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conférences, spectacles, manifestations - Page 3

  • Les dimanches 25 février et 3 mars prochains à 15h00, deux concerts « Musique d’Europe » en l’église du Saint-Sacrement (Bd d’Avroy, 132, 4000 Liège) :

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    Pour le dimanche 25/02/15h :

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    'Voyage' par le Nathan guitar duo

    Foliamusica, en partenariat avec l'ACDM présente deux jeunes talents du conservatoire Royal de Liège, Nathan Andrien & Nathan Nepper qui, sous le titre de « Voyage » interpréteront des oeuvres classiques (Chopin, Debussy, Granados...)

    Suivi du verre de l'amitié. 

    Pour le dimanche 03/03/15h :

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    Les Suites pour violoncelle de Jean-Sébastien Bach 

    Georges Charbonnel, violoncelliste, interprétera pour vous les suites pour violoncelle de Jean-Sébastien Bach. Il est professeur de violoncelle et de Musique de Chambre. Il fait partie de nombreux ensembles, tant baroques que modernes

    Suivi du verre de l'amitié 

    Organisation par Foliamusica (www.foliamusica.be), en partenariat avec l’ACDM (www.acdm.eu)

    Foliamusica 421889513_122121884894148289_2839773994045389002_n.jpg 

    PAF : 15€, réduction carte adhérent 10€, étudiant – de 25 ans : 5€, carte adhérent pour tous les concerts ADM et Foliamusica: 20€. Réservation par email : cecile.leleux.be@gmail.com, ou tel. 0473.32.19.83 

  • À Liège, le vendredi 2 février 2024 : célébration festive de la Chandeleur en l’église du Saint-Sacrement (Bd d’Avroy, 132).

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    La Chandeleur tire son nom de la fête des chandelles, la « festa candelarum » en latin. Il s’agit d’une fête chrétienne, qui met fin au cycle de la Nativité, après Noël et l’Epiphanie.  La date du 2 février correspond aux 40 jours après la naissance du Christ, donc après Noël. C’est dans ce délai que devaient être présentés les nouveau-nés au temple, à Jérusalem pour la Christ. Il s’agit également de la date à laquelle doit être retirée la crèche, selon la tradition provençale.

    Mais avant d’être une fête chrétienne, des versions païennes ont été identifiées. Dans la Rome antique d’abord avec les Lupercales, une fête de purification qui avait lieu mi-février.

    C’est le pape Gélase 1er qui aurait récupéré cette fête pour la faire entrer dans la tradition chrétienne. Des processions aux chandelles ont été organisées et des cierges bénis tous les 2 février. Et les crêpes dans tout ça ? L’histoire raconte que le pape faisait distribuer des crêpes aux pèlerins en ce jour de procession. Elles sont également censées évoquer le soleil par leur forme ronde et dorée. Un moyen de fêter l’allongement des jours et le printemps qui arrive, avec l’arrivée des premières semences.

    ••

    Extraits du chant grégorien de la Chandeleur :

    le « Responsum », (repons: chant liturgique alterné entre un soliste et un chœur dans l’office liturgique) interprété dans cet extrait par les chantres de l’Abbaye du Thoronet pour faire revivre le trésor du chant grégorien dans sa beauté et son expressivité originelles.

    L'ensemble vocal des Chantres du Thoronet, né en 2008 de la passion d’un homme, Damien Poisblaud, et d’une abbaye -l’abbaye du Thoronet, compte aujourd’hui quatre à huit chanteurs professionnels et donne des concerts à travers l'Europe entière.

    Et par ailleurs selon le style plus classique de l’abbaye de Solesmes :

  • Dans six semaines : le Congrès Mission

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    Le Congrès Mission c'est un week-end de prière, de découvertes, de rencontres, d'échanges, de réflexions pour retrouver le feu de la mission et la joie de partager l'Évangile.

    Les 15, 16 et 17 mars à la basilique de Koekelberg, des dizaines de paroisses, de communautés et de croyants présenteront leurs initiatives très concrètes d'évangélisation.

    La Fondation Jean-Paul II y aura sa place dans le village des stands, venez nous soutenir, nous rendre visite….

    Et venez nombreux participer à cet évènement extraordinaire.

    Congrès Mission - Missiecongres

    Chers amis,

    Le Congrès Mission est dans 6 semaines et nous continuons de peaufiner le programme pour vous proposer un week-end ultra qualitatif.

    Découvrez dès maintenant les thèmes de nos tables rondes et les intervenants  qui ont déjà confirmé leur présence!

    Et parce que le Congrès Mission ne saurait exister sans le soutien de nombreux bénévoles, nous avons besoin de vous!

    Vous pouvez nous aider concrètement de trois manières:

    Les thèmes et intervenants des tables rondes 

    • Être missionnaire? Oui, mais comment?

