reposant non pas sur le primat de l’homme et de Dieu mais sur le fer et le bronze de la machinerie d’une économie mondialisée. Un monde fondé sur le travail total, le tout économique et le sans-Dieu est-il en train de s’effondrer ? L’avenir le dira, mais plus rien ne sera jamais comme avant : chacun saura qu’il ne peut mettre sa confiance et son espérance dans un monde se fondant sur la recherche d’une croissance économique sans fin.

    Notre propos se veut objectif et en même temps rassurant car comme chrétiens nous savons que nous avons « déjà la victoire »[3] grâce à Celui qui nous a tant aimés. Il possède aussi un certain regard prophétique au sens d’une tentative de lecture dans l’Esprit de l’actualité internationale à partir de la parole de Dieu. Il s’articulera en trois parties : le kairos de cette épidémie, le jugement de la Chine, le jugement des nations. La conclusion donnera l’espérance que nous pouvons avoir.

    Lorsque nous parlons de jugement sur une ou des nations, nous n’entendons pas un châtiment divin, au sens positif que nous pourrions avoir, mais d’abord une certaine intervention de Dieu sur une période donnée et sur un ou des pays donné(s) en vue d’instruire et de corriger. Nous verrons plus loin quel sens plus précis nous pouvons donner à cette notion.

    Lire la suite sur le site de La Nef

  • Vous avez du temps ? Pourquoi ne pas écouter les Confessions de saint Augustin ?

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    contact@librairiedamase.com

    Les Confessions de saint Augustin

    Disque audio – Texte lu par Daniel Mesguich

    Les Confessions de saint Augustin sont tout autre qu’un froid récit de ses frasques de jeunesse :

    « Les treize livres de mes Confessions louent le Dieu juste et bon de mes maux et de mes biens, ils élèvent vers Dieu l’intelligence et le cœur de l’homme. »

    Saint Augustin décrit avec douleur les étapes  de son enfance, de son adolescence et de sa carrière de rhéteur, durant lesquelles il s’est enfoncé de péché en péché. Il observe avec justesse et intelligence les faiblesses de notre nature et s’élève à chaque page vers son Créateur. Un livre qui remplit l’esprit de lumière et le cœur d’espérance.

    Chose remarquable : ces souvenirs n’éveillent pas la moindre complaisance pour le mal ; ils en inspirent, au contraire, un dégoût profond.

    Le présent album ne contient pas la lecture de l’intégrale des Confessions ; mais il en offre de larges extraits qui laissent une idée juste de l’œuvre.

    La voix de Daniel Mesguich rend avec bonheur le sens du texte des Confessions ; il en ressort une vraie joie d’écoute.

    3 CD - 3h30’
  • Video : Paul Vaute présente son livre "Plaidoyer pour le Vrai"

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    Couverture Plaidoyer pour le vrai

    L'opposition paraît irréductible entre ceux qui soutiennent qu'il n'y a pas de vérité ou que celle-ci ne peut être commune et ceux qui affirment la possibilité de cette vérité, même si notre intelligence ne l'appréhende jamais entièrement. Renouer avec le vrai, adéquation de la pensée et du réel, c'est refuser l'individualisme, le grégarisme et l'idéalisme. Ce livre défend la trinité de la vérité, de la bonté et de la beauté.

    • Broché - format : 15,5 x 24 cm / 34 euros
    • ISBN : 978-2-343-16233-1 • 20 décembre 2018 • 336 pages

    COMMANDER LE LIVRE

  • La cause de la béatification des parents de Jean-Paul II est ouverte

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    De Vatican News :

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    Cracovie ouvre la cause de béatification des parents de Jean Paul II

    Le 11 mars 2020, le diocèse de Cracovie a annoncé entamer le procès en béatification d’Emilia et Karol Wojtyla, parents de saint Jean Paul II..

    Après un avis positif émis par l’épiscopat polonais en octobre dernier, et après l’approbation de la Congrégation pour les causes des saints, le diocèse de Cracovie en Pologne a entamé les procédures de béatification des époux Wojtyla. Les fidèles ont jusqu’au 7 mai pour envoyer au diocèse leur lettres ou messages.

