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  • Confinement pour une nouvelle peste venue d’Orient

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    unnamed (5).jpgComme les autres calamités, les épidémies sont de tous les temps dans ce monde transitoire et la vitesse de leur expansion aujourd’hui proportionnelle aux progrès des moyens modernes de communication.

    La découverte de virus très pathogènes (VIH, SRAS, Ebola, H5N1…) à la fin du siècle dernier a mis fin aux illusions optimistes des « golden sixties ».  Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), une nouvelle maladie infectieuse fait son apparition chaque année dans le monde. Et, en 2012 déjà, un journaliste pouvait écrire que l’humanité subit,  ici et là,  tous les cinq ans une crise majeure due à l’émergence ou la réémergence d’un virus.

    Et voici que, comme jadis pour la peste, la Chine est (du fait de son écologie, de sa démogaphie et, aujourd’hui, de son interdépendance croissante avec le reste du monde) le berceau de l’expansion fulgurante d’un funeste nouveau-né : le « coronavirus ». Les réactions inévitablement anxiogènes répandues à son sujet par les médias auront peut-être leur part d’efficacité pédagogique (« timor Domini, initium sapientiae » disait déjà le psalmiste) pour juguler la pandémie impressionnante qui déferle pour l’instant sur l’Europe.

    Mais, comme chrétiens nous savons aussi que nous n’avons pas, ici-bas, notre demeure éternelle. En ce premier jour de confinement prescrit aux Belges ( après les Espagnols, les Italiens et les Français) je tombe, fortuitement, sur cet « acte d’abandon » contre les angoisses qu’écrivit, au milieu du siècle dernier, un prêtre napolitain, Don Ruolto, mort en odeur de sainteté en 1970 :

    « Pourquoi te confondre en t’agitant ?  S’abandonner à moi ne signifie pas se tourmenter, s’inquiéter et se désespérer en m’adressant ensuite une prière. S’abandonner signifie fermer les yeux de l’âme, écarter la pensée des tribulations et s’en remettre à moi pour que moi seul, je te fasse trouver l’autre rive, comme les enfants endormis dans les bras maternels.

    Que de choses je fais lorsque l’âme, dans ses nécessités aussi bien spirituelles que matérielles, se tourne vers moi, me regarde, ferme les yeux et se repose en me disant :

    « Pense-y toi !: »

    Tu obtiens peu de grâce lorsque tu te tourmentes à les produire ; tu en obtiens beaucoup lorsque tu t’en remets à moi par la prière. Dans la douleur, tu pries afin que j’ôte ta douleur, mais pour que je l’ôte comme tu le souhaites… Tu te tournes vers moi, mais tu veux que je m’adapte à tes désirs; tu n’es pas de ces malades qui demandent au médecin un remède, c’est toi qui le lui suggères.

    Ne fais pas ainsi, mais prie comme je te l’ai enseigné dans le Pater :*Que ton nom soit sanctifié*(c’est-à-dire qu’il soit glorifié dans ta requête) : »Que ton règne vienne : » (c’est-à-dire que tout concourre à ton règne, en nous dans ce monde), « Que ta volonté soit faite : »(ce qui est l’équivalent de :« Pense-y toi : »).

    J’interviens avec toute ma puissance et je résous les situations les plus fermées. Le malheur s’acharne contre toi au lieu de disparaître, Ne t’agite pas, ferme les yeux et dis-moi en toute confiance : »Que ta volonté soit faite, pense-y toi : » Je te dis que j’y pense en intervenant comme médecin et, lorsque cela est nécessaire, j’accomplis aussi un miracle. Tu t’aperçois que le mal s’aggrave ? Ne t’inquiète pas, mais ferme les yeux et dis : « Pense-y toi : ». Je te réponds que j’y pense.