    Monseigneur Luc Terlinden, archevêque de Malines-Bruxelles

    Patrick Gillard, Frère dominicain

    • Après le scandale des abus, comment parler au monde avec délicatesse?

    Aymeric Christensen, Rédacteur en chef de l'hebdomadaire La Vie

    Tommy Scholtes, prêtre jésuite, porte-parole des évêques de Belgique

    • Se laisser évangéliser par la fragilité 

    Yves de Lespinay, chrétien attentif aux signes du Seigneur

    Thierry des Lauriers, directeur de l’association Aux captifs, la libération, association qui rencontre et accompagne les personnes de la rue et les personnes prostituées

    Adjoua de Liniers, aumônière dans des établissements de santé

    • Quel catéchèse pour la génération 2024?

    Olivier Bonnewijn, prêtre de la communauté de l'Emmanuel. Auteur de très nombreux ouvrages pour la jeunesse

    Agnès Charlemagne, auteure et animatrice d’ateliers de catéchèse, inspirée de la pédagogie Montessori

    • Transmettre la foi aux ados. Mission impossible?

    Victor, auteur de la chaîne « le catho de service » sur Instagram, Youtube, TikTok.

    Soeur Valentine, salésienne, éducatrice auprès des jeunes

    • Développement personnel, yoga, méditation... A-t-on encore vraiment besoin de Dieu?

    François Mathijsen, Docteur en psychologie, spécialisé dans les croyances et les expériences paranormales chez les jeunes

    • Nous sommes (quasi) seuls dans notre paroisse. Que pouvons-nous faire?

    Didier Kabutuka, Docteur en théologie, curé de la Paroisse de Perbais et doyen de Walhain dans le Brabant wallon

    Arnaud-Join Lambert, Professeur de théologie à l'UCLouvain, fondateur du laboratoire d'innovation ecclésiale Ecclesialab

    • Pourquoi nous aimons tant l'Église!

    Martin Van Breusegem, jeune séminariste à Namur. Membre de la communauté de l'Emmanuel

    Les places pour assister aux tables rondes étant limitées, inscrivez-vous rapidement! Vous pourrez, à l'issue du processus d'inscription, choisir les tables rondes auxquelles vous souhaitez assister.

    Je m'inscris pour assister aux tables rondes

    Annoncer le Congrès Mission

    Pour nous permettre de toucher un large public, vous pouvez nous aider en:

    • commandant ci-dessous des flyers et des affiches
    • les affichant dans vos églises, vos communautés, vos groupes de prière...
    • faisant une annonce à la fin de la messe
    • distribuant des flyers à la sortie

    Je commande des affiches et des flyers

    Vous pouvez télécharger ci-dessous des propositions d'annonces:

    Je télécharge un exemple d'annonce

    Devenir volontaire

    Vous êtes disposés à nous aider ? Devenez volontaire pour le Congrès Mission ! En tant que volontaire :

    - Vous vous engagez à vous mettre au service du Congrès Mission pendant une demi-journée ou plus
    - Vous pouvez profiter du Congrès Mission le reste du temps
    - Vous bénéficiez d’un tarif préférentiel

    Les différents services : accueil, buvette, vestiaire, logistique, intendance, garderie… Il y en a pour tous les goûts !

    Je m'inscris comme volontaire­

    Chanter dans la chorale

    Missiecongres Brussel 2022

    Aidez-nous à prier en chantant  dans le chœur de la basilique de Koekelberg lors des deux messes auxquelles assisteront plus de 1500 congressistes!

    Les musiciens sont également les bienvenus !

    La méga chorale c'est:

    • un nombre de chanteurs et de musiciens illimité: amateurs, confirmés, toutes les voix et les instruments sont accueillies
    • un magnifique répertoire
    • l'occasion de pratiquer son bilinguisme

    Quand et où?

    • 3 répétitions à Bruxelles
    • les dimanches 25 février, 3 mars et 10 mars
    • de 20h à 22h
    • Boulevard Saint-Michel 24, Etterbeek

    Comment?

    En vous inscrivant ici pour les répétitions:

    Je m'inscris pour la méga chorale

    Et en rejoignant le groupe WhatsApp de la méga chorale ci-dessous!

    Je rejoins le groupe WhatsApp de la méga chorale

    Dans la joie de vous retrouver au mois de mars!

