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conférences, spectacles, manifestations - Page 109

  • Meeting de Rimini : 800.000 personnes attendues

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    Italie: Ouverture à Rimini de la 35e édition du Meeting pour l’Amitié entre les Peuples

    800’000 personnes sont attendues de 70 pays du monde entier   

    Rimini, 24 août 2014 (Apic) 800’000 personnes en provenance de 70 pays du monde entier sont attendues du 24 au 30 août dans la station balnéaire de Rimini, sur le littoral adriatique, pour la 35e édition du «Meeting pour l’Amitié entre les Peuples». Ce grand raout, à l’initiative du mouvement ecclésial «Communion et Libération», transforme depuis 1980 le paradis italien du farniente en un eldorado mondial de la culture et des rencontres spirituelles, rappelle Radio Vatican.

    La grande manifestation, qui se tient au centre «Rimini Fiera», prévoit cette année plus de 100 rencontres et tables rondes, 12 expositions, 23 spectacles, 17 rendez-vous sportifs et 3’500 m2 d’un espace réservé aux enfants. Elle a pour leitmotiv «Vers les périphéries du monde et de l'existence. Le destin n’a pas laissé l’homme seul».

    Communiquer avec un langage compréhensible les valeurs du christianisme

    Le message envoyé au Meeting par le pape François et écrit en son nom par le cardinal Pietro Parolin, secrétaire d’Etat du Saint-Siège, relève qu’«un monde en transformation rapide demande aux chrétiens d’être disposés à chercher des formes ou des moyens de communiquer avec un langage compréhensible la permanente nouveauté du christianisme».

    Dans cette lettre, rendue publique le 23 août par le Saint-Siège, le souverain pontife invite chacun à «ne jamais perdre le contact avec la réalité » et à «tenir toujours le regard fixé sur l’essentiel».

    Le «Meeting pour l’Amitié entre les Peuples», auquel participent non seulement les milliers de membres du mouvement, mais une foule de personnes intéressées, est une véritable institution en Italie. Chaque année, des personnalités du monde politique, économique ou encore culturel de premier plan y participent. En 1982, le pape Jean Paul II lui-même s’y était rendu.

    Lire la suite sur le site d'APIC

     

  • Tournai, du 31 août au 20 septembre : "Musiques à la Cathédrale"

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    La 6e édition du festival "Musiques à la cathédrale" se déroulera du 31 août au 20 septembre 2014.

    Encouragés par le succès des saisons précédentes et l'accueil enthousiaste du public, nous proposons cette année encore une programmation de haut niveau qui fait la part belle à la musique vocale et instrumentale sans oublier l'orgue ni la trompette. 
    Découvrez vite le programme et les artistes sur notre site.

    A très bientôt dans la cathédrale de Tournai!

    L'équipe de musiCA

  • France : Chrétiens d’Irak, euthanasie, Manif pour tous : le lobby catho existe-t-il ?

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    De Bénédicte Drouin sur le site de l'hebdomadaire Famille Chrétienne  : "Le récent voyage de trois prélats français en Irak, les débats de société sur le mariage ou la fin de vie ont été l’occasion de mesurer le réveil des catholiques, trop longtemps silencieux les années passées sur les questions politiques et sociales. Certains médias y voient le résultat d'un groupe organisé et influent, assimilé à des lobbys. Faux, répondent les catholiques. Personne ne commande en secret ces réactions. Elles ne sont que le résultat de la foi et des convictions des catholiques pratiquants sur fond de déchristianisation de la société. Le tout démultiplié par les réseaux sociaux."

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  • Plus d'un millier de personnes rassemblées à Bruxelles pour soutenir les chrétiens d'Orient

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    A l'appel du Comité de soutien aux chrétiens d'Orient, plus d'un millier de personnes se sont rassemblées aujourd'hui à Bruxelles devant les institutions européennes. On notait la présence de Mgr Hudsyn, évêque auxiliaire de Malines-Bruxelles. En marge de ce rassemblement, deux jeunes djihadistes appelaient à massacrer les chrétiens.

    Un ami, présent à la manifestation, nous a fait parvenir les photos reproduites ci-dessous.

