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conférences, spectacles, manifestations - Page 4

  • C'est demain ! Invitation vernissage et exposition de peintures au profit de KTO Belgique

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    Chers amis de KTO Belgique,

    Le vernissage de cette belle exposition est dans 2 jours !

    Il sera suivi de 3 jours d'exposition pendant lesquels vous pourrez choisir des cadeaux de Noël ou vous offrir des tableaux, cartes de voeux, sets de table… et soutenir KTO Belgique par la même occasion !

    Retrouvez toutes les informations ci-dessous, nous nous réjouissons de vous y retrouver et de faire plus ample connaissance autour d'un verre !

    À jeudi !

    Philippe Le Hodey                                Lambertine de Béthune

    Président de KTO Belgique                    Directrice

    Invitation vernissage KTO Belgique du 28.11.24 au 01.12.24

    Venez y découvrir de jolies peintures,
    des sets de tables élégants, des cartes de voeux !

    Une belle occasion pour trouver vos cadeaux de Noël originaux tout en soutenant KTO Belgique.

    boulevard saint michel 24, Bruxelles
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  • Bruxelles (Cambre), 6 décembre : "Fêtons Marie en lumière" (procession aux flambeaux)

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  • Huit millions de pèlerins attendus à Goa pour l’exposition décennale des reliques de saint François Xavier

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    Du site "Ad extra" (Missions Etrangères de Paris) :

    Goa : 8 millions de pèlerins attendus pour l’exposition décennale des reliques de saint François Xavier

    La procession des reliques de saint François Xavier, de la basilique de Bom Jesus à la Sé Cathedral de Vieux-Goa, le jeudi 21 novembre.La procession des reliques de saint François Xavier, de la basilique de Bom Jesus à la Sé Cathedral de Vieux-Goa, le jeudi 21 novembre.© Asianews

    22/11/2024

    Du 21 novembre au 5 janvier a lieu l’exposition décennale des reliques de saint François Xavier à Vieux-Goa, dans l’État de Goa sur la côte ouest indienne. Près de 8 millions de pèlerins sont attendus. Le corps du patron des missions et des missionnaires repose depuis 1637 dans la basilique du Bon-Jésus de Vieux-Goa. Tous les dix ans depuis 1782, les reliques du missionnaire sont exposées à la vue des fidèles. Une messe d’ouverture a été célébrée ce jeudi par l’archevêque de New Delhi en présence de plus de 12 000 personnes.

    Les derniers préparatifs battaient leur plein ces derniers jours dans la basilique du Bon-Jésus (Bom Jesus) de Vieux-Goa, cité historique de l’État de Goa sur la côte ouest de l’Inde, et ancienne capitale de l’Inde portugaise. Le corps (sans les bras) de saint François Xavier repose en hauteur dans la sacristie de la basilique, dans une châsse, depuis 1637. Tous les dix ans depuis 1782, la châsse est abaissée et transportée en procession. Les reliques sont ensuite exposées durant 45 jours à la vue des fidèles. Il s’agit de la 18e exposition des reliques de saint François Xavier.

    Cette année, le reliquaire en argent est exposé dans la cathédrale Sainte-Catherine de Goa (également appelée « Sé Cathedral »), située à 450 m de là. Les reliques resteront exposées tous les jours, de 7 heures du matin à 18 heures. L’exposition des reliques est organisée sur le thème « Nous sommes les messagers de la Bonne Nouvelle ». Des messes quotidiennes sont célébrées durant tout l’événement, en konkani et en anglais, pour les nombreux pèlerins. L’événement, qui a débuté ce jeudi 21 novembre et qui dure jusqu’au 5 janvier, attend près de 8 millions de pèlerins.

    Plus de 12 000 personnes pour la messe d’ouverture

    Avant le début des premières célébrations, le gouverneur de Goa, P. S. Sreedharan Pillai, et le ministre en chef de l’État de Goa, Pramod Sawant, ont rendu hommage aux reliques dans la basilique, avant qu’elles soient transportées vers la cathédrale.

    Ce jeudi, une chaîne de 2 000 personnes entourait la procession des reliques jusqu’à la cathédrale de Goa.