    Annonciade Leménager et l'équipe du Congrès Mission­

    Congrès Mission 2024
    congresmissionbruxelles@gmail.com

  • De nombreux jeunes ont marché pour la vie à Paris

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    De gènéthique.org :

    Marche pour la vie : « Ce qui nous mobilise, ce qui nous enthousiasme c’est encore et toujours la vie ! »

    22 janvier 2024

    Dimanche 21 janvier, quinze mille personnes ont arpenté les rues de Paris pour défendre la vie. Cette année, la Marche pour la vie avait appelé à se mobiliser « pour lutter contre la constitutionnalisation de l’avortement et la légalisation de l’euthanasie ». Deux sujets d’actualité puisque la loi visant à inscrire dans la Constitution la « liberté de recourir à l’IVG » sera débattue le 24 janvier à l’Assemblée, et que fin février le Gouvernement devrait présenter son avant-projet de loi sur la fin de vie (cf. IVG dans la Constitution : le projet de loi adopté en Commission à l’Assemblée nationale ; Fin de vie : 18 députés mettent la pression sur le nouveau Gouvernement).

    Dix propositions pour « prendre soin des plus vulnérables »

    Avant le départ, Nicolas Tardy-Joubert, président de la Marche pour la vie, explique l’objectif : « prendre soin des plus vulnérables, des enfants à naitre, des femmes enceintes en difficulté, des personnes en fin de vie ». Il annonce les dix propositions faites par l’association, dont le refus de la constitutionnalisation de l’avortement, mais aussi celui de toute légalisation du suicide assisté et de l’euthanasie. « Ce que nous voulons c’est 100% de soins palliatifs, 0% d’euthanasie » a-t-il précisé (cf. Euthanasie : la corruption des mots précèdera-t-elle la corruption des actes ?).

    Parmi les propositions figurent la réalisation d’une étude sur l’IVG par les pouvoirs publics afin de mieux comprendre les causes et les conséquences de l’avortement, et la création « d’une mission d’études parlementaires sur le sujet ». La Marche pour la vie suggère également « le remboursement à 100 % des actes liés à une maternité, alors qu’une prise en charge à 100 % est déjà prévue pour une IVG », mais aussi de « rétablir un délai de réflexion de trois jours minimum, avant toute IVG ».

    Accompagner les femmes enceintes

    « Mettre en place une politique familiale pour combattre la précarité et accompagner tous les parents pour que l’IVG ne soit jamais un choix réalisé pour des raisons économiques » est également une des propositions faites par la Marche pour la vie qui souhaiterait que l’accouchement sous X soit encouragé « pour permettre aux jeunes femmes en difficulté de mener leur grossesse à terme et permettre ainsi l’adoption ». « Nous voulons des politiques de prévention, pas d’inscription dans la Constitution » explique Nicolas Tardy-Joubert. « Une société démocratique doit pouvoir s’interroger sur les tabous de l’avortement : l’impact sur les femmes, la considération collective de l’enfant à naître, les avortements eugéniques qui discriminent dès avant la naissance les personnes porteuses de trisomie 21 » poursuit Lucie Pacherie, chargée de plaidoyer de la Fondation Lejeune, lors de la conférence de presse.

    Défendre le droit à l’objection de conscience

    Enfin, l’association propose de « défendre le droit absolu à l’objection de conscience des personnels de santé et de protéger la clause de conscience spécifique ». « Nous devons protéger l’objection de conscience car si cette loi passe, c’est sans doute le prochain sujet pour lequel on se réunira l’année prochaine » s’inquiète le Docteur Geneviève Bourgeois, gériatre et porte-parole de la Marche pour la vie. « Accompagner la mort plutôt que de la provoquer, éliminer les souffrances, plutôt qu’éliminer le souffrant, là est notre vraie vocation » a-t-elle alerté.

    Sur le podium, Jean-Marie Le Méné, président de la Fondation Lejeune, a lui-aussi interpelé les participants. « Refuser la vie par l’avortement ou anticiper la mort par l’euthanasie obéit à la même démarche inspirée par la peur. La peur des inconnues de la vie rejoint la peur des mystères de la mort » prévient-il, en ajoutant que « donner la mort et soigner sont des actes antinomiques ». « Demain les médecins fidèles à Hippocrate préciseront sur leur plaque : “ici on ne tue pas” » s’est-il indigné. Lucie Pacherie, poursuit « dépénaliser le meurtre pour un motif “médical” rompt le contrat social et dénature la médecine » (cf. Fin de vie : une stratégie politique travaillée pour légaliser l’euthanasie).

    De nombreux jeunes

    « Nous, ce qui nous mobilise, ce qui nous enthousiasme c’est encore et toujours la vie » s’est exclamée Pascale Morinière, présidente des Associations familiales catholiques (AFC) (cf. Marche pour la vie 2023 : « Le seul droit fondamental c’est le droit à la vie »). « La vie finissante car nous portons un devoir de gratitude envers ceux qui ont tracé le chemin avant nous. La vie à naitre parce que, comme le disait la philosophe Hannah Arendt, “le miracle qui sauve le monde, c’est la naissance d’hommes nouveaux” » a-t-elle précisé.

