Suivi de : Office du vendredi saint à Saint-Jacques à 19h 30
+ temps libre pour les confessions jusque 21h 30
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Suivi de : Office du vendredi saint à Saint-Jacques à 19h 30
+ temps libre pour les confessions jusque 21h 30
|
Pour vous inscrire au Forum du 1er mai : inscription en 1 clic ici Vous souhaitez plus d'informations ? Visitez le site du forum : www.forumdu1ermai.be |
... à Lima (Pérou) :
Pérou : la plus grande marche pro-vie d’Amérique latine (source : médias-presse.info)
Pour la troisième année, Lima a accueilli la grande Marche pour la vie et cette année, les Péruviens sont entrés dans l’histoire en réalisant probablement la plus grande manifestation pro-vie de l’histoire de l’Amérique latine avec la participation de 150.000 à 300.000 personnes.
Des enfants, des jeunes, des adultes ont marché dès 9h du matin le samedi 22 mars. Ils se sont réunis au croisement des avenues Brasil et Javier Prado et ont marché jusqu’au Campo de Marte .
Les photos sont impressionnantes mais cela n’a pas empêché des articles défavorables comme celui de l’agence Andina, qui titrait ridiculement « Une centaine de personnes se sont mobilisées dans les rues de Lima ».
Les photos aériennes nombreuses qui peuvent se voir sur le site Facebook des organisateurs ne sont pas reprises dans la majorité des journaux péruviens qui ont minimisé la participation et utiliser des photos de petits groupes.
Aujourd’hui 25 mars, jour de l’enfant à naître, fête reconnue par l’état péruvien depuis 2002, sont également organisées des marches à Piura, Trujillo, Iquitos, Huancayo et Arequipa.
Au contraire de ce qui se passe en Europe et même en Espagne, où les évêques ne se font plus voir en public dans des manifestations depuis 2005, le cardinal de Lima est monté sur le podium pour parler à la foule immense et a encouragé à respecter la vie : « Le Pérou dit oui à la vie et non à l’avortement » a dit le cardinal
Au Pérou, l’avortement est illégal dans la pratique. Le ministre de la Santé, Midori de Habich, a annoncé le jeudi 19, que le gouvernement approuverait d’ici juin un guide technique qui régulera l’avortement thérapeutique. En réalité, il s’agira d’une manipulation pour que la loi actuelle, très stricte et efficace, se transforme en passoire.
Les groupes pro-vie du Pérou ont pris conscience de la nécessité d’agir et de s’organiser depuis 2009 quand le pays à légaliser la pilule du lendemain, une pilule qui a des effets abortifs.
Les lobbies pro-avortement prétendent qu’il y aurait au Pérou 370.000 avortements illégaux par an. Ces chiffres sont tronqués. Par comparaison, l’Uruguay, qui a déjà soufflé son triste premier anniversaire de légalisation de l’avortement, a indiqué 6.600 avortements par an pour un pays plus urbain, petit, et très déchristianisé. Le Pérou a dix fois la population de l’Uruguay : s’il était aussi déchristianisé et urbanisé, on atteindrait les 60.000 avortements. Mais, comme le pays reste plus conservateur et religieux, a une population rurale importante avec de mauvais moyens de communications, et étant donné que l’avortement est illégal et socialement mal perçu, les chiffres réels ne doivent pas excéder les 20.000, peu-être moins. Trop déjà d’un point de vue pro-vie mais pas l’épidémie que décrivent les pro-avortement pour obtenir la légalisation de ce crime.
Eglise Sainte Marie-Madeleine, Rue de la Madeleine 1, 1000 Bruxelles (Gare Centrale)
Pour offrir vos services, cliquer sur l'image pour accéder au formulaire
PROGRAMME
Kyrie - Messe en si mineur Bach 1685 -1750
When David heard Weelkes 1576 – 1623
Sleep Fleshly birth Ramsey 1590 – 1644
Rejoice in the Lord Purcell 1659 - 1695
Allemande – 4e suite pour violoncelle Bach
Dona nobis pacem - Messe en si mineur Bach
Ave Maris Stella Monteverdi 1567 - 1643
Pulchra Es Monteverdi
Lamentations part 1 Tallis 1505 - 1585
Pur ti miro Monteverdi
Beatus Vir Monteverdi
lundi 24 mars à 20h,
l’asbl Femme/Homme & Foyer organise une
conférence
« Enfants généalogiquement modifiés :
quelle parenté ? »
avec Diane Drory, psychologue et psychanalyste
et Jehanne Sosson, spécialiste en droit de la famille et professeur UCL.
Centre culturel de Woluwé-S-Pierre, Av. Ch. Thielemans, 1150 Bruxelles.
À Banneux Notre-Dame
Du 30 juillet au 3 août 2014
« FESTIVAL MARIAL DES FAMILLES »
Thème : « Quelle place pour la famille dans le monde d’aujourd’hui ? »
« Devenez des fils de lumière » (Jean 12, 36)
Du 30 juillet au 3 août prochain aura lieu à Banneux la troisième édition du festival Marial des familles organisé par les prieurés de la communauté Saint Jean de Banneux, de Libramont et de Bruxelles.
Cinq jours de joie, de vie de famille, de vie de la foi, d’approfondissement et de réflexion sur des grands sujets qui touchent aujourd’hui les familles, les parents et les enfants. Tous les membres de la famille sont conviés, des bébés aux grands-parents, en couple ou famille monoparentale.