    Ce jeudi, une chaîne de 2 000 personnes entourait la procession des reliques jusqu’à la cathédrale de Goa. Crédit : @dip_goa

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  • Bruxelles (Stockel), 23 novembre : un spectacle à ne pas manquer : Monsieur le Curé fait sa crise

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    23 novembre 2024

    Bruxelles (Stockel) - Notre Dame de Stockel

    Billets

    Heure: 20:00
    Événement: Spectacle Monsieur le Curé fait sa crise

    Synopsis : L’abbé Benjamin Bucquoy n’en peut plus : les bonnes dames de la paroisse se détestent, une pétition est lancée contre lui, son évêque ne l’écoute plus… Quand il apprend que le poste dont il rêvait est offert à un autre, il craque…et disparaît.

    C’est le début d’une aventure tendre et lumineuse où derrière le comique des situations perce un questionnement de fond : quel est le cœur de notre vocation, comment y rester fidèle malgré la lourdeur du quotidien ?

    Durée : 1h30. Tous publics.

    Mise en scène : Mehdi Djaadi

  • Des propos percutants à la Conférence sur les catholiques et la vie publique organisée par l'Association catholique des avocats (Espagne)

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    De Nicolas de Cárdenas pour l’AIIC sur le CWR :

    Le socialisme est « un ennemi de la croix », déclare un évêque espagnol

    L'évêque José Ignacio Munilla d'Orihuela-Alicante, en Espagne, a décrit le socialisme comme une idéologie « ennemie de la croix » lors de la Conférence sur les catholiques et la vie publique organisée par l'Association catholique des propagandistes (avocats) le week-end dernier.

    Lors de son exposé intitulé « Penser et agir en temps d’incertitude », Munilla a souligné que « nous ne pouvons pas faire face à cette attaque et à cette imposition systématique d’une nouvelle société uniquement par la critique et un nouveau leadership politique, mais plutôt par un mouvement de conversion. Nous ne sortirons de cette crise que par un renouveau de la sainteté ».

    Il a également soutenu que la société a besoin d'un « changement de vision du monde dans lequel nous passons du statut d'ennemis de la croix à celui de peuple de la croix » car, a-t-il souligné, « sans la croix, il n'y a pas de gloire ; c'est une grande erreur de faire une dichotomie entre la croix et le bonheur ; la croix nous conduit à la gloire, et la gloire est le bonheur complet. »

    Dans ce contexte, il a décrit le socialisme comme une « idéologie ennemie de la croix » dont les courants sociologiques et politiques sont devenus « le tombeau des peuples, dans lequel l'État-nounou résout tous les problèmes », sans faire appel au sacrifice et à l'engagement des individus.

    Il en résulte une « crise anthropologique qui s’élève au rang de loi et de précepte suprême, et qui cherche à se rebeller contre l’ordre naturel, en transformant les blessures en droits au lieu d’accepter les blessures émotionnelles, fruit de la désintégration de la famille ».

    « Nous cherchons à compenser le vide intérieur de l’homme par le consumérisme et le matérialisme, en fuyant l’engagement affectif et l’ouverture au don de la vie, et nous traitons la souffrance comme quelque chose d’incompatible avec la dignité humaine : ce monde souffre beaucoup de ne pas vouloir souffrir, de fuir la croix du Christ », a ajouté l’évêque.

    Hadjadj : Faire face à l’incertitude est une question de vie ou de mort

    De son côté, le philosophe français Fabrice Hadjadj a abordé le thème général du colloque, « Quo Vadis ? Penser et agir en temps d’incertitude », en appelant à l’implication de chacun : « Où vas-tu ? Non pas « où va le monde », car avec cette question on peut être spectateur et se contenter de se plaindre. »

    Hadjadj a souligné que vivre dans une période d’incertitude « n’est pas un défi comme les autres » mais plutôt un défi qui se configure comme une question « sinon d’honneur, du moins de vie ou de mort ». Pour cela, il faut « avoir une âme guérie, accepter d’avoir un corps meurtri par le martyre ».

    En même temps, il a souligné qu’il était inévitable de ressentir « l’émotion la moins avouable : la peur. Pas tant la peur de mourir, mais la peur d’être à la hauteur du défi, la peur de maintenir notre réputation d’être en vie ».

    Dans l’Europe postmoderne, ce défi s’incarne dans un continent, une société qui « désespère de ce qui est humain et tend aujourd’hui à constitutionnaliser l’avortement et l’euthanasie ; à réviser l’histoire coloniale, en mettant dans le même panier le conquérant et le missionnaire ».

    Il s’agit de revendications « que beaucoup imaginent liées à l’affirmation de la liberté individuelle et qui, en réalité, émanent de la mort des aspirants. Elles correspondent à l’agitation du désespoir », a souligné le philosophe.

