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Actualité - Page 1047

  • Vatican : la justice du pape François punit les "voleurs" de l’affaire Vatileaks 2

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    Après Benoît XVI, François a aussi connu son « Vatileaks ». Le 4 juillet, les réquisitoires sont tombés dans cette affaire « Vatileaks 2 » qui concerne la fuite de documents confidentiels portant sur la réforme économique et financière du Vatican conduite au début du pontificat de François. Lu sur « Atlantico » :
    Chaouqui.jpg« Francesca Chaouqui, la principale accusée dans ce procès devant le tribunal de l’État de la Cité du Vatican, a été considérée « l’inspiratrice et la responsable des conduites contestées »: le ministère public a requis trois années et neuf mois de réclusion pour cette ancienne consultante en communication. Contre Mgr Vallejo Balda, un autre membre du personnel du Vatican, ont été requis trois ans et un mois de prison. Le prêtre espagnol, qui siégeait comme Francesca Chaouqui dans la commission constituée par le pape François pour proposer une réforme de la gestion du Vatican, a déjà été incarcéré depuis le début de l’affaire qui a éclaté fin octobre 2015.

    Quant à Nicola Maio, collaborateur de Mgr Balda, une peine d'un an et neuf mois a été requise. Une peine allégée car Nicola Maio aurait eu un « rôle limité » dans l’affaire.

    Un des journalistes échappe à la punition

    Le réquisitoire était aussi attendu pour les deux journalistes italiens, extérieurs au Vatican, qui ont chacun publié simultanément un livre à partir des documents divulgués. Le Vatican a demandé une année de prison avec sursis pour Gianluigi Nuzzi, déjà impliqué dans la première affaire Vatileaks. Emiliano Fittipaldi, quant à lui, a bénéficié d’un non-lieu « pour insuffisances de preuves ». Le procès, qui dure depuis le 24 novembre 2015, reprendra les 5 et 6 juillet pour entendre la défense des accusés avant le jugement final.

    Le tribunal du Vatican s’appuie sur la loi vaticane du 11 juillet 2013, qui punit le délit de divulgation d’informations dites réservées. Cette loi avait été établie suite à la première affaire Vatileaks survenue en 2012 : la fuite de documents de Benoît XVI par son majordome, Paolo Gabriele, qui alimenta un précédent livre de Gianluigi Nuzzi, Sa Sainteté (éd. Privé).

    Ref. Vatican : la justice du pape François punit les "voleurs" de l’affaire Vatileaks 2

    Mise à jour :

    Dans le procès Vatileaks 2, le tribunal du Vatican n’a pas suivi le réquisitoire du promoteur de justice.

    Selon « La Libre » du 7 juillet, qui relaye une information de l’AFP,  les journalistes Gianluigi Nuzzi et Emiliano Fittipaldi ont été acquittés, le tribunal du Saint-Siège s'étant déclaré incompétent. Il a en revanche condamné à 18 mois de prison le prélat espagnol, Mgr Angel Vallejo Balda, qui dirigeait une commission sur les finances du Vatican à l'origine des documents divulgués, et à une peine de dix mois de prison avec sursis la consultante Francesca Chaouqui qui faisait partie de cette même commission […].

    Le tribunal, qui a prononcé le verdict "au nom de Sa Sainteté le pape François", n'a pas suivi les recommandations du parquet qui avait requis trois ans et neuf mois de prison pour Mme Chaouqui et trois ans et un mois de prison pour Mgr Balda. Il avait également réclamé une condamnation avec sursis à l'encontre de l'un des deux journalistes, Gianluigi Nuzzi.

    Mgr Balda, 55 ans, dont le Vatican a annoncé lundi la remise en semi-liberté après plusieurs mois de détention, pourrait donc retourner en prison à la suite de cette condamnation contre laquelle il peut faire appel.

    Ref. Vatileaks: deux journalistes acquittés, un prélat condamné

    JPSC

  • 31e session du Renouveau charismatique francophone de Belgique, du 12 juillet au 16 juillet 2016 à Liège

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    " Je parlerai à ton cœur"

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    31ème  session du Renouveau charismatique au cœur de la cité ardente.

    Lancé depuis quelques années, le mouvement d'itinérance de ce grand rassemblement d'été se poursuit donc. La session d'été du Renouveau charismatique se déroulera cette année à Liège du 12 au 16 juillet 2016. Elle aura lieu au Palais des Congrès. La session débutera le mardi 12 juillet à 16h par une Eucharistie présidée par Mgr Jean-Pierre Delville, évêque de Liège.