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  • BXL, 6 août : rassemblement de soutien aux Chrétiens d'Orient

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  • France : mobilisation tous azimuts pour les chrétiens d’Irak

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    noun-nazareen-irak_article.jpgEn ce moment à Mossoul, en Irak, les djihadistes marquent les portes des chrétiens de N à la peinture rouge pour désigner leurs maisons au pillage. N (en arabe « Noun ») comme Nazaréen. En France, le Père Vianney Jamin, prêtre du diocèse de Versailles, a lancé sur Facebook un appel à la prière et au jeûne pour les chrétiens d’Irak. Des manifestations sont également prévues ce week-end à Paris et à Lyon. De son côté, Faraj Benoît Camurat, président de l’association Fraternité en Irak, fait le point sur l’épuration religieuse en cours dans le nord de l’Irak.

    Dans l’hebdomadaire  « Famille Chrétienne » , Pauline Quillon interviewe le P. Vianney Jamin et Faraj Benoît  Camurat :

    Père Vianney Jamin, vous attendiez-vous à une telle mobilisation ?

    Absolument pas. En à peine deux jours, plus de 3 000 personnes ont répondu à l’appel : ils prieront et jeûneront ce vendredi 25 juillet, pour leurs frères persécutés en Irak.

    Ce qui se passe est extraordinaire. Tout est venu d’une suggestion d’une paroissienne dimanche dernier. Lundi, avec l’aide de deux amis, j’ai fait l’affiche et lancé l’événement qui a au moins le mérite de mettre un peu plus les gens au courant et de créer un élan de solidarité envers les chrétiens persécutés.

    Comment réagissent les Irakiens ?

    Ils sont horrifiés par le signe « Noun », que nous reprenons sur nos profils Facebook et Twitter, et qui est infâmant pour le Coran. Nous leur avons expliqué que nous l’arborons comme un signe de solidarité. Si l’étoile juive avait été portée par tous, pendant l’Occupation…

    Ils ont surtout entendu le cœur du message : « Nous prions pour vous ». Ils nous disent cependant que cela ne suffit pas. Qu’il faut soutenir l’Œuvre d’Orient, prier tous les jours, interpeller ceux qui ont du pouvoir.

    Prière, jeûne, manifestations, dons...soutenons les chrétiens d'Irak.

    « Les chrétiens nous demandent d’être vraiment leurs frères »

    Faraj Benoît Camurat, vous êtes président de l’association Fraternité en Irak, pouvez-vous nous donner des précisions sur l’exode des chrétiens hors de Mossoul ?

    Mossoul a fait l’objet d’une véritable épuration religieuse, une épuration planifiée par le califat, qui a d’abord convoqué les chrétiens, et comme ils ne venaient pas, a fait diffuser dans une lettre et par haut-parleurs l’ultimatum.

    Aux check points, les chrétiens ont été reçus par des hommes qui ont mis leur kalachnikov sur la tempe de certains d'entre eux, en ont battus à coups de crosses. Des femmes ont été prévues pour fouiller les femmes chrétiennes. On a arraché leurs boucles d’oreilles et brûlé leurs passeports. Les lieux de mémoire de la chrétienté ont été attaqués : l’archevêché de Mossoul a été incendié, le couvent Saint-Georges occupé. Ces actes symboliques les ont beaucoup ébranlés. Et pour le reste de la population chrétienne en Irak, il s’agit d’un traumatisme énorme.

    Quel sentiment domine aujourd’hui parmi ces chrétiens persécutés ?

    Une forme de désespoir. Beaucoup d’entre eux sont jeunes et n’ont jamais connu que la guerre, les guerres du Golfe, la guerre civile latente. Ils sont épuisés. Surtout depuis 2003, où s’accumulent les tragédies horribles, attentats, enlèvements, assassinats.

    Il y a cependant quelques signes d’espérance. Quand des musulmans se sont interposés contre l’incendie de l’archevêché de Mossoul, malgré la dangerosité des djihadistes. Quand, de façon presque spontanée, des musulmans ont manifesté à la sortie de la messe de Bagdad, dimanche dernier, pour exprimer leur soutien.