    Les défenseurs de la vie ont répondu présent. Plusieurs délégations étrangères se sont rendues à Paris venant de Belgique, du Luxembourg, d’Espagne, de Slovaquie, de Roumanie, du Canada et du Congo.

    Brandissant des pancartes « accompagner vers la mort, pas la donner », « soigner n’est pas tuer » ou « vivre est un droit pas un choix », la « Génération pro-vie » était également présente en nombre. Une jeunesse enthousiaste prête à s’engager comme le leur ont suggéré Pascale Morinière et le Docteur Geneviève Bourgeois. Aliette Espieux s’est également adressée à ces jeunes : « chers amis, soyez le caillou dans la chaussure du gouvernement, ne cédez jamais » s’est-elle exclamée avant même que la marche s’élance.

  • Marche pour la Vie à Paris : l'émergence d'une nouvelle génération pro-vie

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    IVG : à la marche pour la vie, l’émergence d’une nouvelle « génération pro-vie »

    Reportage

    Plusieurs milliers de manifestants, dont de nombreux jeunes, se sont retrouvés dimanche 21 janvier à Paris pour « défendre la vie ». Au cœur des revendications, les débats sur la fin de vie et l’inscription de l’IVG dans la Constitution, qui devrait être discutée à l’Assemblée nationale à partir du 24 janvier.

    21/01/2024

    C’est la première fois qu’Anne-Sophie vient à Paris pour la marche pour la vie. Originaire de Lille, cette membre des Associations familiales catholiques (AFC) n’avait jamais eu l’occasion de rejoindre cette manifestation qui se réunit tous les ans en janvier depuis 2005 pour défendre la vie, « de sa conception à la mort naturelle ». Cette année, c’est sa fille de 17 ans qui l’a convaincue d’y aller.

    Au cœur des préoccupations de cette 19e édition : la loi sur la fin de vie, et l’inscription de l’IVG dans la Constitution, qui sera discutée à l’Assemblée nationale à partir du 24 janvier. « Ma fille, qui veut faire médecine, craint de voir son objection de conscience remise en question. Elle a aussi récemment accompagné sa meilleure amie dans le deuil de sa mère, et a vu à quel point les derniers moments d’une vie sont précieux et doivent être accompagnés. »

    Départ du Saint-Sulpice et drapeaux du Sacré-Coeur

    Autour d’Anne-Sophie, plusieurs centaines de personnes sont réunies sur la place Saint-Sulpice à Paris, au départ du parcours qui les mène jusqu’à Denfert-Rochereau. Difficile de s’entendre au milieu du brouhaha des enceintes, qui diffusent « Stayin’ Alive » des Bee Gees. Les pancartes distribuées aux manifestants évoquent les inquiétudes partagées par ces militants : « Accompagner la mort, pas la donner »« Soigner n’est pas tuer », ou encore « Arrêtez d’emmerder les embryons ». Certains brandissent aussi le drapeau français frappé du Sacré-Cœur. Dans les rangs de la marche pour la vie, les manifestants sont de tous les âges, mais les jeunes sont particulièrement nombreux. Tous répondent au même cri de ralliement scandé au micro : « Génération pro-vie ! »

    Benoît, 29 ans, est venu seul de Grenoble en train. « Je viens renflouer les rangs, je fais ma part. » Proche d’Alliance Vita, le jeune ingénieur se dit inquiet de la direction que prend le gouvernement vis-à-vis des questions de bioéthique. « L’euthanasie est une ligne rouge à ne pas franchir, explique-t-il sous sa casquette “Osez la vie”Quant à l’IVG, la Constitution a un côté sacré. Le fait de sacraliser la mort m’inquiète. »

    « On voit bien qu’on est les seuls dans notre classe à être pro-vie »

    « Quand on croit en Dieu, c’est important de protéger la vie qu’Il nous a donnée », insiste Timothée, 18 ans, étudiant en théologie à Strasbourg et catholique pratiquant, comme la grande majorité des manifestants. Comme beaucoup d’entre eux, aussi, le jeune homme était enfant au moment de La Manif pour tous. De l’autre côté de la place, Fleur et Capucine, étudiantes à Angers, ainsi que leur ami vigneron Arnaud, sont venus à la fois pour manifester et se retrouver. « On voit bien qu’on est les seuls dans notre classe à être pro-vie, avoue Capucine. C’était important de montrer qu’on est toujours là, mais aussi pour nous de voir qu’on n’est pas tout seuls. »