    La mémoire des parents du Saint Pape polonais, en particulier à Wadowice et à Cracovie, est toujours vivante et, bien que beaucoup de temps se soit écoulé depuis leur mort, des personnes encore en vie les connaissait personnellement.

    «Nous allons essayer de les contacter et leur demander de témoigner», a déclaré à ce titre, le père Andrzej Scąber, délégué du diocèse de Cracovie pour la béatification.

    Jean Paul II, témoin direct de la sainteté de ses parents

    Le père Scąber a ajouté que les enfants ou petits-enfants des témoins directs de la vie des deux Serviteurs de Dieu seront également entendus, et que «le Pape polonais lui-même, dans un certain sens, sera un témoin direct de la sainteté de ses parents», comme le confirment de nombreux témoignages.

    Deux processus de canonisation distincts seront formellement réalisés, a poursuivi le prêtre, par lesquels il sera démontré qu'Emilia et Karol ont pratiqué les vertus de manière héroïque, qu'ils jouissent de la réputation de sainteté et que, par leur intercession, le peuple a reçu les faveurs de Dieu.

    «Ce processus ne sera pas facile en raison du nombre limité de témoins oculaires, mais nous pouvons déjà dire que la documentation recueillie, en particulier celle qui se réfère à Karol Wojtyła, est très étendue», a ajouté le père Andrzej Scaber.

    Il montre l'évolution de la relation que cet homme, au cours de sa vie, a eu avec Dieu et comment il a pu la transmettre à son fils, le futur pape.

    Modèle de foi, même dans la pauvreté

    Dans une société en crise comme celle d'aujourd'hui, avec «de nombreux divorces, des relations de cohabitation, des enfants abandonnés», la famille Wojtyla, composée de deux personnes ordinaires, a montré à tous que même en vivant dans une situation économique très difficile, même face à la mort de leurs enfants, on peut avoir la foi et rester proche de Dieu.

    Emilia, née Kaczorowska, et Karol Wojtyła père se sont mariés le 10 février 1906 à Cracovie. Le couple a donné naissance à deux enfants: en 1906 Edmund et en 1920 Karol fils, ainsi que leur fille Olga, morte peu après leur naissance. Après la mort de sa femme en 1929, Karol Wojtyła père a élevé seul ses enfants. Il est mort en 1941 à Cracovie.

  • Une Semaine Sainte sans fidèles

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    D'Antoine Mekary sur ALETEIA :

    Vatican : une Semaine sainte sans fidèle

    La place et la basilique saint Pierre inhabituellement vides, à cause du Coronavirus.

    I.Media | 15 mars 2020

    Alors que la Semaine sainte débute le dimanche 5 avril prochain avec le dimanche des Rameaux, la Préfecture de la Maison pontificale a d’ores et déjà annoncé que toutes les célébrations se dérouleront sans la présence des fidèles.

    “En raison de l’urgence sanitaire internationale actuelle, toutes les célébrations liturgiques de la Semaine sainte se dérouleront sans la présence physique des fidèles” au Vatican, a annoncé la Préfecture de la Maison pontificale sur son site internet le 14 mars 2020. Cette situation inédite est une première dans l’histoire contemporaine de l’Eglise catholique.

    En outre, en respect des consignes qui interdisent les rassemblements afin de prévenir la propagation du virus, les audiences générales du pape François et les prières de l’Angélus ne seront disponibles qu’en streaming sur le portail officiel Vatican News. Le chef de l’Eglise les prononcera depuis sa bibliothèque privée, au second étage du Palais apostolique du Vatican. De même, la messe que célèbre le pontife argentin tous les matins à la Résidence Sainte-Marthe continuera à être diffusée en direct sur les mêmes canaux.

  • Pandémie : le pape est allé prier devant une icône et un crucifix chers à l'Église de Rome

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    De Vatican News :

    François devant le crucifix de l’église San Marcello al Corso, à Rome  (Vatican Media)

    Deux prières de François pour invoquer «la fin de la pandémie»

    Ce dimanche après-midi, le Saint-Père est sorti du Vatican pour aller vénérer Marie Salus populi Romani en la Basilique Sainte Marie Majeure. Il a prié ensuite devant le crucifix qui a sauvé Rome de la peste, en l’église San Marcello al Corso.