    La préoccupation, l’agitation et le souci des conséquences sont contraires à l’abandon. On peut les comparer à la confusion que font les enfants, lorsqu’ils prétendent que leur mère subvienne à leurs besoins, mais veulent y pourvoir eux-mêmes, entravant ainsi son rôle avec leurs idées et leurs caprices enfantins.

    Ferme les yeux et laisse-toi porter par le courant de ma grâce. Ferme tes yeux et laisse-Moi travailler/faire, en pensant à l’instant présent. Écarte tes pensées du futur, comme d’une tentation. Repose-toi sur moi en croyant en ma bonté et je te jure sur mon amour, qu’en me disant ces paroles :« Pense-y toi », j’y penserai, je te consolerai, je te libèrerai, je te guiderai.

    Et lorsque je te conduirai sur un autre chemin que celui que tu envisages de prendre, je te soutiendrai en te portant dans mes bras, car aucun remède n’est plus puissant que mon amour. Je n’y pense que lorsque tu fermes les yeux.

    Mais tu es « insomniaque », tu veux tout évaluer, tout scruter, penser à tout; ainsi tu t’abandonnes aux forces humaines ou, ce qui est pire, aux hommes, en te fiant à leurs inventions. Voilà ce qui entrave mes paroles et mes projets. Oh! combien je désire ton abandon pour te venir en aide et combien je m’afflige de te voir agité!

    Voilà ce que cherche Satan : t’agiter pour te soustraire à mon action et te jeter en proie aux décisions humaines. Remets-toi donc à moi seul, repose-toi sur moi, abandonne-toi à moi en tout. Je fais des miracles en proportion de l’abandon total à moi et de l’absence de confiance en toi : Je dispense des trésors de grâces lorsque tu te trouves dans le plus grand dénuement.

    Si tu as des ressources ou si tu les cherches, tu suis le parcours naturel des choses, qui est souvent entravé par Satan. Aucun raisonneur ou modérateur, n’a fait de miracles, parmi les saints.

    Seul celui qui s’abandonne à Dieu agit divinement. Lorsque tu vois que les choses se compliquent, dis en fermant les yeux de l’âme: « Jésus, pense-y toi : ». Et distrais-toi, car ton esprit est clairvoyant…pour toi, il t’est difficile de voir le mal. Remets-toi, souvent à moi en te distrayant de toi-même. Fais ainsi pour toute nécessité. Fait ainsi et tu verras de grands, continuels et silencieux miracles. Et je te le jure par mon amour. Moi j’y penserai, sois-en assuré.

    Prie toujours avec cette disposition d’abandon et tu obtiendras paix et satisfaction, même lorsque je te ferai grâce de l’immolation de réparation et d’amour qu’impose la souffrance. Cela te parait-il impossible ? Ferme les yeux et dis, du fond de l’âme :"Jésus pense-y toi" : Ne crains rien, j’y penserai, et tu béniras mon nom en t’humiliant. Tes prières ne valent pas un pacte d’abandon confiant; souviens-t-en.

    Il n’y a pas de neuvaine plus efficace que celle-ci : « Ô Jésus, je m’abandonne à toi, pense-y toi »

    Au XVIe siècle déjà, à la question de savoir ce qu’il ferait si on lui annonçait que, dans l’heure, la mort le ferait comparaître devant Dieu, le jeune Louis de Gonzague (1568-1591) qui était en train de renvoyer la balle à un compagnon de jeu,  répondit tranquillement : « je continuerais à jouer ». A l’âge de 23 ans, Saint Louis de Gonzague est mort au service des pestiférés.

    JPSC

  • Le pape invite à confier notre existence à saint Joseph, gardien des familles

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    D'I.Media via aleteia.org :

    « Confier notre existence » à saint Joseph : le conseil du pape François face au coronavirus

     

    « Gardien des familles », saint Joseph prend soin de « manière spéciale » des malades et des personnes risquant leur vie pour les victimes, a assuré le pape François lors de l’audience générale du 18 mars 2020 prononcée depuis sa bibliothèque privée au Palais apostolique du Vatican, le pape François. Le souverain pontife a invité les fidèles à prier le chapelet à l’occasion de la saint Joseph.