    Outre le rejet de la constitutionnalisation de l’IVG, de la légalisation du suicide assisté et de l’euthanasie, les organisateurs réclament une échographie obligatoire dès la sixième semaine de grossesse, permettant d’« entendre battre le cœur du fœtus », ou encore un délai de réflexion de trois jours avant toute IVG. Selon les derniers chiffres officiels, 234 300 IVG ont été enregistrées en France en 2022, soit 17 000 de plus qu’en 2021. « Il faut aussi encourager l’accouchement sous X en accompagnant les mères, rappelle Hedwige, 20 ans, venue du Mans. Emmanuel Macron veut enclencher une dynamique de natalité : il s’agirait de commencer par protéger la vie qui est déjà là ! »

  • France : la Marche pour la Vie 2024 répond aux urgences de l'actualité

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    Une synthèse de presse de gènéthique.org :

    Marche pour la vie 2024 : une mobilisation d’actualité

    19 JAN, 2024

    La Marche pour la vie aura lieu dimanche 21 janvier à Paris. « En 2024, notre combat sera encore et toujours d’actualité. Inscription de l’avortement dans la Constitution et légalisation de l’euthanasie ou du suicide assisté sont les deux menaces qui pèsent sur la vie humaine en France » explique Aliette Espieux, porte-parole de la Marche pour la vie. « La pression des deux lois en préparation » pousse à la mobilisation.

    « L’inscription dans la Constitution est dangereuse »

    Le projet de loi visant à constitutionnaliser l’avortement a été examiné le 16 janvier en commission à l’Assemblée nationale (cf. IVG dans la Constitution : le projet de loi adopté en Commission à l’Assemblée nationale). Il sera discuté en séance publique le 24 janvier (cf. IVG dans la Constitution : le projet de loi à l’ordre du jour de l’Assemblée nationale le 24 janvier). Le texte est ensuite attendu le 26 février au Sénat. Le Gouvernement espère réunir les parlementaires en Congrès le 5 mars pour adopter le texte quelques jours avant la Journée internationale des droits des femmes, le 8 mars (cf. Inscrire l’avortement dans la Constitution : une priorité en 2024 ?).

    ll y a eu 234 200 avortements en 2022  rappelle Aliette Espieux, porte-parole de la Marche pour la vie (cf. France : 234 300 avortements en 2022). « Cette liberté fondamentale viendra nécessairement s’opposer à la liberté fondamentale de certains médecins à ne pas pratiquer l’IVG. C’est en cela que l’inscription dans la Constitution est dangereuse » alerte-elle (cf. « L’inscription de l’IVG dans la Constitution menace la liberté de conscience du personnel médical »).

    Opposée au texte, la Marche pour la vie propose de réaliser « une étude sur l’IVG (..) pour mieux comprendre les causes et les conséquences de l’avortement ». Elle demande également la mise en place d’une politique familiale pour « combattre la précarité et accompagner tous les parents pour que l’IVG ne soit jamais un choix réalisé pour des raisons économiques » (cf. « L’avortement est largement le résultat d’un ensemble de circonstances dont la société est en partie responsable »).

    Mobilisation pour le développement des soins palliatifs

    Autre réforme, celle de la fin de vie (cf. Fin de vie : « la volonté exprimée par le président de la République sera tenue »). Plusieurs fois reportée, la présentation du projet de loi devrait avoir lieu au mois de février, un an après la Convention citoyenne (cf. Fin de vie : La Convention citoyenne rend sa copie). Les contours principaux du texte laissent plus que « songeurs » (cf. Projet de loi sur la fin de vie : « le mépris affiché à l’égard de soignants désormais qualifiés de secouristes à l’envers »). Aliette Espieux s’indigne : « aujourd’hui, la première réponse du Gouvernement face aux souffrances d’un patient consisterait en une piqûre létale ».

    La Marche pour la vie appelle à la mobilisation pour le développement des soins palliatifs. « Aujourd’hui, 26 départements manquent encore de structures de soins palliatifs » dénonce la porte-parole du mouvement (cf. Fin de vie : Les soins palliatifs, « parent pauvre de la médecine »). « Des milliers de demandes de prises en charge sont refusées, faute de places. Il n’est pas normal également que nos personnes âgées soient seules. Le Gouvernement fait des lois à côté de la plaque » (cf. Fin de vie : « à vouloir légiférer de façon (pseudo) compassionnelle », on permet une « épouvantable aberration »).

  • Des milliers de militants anti-avortement se sont retrouvés vendredi sur le National Mall à Washington pour la 51e édition de la Marche pour la vie

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    De Jaclyn Diaz sur npr :

    Il fait froid et il neige à Washington, mais la Marche pour la vie continue - après la fin de l'arrêt Roe.

    19 janvier 2024

    Des milliers de militants anti-avortement se sont retrouvés vendredi sur le National Mall à Washington pour la 51e édition de la Marche pour la vie, le deuxième rassemblement de ce type depuis la fin de l'arrêt Roe v. Wade aux États-Unis.