    5 jours de louange, d'enseignements, de témoignages, de temps de prière, de célébrations.

    Sur le thème "Je parlerai à ton cœur", les participants vivront 5 jours ponctués  d'enseignements, de témoignages, de temps de prière, de célébrations et de démarches liées à l’année de la miséricorde.

    La plupart des intervenants ont un lien particulier avec l'Adoration eucharistique: le Père Nicolas Buttet fondateur et modérateur de la Fraternité Eucharistein en Suisse, le Père Florian Racine, fondateur des missionnaires de la très Sainte Eucharistie, l'abbé Pierre Renard, doyen de Ciney et le Père Marc Leroy responsable de la pastorale à la Basilique du Sacré-Cœur à Bruxelles, ces deux lieux ayant l'adoration permanente.

    Jacques Galloy de la Communauté de l'Emmanuel, auteur d'une BD sur Ste Julienne de Cornillon accueillera des groupes lors d’un pèlerinage au Carmel de Cornillon qui leur sera proposé. Alberto Maalouf et son association Notre-Dame Mère de la Lumière  seront présents à nouveau cette année. De même Danny-Pierre Hillewaert, ancien berger de la session participera à la journée évangélisation. Danielle Simonis, Véronique Hargot et Anne Leens animeront chacune un atelier. Autour de l’abbé Philippe Daloze, le berger de la session, divers prêtres liégeois interviendront aussi  : l’abbé Thierry Dobbelstein, le Chanoine Éric de Beukelaer. L'Eucharistie de clôture sera présidée par le nouvel archevêque Mgr Josef De Kesel, le samedi 16 juillet à 14h.

    Durant l’après-midi du jeudi 14 juillet, tous les participants à la session quitteront le Palais des Congrès et se retrouveront à la Cathédrale Saint-Paul et dans d’autres églises de Liège, pour un temps de prière et  d’évangélisation au cœur de la ville.  Cette journée se terminera par une veillée à la Cathédrale et dans une autre église de Liège.

    Une session ouverte à tous

    Enfants, jeunes, jeunes adultes et moins jeunes de tous les horizons sont les bienvenus à cette session qui dépasse largement le cadre du Renouveau. Jeunes adultes, jeunes adolescents et enfants vivront leurs propres sessions.

    S'inscrire à la session

    L’inscription pour la session se fait en ligne jusqu'au 4 juillet sur le site www.sessionrenouveau.be.

    Ceux qui n’ont pas accès à Internet peuvent s’inscrire au Secrétariat de la session : Nachtegaallaan 17/5 à 1731 Zellik, en complétant le formulaire papier qu’ils peuvent demander par téléphone et en joignant une enveloppe timbrée et adressée. Pour toute demande d’information : 0489/ 495 830 - 0489/495 831.

    Pour tout renseignement complémentaire ou demande d’interviews, s’adresser à  Mme Dominique Zeegers  02/268.46.22  ou 0476/428 678.

     JPSC

  • Ordinations : nos Pères, ces héros; chronique pour le temps des ordinations

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    D'Aymeric Pourbaix sur le site de Famille Chrétienne :

    Ordinations : nos Pères, ces héros

    Même peu nombreux, les nouveaux prêtres ordonnés fin juin sont d’abord une grande joie. Que des hommes choisissent de tout quitter pour suivre le Christ, alors que rien ici-bas ne les y incite, est un message de foi et d’espérance. Une porte ouverte sur l’invisible, qui évite au monde de se refermer sur lui-même.

    Cela n’empêche pas de regarder la réalité en face. La crise actuelle des vocations sacerdotales dans notre pays s’apparente à une épreuve que Dieu permet : une traversée du désert à laquelle il faut donner sens. De plus en plus de voix, et jusqu’à celle du pape, évoquent la nécessité d’une conversion d’ordre spirituel, pour retrouver la dépendance à l’Esprit Saint et ne plus gérer l’Église comme une entreprise purement humaine. De cette façon, cette relative et douloureuse stérilité vocationnelle pourrait se transformer en opportunité de se tourner vers Dieu, de repartir de Lui. « Quand l’homme n’a plus d’espérance, alors sonne l’heure de Dieu », affirmait le bienheureux cardinal Schuster.

