« Inferno », le nouveau roman de Dan Brown : « un manifeste anticatholique de la culture de mort » (source : aleteia.org)
Outre la phobie de l’Eglise, le sociologue italien Massimo Introvigne y relève des appels répétés à l’avortement, la stérilisation forcée et l’euthanasie.
« Le Vatican me déteste », déclare le docteur Elizabeth Sinskey, dans un passage du nouveau roman américain de Dan Brown « Inferno ». Celle-ci dirige l’Organisation mondiale de la santé et incarne une sainte laïque qui apparaît en vision au personnage principal, le professeur en symbologie, Robert Langdon, héros de ses trois précédents romans. « Vous aussi ? » lui répond ce dernier, « je croyais pourtant être le seul ».
Encore une fois le Vatican, donc l’Eglise catholique, est dans le collimateur de l’auteur. C’est « le fil rouge qui unit tous ses romans », relève le sociologue italien Massimo Introvigne, directeur du CESNUR (Centre d’Etudes sur les nouvelles religions) et auteur de trois ouvrages critiques vis-à-vis des précédents romans de Dan Brown.