    Le Pape François, en ce troisième dimanche de carême, sortant du Vatican, a souhaité souligner sa proximité avec ceux qui souffrent en allant s’incliner pour une intense prière devant l’icône de Marie Salus populi Romani, en la Basilique romaine de Sainte Marie Majeure, et demander la protection spéciale de la Vierge, première étape de ses deux visites.

    «Cet après-midi, peu après 16 heures, le Pape François a quitté le Vatican», indique le Directeur de la Salle de Presse du Saint Siège, Matteo Bruni, «et s'est rendu en visite privée en la Basilique Sainte Marie Majeure pour adresser une prière à la Vierge, Salus populi Romani, dont l'icône y est conservée et vénérée. Il s’est ensuite rendu en l'église San Marcello al Corso, où est conservé le Crucifix miraculeux qui, en 1522, a été porté en procession dans les quartiers de la ville pour mettre fin à la 'Grande Peste' de Rome. Dans sa prière, le Saint-Père a invoqué la fin de la pandémie qui frappe l'Italie et le monde; il a imploré la guérison des nombreux malades, a fait mémoire des nombreuses victimes de ces derniers jours demandant que leurs familles et leurs amis trouvent consolation et réconfort. Dans son intention de prière, le Pape a inclus les professionnels de la santé, les médecins, les infirmiers, et ceux qui en cette période, par leur travail, garantissent le fonctionnement de la société. Le Saint-Père est rentré au Vatican vers 17h30».

    Une icône et un Crucifix chers à l'Église de Rome

    La dévotion particulière du Pape pour la Vierge Marie Salus populi Romani est bien connue: François a l’habitude de se rendre à Sainte Marie Majeure non seulement à l'occasion des grandes fêtes mariales, mais également à chacun de ses voyages internationaux, avant son départ et dès son retour, le temps d’une prière d’action de grâce. En 593, le pape Grégoire Ier l'avait emmenée en procession contre la peste, et en 1837, Grégoire XVI l'avait invoquée contre une épidémie de choléra.

    La deuxième étape romaine de François était tout autant significative, compte tenu du moment que nous traversons: l'église de San Marcello al Corso, où se trouve un ancien crucifix en bois du XVe siècle, considéré par les spécialistes comme le plus réaliste de Rome. Il a survécu à un incendie et est vénéré pour avoir sauvé la ville de la peste. Ce crucifix, que Saint Jean Paul II avait embrassé, a marqué le point d’orgue de la journée du pardon lors du Grand Jubilé de l'an 2000.

    Les nombreuses traditions de miracles attribuées au Crucifix ont commencé le 23 mai 1519 lorsqu'un incendie, en pleine la nuit, a complètement détruit l'église dédiée au Pape Marcel. Au lever du jour, l'ensemble du bâtiment était réduit en cendres mais au milieu des ruines le crucifix du maître-autel, au pied duquel brûle encore une petite lampe à huile était resté intact. Cette image touche beaucoup les fidèles, poussant certains d'entre eux à se rassembler tous les vendredis soir pour prier. Le 8 octobre 1519, le Pape Léon X ordonnait la reconstruction de l'église.

    Trois ans après l'incendie, Rome fut frappée par la «Grande Peste». Les fidèles portèrent alors le crucifix en procession, parvenant à surmonter les interdictions des autorités, naturellement préoccupées par la propagation de la maladie. Le crucifix fut emporté et transporté dans les rues de Rome jusqu'à la Basilique Saint-Pierre. La procession dura 16 jours, du 4 au 20 août 1522. Au fur et à mesure de la procession, la peste donnait des signes de régression, et chaque quartier essayait de conserver le crucifix le plus longtemps possible. A la fin, lorsqu’il fut ramené à l'église, la peste avait complètement cessé. A partir du XVIIe siècle, la procession entre l'église de San Marcello et la basilique Saint-Pierre devient une tradition au cours de l'année sainte. Les noms des différents Papes et les années jubilaires sont gravés au dos de la croix.