    En revanche, les chrétiens se sentent abandonnés par l’Occident. Ce week-end, un acte de purification religieuse a eu lieu et personne n’a osé prendre la parole, ou bien tardivement, pour condamner une violation aussi grave des droits de l’homme. L’Occident détourne le regard et tolère que s’installe un califat à la mode talibane à la porte de l’Europe. La France a une responsabilité, elle doit réagir. Si elle ne l’assume pas, elle en paiera elle-même les frais, plus tard.

    Comment aider les chrétiens d’Irak ?

    Les chrétiens nous demandent d’être vraiment leurs frères. Il est important de leur montrer qu’ils ne sont pas seuls. Je suis très concret. Il faut agir sur place. Fraternité en Irak a lancé une opération Urgence à Ninive, pour fournir en médicaments l’hôpital de Qaraqosh, seul hôpital de la région, et qui est déjà en rupture de stocks. Nous voulons aussi leur fournir des subsistances, et des matériels tout simples, de quoi construire des bâtiments. Que tous les gens qui se sentent concernés donnent, à Fraternité en Irak, ou encore à l’Aide à l’Église en détresse, ou à l’Œuvre d’Orient, qui sont présents sur place.

    Comment jugez-vous la façon dont les réseaux sociaux relayent une information ?

    La mobilisation est belle. Mais il faut prendre garde à ne pas noircir le trait. Certains postent des images de massacre ou de crucifixion. Attention. Ne cédons pas à l’émotion, de crainte de faire grimper la panique en Irak. Nous devons tous être responsables, et ne pas dramatiser une vérité déjà suffisamment horrible. »

    Ref. Mobilisation tous azimuts pour les chrétiens d’Irak

    Une nouvelle fois, les catholiques français montrent qu’ils savent se mobiliser. Et les Belges : aux abonnés absents, comme d’habitude ? JPSC

  • Altérité et identité: apprendre à se recevoir

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    Th-Collin-1_medium.jpgComment accepter de recevoir d’un autre son identité ? Comment penser l’identité et l’altérité comme des limites créatrices ? De Thibaud Collinphilosophe, membre du conseil éditorial de Liberté politique (Dernier ouvrage paru : Sur la morale de M. Peillon, Salvator, 2013) s'adressant aux "Veilleurs" de Versailles.  Extrait :

     « ( …) 1/ L'altérité à l'origine de l'identité

    Notre époque est traversée par cette inquiétude identitaire : « Qui suis-je ? », « Que suis-je ? » Ces questions résonnent aussi bien dans notre vie personnelle que dans notre vie collective. Il y a deux manières d’y répondre, soit en s’orientant « vers l’aval », soit « vers l’amont ».

    La première consiste à dire : je suis ce que je décide d'être et je construis mon identité en m’agrégeant à tel ou tel élément de la vie sociale. C’est l’identité élective des minorités postmodernes. Je peux ainsi répondre que je suis catholique ou breton ou gay, etc. C’est le principe du communautarisme qui n’est qu’une manifestation de l’individualisme. Mon identité est relative à moi-même et, du coup, je peux avoir des identités multiples selon les heures de ma journée, mes fréquentations, etc.

    La deuxième réponse est de considérer l’identité comme d'abord réceptive. Je me reçois d'une source qui est autre que moi (orientation vers « l'amont ») : de mes parents, de ma nation, de Dieu. Voilà ce qui me constitue fondamentalement. Je suis né comme être humain. Comme vous le savez, il y a un lien intime entre les mots naissance et nature. Dans la naissance, je suis donné à moi-même comme ayant telle nature (humaine), comme étant fils ou fille de mes parents, appartenant à telle nation (là encore on retrouve la même étymologie renvoyant à la naissance, c’est-à-dire à la réceptivité et à la croissance).

    Peu à peu, je découvre ce que je suis et qui je suis en étant capable de m'approprier cette origine, en y consentant : tel est le grand mouvement de la culture dont le cœur est le culte comme le rappelle le philosophe allemand, ami de Benoît XVI, Joseph Pieper dans un beau livre Le Loisir comme fondement de la culture (Ad Solem). Pieper a écrit ce livre au lendemain de la guerre dans une Allemagne ravagée par la catastrophe et il part à la recherche du fondement sur lequel reconstruire un monde authentiquement humain.