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  • "Enfants et jeunes, quels repères pour grandir aujourd'hui ?"; 2e colloque organisé par des auteurs de la Lettre Ouverte (EVRAS)

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    Chers Signataires de la Lettre Ouverte

    Vous qui êtes Professionnels de l'enfance et de la Santé mentale, Etudiants, Enseignants, Directions d'école, Parents, Grands-Parents,...

    Nous avons le plaisir de vous faire suivre l'invitation au 2ème colloque que certains auteurs de la Lettre Ouverte organisent:

    "Enfants et jeunes, quels repères pour grandir aujourd'hui ?"

    Que se joue-t-il dans notre société quant à la santé mentale des enfants et des adolescents ? Ce colloque aura pour but d’analyser ensemble pourquoi tant dans les causes que dans les solutions, la situation stagne voire s’alourdit, et envisager en quoi de nouveaux angles de vues sont à être explorés et exploités.

    Cet événement se tiendra le vendredi 13 décembre 2024, de 8h30 à 16h00 à l'Aula Magna et rassemblera des intervenants de divers horizons.

    Plus d'infos en cliquant ICI.

    Votre participation en tant que Signataire engagé est particulièrement précieuse pour enrichir nos échanges et contribuer à une dynamique collective. Nous serions honorés de vous accueillir parmi nous.

    Merci de bien vouloir confirmer votre présence le plus rapidement possible en vous inscrivant ICI.

    Dans l’attente de vous retrouver le 13 décembre 2024 pour une journée riche en partages et en perspectives, nous vous prions d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de nos salutations distinguées.

    Les auteurs de la Lettre Ouverte

    Venez nombreux !

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    Inscription

  • "Luce" : une satire tragique de l'état actuel des dirigeants ecclésiaux

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    Du sur The Catholic Thing :

    Des occasions manquées

    10 novembre 2024

    Dans le canon romain de la messe catholique, nous parlons de « la foi catholique et apostolique ». C’est une foi fondée sur la ferme croyance que le Fils éternel de Dieu est devenu homme et a habité parmi nous, et que par sa passion, sa mort et sa résurrection, il nous a rachetés de l’enfer et nous a ouvert l’espérance de la vie éternelle en lui. Il n’y a donc rien de plus impressionnant ni de plus puissant que la foi universelle et apostolique qui vit, détient et transmet le mystère salvateur de Jésus-Christ.

    L'Église, qui a été chargée de ces mystères, dispose d'un trésor surnaturel immense et inépuisable. Ce trésor, guidé par l'Esprit Saint, contient les saints sacrements, en particulier le Saint Sacrifice de la Nouvelle Alliance, la Parole écrite de Dieu, la Sainte Tradition transmise oralement d'une génération à l'autre, les enseignements des premiers Pères, les écrits des saints et le témoignage des martyrs.

    Le trésor de l'Église contient également ses traditions intellectuelles et artistiques. Ces traditions comprennent des traités, des essais, des poèmes, de la musique sacrée, des sculptures, des peintures, des mosaïques et d'autres expressions de l'art sacré. Elles contiennent des expériences et des représentations, des symboles et d'autres représentations des choses de Dieu. Il ne fait aucun doute que le trésor surnaturel de l'Église est magnifique, beau et rempli de splendeur divine à tous les niveaux.

    Un tel ensemble de vérité et de beauté exige donc un discernement sérieux lorsqu’il s’agit d’appliquer le trésor surnaturel à la vie et aux traditions de l’Église. L’Église doit faire preuve de la sagesse du maître de maison qui « tire de son trésor ce qui est nouveau et ce qui est ancien » (Matthieu 13, 52). Lorsqu’une nouveauté est apportée, elle doit compléter et découler organiquement de ce qui l’a précédée. Comme un maître de maison, l’Église doit se méfier de l’innovation ou de la créativité éclectique. L’ancien et le nouveau doivent s’harmoniser et toujours pointer vers le mystère de Jésus-Christ et son œuvre salvifique parmi nous.

    À l’approche du Jubilé ordinaire de l’année 2025, l’Église a l’occasion de manifester Jésus-Christ, d’annoncer le salut en Lui seul, de montrer la gloire de sa voie d’amour et de souligner les splendeurs du trésor surnaturel qui découlent de notre foi en Lui.

