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Art - Page 49

  • Pie XII Sous le Ciel de Rome; le DVD en français enfin disponible

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    Pie XII Sous le Ciel de Rome (DVD)

    A partir de 13 ans   Biopic, Pape, Histoire (19,50€)

    Le film évènement sur Pie XII, enfin disponible en DVD, par le réalisateur d’Un sac de Billes

    Le doublage du téléfilm sur PIE XII (2 épisodes de 100’) est enfin terminé. Le DVD est disponible à la vente dans toutes les bonnes librairies ainsi que sur la boutique en ligne de SAJE.

    Voilà la bande-annonce, en Français cette fois :

    Description

    Par le réalisateur de Jappeloup et Un sac de billes

    Rome, 1943. La ville est occupée par les nazis. La vie de milliers de Juifs est en danger. Au Vatican, état neutre à l’intérieur des frontières de Rome, le pape Pie XII lutte pour sauver la ville de la faim et de la destruction. De son côté, la belle Miriam vit avec sa famille dans le ghetto juif de la ville. Elle est courtisée par deux jeunes hommes très différents: l’étudiant idéaliste et aisé Marco, qui rêve de gloire dans le combat, et le fringant Davide, qui aide ses compagnons juifs. Quand les nazis descendent sur le ghetto et arrêtent des milliers de juifs, Pie XII forge une alliance avec le général Stahel, un catholique convaincu, en désaccord avec la politique des généraux SS…

  • De l’abbaye de Preuilly à l’abbaye de Fontenay : 900 ans d’histoire cistercienne

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    Pourquoi la transmission historique et spirituelle peut ressourcer notre société et l’Eglise : tel est l’objet du reportage réalisé par KTO sur les 900 ans de l’abbaye de Preuilly dans lequel figure aussi un passage sur les 900 ans de l’abbaye de Fontenay, anniversaire auquel participait un groupe de choristes issu notamment de l’académie de chant grégorien de Belgique (voir vers la 30ème minute de l’émission) :  

    JPSC

  • La foi ardente de Montserrat Caballé

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    De Caroline Becker sur le site Aleteia.org :

    Quand Montserrat Caballé éblouissait Benoît XVI en chantant le Notre Père

    La légendaire diva espagnole, Montserrat Caballé, est décédée le 6 octobre dernier à l'âge de 85 ans.

    La chanteuse lyrique Montserrat Caballé, icône du bel canto espagnol, vient de disparaître à l’âge de 85 ans. La « Superba », comme elle était surnommée en raison de son incomparable technique vocale, était célèbre pour ses grands rôles à l’opéra. Mais au cours de sa longue carrière, elle a aussi interprété des grandes œuvres de la musique sacrée.

    Parmi ses plus belles interprétations, celle qu’elle a donné en 2006 en l’honneur du pape Benoît XVI a marqué les esprits. À l’occasion de la Rencontre mondiale des familles à Valence (Espagne), la chanteuse a interprété devant le souverain pontife le Notre Père composé par José Maria Cano. Un moment inoubliable qui a ému le pape Benoît XVI, grand amateur de musique et pianiste de talent.

    La chanteuse était connue pour sa foi profonde et son amour pour la Vierge Marie, qu’elle n’hésitait pas à exprimer publiquement, comme en témoigne sa superbe interprétation de l’Ave Maria. « Chanter La Vierge ou Marie-Madeleine de Jules Massenet… c’est comme si vous ressentiez la douleur profonde de la Mère de Dieu », déclarait-elle.

     
     
  • "Agneau de Dieu" à Gand, ou quand il vaut mieux insulter un chrétien qu'un musulman...

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    Lu ICI :

    « AGNEAU DE DIEU » À GAND : MIEUX VAUT INSULTER UN CHRÉTIEN QU’UN MUSULMAN…

    Il y a quelques années, il ne se passait pas un mois sans que dans quelque ville de province un ou plusieurs imbéciles désœuvrés ne viennent déposer de nuit une tête de porc sanguinolente sur le parvis d’une mosquée. Un acte résultant au mieux d’une nuit trop arrosée, au pire d’une islamophobie crasse, et qui à chaque fois appelait à raison une condamnation équivoque et unanime de la classe politique et médiatique.