    Seul notre accueil du don premier, celui que Dieu nous fait, nous permet de nous identifier, de découvrir notre identité. Or comment se nomme cet accueil si ce n’est le culte par lequel non seulement nous rendons à Dieu ce qui lui est dû mais aussi par lequel nous nous rendons disponibles à ce qu’Il veut nous donner. L’ouverture à ce qui est le plus Autre nous met donc en contact avec notre identité. Cette réponse au don reçu est la grande source de l'inédit dans nos vies. Lorsque la liberté répond au don, elle est pleinement responsable et de là jaillit sa réelle fécondité. Les saints restent le modèle de cette liberté pleinement responsable des dons de Dieu, de la nature et de la culture.

    En effet, plus je me reçois d'une source autre, plus je peux moi-même devenir source pour autrui : c’est la joie de la transmission que nous pouvons expérimenter dans l’éducation de nos enfants, dans nos liens d’amitié, etc. Cette fécondité présuppose ce temps d’appropriation libre de ce que nous avons reçu, une véritable maturation personnelle. Ce moment d’appropriation est essentiel. Le négliger engendre une forme d’instrumentalisation des personnes qui sont réduites à n’être que des canaux de transmission. Cela engendre dès lors un durcissement. C’est ainsi que des cultures deviennent des folklores sans vie, des objets de musée. 

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  • Abbaye de Maredret, 13/7 : concert (chant grégorien, polyphonie et orgue)

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  • Célébrer les 500 ans de la naissance de sainte Thérèse d'Avila

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    image001 (1).jpgCommuniqué de la Famille thérésienne :

    2014-2015 : 500 ans de la naissance de sainte Thérèse d’Avila 

    Madame, Monsieur, Chers amis et amies, 

    A partir d’octobre 2014, les différentes branches de la famille thérésienne s’apprêtent à célébrer les 500 ans de la naissance de sainte Thérèse d’Avila. Pendant un an, le carmel de Bruxelles, les Carmélites de saint Joseph à Bruxelles et l’Institution Thérésienne vous ouvriront leurs portes, pour redécouvrir ensemble la vie et les invitations de cette femme exceptionnelle, qui a laissé une œuvre écrite prodigieuse pour aider les baptisés à marcher et à travailler au service de l’évangile, bonne nouvelle de l’amour de Dieu pour tous. 

    Sainte Thérèse : 1515-1582 

    Jeune femme brillante et aimée de ses proches, Teresa Sánchez de Cepeda Dávila y Ahumada entre à l’âge de 20 ans au monastère de l’Incarnation d’Avila. Elle y prend le nom de Thérèse de Jésus et découvre dans la prière silencieuse (l’oraison) le lieu de l’amitié et de l’intimité avec le Christ. 

    Passionnément désireuse de partager son expérience et de la mettre au service de l’Église, elle s’engage dans la fondation de Carmels réformés(1) pour suivre de plus près le Christ dans la prière, la pauvreté et la simplicité d’une vie fraternelle. 

    Son milieu social de juifs convertis et ennoblis explique son ouverture d’esprit, son univers relationnel, sa bonne formation, son goût de la lecture. Elle a laissé une œuvre écrite prodigieuse (traités de spiritualité, œuvres mystiques, poèmes, ordonnances, etc) pour aider les baptisés à marcher et à travailler au service de l’évangile, bonne nouvelle de l’amour de Dieu pour tous. 

    En pratique d’octobre 2014 à 2015, la famille thérésienne vous proposera de nombreux rendez-vous pour découvrir toute la portée spirituelle et culturelle de sainte Thérèse d’Avila à Bruxelles et en Brabant wallon : lectures, spectacles, expositions, veillées de prière ou tables de discussions offriront l’occasion au grand public de rencontrer celle qui marqua durablement son époque, et ceux et celles qui aujourd’hui vivent de la richesse de son héritage. 

    En voici un bref aperçu :

    - Le 15 octobre 2014 : Ouverture de l'année : A l'écoute de Thérèse Stop ! Thérèse non stop : Lecture continue d'extraits de l'œuvre de Ste Thérèse d'Avila ponctuée de moments de musique. A l’église du Finistère, Bruxelles. Eucharistie à midi, et arts scéniques le soir. 