    Une des premières qualités de Dieu à redécouvrir, c’est justement sa paternité. Sa fécondité. Il nous enfante à la vie surnaturelle. « Toute l’œuvre du salut, expliquait le pape François, est une œuvre de "ré-génération" », où la paternité de Dieu nous libère de notre état d’orphelins, par le don du Fils et de l’Esprit. De la même façon, la mission du prêtre est de « faire grandir » la grâce de Dieu dans les cœurs, écrit un futur ordonné toulousain. Une paternité de service donc, désintéressée. Les vrais bergers se reconnaîtront à ce qu’ils donnent leur vie pour leurs brebis.Cette paternité exercée par le prêtre n’est pas non plus hors sol. Elle suppose un enracinement dans une terre, dans un peuple. Une incarnation en somme, seule manière de « communiquer à l’oreille le trésor des vérités surnaturelles», disait le cardinal Newman : sur le ton de la confidence, dans un cœur à cœur plutôt que par des discours intellectuels et déconnectés.

    Dès lors, on peut s’interroger sur cette « politique » de faire changer les prêtres de paroisse aussi souvent, alors qu’un curé peut exercer des années durant une véritable paternité, notamment dans les coups durs de la vie. De même le ministère du prêtre s’apparente-t-il désormais à celui du missionnaire, en pays de mission Cela suppose de la part des évêques de les préparer à affronter cette situation nouvelle. Et de les entourer d’une solide affection paternelle.

    La paternité est enfin ce qui donne son sens à la fraternité dans l’Église, à son unité qui n’est pas uniformité. En son temps, Charles Péguy reprochait à la chrétienté de ne plus être un peuple, par son manque de charité et de communion, de « religion du cœur ». Il appartient aussi aux fidèles de faire preuve de charité fraternelle pour soutenir leurs prêtres. Sans oublier de demander à Dieu les ouvriers dont Il a besoin pour la moisson : donnez- nous beaucoup de saints prêtres !

  • Un évêque diocésain insatisfait de la position des autels qu’on met entre le prêtre et le peuple

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    Il s'agit de Mgr Pascal N’Koué, évêque de Parakou au Bénin , dans son bulletin diocésain de juillet 2016.  Lu sur le blog « salon beige » :

    mgr-pascal-nkoue-200.jpg"Je tiens à vous rappeler que la célébration "versus orientem" est autorisée par les rubriques du Missel (de Paul VI), qui précisent les moments où le célébrant doit se retourner vers le peuple. Il n’est donc pas besoin d’autorisation particulière pour célébrer face au Seigneur" Card. Robert SARAH. Et voilà le vieux débat relancé. Le prêtre à l’autel doit-il faire face au peuple, ou se tourner avec les fidèles vers l’Orient, le Soleil levant ? L’auteur du grand livre "Dieu ou rien" tranche sur le vif : "Le Concile n’a jamais demandé de célébrer face au peuple".

    La première fois où j’ai eu le privilège de concélébrer avec le Pape Jean-Paul II, dans sa chapelle privée au Vatican, l’autel était collé au mur. Nous tous (les célébrants et le peuple) étions tous tournés vers la même direction, vers l’autel pour la célébration du Saint Sacrifice. Quel recueillement ! J’en ai été marqué pour la vie. Depuis ce jour, j’ai toujours été insatisfait de la position des autels qu’on met entre le prêtre et le peuple, où on se fait face à face. On m’avait toujours dit que c’était le Concile Vatican II qui l’avait décrété. Un autre argument qu’on donne souvent c’est que, ce n’est pas poli de célébrer la messe "dos au peuple". Mais là, en 1989, j’étais dans la chapelle du Pape Jean-Paul II, qui lui aussi a participé au Concile. Et le Pape, ce "roc inébranlable", ne pouvait pas cultiver ce qui est indécent et manquer de courtoisie au Peuple de Dieu. Alors que penser ?

    J’en étais là quand un jour, j’ai découvert un livre d’une grande valeur. Voici ce que j’y ai lu : ‘‘Après le Concile (qui lui-même ne mentionne pas de se tourner vers le peuple), on disposa partout de nouveaux autels tant et si bien que l’orientation de la célébration ‘‘versus populum’’ (face au peuple) paraît aujourd’hui la conséquence du renouveau liturgique voulu par le Concile Vatican II’’’. Ceci est un extrait de L’esprit de la liturgie, du Cardinal Joseph Ratzinger, devenu le Pape Benoît XVI. Plus loin, il écrit ceci : ‘‘En revanche, l’orientation commune vers l’est pendant le Canon (ou Prière Eucharistique) demeure essentielle. Il ne s’agit pas d’un élément accidentel de la liturgie. L’important n’est pas de regarder le prêtre mais de tourner un regard commun vers le Seigneur. Il n’est plus question ici de dialogue mais d’une commune adoration’’. Et l’ancien Préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi conclut son plaidoyer par cette nuance : "il n’est justement pas question de fuir dans un passé romantique et lointain, mais de redécouvrir l’essence de la liturgie chrétienne".