    On comprend bien entendu que le respect de la religion soit une valeur essentielle de notre démocratie. On comprend mal par contre pourquoi ces insultes suscitent soudainement un concert de louanges lorsqu’elles visent la culture de notre pays, et en particulier la religion catholique.

    Ainsi la pièce « Agneau de Dieu », jouée depuis une semaine pour l’ouverture du NT theater de Gand, n’a ni plus ni moins que relégué les profanations à la tête de porc au rang de ridicule plaisanterie. Jugez-en : A partir de la figure de l’agneau mystique décapité (c’est-à-dire l’allégorie du sacrifice du Christ, pour les Chrétiens), le metteur en scène Milo Rau réalise une « actualisation » du célèbre tableau des frères Van Eyck en transposant chacun des personnages du tableau par des acteurs censés représenter leur équivalent au XXIème siècle.

    Le hic, c’est que les actualisations sont plus que douteuses. Ainsi, l’auteur a longtemps recherché pour remplacer les Croisés du tableau original (partis défendre les pèlerins de Palestine) par des combattants syriens repentis. Une entrée en matière rapidement éclipsée par la représentation d’Adam et Eve, joués par un couple de gantois nus comme des vers (comme la peinture originale), prenant visiblement très au sérieux leur mission de géniteurs de l’humanité puisqu’ils se mettent rapidement « au travail » sur scène, mimant leur performance sexuelle… sous les yeux d’une demi-douzaine de jeunes enfants. Quant au personnage incarnant ni plus ni moins que Dieu le Père, le voilà qui vient nous expliquer sa jeunesse, et comment son propre père décida de s’enrôler pendant la guerre… parmi les SS.

    Cerise sur la gâteau, la transposition de la vierge Marie, pour laquelle on a choisi… la mère d’un combattant djihadiste tué en Syrie. En effet, souligne le réalisateur, toutes deux ont perdu un fils mort pour sa foi. On ne peut reprocher à une mère de protéger et continuer à aimer son enfant quoi qu’il lui en coûte (après tout, c’est à ça que servent les mamans), mais il n’empêche… Les deux milliards de personnes dans le monde pour qui le Christ est Dieu apprécieront de voir le sacrifice de Jésus innocent amalgamé à la mort d’un sordide assassin parti en Syrie. Peut-être d’ailleurs y a-t-il tué entre autres… des Chrétiens d’orient. Il semblerait que dans ce monde, toutes les victimes ne sont pas égales !

    Ne s’arrêtant pas de si bon chemin, le NT theater se mit en tête d’organiser une procession de pénitents autour de la cathédrale de Gand, trimbalant comme une précieuse relique un tonneau contenant… des ovules et du sperme congelés, dont celui du metteur en scène. Un tentative pour une fois ratée de repousser un peu plus loin les frontières de la provocation, qui emporte surtout la palme du ridicule.

    Bien sûr, vous m’objecterez que la situation de cette pièce n’est pas comparable aux profanations à la tête de porc. Et vous avez raison, ce n’est pas du tout la même chose. Tout d’abord, les musulmans sont insultés en général par une bande de petits crétins avinés et inconscients, là où les Chrétiens le sont par une élite intellectuelle et artistique parfaitement consciente de ce qu’elle fait.

    Les têtes de porc sanguinolentes sont déposées en pleine nuit en un exemplaire unique et bien vite enlevé, tandis que la décapitation de l’agneau n’est quant à elle qu’affichée… au grand jour sur une centaine d’affiches (12 m²) aux quatre coins de la ville de Gand et dans toute la presse du pays. La tête de porc est une « menace pour notre démocratie », mais l’agneau mystique revisité est un « chef d’oeuvre artistique ».

    Le décapiteur de porc sera sévèrement puni s’il est attrapé un jour ; les exhibitionnistes gantois sont quant à eux encensés, voire seront primés au vu et au su de tout le monde. L’islamophobe au moins a financé lui-même sa bêtise, tandis que le NT Theater a pour sa part été largement soutenu par les pouvoirs publics (c’est à dire 2.620.000 € de votre argent, du mien… et de celui des Chrétiens insultés) pour pondre ces inepties.