    - Durant le temps de l'Avent, en matinée : Lecture commentée de l'évangile de Marc en miroir avec l'expérience de Thérèse d'Avila. Au Carmel de Lausanne, à Saint-Gilles. 

    - Durant le temps du Carême, en soirée : Prier avec Ste Thérèse d'Avila. Un parcours de prière dans la vie guidé avec des textes de l'Écriture et des écrits de Ste Thérèse d'Avila. A Bruxelles et Louvain-la-Neuve. 

    - Teresa, je voudrais te dire... Spectacle de théâtre mis en scène par Dominique Davin, de l'Argile Théâtre, à partir du livre « Chère Thérèse », de Claude Plettner, paru chez Bayard en 2011. A Bruxelles et Louvain-la-Neuve, en mars. 

    - Octobre 2015 (dates et lieux à préciser): Veillée de prière et Colloque : « Le judaïsme et l’islam ont laissé des traces dans la vie et l’œuvre de Sainte Thérèse? Sa mystique pourrait-elle faire avancer le dialogue interreligieux? Peut-elle apporter une réponse à la recherche de sens de nos contemporains? » A Bruxelles, au centre I.T.O.U.CH. 

    Dans un dossier proposé par l’équipe d’organisation, vous pourrez en apprendre davantage sur la vie de sainte Thérèse, sur la vie de ceux et celles qui la suivent aujourd’hui (religieux et laïcs), et connaître le détail des activités dont l’agenda ne cesse de s’étoffer !  

    Ces renseignements vous seront proposés fin août-début septembre. 

    Merci d’avance de bien vouloir leur réserver un bon accueil ! 

    Renseignements complémentaires : familletheresienne500@gmail.com

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    (1) L’Ordre du carmel existe depuis la fin du XIIème siècle ; certains font même remonter ses racines à l’expérience érémitique des Pères du désert. 

  • BXL (Koekelberg), 29 juin : grande journée "Maranatha" dédiée au Coeur de Jésus

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    arton5514-c02f2.jpgUN CŒUR COMME IL N’Y EN A PAS D’AUTRE !

    Grande journée « Maranatha » le 29 juin 2014

    en la solennité du Cœur de Jésus

    à la Basilique de Koekelberg (Bruxelles)

    avec Mgr Léonard

    Le 29 juin prochain, dans l’après-midi et la soirée, Mgr Léonard présidera, en la Basilique de Koekelberg, une grande journée « Maranatha », du nom qu’il a donné à un large mouvement d’intercession et d’action pour la conversion du cœur humain (à commencer par le nôtre !) et la guérison de l’humanité. C’est déjà sous ce vocable qu’avait été vécu, le 9 mars 2013, un grand rassemblement en cette même Basilique nationale et, en août 2013, un pèlerinage en Terre Sainte, avec près de 600 personnes venues de plusieurs pays.

    Le nom de ce mouvement international (« Maranatha ») est emprunté à l’avant-dernier verset de la Bible, au terme de l’Apocalypse (cf. Ap 22, 20), et a, par ailleurs, fourni le contenu de la devise épiscopale de l’archevêque de Malines-Bruxelles : « Oh oui, viens, Seigneur Jésus ! » Vous trouverez ci-dessous le programme de la journée du 29 juin prochain.

    Une journée dédiée au Cœur de Jésus

    Le 29 juin, nous fêterons la solennité des saints Apôtres Pierre et Paul et il en sera, bien sûr, fait mention. Mais, avec l’aimable permission de ces deux colonnes de l’Église, les organisateurs de ce rassemblement ont décidé de célébrer par priorité la solennité différée (de deux jours seulement !) du Sacré-Cœur de Jésus, ainsi qu’il convient en la Basilique nationale du Sacré-Cœur !

    En effet, au cours de ce rassemblement, nous allons, grâce à plusieurs intervenants, mieux comprendre la réalité profonde du Cœur du Christ et la manière dont nous sommes appelés à la vivre concrètement. Et, durant la célébration de l’Eucharistie, les participants seront invités à se consacrer au Cœur de Jésus à titre personnel, mais aussi au nom de toutes les provinces belges qu’ils représenteront.