    Effectivement le Concile Vatican II ne donne aucune directive sur la position du prêtre à l’autel. C’est donc sur la base d’une erreur d’interprétation de la position de la basilique saint Pierre, que des liturgistes, après le Concile, ont exhorté abondamment à l’habitude de célébrer face au peuple : « Pour des motifs purement topographiques, dont nous ne donnerons pas les détails, il se trouve que l’abside de la basilique Saint-Pierre de Rome fait face à l’Ouest. Si le prêtre célébrant en conformité avec la tradition de prière chrétienne voulait faire face à l’est, il devait logiquement se tourner vers le peuple. Sous cette influence, certains architectes reprirent cette disposition dans plusieurs églises, ce qui donna valeur de référence à cet usage. Au XXe siècle, le renouveau liturgique s’empara de ce modèle hypothétique pour élaborer un nouveau concept : la célébration de l’Eucharistie "versus populum" (vers le peuple) ; de ce fait l’autel, selon la "norme" de saint Pierre, devait être exposé de telle sorte que prêtre et peuple se regardent l’un l’autre pour former ensemble le cercle des célébrants. Cela seul, pensa-t-on alors, pouvait correspondre à l’esprit de la liturgie chrétienne et à la consigne de la participation active, et rendre ainsi la célébration liturgique moderne fidèle au prototype de la sainte Cène » (L’esprit de la liturgie p.65). Or, la prière liturgique vers l’Orient tient compte non seulement de la tradition depuis l’origine du christianisme mais aussi du cosmos. Cette position tient compte du passé et nous dispose à marcher vers le règne du monde à venir. [...]

    Un dernier témoignage, et non des moindres, puisqu’il vient de celui à qui le Pape François a confié la liturgie dans l’Eglise, j’ai nommé le Cardinal Robert Sarah, Préfet de la Congrégation pour le Culte Divin et la discipline des Sacrements. Il appelle à une conversion intérieure pour remettre Dieu au centre de la liturgie : « Se convertir, c’est se tourner vers Dieu. Je suis profondément convaincu que nos corps doivent participer à cette conversion. Le meilleur moyen est certainement de célébrer - prêtres et fidèles - tournés ensemble dans la même direction : vers le Seigneur qui vient. Il ne s’agit pas, comme on l’entend parfois, de célébrer le dos tourné aux fidèles ou face à eux. Le problème n’est pas là. Il s’agit de se tourner ensemble vers l’abside qui symbolise l’Orient où trône la croix du Seigneur ressuscité. Par cette manière de célébrer, nous expérimentons, jusque dans nos corps, la primauté de Dieu et de l’adoration. » Et le Cardinal de proposer concrètement cette orientation commune « au moins pendant le rite de la pénitence, pendant le chant du Gloria, les oraisons et la prière eucharistique » (Entretien donné à l’hebdomadaire Famille Chrétienne n° 2002, du 28 mai 2016). J’ajouterais aussi pendant la prière universelle.

    Nous avons droit à la vérité. Car très souvent l’ignorance, les idéologies de courte vue, et le manque d’information objective créent et entretiennent un climat de suspicion et même de mépris envers les gestes et les symboles à promouvoir. Et cela est préjudiciable au silence sacré, à la vie intérieure et à l’unité des cœurs. [...]"

    Ref. Un évêque diocésain insatisfait de la position des autels qu’on met entre le prêtre et le peuple

    En soi, absolument rien ne s’oppose à ce qu’un curé ré-oriente la célébration de sa  messe mais c’est la pastorale liturgique dans son ensemble qui devrait être réformée pour que cela porte du fruit. Ceci supposerait un véritable mouvement à entreprendre dans toute l’Eglise latine pour rendre une certaine sacralité à son actuelle liturgie de saveur protestante. On est loin du compte. Malgré des gestes comme celui de Mgr N’Koué ou la bonne volonté de Mgr Sarah, un mur infranchissable entre célébrations « ordinaires » (qui sont encore aujourd’hui l’immense majorité) et célébrations «extraordinaires» (qui demeurent des exceptions, peu accessibles aux fidèles sans culture liturgique adéquate) semble figer une coexistence (pacifique?) excluant toute influence réciproque capable d’induire une réunification du rite romain sur base d’une "réforme de la réforme". Cette division regrettable ne se limite d’ailleurs pas à la liturgie.