    Que ce soit au travers de sa famille ou de son travail, dans les moments de joie comme dans la douleur, saint Joseph a toujours « cherché et aimé » le Seigneur, a expliqué le pape François lors de l’audience générale du 18 mars. « Invoquez-le toujours, surtout dans les moments difficiles, et confiez votre existence à ce grand saint », a enjoint le pontife à la veille de la solennité de saint Joseph, fêtée le 19 mars.

    « Je fais mien l’appel des évêques italiens qui, dans cette urgence sanitaire, ont appelé à un moment de prière pour tout le pays », a poursuivi le primat d’Italie. Ce 19 mars, chaque famille, chaque fidèle, chaque communauté religieuse, « tous unis spirituellement », pourront réciter le chapelet à 21h en méditant les mystères de la lumière, a-t-il demandé. Protecteur de la Sainte-Famille, saint Joseph est aussi le gardien de toutes les familles et prend soin de « manière spéciale » des malades et des personnes risquant leur vie pour les victimes : les médecins, les infirmières et les volontaires, a-t-il égrainé.

     

    Durant sa catéchèse, le souverain pontife a par ailleurs commenté la cinquième Béatitude : « Heureux les miséricordieux, car ils obtiendront miséricorde ». Il s’agit de la seule Béatitude où la cause et le fruit « coïncident », a-t-il relevé : cela signifie que ceux qui exercent la miséricorde seront « objets de miséricorde ». Le pardon donné et le pardon reçu ne peuvent donc pas être « séparés ».

    « En pardonnant, on est pardonné »

    Si, comme l’indique l’Évangile, la mesure dont nous nous servons pour les autres sera aussi la mesure qui servira pour nous, il convient « d’élargir » cette mesure, de « remettre nos dettes, de pardonner ». Tel est le « secret » de la miséricorde : « en pardonnant, on est pardonné ». Chacun doit se souvenir qu’il a besoin de pardon et de patience. La miséricorde est en effet le « centre de la vie chrétienne », « la libération » et le bonheur de l’homme. Comme « l’air à respirer », les fidèles ne peuvent se passer d’elle.

    En réalité, a insisté le Pape, si le christianisme ne conduit pas l’homme à la miséricorde, c’est que celui-ci a pris le « mauvais chemin ». Il s’agit en effet de « l’unique vrai but de la vie spirituelle », le fruit le plus beau de la charité. Mais Dieu précède l’homme en matière de pardon, a rappelé le successeur de Pierre. C’est en recevant son pardon que l’homme peut pardonner à son tour.

    Vivre les « 24 heures pour Dieu » en temps de confinement

    Les 20 et 21 mars, doit normalement se tenir l’initiative ‘24 heures pour Dieu’, a encore noté le successeur de Pierre. Le pape François avait lancé cette proposition spirituelle au moment du Jubilé de la miséricorde en 2016 : les fidèles du monde entier sont invités à se confesser entre le vendredi et le samedi précédant le quatrième dimanche de Carême.Si cet événement ne peut pas se dérouler de la manière habituelle en raison de l’émergence du coronavirus dans certains pays, notamment d’Europe, cette tradition « continuera » dans toutes les autres régions du monde. Le Pape a encouragé les fidèles qui peuvent y participer à aborder sincèrement la miséricorde de Dieu dans la confession et à prier spécialement pour ceux qui sont « dans l’épreuve » à cause de la pandémie. Les autres, confinés chez eux, pourront vivre ce « moment pénitentiel » grâce à la prière personnelle.

  • Pape François : "J'ai demandé au Seigneur de stopper l'épidémie avec sa main"

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    De Vatican News :

    François : J'ai demandé au Seigneur de stopper l'épidémie avec sa main

    Le Pape a accordé un long au quotidien italien La Repubblica dans lequel il demande à chacun d’être proche de ceux qui ont perdu des êtres chers.