    Programme

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  • La force évangélisatrice du chant grégorien

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    Lu sur le site de l’hebdomadaire « Famille chrétienne », sous la plume de Jean-Marie Dumont :

    una-voce-logo.png« L’Association Una Voce, qui cherche à développer la place du chant grégorien, fête cette année ses 50 ans.

    Midi sonne en plein cœur du 15e arrondissement de Paris. À quelques centaines de mètres du siège social de l’association Una Voce dont il est le président, Patrick Banken ne cache pas son enthousiasme. Cet homme posé et souriant, d’âge mûr, pilote en effet la célébration, les 4 et 5 octobre prochains, du cinquantenaire de cette association pour la promotion du chant grégorien.

    Il raconte : « Pendant toute une partie de ma vie, j’ai travaillé à l’étranger. Lorsque je revenais, il m’arrivait de m’arrêter dans un monastère : j’étais mélomane et j’aimais l’ambiance monastique. À force d’entendre du chant grégorien, ce chant est entré en moi. Je venais d’une famille à la foi peu enracinée et ce chant m’a converti, m’a permis de redécouvrir mes racines et de redevenir catholique pratiquant ».

    Selon lui, les conversions par le chant grégorien « ne sont pas rares ». « Notre association dispose de nombreux témoignages de personnes que ce chant a retournées. »

    Le grégorien,un chant pour accompagner la prière de l’Église.

    L’Association Una voce a été créée en 1964, par des laïcs indisposés par les changements liturgiques brutaux qui affectaient la vie des paroisses françaises avant même la fin du Concile. Cinquante ans après, le contexte a évolué, mais les défis relatifs au chant d’Église demeurent. Pas de changement, donc, dans cet objectif que s’est fixé l’association : sauvegarder et développer le chant grégorien dans les paroisses. « Il y a incontestablement un regain d’intérêt pour le chant grégorien, poursuit Patrick Banken. Malheureusement, ce n’est pas toujours un intérêt liturgique. C’est bien d’écouter ces chants lorsqu’on est dans les bouchons, mais c’est avant tout un chant pour accompagner la prière de l’Église. »

    Dans ce contexte, l’association Una Voce entend se mettre « au service ». « Il ne s’agit pas de se mettre à chanter de but en blanc toute la messe en grégorien. En revanche, réintroduire une pièce comme un kyriale, un Alleluia, un Credo, ou bien un chant à la Vierge comme le Regina Coeli, c’est accessible à tout le monde ! » Cela ne demande, dit-il, « pas beaucoup d’effort », et l’association qu’il dirige se dit prête à soutenir, à la suite d’autres initiatives similaires, les personnes qui, dans leurs paroisses, souhaitent réintroduire cette forme de chant dont le concile Vatican II disait qu’il est « le chant propre de la liturgie romaine » et qu’il doit « occuper la première place ». 

    50 ans d’engagement en faveur du chant grégorien

    « Le chant grégorien, chant liturgique paroissial » : c’est autour de ce thème que l’association Una voce réunira dans trois mois et demi (4 et 5 octobre) dans les salles de l’église Sainte-Jeanne-de- Chantal, à Paris, ses membres et, plus généralement, toutes les personnes s’intéressant au chant sacré d’Église.

    Invités d’honneur de cet anniversaire : Mgr Marc Aillet, évêque de Bayonne, Lescar et Oloron, qui célébrera la messe dans la forme extraordinaire du rite romain le dimanche, et Dom Jean Pateau, Père abbé de l’abbaye Notre-Dame de Fontgombault, dans l’Indre. Plus de mille personnes sont attendues. Originalité de l’événement : les interventions des tables rondes seront entrecoupées de mini-concerts donnés par différentes chorales s’étant portées candidates à l’interprétation de pièces grégoriennes. Plus d’informations : www.unavoce.fr.

    Réf. La force évangélisatrice du chant grégorien

    Pour la Belgique, signalons aussi les mérites de l’Académie de Chant Grégorien, active à Liège http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com, à Bruxelles et dans le Brabant wallon. Cette association dispose aussi d’une revue trimestrielle et  d’un site web  que l’on peut consulter ici : http://www.gregorien.be  JPSC 

  • Banneux Notre-Dame, 30 juillet-3 août : Festival Marial des Familles

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    INSCRIPTIONS