    Ainsi, lorsque le pape François a annoncé que le Jubilé de 2025 serait un Jubilé de l’espérance, cela s’est avéré juste et a fait preuve de sagesse. Notre monde déchu a oublié l’espoir. Le faux espoir que l’humanité a placé en elle-même, dans ses structures politiques, dans le marché et dans les choses éphémères de notre monde n’a apporté que déception et désolation. Les gens sont devenus méfiants à l’égard de l’espoir, et un Jubilé de l’espérance est donc exactement ce dont notre monde a besoin.

    Un Jubilé de l’espérance est une immense opportunité d’enseigner l’espérance, de clarifier les espoirs capricieux et incomplets de notre époque, de souligner l’amour et la providence de Dieu dans les bonnes et les mauvaises choses, d’expliquer la signification du mystère pascal à un monde qui pense le savoir mais ne le sait pas, de souligner le lien entre l’amour et la souffrance, de mettre en évidence l’appel à la souffrance rédemptrice, de donner des exemples de souffrance rédemptrice parmi nos saints, de partager les témoignages des martyrs, de parler des joies du ciel et des souffrances de l’enfer, et de toutes les autres manières de développer et d’annoncer au monde : « Jésus-Christ, notre espérance. » (1 Timothée 1:1)

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  • Liège : le samedi 30 novembre à 16h00, en Avent vers Noël à l’église du Saint-Sacrement (Bd d’Avroy, 132)

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    Concert le 30/11/2024 à l'église du Saint-Sacrement. Un bain de musique sacrée et profane célébrant la solennité de la fête dans le cadre magnifique de l'église. Musique du XVIII° à nos jours: Telemann - Bach - Rameau - Händel - Jenkins...

    Le Choeur de Chambre Praeludium est un ensemble vocal dont les membres sont issus en majorité des classes de chant des académies. Il se produit régulièrement à Liège et dans le reste de la Belgique. Son répertoire est varié, allant de la musique ancienne à la musique contemporaine. Le choeur est dirigé par Patrick Wilwerth et se produit plusieurs fois par an. Il est connu pour sa convivialité, son sérieux et son travail, ainsi que pour sa recherche d'authenticité. Il collabore avec d'autres artistes pour offrir des concerts aux thématiques variées. Il est accompagné cette fois de Jean-Bernard Barnabé à la flûte, Armand Rahier au hautbois et bien sûr Patrick Wilwerth à l'orgue.

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  • Jubilé; "Luce", la mascotte de la controverse

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    D'Andrea Zambrano sur la NBQ :

    la mascotte de la controverse

    Jubilé, le Vatican mise sur les créatifs de la Gay Pride et des sextoys

    A peine présentée et déjà dans la tempête : la mascotte "Luce" du Jubilé 2025 ressemble non seulement à Greta Thunberg, mais a été créée par la designer Simone Legno, très active avec sa marque "Tokidoki". Et dans son catalogue, elle a produit des gadgets Gay Pride et une ligne de vibromasseurs. Est-il possible que le Dicastère pour l'évangélisation de Mgr Fisichella ne le sache pas ? 

    29_10_2024

    Les inévitables controverses et plaisanteries sur la mascotte du Jubilé 2025 choisie par le Dicastère du Vatican pour l’Évangélisation sont vouées à s’aggraver. Et pas seulement pour l'extraordinaire ressemblance de "Luce" avec Greta Thunberg et son inévitable imperméable jaune. La mascotte, en fait, est le résultat de la production artistique d'un designer qui a travaillé sur beaucoup de choses dans le passé, mais parmi celles-ci, il y a aussi quelques événements de la Gay Pride et même une ligne de sextoys . 

    La mascotte a été présentée lundi lors de la conférence de presse de présentation des événements culturels prévus à Rome avant l'ouverture officielle du Pavillon du Jubilé et du Saint-Siège à l'Expo Osaka et était dirigée par Mgr. Rino Fisichella, qui a conclu son discours en présentant " Luce ", la mascotte des deux événements : « Enfin et surtout, j'ai le plaisir de présenter la mascotte du Jubilé et d'Osaka ; c'est Luce , née du désir de vivre aussi dans la culture pop, tant aimée de nos jeunes", a expliqué Fisichella. «Née de la créativité de Simone Legno, Luce est la mascotte qui nous accompagnera. Comme vous pouvez le constater, c'est une pèlerine représentée avec les éléments typiques du pèlerin : le k-way jaune pour se protéger des intempéries ; les bottes sales de la terre du chemin parcouru ; la croix missionnaire autour du cou ; le bâton du pèlerin et surtout les yeux brillants, symbole de l'Espérance du cœur."