    Enfin, et sans excuser son acte, on peut sans grand risque affirmer que le porc islamophobe a couru, de la part de ses victimes, un risque  de représailles autrement plus important que l’agneau christianophobe, qui franchement ne court pas de grands dangers de la part des dociles disciples de Jésus. Cela en devient presque drôle, quand on apprend que Milo Rau a renoncé à son projet initial d’exécuter un agneau sur scène pour finalement le tondre, de peur d’aller trop loin. Il s’est donc contenté d’insulter le catho et de monter un porno pour enfant sur scène, tout en évitant sagement d’offusquer les militants de la cause animale. On frémit devant tant d’audace et de politiquement incorrect !

    Ce qui ne manque pas de piquant, c’est d’observer à quel point des observateurs d’ordinaire prompts à dénoncer toute profanation visant d’autres religions, s’extasient en choeur devant cette production.

    Ainsi, l’inénarrable Béatrice Delvaux, éditorialiste en chef du Soir, se félicite d’un agneau « tendre et saignant ». Guy Duplat de La Libre décrit un « formidable agneau mystique » et une scène d’exhibition ou Adam et Eve « tendrement enlacés, se caressent longuement sous les yeux du chœur des enfants assis juste devant eux. Scène étonnante mais d’une tendresse finalement très pudique. » Ou comment élever l’oxymore au niveau de discipline olympique. Le Standaard lui emboîte le pas en parlant d’un Classique instantané, et anticipe la critique en affirmant péremptoirement « Qui pense qu’il s’agit de porno, ne sait pas de quoi il parle ». Ne vous avisez donc pas de penser qu’à l’époque de #metoo, d’éducation des enfants à la responsabilité sexuelle et de scandales de pédophilies, il n’est pas indiqué de s’exhiber à poil sur scène en mimant un acte sexuel devant des jeunes enfants. Vous ne feriez que prouver que, visiblement, vous n’avez rien compris… tout cela est de l’art, bien entendu !

    Enfin… c’est surtout une nouvelle preuve que l’art contemporain de nos jours tient plus d’une escroquerie intellectuelle aux frais du contribuable que d’une réelle recherche du beau et du vrai. Il se complaît dans la haine de notre culture (dénaturer un des plus beaux tableaux du monde), de notre propre identité (au moins en partie chrétienne), autant que dans la complaisance coupable avec ce qui n’en mérite aucune, en l’occurence le djihadisme islamique.

    L’art façonne la société, on peut donc se demander quelle est la société que veulent les réalisateurs de « L’Agneau mystique » et de cette autodestruction culturelle. Détruire notre civilisation ? La livrer à une autre beaucoup moins tolérante ? Exposer à la face du monde sa propre vacuité ? Une chose est sûre : si nous voulons redonner à nos citoyens la fierté de leur culture européenne, et aux « nouveaux Belges » l’envie d’adhérer à cette culture, il serait grand temps d’arrêter de gaspiller l’argent public à de telles sottises pour le consacrer à ce qui en vaut vraiment la peine. Restaurer notre patrimoine, par exemple. Ou subventionner quelque chose de plus évolué et plus beau qu’un cube en bois ou un étron géant. Ca nous changerait !

    Pierre Lenoir

    PS : Si comme moi vous aimeriez marquer votre opposition à ces obscénités, un collectif de parents néerlandophones indignés propose de signer une pétition ici.

  • Ce qui est vrai au Kivu l’est peut-être aussi en France…comme en Belgique et ailleurs !

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    De Michel Janva sur le site du « Salon Beige »:

    "Le nouvel album en bande dessinée de Jean Van Hamme, Kivu, dessiné par Christophe Simon, met en scène le médecin congolais Denis Mukwege, qui vient de recevoir le Prix Nobel de la paix, (conjointement à la yézidie Nadia Murad).