    JPSC

  • Les intentions de prière du pape pour le mois de juillet 2016

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    Respect des peuples indigènes

    Pour que soient respectés les peuples indigènes menacés dans leur identité et leur existence même.

    Mission continentale en Amérique latine

    Pour que l’Église de l’Amérique Latine et des Caraïbes, à travers sa mission continentale, annonce l’Évangile avec un élan et un enthousiasme renouvelés.

  • Dimanche 3 juillet 2016 : le diocèse de Liège accueille des chrétiens syriens

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    3 juillet 2016 : Le diocèse de Liège accueille les Chrétiens Syriens (source)

    Le diocèse de Liège accueille les Chrétiens Syriens ce dimanche 3 juillet 2016 lors de l’eucharistie à 11h30 en l’église Saints Pierre et Paul de Droixhe (rue Ernest Marneffe). Venez nombreux leur manifester votre encouragement. La pastorale des migrants du Vicariat Évangile et Vie a besoin de votre aide !

    Le diocèse de Liège accueille les Chrétiens Syriens

    Nous avons été touchés par le drame que vivent les Syriens et cette guerre qui n’en finit pas.  La situation de nos frères chrétiens ne nous laisse pas insensible.

    Venez nombreux leur manifester votre encouragement.  Si vous le souhaitez, vous pouvez apporter des vivres non périssables (riz, pâtes, boîtes de viande, boites de tomates et de légumes, thon, lait, chocolat,…) ainsi que du shampoing.

    Nous vous remercions de votre soutien.  Nous avons besoin de votre aide !

    Isabelle Cegielka, responsable de la Pastorale des Migrants

    Baudouin Charpentier, Vicaire épiscopal

    Pastorale des Migrants, Isabelle Cegielka, rue des Prémontrés, 40, 

    04 229 79 39 / 0486 14 37 16

  • Banneux, 27 - 31 juillet : 4e Festival Marial des Familles

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    Affiche_Festival_Marial_Des_Familles.jpg

    La quatrième édition du Festival Marial des Familles de Banneux vous ouvre ses portes !

    Le Festival Marial des Familles

    5 jours pour vivre sa foi en famille. Des conférences et des ateliers pour approfondir et réfléchir sur des grands sujets qui touchent les familles. Destemps de prière et des temps en couple. Des activités spécifiques par tranche d'âge pour les enfants et pour les ados.

    Du 27 au 31 juillet, soit pendant que se dérouleront en Pologne les Journées Mondiales de la Jeunesse, la Communauté Saint Jean organisera un Festival des Familles à Banneux Notre-Dame.

    Des activités seront prévues pour tous les âges et je pense que c'est une belle occasion de vivre un moment de communion avec les adolescents et jeunes qui seront partis aux JMJ.

    Ils accueilleront les reliques de Saint Louis et Zélie Martin, parents de Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus.

    Renseignements sur le site internet

    Facebook

    Inscriptions

    Dates : du mercredi 27 au dimanche 31 juillet 2016.

    Thème : La famille, « Ile de miséricorde » (Pape François).

  • Un nouvel espoir pour Asia Bibi ? Signons la pétition !

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    Rappelons-nous de la situation dramatique dans laquelle se trouve toujours Asia Bibi. Souvenons-nous de cette femme chrétienne pakistanaise, mère de 5 enfants, accusée à tort de blasphème, condamnée à mort, et emprisonnée depuis 2010 en attendant un jugement définitif.

    Aujourd’hui, nous sommes peut-être arrivés à un tournant et il se pourrait que sa vie, ainsi que celles de ses proches, bascule du bon côté. Enfin !

    C’est que le Parlement européen a officiellement décidé de travailler à la libération d’Asia Bibi  et au respect de la liberté religieuse au Pakistan. Monsieur Antonio Tajani, député italien au Parlement européen, a soumis à ses collègues une déclaration concernant le cas d’Asia Bibi. Si cette déclaration est appuyée par une majorité des députés européens, la déclaration obligera Madame Federica Mogherini, Haut-Représentante de l’Union européenne pour les affaires étrangères, à se saisir du « cas » d’Asia Bibi et, plus largement, à promouvoir la liberté religieuse. En outre, cela obligerait l'Union européenne à empêcher - par voie diplomatique et par le biais d’accords avec des pays tiers - la prolifération des lois anti-blasphème, comme celle qui a entrainé la condamnation à mort d’Asia Bibi.