    Mais. Il est possible que le Vatican, en lui ayant confié ce travail, ne savait pas qu'il se confiait à un créateur du secteur du merchandising appliqué aux marques commerciales qui, dans son respectable carnet, contenait également des produits difficilement associables à l'Église, comme comme des vibromasseurs en forme de diable et des licornes arc-en-ciel ?

    Pourtant, il suffit de faire quelques recherches pour découvrir que Simone Legno, c'est le nom du créateur, s'occupe en réalité de nombreuses productions et établit des partenariats commerciaux pour promouvoir les produits les plus disparates avec ses "personnages".

    C'est la loi du commerce, dira-t-on, mais dans tout le monde catholique n'y aurait-il pas d'artistes capables de concevoir une mascotte pour le Jubilé et qui n'auraient pas fait carrière dans des secteurs décidément inadaptés à l'Église ?

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  • Le treizième pèlerinage Ad Petri Sedem a rassemblé un grand nombre de fidèles à Rome du 25 au 27 octobre

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    Du site de l'Homme Nouveau :

    Pèlerinage Ad Petri Sedem : Un souffle de tradition au cœur de Rome

    29 octobre 2024
     

    Chaque année depuis 2012, pendant trois jours de pèlerinage, des représentants de communautés catholiques rassemblent à Rome des fidèles, prêtres et religieux du monde entier, désireux de participer à la nouvelle évangélisation à travers la messe tridentine.

    En plein achèvement du dernier synode sur la synodalité, le treizième pèlerinage Ad Petri Sedem a rassemblé un nombre croissant de fidèles à Rome du 25 au 27 octobre 2024. Le vendredi, les pèlerins se sont réunis à Sainte-Marie-des-Martyrs (Panthéon) pour des Vêpres solennelles. Le samedi, après une adoration eucharistique et une procession vers Saint-Pierre, une messe pontificale solennelle a été célébrée à l’autel de la Chaire dans la basilique Saint-Pierre. Le pèlerinage s’est achevé le dimanche, jour de la fête du Christ-Roi, par une messe d’action de grâce.

    Le pèlerinage, qui attire chaque année un public de plus en plus large, a vu la participation de plus de 550 fidèles lors du Salut au Saint-Sacrement, selon les autorités de sécurité de la basilique. Ce succès témoigne des bonnes relations établies avec les responsables du lieu, essentielles dans un contexte où les messes traditionnelles à Saint-Pierre n’ont pas pu être célébrées depuis 2022.

    La messe du dimanche à l’église de la Trinité des Pèlerins, paroisse de la Fraternité Saint Pierre, a également attiré plus de 350 personnes, posant la question d’une éventuelle nécessité d’un espace plus grand pour les futures célébrations.

    Une diversité internationale au service de la tradition

    Le pèlerinage a vu une affluence de participants venus du monde entier, notamment des États-Unis, du Chili, et de divers pays asiatiques, signalant un intérêt croissant pour la messe traditionnelle. La présence significative de jeunes pèlerins, tant en famille que seuls, témoigne d’une quête de sens et d’authenticité dans la liturgie. Cette pluralité de nationalités et de cultures se reflétait également dans la diversité des participants.

    Les membres des principaux instituts traditionnels étaient bien représentés, et des prêtres de différents diocèses du monde entier ont également répondu présents.

    Un pèlerinage qui s’ancre dans la tradition

    Le pèlerinage Ad Petri Sedem s’affirme comme un moment fort pour les fidèles qui cherchent à affirmer leur foi dans un contexte ecclésial complexe. Les pèlerins se retrouveront l’année prochaine, dans un contexte jubilaire, promettant une nouvelle célébration de la foi et de l’héritage liturgique.

  • L’application par le Concile Vatican II du travail de Dom Prosper Guéranger, par le Dr Denis Crouan (Liturgie 50)

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    60 ans après la publication du travail liturgique de Dom Prosper Guéranger, le concile Vatican II s’ouvre et son premier travail va consister à établir la liturgie Romaine renouvelée. C’est surtout un travail « d’élagage » qui est fait à savoir qu’on supprime les doublons pour en revenir à la liturgie Romaine dans sa structure contemplative. Cependant et parce que mai 68 sera concomitant avec le concile Vatican II, cette réforme liturgique sera trahie par toute une génération en Occident. Le grégorien restitué est abandonné au profit d’une révolution progressiste cherchant la créativité perpétuelle et la désacralisation de l’œuvre de Dieu.