    «J'ai demandé au Seigneur de stopper l'épidémie: Seigneur, arrête-la de ta main. J'ai prié pour cela». C’est ce que révèle François au journaliste Paolo Rodari de La Repubblica lorsqu’il lui demande quelle avait été sa prière dimanche après-midi à Sainte Marie Majeure et San Marcello al Corso, au cœur de Rome.

    Le Pape suggère comment vivre ces jours difficiles:

    “Nous devons redécouvrir le caractère concret des petites choses, des petites attentions à avoir envers nos proches, nos parents, nos amis. Et comprendre que dans ces petites choses, il y a notre trésor. Il y a des gestes minimes, qui se perdent parfois dans l'anonymat du quotidien, des gestes de tendresse, d'affection, de compassion, qui sont pourtant décisifs, importants. Par exemple, un plat chaud, une caresse, un câlin, un appel téléphonique... Ce sont des gestes familiers d'attention aux petits détails de chaque jour qui donnent un sens à la vie et qui font qu'il y a communion et communication entre nous.”

    «Parfois, poursuit François, nous vivons une communication entre nous qui n'est que virtuelle. Nous devrions plutôt découvrir une nouvelle proximité. Une relation concrète faite d'attention et de patience. Souvent les familles à la maison mangent ensemble dans un grand silence qui cependant n’est pas le fruit d’une écoute réciproque, mais lié au fait que les parents regardent la télévision pendant qu'ils mangent et que leurs enfants sont sur leur téléphone portable. On dirait des moines isolés les uns des autres. Il n'y a là aucune communication. Il est important au contraire de s'écouter les uns les autres parce que nous comprenons les besoins de chacun, leurs besoins, leurs efforts, leurs désirs. Il y a un langage fait de gestes concrets qui doit être sauvegardé. A mon avis, la douleur de ces jours doit s’ouvrir vers ce concret».

    Une attention spéciale pour ceux qui sont en première ligne

    Le Pape adresse une pensée particulière pour le personnel de santé, pour les bénévoles et pour les familles des victimes : «Je remercie ceux qui se dépensent pour les autres. Ils sont un exemple de ce caractère concret. Et je demande que chacun soit proche de ceux qui ont perdu des êtres chers, en essayant de les accompagner de toutes les manières possibles. La consolation doit maintenant être l'engagement de tous». François se dit frappé, à cet égard, par un article récemment publié par un autre journaliste, Fabio Fazio, en particulier par le fait que «notre comportement influence toujours la vie des autres» en citant l'exemple de ceux qui, ne payant par leurs impôts, affaiblissent les services de santé.

    Enfin, François invite tout le monde à espérer, même ceux qui ne croient pas : «Tous sont enfants de Dieu, et Dieu les regarde. Même ceux qui ne l’ont pas encore rencontré, qui n'ont pas le don de la foi, peuvent trouver là leur chemin, dans les belles choses auxquelles ils croient : ils peuvent trouver la force dans l'amour pour leurs enfants, pour leur famille, pour leurs frères et sœurs. Quelqu’un peut dire : ‘Je ne peux pas prier parce que je ne crois pas’. Mais en même temps, il peut croire en l'amour des gens qui l'entourent et là trouver de l'espérance».

  • Les funérailles religieuses uniquement en cercle très restreint

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    Les funérailles religieuses uniquement en cercle très restreint

    Les évêques belges rappellent que momentanément les funérailles religieuses ne peuvent avoir lieu qu’en cercle très restreint. Cela signifie : avec seulement quelques proches parents dans l’église et à une distance suffisante les uns des autres.

    Une seconde possibilité est de se limiter à une prière d’adieu au cimetière. Également en cercle très restreint.

    Lorsque l’épidémie aura pris fin, des célébrations de commémoration pourront être organisées pour toutes les personnes décédées durant cette période où les mesures restrictives sont d’application pour lutter contre l’épidémie de Corona.