    Cet album raconte à la manière d’un thriller comment un jeune ingénieur belge découvre ce qui se déroule actuellement au Kivu, une région de l’est de la République démocratique du Congo ravagée par les guerres, les massacres et les épidémies depuis de longues années. L’intrigue met en scène un ingénieur parti au Rwanda pour surveiller la négociation d’un important contrat concernant le coltan, un minerai précieux devenu un véritable trésor pour l’industrie high-tech. Sur place, le jeune homme découvre le règne du cynisme et de la corruption. Surtout, il croise la route de Violette, une enfant congolaise violée et traquée par un puissant chef rebelle… Pris au piège, l’ingénieur décide de faire ce que sa conscience lui dicte. Ce qui l’amène bientôt à se réfugier dans la clinique du Dr Mukwege, à Panzi, un lieu protégé où travaille également le docteur Guy-Bernard Cadière.

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    Voici un extrait de cette BD :

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    La destruction de la famille ne s’opère pas qu’au Kivu, hélas."

    Ref. Ce qui est vrai au Kivu l’est peut-être aussi en France

    Jean Van Hamme, né le 16 janvier 1939 à Bruxelles, est un romancier et scénariste belge de bande dessinée et de téléfilms.Il est surtout connu pour avoir créé et scénarisé les aventures de trois personnages de la bande dessinée belge, Thorgal (1977), XIII (1984) et Largo Winch (1990). Avec Christophe Simon au dessin, « Kivu » qui paraît aux éditions du Lombard est l’un des albums-choc de la rentrée, cet automne.

    JPSC

  • Quand Charles Aznavour chantait la Vierge Marie

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    Sur le site web de « Famille chrétienne » :

    Le célèbre chanteur Charles Aznavour, d'origine arménienne, est décédé ce lundi 1er octobre à l'âge de 94 ans. On lui doit de nombreuses chansons dans un magnifique Ave Maria qu'il avait notamment chanté avec les Petits Chanteurs à la Croix de Bois.


    Ave Maria
    Ceux qui souffrent viennent à toi
    Toi qui as tant souffert
    Tu comprends leurs misères
    Et les partages
    Marie courage

    Ave Maria
    Ave Maria
    Ceux qui pleurent sont tes enfants
    Toi qui donnas le tien
    Pour laver les humains
    De leurs souillures
    Marie la pure

    Ave Maria
    Ave Maria
    Ceux qui doutent sont dans la nuit
    Maria
    Éclaire leur chemin
    Et prends-les par la main
    Ave Maria
    Ave Maria, Ave Maria
    Amen

    JPSC

     

  • Retour sur la célébration traditionnelle de la Fête-Dieu à Liège le 3 juin 2018

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    IMG_6986.jpgComme nous l’avions déjà relayé en son temps (cliquez ici :) plus de 300 Liégeois étaient réunis le dimanche 3 juin 2018 avec l’évêque de Liège en l’église du Saint-Sacrement au Bd d’Avroy pour célébrer la Fête-Dieu selon le rite traditionnel. Un petit reportage vidéo, réalisé en guise de souvenir par l’organiste et chef de chœur Patrick Wilwerth, s'ajoute aujourd'hui à l'information: il évoque ci-dessous les aspects artistiques de cette belle manifestation :  

    JPSC

  • Theodoor Van Loon : un peintre catholique de la Contre-Réforme aux cimaises de BOZAR

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    9789462302389.jpgDu site "catho-bruxelles.be" :

    THÉODOOR VAN LOON, PEINTRE CATHOLIQUE BAROQUE | EXPO ET CONCERTS | BOZAR

     

     

     

     

     

    Du 10 octobre au 13 janvier prochain, BOZAR proposera une nouvelle exposition sur Theodoor van Loon (XVI-XVIIe siècle), peintre trop peu connu, souvent comparé à Rubens. Cet artiste venu des Pays-Bas méridionaux, a été très actif en Belgique, où il notamment peint des fresques pour la basilique Notre-Dame de Scherpenheuvel-Montaigu.

    Adepte du peintre italien Michelangelo Merisi da Caravaggio dit « Le Caravage », il voyagera plusieurs fois au cours de sa vie entre Bruxelles et Rome. Il y adoptera un style de peinture baroque en y représentant des scènes religieuses dans un ton classique.