    Pour accéder à la totalité de la playlist :
     
    Institut Docteur Angélique

    Cours donné par Denis Crouan, docteur en théologie, en entretien interactif avec Arnaud Dumouch.

    Vidéo du site http://docteurangelique.free.fr/fichiers/InstitutDocteurAngelique.htm, les œuvres complètes en français de saint Thomas d'Aquin.

    Denis Crouan, denis.crouan@wanadoo.fr; 2022-2024

  • Le cardinal hongrois Erdö : l'éducation religieuse est de plus en plus caractérisée par le relativisme

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    De kath.net/news :

    Le Cardinal hongrois Erdö : l'éducation religieuse est de plus en plus caractérisée par le relativisme

    21 octobre 2024

    Le Cardinal à la conférence Église-État dans le cadre de la présidence du Conseil de l'UE : il existe en Occident une « offre culturelle » dans laquelle toutes les croyances religieuses sont présentées de manière équivalente

    Budapest (kath.net/KAP) Le cardinal hongrois Peter Erdö s'est plaint d'un changement profond dans l'orientation de l'enseignement religieux confessionnel dans les pays d'Europe occidentale. Au lieu d'enseigner la foi, la matière enseignée dans les écoles publiques concerne aujourd'hui « des leçons sur la religion », a déclaré vendredi le chef de l'Église hongroise dans sa ville épiscopale de Budapest. L’éducation religieuse devient alors une « offre culturelle » qui concerne l’égalité et la dignité de tous, assumant la « relativité de toutes les croyances religieuses ».

    Le traitement juridique des religions évolue également sensiblement en Europe occidentale, a poursuivi Erdö. Jusqu’à présent, la conception façonnée par les Églises chrétiennes a dominé en termes de structure, de lois et de terminologie, et les gens ont pu choisir librement l’enseignement religieux dans les écoles publiques. La condition préalable selon laquelle il n'existe qu'un petit nombre de confessions et qu'elles contrôlent et garantissent la qualité de l'enseignement par l'intermédiaire de leurs propres autorités scolaires est de plus en plus affaiblie par la présence de nouvelles communautés religieuses.

    Dans les sociétés multireligieuses, l’État a de plus en plus de mal à trouver une définition commune de la religion, des communautés religieuses et des églises, a poursuivi Erdö. Aujourd’hui, les « nouveaux types de religion » n’apportent plus les mêmes structures communautaires, une vision du monde cohérente et des implications morales comme le faisaient les Églises catholique, protestante et orthodoxe. Cela rend encore plus difficile la mise en œuvre de lois exigeant que les États traitent toutes les religions de manière égale.

    Le cardinal Erdö a pris la parole lors de la conférence « Responsabilité partagée : coopération entre États et communautés religieuses », qui s'est tenue au Musée ethnographique de Budapest dans le cadre de la présidence hongroise du Conseil de l'UE. Jozsef Steinbach, président du Synode de l'Église réformée de Hongrie, a prononcé un discours de bienvenue et le secrétaire d'État de l'Église, Miklos Soltesz, a également prononcé un discours. Un message de salutation est venu du président de l'Association des communautés juives de Hongrie, Andor Grosz.

    Le secrétaire d'État Soltesz a déclaré que les Eglises pouvaient contribuer à trouver une réponse à la "crise morale de l'Europe". Selon lui, on peut se demander si les dirigeants européens sont conscients des dangers qui menacent actuellement le continent, s'ils sont capables d'y répondre et qui peut les aider. Parmi les dangers qui menacent l’Europe, il a cité « l’hystérie de guerre », l’émergence et le renforcement d’idéologies anti-création et l’échec des politiques migratoires.

    Le président de l’Association de la communauté juive, Grosz, a mis en garde contre la montée de l’antisémitisme dans de nombreux pays à des niveaux jamais vus depuis des décennies. Depuis les attaques terroristes du Hamas contre Israël, des enquêtes ont montré que pour cent des Juifs de l'UE ont évité de porter des symboles juifs. A Budapest, cependant, les membres de la communauté juive peuvent vivre leur identité en sécurité, et le gouvernement hongrois leur garantit la chose la plus importante, « à savoir la sécurité », a déclaré Grosz. La communauté juive s’efforce d’établir « une coopération stratégique avec les organismes d’État sur une base solide ».

    Lire également : Les dirigeants européens critiqués pour avoir ignoré l'héritage chrétien