    SIPI, Bruxelles, le 18 mars 2020

  • L'Eglise et les épidémies : France Catholique vous offre une édition spéciale en libre accès

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    L’Église face aux épidémies

    NUMÉRO EN LIBRE ACCÈS

    mercredi 18 mars 2020

    Bonne nouvelle chers amis !

    France Catholique a le plaisir de vous offrir cette édition spéciale sur l’Église et les épidémies, pour vous aider à prendre de la hauteur spirituelle sur la situation et respirer un peu d’air du Ciel, dans ce temps de confinement !

    En cette période inédite pour notre pays, France Catholique souhaite en effet, plus que jamais, être proche des catholiques et leur apporter une nourriture spirituelle et culturelle pour traverser cette crise. Et continuer coûte que coûte à donner des racines au futur.

    C’est pourquoi nous vous proposons également une offre spéciale Quarantaine :
    10€ pour recevoir les 7 prochains numéros
     de France Catholique en numérique !

    Il vous suffit d’envoyer un mail à contact@france-catholique.fr
    Restons unis dans la prière pour notre pays ! Vous trouverez pour cela des prières spéciales dans notre numéro gratuit !

    Bien à vous, et avec vous dans l’épreuve,

    L’équipe de France Catholique

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  • Quand les Néo-Zélandais en ajoutent à la misère du monde

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    Lu sur le site de la RTBF :

    Le parlement de Nouvelle-Zélande légalise l'avortement

    Le parlement de Nouvelle-Zélande a voté mercredi en faveur de la dépénalisation de l'avortement, permettant aux femmes de décider d'une IVG dans les 20 premières semaines de leur grossesse.

    "Pendant plus de 40 ans, l'avortement a été la seule procédure médicale considérée comme un crime en Nouvelle-Zélande", a souligné le ministre de la Justice Andrew Little dans un communiqué. "Mais dorénavant, les avortements seront traités à juste titre comme une question de santé publique."

    Le parlement a approuvé la loi en troisième lecture, avec 68 votes pour et 51 contre. Elle doit encore être envoyée au gouverneur général pour être promulguée mais il s'agit d'une formalité.

    L'avortement n'était jusqu'ici autorisé en Nouvelle-Zélande que pour sauver la vie de la mère ou pour préserver sa santé physique ou mentale. Il fallait l'approbation de deux médecins ou consultants.

    En vertu d'une loi datant de 1961, l'interruption volontaire de grossesse était jusque-là considérée comme un délit passible de 14 ans d'emprisonnement. Ce texte n'a toutefois jamais été appliqué aux femmes subissant un avortement.

    "La loi précédente demandait aux femmes voulant avorter de surmonter de nombreux obstacles, ce qui retardait l'accès à la procédure et était moins sûr", a pointé le ministre Little. "Le changement est finalement arrivé et un avortement sûr est désormais légal en Nouvelle-Zélande", a-t-il conclu.

  • 70 prêtres et religieux nigerians enlevés ou tués depuis juin 2015

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    Dépêche de l'Agence Fides :

    AFRIQUE/NIGERIA - Au moins 70 prêtres et religieux enlevés ou tués depuis juin 2015

    16 mars 2020  
     
    Les obsèques du Séminariste Michael Nnadi

    Le rapport affirme que « les données disponibles démontrent qu'au cours de ces 57 derniers mois, soit depuis juin 2015, lors de l'entrée en fonction de l'actuel gouvernement central du Nigeria, de 11.500 à 12.000 chrétiens ont été tués. De ceux-ci, 7.400 ont été tués par des bergers Foulanis, 4.000 par Boko Haram et de 150 à 200 par des bandits de grand chemin.