    Afin que le public puisse apprécier au mieux l’art de Van Loon, plusieurs peintures ont fait l’objet d’une restauration approfondie. Grâce à l’intermédiaire de la Fondation Roi Baudouin, le Fonds Baillet Latour a généreusement financé le traitement de cinq toiles de Van Loon, traitement confié à l’Institut royal du patrimoine artistique (IRPA). Ces tableaux comptent parmi les œuvres majeures du patrimoine artistique bruxellois : quatre toiles proviennent de l’église Saint-Jean-Baptiste-au-Béguinage (endommagée par un incendie en 2000) tandis que la cinquième appartient au couvent des Carmélites de Bruxelles. Quatre conservateurs-restaurateurs ont travaillé pendant environ deux ans à leur restauration.

    En lien avec l’exposition, sont également prévus une série de concerts classiques : à l’église St-Jean-Baptiste au Béguinage de Bruxelles le 16 octobre, et à Notre-Dame de Scherpenheuvel les 16 et 17 novembre prochains.

    En apprendre davantage


    Date / Heure
    Date(s) - 10 octobre 2018 - 13 janvier 2019
    Toute la journée

    Lieu
    Palais des Beaux-Arts (BOZAR)
    Rue Ravenstein, 23
    1000 Bruxelles

  • Liège, samedi 8 et dimanche 9 septembre 2018 : les Journées du Patrimoine en Wallonie à l'église du Saint-Sacrement (Bd d’Avroy, 132)

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    Découverte insolite d'une restauration monumentale

    IMG_3347.jpgLes Journées 2018 du Patrimoine en Wallonie dévoilent les dessous du patrimoine, avec une programmation inattendue pour découvrir les aspects cachés des lieux ou une expérience originale de visite : une présentation sous le signe de la même thématique que celle de l’année du tourisme 2018. A Liège, l’église du Saint-Sacrement au Boulevard d’Avroy (face à la statue équestre de Charlemagne) révèle au public le plan de la restauration prochaine de ce bel édifice néo-classique du XVIIIe siècle à travers une série d’animations multiformes :

    Samedi 8 septembre 2018, entrée libre de 10h00 à 12h30 et de 14h00 à 17h30

    Horaire des animations :

    10h00 : présentation du projet de restauration (Louis Schockert, auteur du projet) *;

    10h30 : visite guidée des lieux ;

    11h00 : retour au cœur de la cité de Liège au XVIIIe siècle avec André-Modeste Grétry (Michel Jaspar, comédien-musicien) *;

    11h30 : œuvres de musique ancienne et airs traditionnels wallons revisités (Jean-Denis Piette, orgue et Gautier Bouchat, cornemuse) ** ;

    14h30 : visite guidée des lieux ;

    15h00 : retour au cœur de la cité de Liège au XVIIIe siècle avec André-Modeste Grétry (Michel Jaspar, comédien-musicien) *;

    15h30 : œuvres de musique ancienne et airs traditionnels wallons revisités (Jean-Denis Piette, orgue et Gautier Bouchat, cornemuse) **.

    Dimanche 9 septembre 2018, entrée libre de  14h00 à 17h30

    Horaire des animations :

    14h30 : visite guidée des lieux ;

    15h00 : retour au cœur de la cité au XVIIIe siècle avec André-Modeste Grétry (Michel Jaspar, comédien-musicien) *;

    15h30 : œuvres de musique ancienne et airs traditionnels wallons revisités (Jean-Denis Piette, orgue et Gautier Bouchat, cornemuse) ** ;

    16h00 : présentation du projet de restauration (Louis Schockert, auteur du projet) * ;

    16h30 : découverte des charpentes anciennes du clocher et du dôme octogonal (avec Louis Schockert). Accès limité pour une dizaine de personnes (se munir de chaussures adéquates). Réservation obligatoire (tel 04 344 10 89).

    Du samedi de 10h00 à 12h30 et 14h00 à 17h30 au dimanche de 14h00 à 17h30 : visite de l’exposition de photos inédites de l’édifice réalisées par le Gamma Photo Club de Liège (président, Philippe Reginster).