    Les marcheurs, jeunes et moins jeunes, venus de tout le pays, ont bravé les températures négatives - environ 30 degrés Fahrenheit en début d'après-midi - et parfois de fortes chutes de neige pour porter des pancartes et des affiches faites à la main avec des slogans contre l'avortement sur un parcours qui les a conduits devant le Capitole et la Cour suprême des États-Unis.

    C'est là qu'en 2022, les juges ont annulé l'arrêt Roe v. Wade, mettant ainsi fin à la protection fédérale de l'accès à l'avortement. Alors que la Marche pour la vie de l'année dernière était plutôt un tour de victoire après cette décision, les organisateurs et les marcheurs se sont rendus à Washington cette année avec une attention renouvelée pour la suite de leur cause. Ceci alors que le pays est à quelques mois d'une élection présidentielle où les questions liées à l'avortement pèseront probablement lourd pour les électeurs.

    "Nous n'avons pas fini. Nous continuerons à marcher chaque mois de janvier au niveau national, ainsi que dans nos États, jusqu'à ce que les lois de notre pays reflètent la vérité fondamentale selon laquelle toute vie humaine est créée égale et mérite d'être protégée", a déclaré la présidente de la Marche pour la vie, Jeanne Mancini, lors d'un rassemblement avant que les marcheurs ne défilent dans le centre-ville de Washington.

    "Nous marcherons jusqu'à ce que l'avortement soit impensable", a déclaré Mme Mancini. Cette phrase a été souvent répétée par d'autres orateurs et manifestants.

    Les organisateurs de la manifestation et d'autres orateurs ont indiqué que cela signifiait qu'il fallait s'attacher à modifier les lois des États pour restreindre davantage l'accès à l'avortement.

    Lorsque l'arrêt Roe a été annulé, la décision concernant l'accès à l'avortement a été prise par les États respectifs. Depuis lors, plus d'une douzaine d'États ont adopté des interdictions totales ou quasi-totales de l'avortement. D'autres voient leurs politiques restrictives contestées devant les tribunaux.

    Des manifestants comme Kathy Johnston, qui s'est rendue à Washington depuis l'Ohio, pensent que la décision Dobbs n'est pas allée assez loin. "Mais je pense que nous étions tous conscients que cette décision allait simplement faire passer le problème du niveau national au niveau de l'État et que le combat n'était pas terminé", a-t-elle déclaré, ajoutant que la question de l'accès à l'avortement est désormais placée, à juste titre, au niveau de l'État.

    À la suite de l'annulation par la Cour suprême du droit constitutionnel à l'avortement, les défenseurs du droit à l'avortement ont déployé des efforts concertés pour soumettre la question directement aux électeurs par le biais d'initiatives électorales et d'autres mesures visant à inscrire des protections dans la législation des États.

    Des États comme l'Ohio ont soumis le droit à l'avortement à la décision des électeurs. Dans les cas où cela s'est produit, les partisans de l'avortement ont perdu. En novembre dernier, les électeurs de l'Ohio ont approuvé un amendement à la constitution de leur État visant à garantir le droit à l'avortement et d'autres droits génésiques.

    C'est pourquoi les militants anti-avortement se préparent encore à une "longue, très longue lutte" pour mettre fin à l'avortement, a déclaré Leszek Syski, un marcheur du Maryland qui participait à son 50e rassemblement de la Marche pour la vie. "En fin de compte, nous ne voulons pas seulement rendre l'avortement illégal", a-t-il déclaré. "Nous voulons rendre l'avortement impensable.

    D'autres participants à la Marche pour la vie, comme Julie Womer, originaire de l'Iowa, continuent de penser qu'une action du gouvernement fédéral visant à restreindre l'avortement de manière générale est l'avenir idéal pour les partisans de la lutte contre l'avortement comme elle. "Il serait formidable que la vie soit protégée au niveau national et que chaque État n'ait pas à se débrouiller seul", a déclaré M. Womer. "Mais je pense que dans l'immédiat, si les États sont en mesure de protéger la vie sur leur territoire, c'est aussi un grand pas en avant.

  • L'Eglise doit-elle adapter sa doctrine ? (Etienne Montero)

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    De RCF :

    L'Eglise doit-elle adapter sa doctrine ? - Etienne Montero

    8 novembre 2023

    L’Eglise doit adapter sa doctrine à la société moderne, entend-on souvent aujourd’hui. Mais comment distinguer un vrai développement d’une corruption ? C'est à cette question redoutable que l'Union, le Cercle Royal des Etudiants Catholiques de Liège, l'asbl Sursum Corda et le Centre culturel Ile-de-Meuse, ont voulu apporter des éléments de réponse en invitant le mardi 07 novembre 2023, en la salle Saint Lambert de l'Espace Prémontrés à Liège, l'Abbé Etienne Montero. Licencié en théologie et Docteur en droit, Etienne Montero a été un Doyen remarqué de la Faculté de Droit de l’Université de Namur avant d’être ordonné, en 2017, prêtre de l’Opus Dei puis ensuite Vicaire Régional pour la Belgique.