Diverses activités sont prévues en fonction des âges des enfants, ceux-ci étant pris en charge par des frères et sœurs de la communauté ainsi que par des jeunes. Les tout petits sont confiés à une équipe de nurserie. Pour les adultes, sont programmés des conférences, des ateliers thématiques et des temps en couple, le tout entouré de moment de prière et de fête.
Pour plus de renseignements et inscriptions, rendez-vous sur le site :
Réservation auprès de frère Marie-Thomas d’Aquin au +32 (0)471 68 90 70.
Retrouver ce communiqué de presse sur KTO à partir du lien ci-dessous : séquence 2’25 à 3, 25 : http://www.ktotv.com/videos-chretiennes/emissions/agenda/agenda-agenda-du-21-fevrier-2014/00082638
DIMANCHE 30 MARS 14H : MARCHE POUR LA VIE
Action pour la famille-Actie gezin vous invite à venir très nombreux à la quatrième Marche pour la vie qui partira du Mont des Arts (près de la Gare centrale) à Bruxelles dimanche 30 mars à 14h. Voir www.march4life.be
Action pour la famille-Actie gezin promeut une culture de vie et le respect de la vie humaine de la conception à la mort naturelle, en accord avec le droit à la vie, fondement de tous les autres droits, en conformité avec la Déclaration universelle des droits de l'homme de 1948. En particulier, Action pour la famille est en faveur de mesures législatives et sociales qui limitent fortement les avortements et les euthanasies. Dans cette perspective et en vue des élections du 25 mai prochain, nous défendons les propositions ci-dessous :
1. Soutenir les femmes et les aider à ne pas recourir à l'avortement en les écoutant d'abord, sans les culpabiliser et en les aidant à garder leur enfant. La loi de 1990 précise que les femmes doivent recevoir une information claire et complète sur toutes les aides et avantages disponibles, ainsi que sur « les possibilités offertes par l’adoption de l’enfant à naître ».
2. Appliquer strictement la loi. Selon la loi, l’avortement est dépénalisé lorsque sa grossesse place la femme «dans une situation de détresse ». Il revient au médecin seul, et non à la femme concernée ou à des tiers, d’évaluer cet état de détresse. Or l’ « absence de souhait d’enfant pour le moment » est la raison le plus souvent invoquée (18% en 2011) pour justifier une interruption de grossesse. La brochure du Centre d’Action Laïque (CAL) distribuée dans les écoles prétend qu’aucune justification n’est demandée (page 9) lors d’une demande d’interruption de grossesse, ce qui est contraire à la loi. L'avortement n'est pas un droit. En vertu de sa liberté de conscience, un médecin peut toujours refuser de pratiquer un avortement.
3. Libérer la parole sur les conséquences psychologiques éventuelles. L'avortement est un acte violent puisqu'il consiste à mettre la fin à la vie d'un enfant à naître. De nombreuses femmes sont confrontées à des problèmes psychologiques immédiatement après avoir subi un avortement ou parfois des années plus tard. Un accompagnement psychologique doit être proposé suite à une interruption volontaire de grossesse. Les problèmes psychologiques sont plus importants si l’avortement est tardif. C'est pourquoi, nous sommes favorables à ce qu'une interruption volontaire de grossesse ne puisse avoir lieu qu'endéans les 10 semaines qui suivent la conception (au lieu de 12 semaines actuellement).
4. Modifier la loi pour interdire les avortements dits "thérapeutiques", lorsque la grossesse ne met pas la mère en danger. De nombreux avortements sont pratiqués au-delà du délai légal de 12 semaines, en invoquant des malformations graves ou des maladies incurables de l'enfant à naître. Le rapport de la commission de contrôle les évalue à 95 pour l’année 2011. Or, on estime leur nombre réel à plus de 600 par an. Cette dérive inquiète fortement les associations de défense des personnes handicapées qui considèrent ces avortements sélectifs comme une discrimination à leur égard.
5. Dispenser une éducation affective dans les écoles qui mette en valeur l’amour vrai, le don généreux de soi et la joie de faire le bonheur de l'autre, plutôt que de donner des cours d'éducation sexuelle qui se limitent à des instructions techniques sur la bonne utilisation des méthodes contraceptives. Les conséquences dommageables de relations sexuelles très précoces sur l'équilibre affectif sont souvent sous-estimées. L'abstinence et la maîtrise de soi doivent être revalorisées, surtout pour les très jeunes.
6. Modifier la loi en stipulant que l'accord des parents soit requis pour les femmes de moins de 18 ans qui demandent une interruption de grossesse. En outre, le fait d'être mineure ou étudiante ne suffit pas à placer la femme enceinte dans une situation de détresse et ne justifie pas à lui seul un recours à l'avortement.
7. Protéger les droits des femmes enceintes à l’égard de leur employeur et garantir leur emploi. Il reste beaucoup à faire pour harmoniser l'activité professionnelle avec la vie familiale, pour les hommes comme pour les femmes. Action pour la famille reste favorable à l’instauration du salaire parental.
Plus globalement, nous devons travailler à mettre en place les conditions sociétales favorables à la promotion d'une authentique culture de vie. C'est pourquoi il nous faut lutter contre les situations de précarité où une grossesse non-désirée met une femme dans un état de détresse. La grande pauvreté, la solitude, l’absence d'environnement familial stable, les pressions sociales et culturelles, sont autant de facteurs qui font obstacle à l’accueil de l’enfant à naître.
http://www.actiegezin-actionfamille.be/welkom-accueil?lang=fr