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    (*) Grétry : retour au cœur de la cité ardente au XVIIIe siècle, sam. 8/9 à 11h00 et 15h30 et dim. 9/9 à 15h00

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    (**) Cornemuse et orgue sam. 8/9 à 11h30 et 15h30 et dim. 9/9 à 15h30

    Au programme: Buxtehude, prélude fugue et chaconne, 137 do majeur (1637-1707); le passepied del Neure Poye et variations de J-P Van Hees, do mineur; le plaintif de J-M Hotteterre en sol majeur (1673-1763); Est-ce mars, J-P Sweelinck, do majeur (1562-1621);; l'iris, livre duo des fleurs de Philibert  Delavugne (1690-1750) et une étude de J.-M. Hotteterre  pour musette baroque, si b majeur. Composition pour cornemuse de Gautier Bouchat et air traditionnel (l'apprentie et deux airs traditionnels d'Europe). Choix du jour pour la clôture: variations sur le "Valeureux Liégeois"

    (***) Présentation du projet de restauration de l'église du st sacrement, sam. 8/9 à 10h00 et dim. 9/9 à 16h00:

     

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    _______

    Plus de renseignement 04 344 10 89

    Asbl Sursum Corda Siège social : rue Vinâve d’île, 20 bte 64. Tel. 04.344.10.89. E-mail : sursumcorda@skynet.be. Web : http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com

    Faire un don ? Compte bancaire : IBAN BE58 0003 2522 9579 BIC BPOTBEB1 de l' asbl Sursum Corda à Liège,  avec la mention « soutien église du saint-sacrement ».

    JPSC

  • Liège : messe dominicale de rentrée le 2 septembre à 10h00 en l’église du Saint-Sacrement

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    Saint-Sacrement 1er dimanche du mois_sept2018.jpg

    Le dimanche 2 septembre prochain, 15eme après la Pentecôte, sera aussi celui de la rentrée après les vacances d’été.

    L’église du Saint-Sacrement à Liège (Bd d’Avroy, 132) offrira à 10 heures une célébration particulièrement soignée sur le plan musical.  

    anne-sylvie-300x200.jpgLes mélodies grégoriennes au programme illustreront les paroles associant au récit de la résurrection du fils de la veuve de Naïm la miséricorde du Seigneur rappelant les pauvres pécheurs à la vie spirituelle par le sacrement du pardon. L’offertoire, l’élévation et la communion seront aussi accompagnés au violon et au violoncelle par l’Ensemble instrumental Darius qui jouera des extraits d’œuvres d’Antonio Vivaldi et d’Arcangelo Corelli, deux figures emblématiques du répertoire baroque. A l’orgue : Patrick Wilwerth, professeur au conservatoire de Verviers

    La messe sera l’occasion d’accueillir l’abbé Marc-Antoine Dor, nouveau membre de l’équipe pastorale affectée à l’église du Saint-Sacrement.  

    Plus de renseignements : tel 344 10 89  ou email : sursumcorda@skynet.be

    Extrait musical: le graduel du XVe dimanche après la pentecôte: 

    __________

    Sursum Corda asbl, Association pour la sauvegarde de l’église du Saint-Sacrement au Boulevard d’Avroy, 132 à Liège. Siège social : Rue Vinâve d’île, 20 bte 64. Tel. 04.344.10.89. E-mail : sursumcorda@skynet.be.

    Web : http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com

    Faire un don pour la restauration de l’église ? Compte bancaire : IBAN BE58 0003 2522 9579 BIC BPOTBEB1 de l’asbl « Sursum Corda, Vinâve d’île ,20/64, 4000 Liège. Mention : « pour la restauration de l’église ».