  • Se serrer les coudes avec RCF

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    Dès ce lundi 16 mars, émission spéciale quotidienne en direct 9h-10h sur RCF. Pas de sensationnalisme, juste de la solidarité, du recul, de la proximité. Le souci d'être à l'écoute de nos auditeurs.

    Comment avez-vous vécu ce premier week-end de l'ère Covid-19 ?
    Avez-vous besoin d’entraide, de solidarité ?
    Que prévoyez-vous pour cette semaine ? 
    Le point avec le service de communication et des experts du CHU Liège.

    Envoyez-nous vos témoignages et questions via: 
    surtout email: serronsnouslescoudes@rcf.be
    standard téléphonique entre 9h et 10h : 04 237 00 74
    sinon en commentaire sous les publications de notre page Facebook 
    via Twitter @RCFLiège @1rcfBelgique @rcfbruxelles

    Les infos sont reprises sur notre page web : https://rcf.be/belgique/serrons-nous-les-coudes

    Emission retransmise en direct sur RCF Liège 93.8 FM, RCF Bruxelles 107.6 FM et 1RCF Belgique, partout disponible en DAB+ en Belgique Francophone. Sinon aussi via l'App RCF ou en streaming sur www.rcf.be

    Suivez le Facebook Live sur notre page Facebook « RCF - Serrons-nous les coudes Vs Covid19 »

    Rendez-vous pour la matinale dès 9h00 pour cette émission spéciale sur RCF : Bruxelles, Liège et 1RCF Belgique.

    #SerronsNousLesCoudes #RCF #Covid19

  • Coronavirus : et pourquoi pas la Médaille miraculeuse ?

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    Résultat de recherche d'images pour "médaille miraculeuse"

    Du site consacré à la Vierge apparue à la Rue du Bac :

    (...) Le 27 novembre 1830, Catherine Labouré a une nouvelle apparition de la Vierge Marie. C’est au-dessus de l’autel qu’elle vit apparaître deux tableaux représentant les deux faces d’une médaille. Dans le même temps, elle entendit la voix de Marie lui disant :

    Faites frapper une médaille sur ce modèle, les personnes qui la porteront avec confiance recevront de grandes grâces.

    En 1832, eut lieu la première distribution de médailles par les Sœurs de la Charité. A cette époque, Paris fut touchée par une violente épidémie de choléra qui fera plus de 20 000 morts. Ces médailles guériront certaines personnes du choléra et elles seront à l’origine de diverses grâces de protection et de conversion.

    Dès lors, les Parisiens considéreront cette médaille comme « miraculeuse ». Elle sera synonyme de protection et de guérisons pour les catholiques et elle sera par la suite connue dans le monde entier.

    A l’automne 1834, plus de 500.000 médailles furent déjà distribuées. Un chiffre qui ne cessera d’augmenter pour atteindre un milliard de médailles en 1876.

    On ignore souvent que les apparitions de la Chapelle de la Rue du Bac ont préparé les grands évènements de Lourdes. Sainte Bernadette qui portait sur elle la médaille miraculeuse avait déclaré « La Dame de la Grotte m’est apparue telle qu’elle est représentée sur la Médaille Miraculeuse. »

    Lire aussi :

  • Quand le maire de Venise confie sa ville et la Vénétie au Coeur immaculé de Marie

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    (Via le Forum catholique)

    Témoignage de foi exemplaire du maire de Venise

    Le maire de Venise, Luigi Brugnaro, s'est rendu hier, revêtu de son écharpe tricolore, à la basilique de la Madonna della Salute pour invoquer la puissante protection de la Sainte Vierge, formulant entre autres cette prière: «Nous consacrons la ville de Venise et nos terres vénitiennes à Ton Cœur Immaculé".

    source

    N.B. : L’Eglise Santa Maria della Salute domine l’extrémité sud du Grand Canal. Elle fut construite entre 1631 et 1687 par l’architecte Longhena, en l’honneur de la Vierge, pour la remercier d’avoir mis fin à une violente épidémie de peste qui ravagea la population.