    Ce document, parrainé par certains députés représentants l’ensemble des groupes politiques et des pays de l’Union, a déjà remporté un certain succès. Néanmoins, pour que cette déclaration soit suivie d’effet, il est impératif qu’elle soit signée par la majorité absolue des députés de l’Union européenne avant le 25 août.

    La situation des chrétiens au Pakistan est de plus en plus en plus difficile; Asia Bibi a reçu de nouvelles menaces et il n’est pas certain qu’elle soit rejugée en appel.

    CitizenGO a toujours milité pour la libération d'Asia Bibi. Nous avons même produit un film documentaire (Liberté pour Asia Bibi), afin de faire connaitre au monde entier sa situation absolument dramatique. Nous avons organisé deux congrès internationaux sur le thème «Nous sommes tous chrétiens», et avons rendu visite à sa famille en compagnie du Saint-Père. Mais nous voulons aller plus loin encore et cette pétition est le moyen de faire en sorte que l’ensemble des parlementaires européens se mobilisent, eux-aussi, pour la libération d’Asia Bibi et pour la suppression des lois anti-blasphème.

    Cette pétition est adressée aux députés du Parlement européen.

    pour signer la pétition : http://www.citizengo.org/fr/pr/35462-asia-bibi

  • Le Pape François a-t-il fait l’éloge du concubinage ?

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    J'ai vu tellement de fidélité dans ces cohabitations, tant de fidélité. Je suis sûr que ce sont de vrais mariages..." (pape François , discours au congrès ecclésial du diocèse de Rome, Basilique Saint-Jean de Latran, jeudi 16 juin 2016). Sur le site « aleteia », le philosophe Thibaud Collin tente de clarifier la pensée du pape François :

    "L’Église a toujours favorisé la preuve du mariage plus que sa nullité

    Ainsi lorsque le pape François parle de certains concubinages comme étant de « vrais mariages », il désigne probablement par là des cas particuliers où un véritable consentement aurait eu lieu, un réel don de soi réciproque serait vécu dans la fidélité sans que les conjoints se fussent engagés publiquement de manière explicite. Il retrouverait ainsi le principe ancien de la « canonisation » par laquelle l’Église a toujours favorisé la preuve du mariage plus que sa nullité, « couvrant de son manteau les unions qui pouvaient sembler juridiquement boiteuses aux puissances publiques ». Cette vieille tradition du droit canonique a notamment engendré le concept de « mariage présumé », défini comme « un mariage contracté, non par échange explicite du consentement mutuel, mais par échange présumé de ce même consentement ; la présomption de droit est basée sur des probabilités qui excluent toute preuve du contraire ». Reste que le rattachement des propos du pape sur le concubinage à de tels présupposés canoniques semble entrer en tension avec sa propre réforme des procédures de reconnaissance de nullité. Cette réforme a été, en effet, gouvernée par le souhait qu’en raison du conditionnement social et mental actuel (hédonisme, relativisme) la présomption ne profite plus spontanément au mariage ; souhait en cohérence avec l’autre partie des propos de saint Jean de Latran, celle sur la nullité de la grande majorité des mariages.

    La difficulté de traduire de tels propos dans une perspective éducative

    On peut conclure que ces deux énoncés ne sont pas contradictoires à la condition de saisir leur enracinement dans des circonstances sociales et historiques singulières. Cependant leur juxtaposition dans un discours pontifical (de teneur potentiellement universelle) n’apparaît pas comme immédiatement cohérente. Le trouble qu’ils ont suscité chez certains tient à la difficulté de traduire de tels propos dans une perspective éducative. Qu’est-ce qu’un jeune chrétien peut-il penser lorsqu’il lit que le pape considère que le concubinage peut être « un vrai mariage » et que beaucoup de mariages n’en sont pas ? Quelles sont les médiations nécessaires pour qu’un parent restitue la subtilité des propos pontificaux de sorte que son enfant ne les perçoive pas comme un encouragement à cohabiter avant le mariage, en se disant en toute bonne conscience qu’ainsi son mariage sera plus solide ? Il serait dommage que par une mauvaise réception des propos du pape ceux-ci contribuassent à obscurcir la conscience des jeunes et renforçassent ainsi le conditionnement mental et social influençant une possible cause de nullité. Et comme il n’est pas en notre pouvoir de demander au pape d’être plus clair dans ses discours, travaillons avec ardeur, pasteurs, parents et éducateurs, pour que la lumière qui s’y trouve rayonne sur tous ceux qui nous sont confiés."