    JPSC

  • Keur Moussa ou quand le chant grégorien prend des airs africains

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    De Domitille Farret d’Astiès sur le site « aleteia » :

    "Le monastère bénédictin de Keur Moussa, situé à cinquante kilomètres de Dakar, vit au rythme de la liturgie de l'Église. Une liturgie singulière qui mêle chant grégorien et instruments traditionnels africains.

    la-communautc3a9-de-keur-moussa.jpgL’abbaye de Keur Moussa a été fondée en 1963 par neuf moines originaires de l’abbaye Saint Pierre de Solesmes (diocèse du Mans). L’archevêque de Dakar de l’époque, Mgr Marcel Lefèbvre, avait demandé cette fondation en milieu musulman afin d’apporter là-bas un témoignage de vie de prière chrétienne. Frère Jean-Marie Vianney Rouzeaud, l’actuel prieur du monastère, explique à Aleteia que la vie monastique, née en Égypte, a des origines africaines. Il ajoute que la Règle de saint Benoît, composée au VIème siècle en Italie, a permis au cours des siècles « des adaptations très heureuses sur tous les continents et dans toutes les cultures ». Ainsi, elle a pu s’accorder avec les traditions culturelles du Sénégal.

    L’une des particularités de cette maison réside dans le fait que les frères ont travaillé la liturgie en l’adaptant à  la culture, s’appuyant en particulier sur l’accompagnement de la kora, un instrument de musique à cordes. Cette harpe-luth d’origine mandingue – les Mandingues sont un peuple d’Afrique de l’ouest – est composée d’une demi-calebasse recouverte d’une peau de vache ou de chèvre. Vingt et une cordes sont fixées sur son manche. Les frères fabriquent eux-mêmes l’instrument au sein du monastère.

    Lire aussi :

    En quoi la liturgie nous entraîne-t-elle à la prière ?

    Pour le prieur, « chaque monastère est une famille avec ses particularités »Au cours des cinq décennies qui se sont écoulées depuis la fondation de Keur Moussa, la liturgie accompagnée de la kora a caractérisé le monastère. En 1967, les frères enregistrent leur premier disque. Leur liturgie est aujourd’hui utilisée dans tous les monastères de l’Afrique de l’ouest, qui ont pris pour modèle les méthodes musicales de l’abbaye bénédictine.

    Une liturgie adaptée à la culture

    Frère Jean-Marie Vianney explique que le chant grégorien est un chant sacré très riche, qui a largement inspiré largement les compositeurs de Keur Moussa, en particulier frère Dominique Catta, maître de chœur durant plus de 40 ans. Pour lui, la musique était un moyen privilégié de faire l’expérience de Dieu. Il faisait partie des religieux envoyés en terre sénégalaise pour la fondation de l’abbaye.

    À l’époque, l’Église invitait les missionnaires à enraciner l’Évangile dans les traditions locales. La Constitution sur la sainte liturgie indique que « puisque, dans certaines régions, surtout en pays de mission, on trouve des peuples possédant une tradition musicale propre qui tient une grande place dans leur vie religieuse et sociale, on accordera à cette musique l’estime qui lui est due » (n° 119).

    Frère Dominique s’est donc intéressé aux instruments africains tels que le balafon, le djembé ou les tambours. Ayant découvert la kora grâce à la radio, il s’est pris de passion pour cet instrument. D’autres frères l’ont aidé à composer et à mettre en place la liturgie de l’abbaye. On trouve à sa base les valeurs grégoriennes. Frère Jean-Marie Vianney décrit « un chant paisible » qui n’est « ni sentimental, ni excitant. Plein de nuances, il met surtout la Parole de Dieu en évidence. La kora avec ses vingt et une cordes, et maintenant chromatique, permet l’accompagnement de ces mélodies », et en particulier « du chant des psaumes ». Des chants qui ont un parfum de Paradis.

    Lire aussi :

    Quand un artiste décide d’enregistrer tous les chants grégoriens de la liturgie catholique

    Ref. Keur Moussa ou quand le chant grégorien prend des airs africains

    Très belle psalmodie chorale, simple et sereine valorisant la parole portée par l’homme intérieur !   Mais, cela suffit-il pour la qualifier de grégorienne et de surcroît africaine du fait de l’usage d’un balafon? Paradoxalement, la missa luba lancée par un missionnaire belge en 1958 avec les petits troubadours congolais du Roi Baudouin, alors que la colonie vivait (sans le savoir) ses derniers jours insouciants sans se préoccuper d’acculturation, reflète beaucoup mieux, à mon avis, une alliance réussie entre les élans spirituels de la musique modale du moyen âge et ceux de la piété populaire et joyeuse de l’âme africaine. Pour mémoire, cet extrait :

    JPSC

  • Liège: fêter le 15 août 2018 à l'église du Saint-Sacrement au Boulevard d’Avroy

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    A Liège, en Outremeuse le 15 août de chaque année, la piété mariale se mêle volontiers au folklore populaire et c’est très bien ainsi !