  • Philo à Bruxelles, 23 janvier : la République de Platon, métaphore ou modèle politique ?

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    Logo 'Philo à Bruxelles'.

    INVITATION CONFÉRENCE

    Mardi 23 janvier, à 19h30, venez philosopher sur le thème

    « République de Platon : métaphore ou modèle politique ? »

    Adresse sur place : Salle - FCE - Rue du Cornet, 51 1040 Bruxelles

    Depuis chez vous : Vous pouvez également suivre la conférence en direct ici.

    P.A.F. libre :

    Participez à l’enseignement de la bonne philosophie !

    Affiche de la conférence intitulée 'République de Platon : métaphore ou modèle politique ?' présentée par Stéphane Mercier. L'événement est organisé par 'Philo à Bruxelles' et se tiendra à 19h30 le mardi 23 janvier 2024. L'image montre le Mont des Arts de Bruxelles avec ses jardins au coucher du soleil.

    Un autre aspect saillant et classique de la pensée platonicienne est exposé dans sa République, qui ne se résume pas à la Caverne et aux Idées. S’agit-il, dans le chef du philosophe athénien, d’une cité idéale, ou « seulement » d’une métaphore politique pour parler, en réalité, de l’âme humaine ? Les deux lectures, politique et psychologique, s’excluent-elles ou doivent-elles être tenues pour complémentaires ? Et que penser d’une politique inspirée de Platon ? Le dogme politique du marxisme n’a-t-il pas l’ambition de réaliser, à sa façon, le projet de la république du philosophe athénien ? Et le Platon des Lois n’est-il pas le premier à rompre avec les ambitions politiciennes de la République ?

    Aristote et saint Thomas, une fois encore, nous fourniront un contrepoint pour l’évaluation des régimes politiques, à l’aune des débats initiés en Grèce antique. Plus généralement, la vie agitée du monde grec, à l’époque classique, demeure à ce jour une source d’inspiration, qu’il s’agisse de réfléchir à la signification de la démocratie ou de ce que la géopolitique contemporaine désigne volontiers comme le « piège de Thucydide ». Les penseurs du politique, en Grèce, ont décidément rang de classiques de l’histoire de l’organisation étatique en Occident.

    Inscription en un clic

    Programme 2023-2024

    Le thème de cette année est consacré aux « Classiques » de la Philosophie.

    C’est un cycle de conférences…
     • pour les esprits curieux, venant à la rencontre de la philosophie pour la première fois.
     • ou pour ceux qui ont déjà eu la joie de philosopher avec Stéphane Mercier lors des précédentes sessions.

    • L’accès aux conférences est ouverte à tout le monde :
       - Sur place à Bruxelles : Rue du Cornet 51.
       - ou également ici, en ligne : en diffusion vidéo sur YouTube.
      P.A.F. libre : participez à l'enseignement de la bonne philosophie !
       
    • À l'issue de la conférence, nous aurons le plaisir de partager un moment de convivialité autour d'un verre, favorisant les échanges enrichissants avec le conférencier et tous ceux qui se joindront à nous sur place.
       
    • Toutes les conférences sont disponibles ensuite sur le site www.philo.brussels. Il suffit de souscrire à un accès illimité, pour un prix très modique. Grâce à votre participation, nous avons la joie de poursuivre nos soirées de philosophie pendant de longues années…

  • Le Congo n’est pas digne de la démocratie ?

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    1. RD Congo : Elections ou comment tuer la démocratie !

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    7 janvier 2024,  dans la « Libre Afrique », Hubert Leclercq cède la parole à l’opinion de Jean-Claude Mputu :

    Jean Claude Mputu est le directeur adjoint de Resource Matters (ONG) :  Il accompagne les partenaires des Resource Matters et coordonne leurs actions en vue d’en augmenter l’impact sur le terrain. Il coordonne aussi le volet électricité de leurs programmes.

    Titulaire d’un doctorat en Relations Internationales, Jean Claude Mputu a longtemps travaillé comme chercheur à l’Université de Liège avant de rejoindre le National Democratic Institute où il a coordonné les activités en RDC et leur programme sur les partis politiques ainsi que la participation des femmes et des jeunes en politique. Citoyen engagé, il a beaucoup travaillé avec la société civile congolaise pour le suivi des activités politiques, électorales et de gouvernance démocratique.