    Le rapport précise en outre que la majeure partie des victimes des attaques de Boko Haram connu aussi comme ISWAP (Islamic State in West Africa) dans le nord-est du pays sont des chrétiens alors qu'en ce qui concerne les bandes de ravisseurs, si sur les routes rurales du nord du Nigeria, la majeure partie de leurs victimes est composée de musulmans, ce sont en revanche en grande partie des chrétiens qui en sont victimes sur les axes nord-sud ou sud-nord, en particulier les autoroutes reliant les deux parties du pays, en particulier la Birnin-Gwari Federal Road.

    Ce sont justement sur ces axes de liaison nord-sud – selon le rapport – que se sont intensifiés au cours des derniers mois les meurtres et les enlèvements d'automobilistes chrétiens et ce en particulier dans le nord du Nigeria, principalement au détriment de citoyens d'origine Igbo.

    La dernière victime de la persécution antichrétienne au sein de l'Eglise au Nigeria est le séminariste de 18 ans Michael Nnadi, enlevé à trois de ses camarades au Grand Séminaire du Bon Pasteur de Kakau, dans l'Etat de Kaduna, dans le nord-ouest du Nigeria, par des hommes armés au cours de la nuit du 8 janvier (voir Fides 13/01/2020). Alors que les trois autres séminaristes ont été par la suite relâchés, son corps a été retrouvé sans vie le 1er février dernier (voir Fides 03/02/2020). (L.M.) (Agence Fides 16/03/2020)

  • Quand un prêtre confesse en drive

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    D'Aleteia.org :

    Face au coronavirus, un prêtre propose des « drive confessions »

    Chaque jour de la semaine, le père Scott propose une permanence à un horaire défini à l’avance. « Les lumières ne sont peut-être pas allumées pour vous dans l’église mais elles le seront sur le parking », assure-t-il. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il est bien décidé à distribuer des bénédictions à gogo. Et cela tombe bien, parce qu’en cette période, elles sont particulièrement vitales.

  • Saint Joseph, Annonciation... : le diocèse de Namur retransmet des messes sur Youtube et RCF

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    Lu sur L’Avenir, Namur p. 7 : 

    Des messes sur YouTube 

    Le diocèse de Namur s’adapte à l’évolution de l’épidémie de coronavirus. Plus question de réunir les paroissiens dans un lieu confiné, mais pas question non plus de renoncer à la messe. Plusieurs messes seront retransmises via YouTube et RCF. Ce jeudi, une messe privée sera célébrée en comité très réduit par Mgr. Warin, à l’occasion de la Saint Joseph. Filmée, elle sera diffusée, à 18 h via YouTube (Infos pour se connecter sur www.diocesedenamur.be). D’autres retransmissions sont d’ores et déjà programmées. Les messes du dimanche 22 mars, du mercredi 25 mars, fête de l’Annonciation et du dimanche 29 mars seront elles aussi enregistrées et diffusées. Il en ira de même pour le dimanche 5 avril, messe des Rameaux et pour les offices de la semaine sainte, en ce compris la messe de Pâques, le dimanche 12 avril.

  • 9 jours pour préparer l'Annonciation (avec le Sanctuaire de Banneux)

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    Chères amies,
    Chers amis,

    Notre carême n’est pas comme les autres cette année ! L’abbé Leo Palm, recteur du Sanctuaire de Banneux, nous propose un temps de prière pour préparer la fête de l’Annonciation, à commencer ce mardi 17 mars.

    Mettons un peu de notre temps au profit de la prière pour notre monde si éprouvé. Confions à la Belle Dame les soucis de notre temps.

    Les paroles de la Vierge des Pauvres encore sont tellement actuelles :

    PRIEZ, PRIEZ BEAUCOUP !

    JE VIENS SOULAGER LA SOUFFRANCE !

    CROYEZ EN MOI, JE CROIRAI EN VOUS !

    Téléchargez le document pdf avec les textes pour chaque jour.

    En union de prière !

    Les responsables du Triduum,
    avec les responsables du Sanctuaire

  • L'implication personnelle de Pie XII dans le sauvetage des Juifs

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    C'est à découvrir ICI