    Plus insolite: sur l’autre rive du fleuve, au Centre-Ville, un groupe de chanteurs issu des conservatoires royaux de Liège et de Mons a aussi voulu se réunir cette année pour célébrer la Madone de l’Assomption avec les plus beaux motets mariaux du répertoire classique. Au programme: William Byrd, Arcadelt, Aichinger, Arcadelt, César Franck et Diogo Dias Melgas.

    Cela se passe au cours de la messe célébrée le mercredi 15 août 2018 à 10h en l’église du Saint-Sacrement, Bd d’Avroy, 132: avec les solistes du plain-chant et l’Ensemble polyphonique « VocA4 » réuni par Arnaud François, avec l’appui de l’association Foliamusica pour la promotion des jeunes talents (dir. C. Leleux). A l’orgue: Patrick Wilwerth, chef du chœur universitaire de Liège et professeur au conservatoire de Verviers.

    Bienvenue à tous (libre et gratuit). Plus de détails sur l’affiche reproduite ci-dessus et heureuse fête de Sainte Marie à chacun. Rens. Tel. 04.344.10.89 email sursumcorda@skynet.be

    LES ORIGINES DE LA FÊTE DE L’ASSOMPTION

    Très tôt, les premiers chrétiens ont eu le pressentiment que la Mère de Dieu, préservée de tout péché, ne pouvait pas avoir connu la corruption de la mort. Une intuition qui sera ensuite approfondie par les Pères de l’Eglise. Au VIe siècle, la fête de la Dormition est déjà célébrée en Orient, vers la mi-janvier. Plus tard, l’empereur byzantin Maurice (582-602) la fixera définitivement au 15 août.

    La fête arrive à Rome grâce au pape Théodore (642-649), originaire de Constantinople. Elle se diffuse petit à petit en Occident : en 813, le concile de Mayence l’impose à l’ensemble de l’Empire franc. Peu à peu, la fête va prendre le nom d’Assomption mais l’Eglise ne ressent pas le besoin d’ériger en dogme cette croyance.

    C’est après la proclamation par Pie IX du dogme de l’Immaculée Conception, dans le grand courant de dévotion mariale du XIXe siècle, que des pétitions commencent à affluer à Rome pour que  soit officiellement défini le dogme de l’Assomption.

    C’est ce que fit solennellement le pape Pie XII le 1er novembre 1950 sur la place Saint-Pierre à Rome: « Nous affirmons, Nous déclarons et Nous définissons comme un dogme divinement révélé que l’Immaculée Mère de Dieu, Marie toujours vierge, après avoir achevé le cours de sa vie terrestre, a été élevée en corps et en âme à la vie céleste » (constitution apostolique « Munificentissimus Deus »).

    Quelques extraits du programme des chants

    Jacques Arcadelt (Namur,1507- Paris,1568):  Ave Maria

    William Byrd (Londres,1539- Stondon Massey, Esses, 1623):

     messe à 3 voix

    Gregor Aichinger (Ratisbonne,1564- Augsbourg,1628): Regina Caeli

     

    Diogo Dias Melgas (Cuba, Portugal,1638-Evora, 1700): Salve Regina 

    Plain-chant de la messe de l'Assomption

    Plus de renseignements : tel 04 344 10 89  ou email : sursumcorda@skynet.be

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    Une initiative de "Sursum Corda" asbl, Association pour la sauvegarde de l’église du Saint-Sacrement au Boulevard d’Avroy, 132 à Liège.Tel. 04.344.10.89.

    E-mail : sursumcorda@skynet.be. Web : http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com

    Faire un don ? Compte bancaire : IBAN BE58 0003 2522 9579 BIC BPOTBEB1 de Sursum Corda asbl, Rue Vinâve d'île, 20 bte 64, 4000 Liège.

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