    Jean Claude Mputu espère, par son engagement, changer l’avenir de la RDC pour que sa population puisse enfin profiter des nombreuses richesses dont regorge ce pays. Il n’y a pas d’autres alternatives, a-t-il l’habitude de dire :

    « Ceci est le plaidoyer d’un citoyen qui voit son pays s’enfoncer dans le déni, le mensonge, la corruption et les antivaleurs »

     Mais qui malgré tout continue à vouloir croire qu’un autre avenir est possible : car il est convaincu que le Congo en vaut la peine et que les Congolais ont trop souffert. La manière dont les élections générales de décembre 2023 ont été planifiées et mises en œuvre en RDC constituent un véritable projet pour tuer la démocratie

    « C’est pourquoi, je voudrais m’interroger avec vous. Quels sont les critères d’une bonne élection et pourquoi les organise-t-on ? Si les élections doivent permettre à un peuple de choisir librement et légalement ses dirigeants en toute indépendance, transparence, alors qui peut me dire qu’en décembre 2023, la RDC a connu des élections ?

    « Au commencement de tout il y a eu la corruption et le mépris des lois pour désigner Kadima comme Président de la CENI. Malgré les protestations des Églises catholique et protestante, la communauté internationale a fermé les yeux et nous ont poussé à donner une chance à Kadima. Le peuple fatigué et victime de la tricherie de 2018 voulait des nouvelles élections et a préféré rester calme.

    Ensuite un enrôlement bâclé, avec des cartes d’électeurs qui s’effacent après quelques mois. Tout le monde a fermé les yeux. La CENI a refusé un audit externe et indépendant d’un fichier électoral inexistant, le monde a fermé les yeux, les ambassades occidentales ont rivalisé des communiqués pour soutenir et accompagner la CENI. Dans quel pays démocratique aurait-on voulu des élections sans connaître la liste des électeurs ?

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  • En mars et mai 2024 : deux retraites selon les Exercices spirituels de Saint Ignace

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    Retraites de Saint Ignace en Belgique (FSSP)

    « Les Exercices [spirituels] sont un don que l’Esprit du Seigneur a fait à l’Église tout entière : (…) instrument précieux et efficace pour la croissance spirituelle des âmes, pour leur initiation à la prière, à la méditation, dans ce monde sécularisé où Dieu semble absent. À une époque comme celle d’aujourd’hui, où la confusion et la multiplicité des messages, la rapidité des changements et des situations rendent particulièrement difficiles, à nos contemporains, de mettre de l’ordre dans leur vie et de répondre avec décision et joie à l’appel que le Seigneur adresse à chacun de nous, les Exercices Spirituels représentent une voie et une méthode particulièrement précieuses pour chercher et trouver Dieu, en nous, autour de nous et en chaque chose, pour connaître sa volonté et la mettre en pratique. »

    Benoît XVI

    L’Œuvre des Retraites du district de France de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pierre organise cette année en Belgique deux retraites selon les Exercices spirituels de Saint Ignace :

    Une pour hommes (du lundi 4 mars au samedi 9 mars 2024)

    Une pour femmes (du lundi 6 mai au samedi 11 mai 2024)

    À la Maison Marie Médiatrice de toutes grâces de la Communauté des Béatitudes, à Thy-le-Château (environ 20km de Charleroi).

    Informations et inscriptions sur le site de l’Œuvre des Retraites (cf. les liens ci-dessus).

  • Université de la vie 2024 en Belgique : RDV en mars ! 

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    Université de la vie 2024 en Belgique : 

    RDV en mars ! 

    Parier sur la vie, est-ce raisonnable ? 

    Peut-on encore PARIER SUR LA VIE et sur l’AVENIR aujourd’hui ? Comment ? Ces questions vous habitent ? L'Institut Européen de Bioéthique vous propose de participer à la formation bioéthique conçue par Alliance Vita et que nous replaçons dans le contexte belge. 

    Vidéos, témoignages, échanges autour d'invités locaux ponctueront ces soirées. Experts et témoins croiseront leurs regards sur les enjeux qui traversent notre temps : bien vieillir, désir d'enfant, éducation affective et sexuelle, questionnement de genre… 

    Ne manquez pas ce rendez-vous unique !

    En Belgique, pas moins de sept villes organisent la formation.  

    Bruxelles, Tournai, Mons, Hannut, Liège, Namur et Louvain la Neuve. 

    BRUXELLES
    7-14-21-28 mars 
    à 20H
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    Fondé en 2001 et basé à Bruxelles, l’Institut Européen de Bioéthique (IEB) est un centre d’étude en matière d’éthique biomédicale. Ses experts travaillent en étroite collaboration avec le milieu universitaire et les professionnels de la santé.

    Indépendant de toute structure institutionnelle, l’IEB cherche à informer, former et sensibiliser les citoyens, les professionnels de la santé ainsi que les décideurs politiques sur les enjeux bioéthiques, dans le souci d’une éthique basée sur la promotion de la personne humaine et de sa dignité.

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