    Ref. Le Pape a-t-il fait l’éloge du concubinage ?

    JPSC

  • L'allergie au pape François, un révélateur des turpitudes de certains milieux catholiques ?

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    De Henri le Barde sur son blog "Le temps d'y penser" :

    L’allergie au pape François est un révélateur des turpitudes de certains milieux catholiques

    Quand le pape François fait le constat que la majorité des mariages catholiques ne sont pas valides il pose un diagnostic mais il ne modifie pas une virgule de la doctrine catholique. Pourtant il provoque des réactions hystériques chez un certain nombre de fidèles.

    C’est plutôt curieux car, pourvu qu’on se donne la peine d’aller lire ce qu’il a effectivement déclaré et non les citations hors contexte voire carrément tronquées que l’on trouve sur la réacosphère, on constate que tout ce qu’il dit est dans la droite ligne de l’enseignement de l’Eglise sur le sacrement de mariage : le mariage est indissoluble dès lors qu’il est valide sacramentellement ce qui suppose que certaines conditions de validité soient réunies au préalable. C’est ce qui explique que dans certains cas l’Eglise reconnaisse a posteriori que certains mariages que l’on croyait valides ne l’étaient en fait pas. C’est ce qu’on appelle la reconnaissance de nullité de mariage (et non l’annulation du mariage).

    Le constat qu’il fait sur l’état d’immaturité affective, psychologique et spirituelle de nombreux catholiques n’est malheureusement pas surprenant quand on se donne la peine d’ouvrir les yeux sur la réalité. Si tel n’était pas le cas nous n’aurions pas tous ces débats sur la question des divorcés-remariés. Rien de nouveau sur ce point.

    Pourtant quand il dit tout haut ce que tout le monde constatait jusque là sans oser le dire à haute et intelligible voix, certains catholiques s’offusquent. D’autres expriment leurs réprobation en s’étonnant ouvertement.

    Mais ce qui est étonnant n’est-ce pas plutôt l’allergie d’un certain nombre de catholiques à l’honnêteté du pape François ?

    De même quand le pape François déclare « L’Église doit présenter ses excuses aux personnes gays qu’elle a offensées » il ne fait que rappeler l’évangile : il invite à la conversion ceux qui se sont comportés de manière non charitable envers les personnes homosexuelles et il s’inclut lui-même dans le lot. En revanche il ne change rien sur la position de l’Eglise à propos de l’homosexualité. En ce sens il n’a pas changé depuis qu’il a organisé l’opposition à la loi sur le mariage homosexuel en Argentine….

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  • Les médecins britanniques maintiennent leur opposition au suicide assisté

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    GRANDE-BRETAGNE : LES MÉDECINS MAINTIENNENT LEUR OPPOSITION AU SUICIDE ASSISTÉ

     de genethique.org

    Les membres de la British Medical Association (BMA)[1] ont réaffirmé leur refus du suicide assisté. Ils ont été amenés à se prononcer le 21 juin sur une motion proposant que la BMA « adopte une position neutre sur le suicide assisté »,  peu de temps après le rejet par le Parlement d’une proposition de loi sur l’aide médicale à mourir. Deux tiers des délégués ont voté contre cette motion. Les médecins britanniques sont  « fortement opposés à l’euthanasie », et souhaitent consacrer leur énergie à améliorer les soins de fin de vie.

    Peu de temps avant le débat, 5000 personnes ont encouragé la BMA à réaffirmer sa position constante : le refus du suicide assisté. Les militants en faveur du suicide assisté ont regretté le refus de cette motion, et ils estiment qu’il n’y a pas eu de débat. Mais le Docteur Mark Porter, président du Conseil, a rappelé qu’il s’agissait de la 8ème fois en 13 ans que la BMA examinait cette question aussi  « personne ne peut dire de manière crédible cette question a été supprimée, obscurcie ...».

    Les exemples étrangers de pays ayant légalisé l’euthanasie ont largement été cité lors du débat, ainsi que l’élargissement des conditions d’euthanasie et les dérives auxquels ces pays devaient faire face aujourd’hui. Le sens du terme « neutralité » a également été débattu : un concept« facilitateur » qui ouvrirait une brèche et laisserait penser à un changement de l’état d’esprit des médecins face au suicide assisté, ce qui n’est pas le cas. Le Docteur Mowat a déclaré qu’ « un passage à la neutralité médicale indiquerait l'acceptation ou l'indifférence au suicide assisté ; or dans les pays où les médecins ont renoncé à leur opposition, ils ont levé un obstacle majeur à la législation ».

    [1] Association professionnelle et syndicat médical officiel au Royaume Uni.

    Sources: Care not killing (21/06/2016)

  • Benoît XVI au pape François : "Votre bonté est le lieu où j'habite"

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    De Constance Roques sur zenit.org :

    « Votre bonté est le lieu où j’habite », dit le pape émérite au pape François

    À l’occasion de la commémoration du 65ème anniversaire de son ordination sacerdotale, ce mardi 28 juin 2016, en la salle Clémentine du palais apostolique du Vatican – là même où Benoît XVI a annoncé sa renonciation le 11 février 2013 –, le pape émérite a remercié le pape François et les cardinaux Sodano et Müller qui lui ont adressé chacun un discours, et le choeur de la Chapelle Sixtine pour ses chants.

    Un merci « eucharistique ». Le pape émérite dit au pape François: « Votre bonté est le lieu où j’habite ».

    Voici notre traduction complète du discours de remerciement du pape émérite prononcé en italien, debout, d’abondance du coeur, sans papier, pendant plus de 4 minutes 30.

    Allocution du pape émérite Benoît XVI

    Saint Père, chers frères, Il y a 65 ans, un frère ordonné avec moi a décidé d’écrire sur l’image souvenir de sa première messe, excepté son nom et la date, seulement une parole en grec : « Eucharistomen », convaincu qu’avec cette parole, dans ses nombreuses dimensions, était déjà dit tout ce qui pouvait être dit à ce moment. « Eucharistomen » dit un merci humain, merci à tous. Merci surtout à vous, Saint Père ! Votre bonté, depuis le premier moment de votre élection, à tous les moments de ma vie ici, me touche, me porte réellement, intérieurement.

    Plus que dans les Jardins du Vatican, avec leur beauté, votre bonté est le lieu où j’habite : je me sens protégé. Merci aussi pour votre mot de remerciement, pour tout. Et espérons que vous pourrez avancer avec nous tous sur cette voie de la miséricorde divine, montrant la route de Jésus, vers Jésus, vers Dieu. Merci aussi à vous, Éminence [Cardinale Sodano], pour vos paroles qui ont vraiment touché le cœur : « Cor ad cor loquitur ». Vous avez rappelé l’heure de mon ordination sacerdotale, ainsi que ma visite en 2006 à Freising, où j’ai revécu cela.

    Je peux seulement dire qu’ainsi, par ces paroles, vous avez interprété l’essentiel de ma vision du sacerdoce, de mon action. Je vous suis reconnaissant pour le lien d’amitié qui se prolonge jusqu’à maintenant depuis si longtemps, de toît à toît [allusion à leurs habitations qui sont proches à vol d’oiseau] : il est presque présent et tangible. Merci, Cardinal Müller, pour le travail que vous faites pour la présentation de mes textes sur le sacerdoce, dans lesquels je cherche à aider aussi nos confrères à entrer toujours à nouveau dans le mystère où le Seigneur se donne dans nos mains. « Eucharistomen » : à ce moment-là, mon ami, Berger, voulait souligner non seulement la dimension du remerciement humain, mais naturellement la parole plus profonde qui se cache, qui apparaît dans la liturgie, dans l’Écriture, dans les paroles « gratias agens benedixit fregit deditque ».

    « Eucharistomen » nous renvoie à cette réalité du remerciement, à cette nouvelle dimension que le Christ a donnée. Il a transformé en remerciement, et ainsi en bénédiction, la croix, la souffrance, tout le mal du monde. Et ainsi, fondamentalement, il a « transsubstantié » la vie et le monde et nous a donné, et nous donne tous les jours, le Pain de la vraie vie qui dépasse le monde grâce à la force de son amour.

    Enfin, nous voulons nous insérer dans ce « merci » du Seigneur et recevoir ainsi réellement la nouveauté de la vie et aider par la transsubstantiation du monde : que ce soit un monde non de mort mais de vie, un monde dans lequel l’amour a vaincu la mort. Merci à vous tous. Que le Seigneur nous bénisse tous ! Merci, Saint Père.