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Economie - Page 48

  • L'espérance qui ne déçoit pas est la foi en Jésus-Christ

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    comunione-e-liberazione-logomostr.jpg« L’espérance qui ne déçoit pas est la foi en Jésus Christ ». C’est ainsi que le pape Benoît XVI, dans son salut envoyé à Mgr Francesco Lambiasi, évêque de Rimini, a commenté le thème du 32ème Meeting de Rimini : « Et l’existence devient une immense certitude ». Le Meeting s’est ouvert par une célébration eucharistique à laquelle plus de 11.000 personnes ont participé.

    Cette année encore, les chiffres sont impressionnants : 115 rencontres, 26 spectacles, 10 expositions, 11 manifestations sportives, 332 intervenants, 170.000 m2 d’espaces couverts, 3270 volontaires. Des jeunes qui viennent d’Italie, d'Égypte, de Russie, de Grande-Bretagne, du Brésil, du Cameroun, du Canada, du Chili, du Costa Rica, de France, du Kosovo, de Lituanie, du Mexique, du Nigeria, d’Espagne, des Etats-Unis, de Suisse et d’Ukraine. 800 personnes (notamment des universitaires) qui, durant le pré-Meeting (du 11 au 20 août) ont travaillé gratuitement à l’organisation de la rencontre.

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  • La fin d'un monde est proche et le monde l'ignore encore

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    Englué dans diverses crises, le monde tel que nous l'avons pensé au XXe siècle se meurt. Assistons-nous aujourd'hui à la fin d'un système ? Et de quoi sera fait demain ?

     Le soulagement avec lequel, tous les ans, puis tous les mois, puis presque toutes les semaines, l’on apprend que le système est sauvé, prouve on ne peut mieux qu’il touche à sa fin. Il ne s’agit pas seulement de l’euro ou de la dette. Plusieurs ombres, venues du fond de notre histoire, planent aujourd’hui sur la France.

    L’ombre de la banqueroute, figure familière de la monarchie déclinante. L’État, boulimique, impuissant, ne doit sa survie qu’à d’éphémères combinaisons financières. Il n’a plus les moyens d’assurer la Providence. Alors il est devenu Fatalité, courant d’interdictions en réglementations après l’ombre de son autorité perdue.

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  • Démondialisation ou analyse du rôle de l’argent dans l’échelle des valeurs

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    La Nef, N°228 DE JUILLET-AOUT 2011, a publié, sous la plume de Christophe Geffroy, un article remarquable sur la "démondialisation" qu'un de nos collaborateurs synthétise ici :

    A contre-courant de la pensée unique d’aujourd’hui, selon laquelle la mondialisation serait un phénomène inéluctable et forcément positif, Jacques Sapir, économiste français, tend plutôt à démontrer l’inverse, dans un essai au titre évocateur : « Démondialisation ».

    Parmi les pavés jetés dans la marre, citons celui-ci : « Les pays qui ont associé des politiques protectionnistes à de bonnes politiques macroéconomiques connaissent des taux de croissance qui sont largement supérieurs à ceux des pays plus ouverts ». L’exemple de l’Asie montre que « ce sont ces politiques nationales qui constituent les véritables variables critiques pour la croissance et le développement, et non l’existence ou non de mesures de libéralisation du commerce international ». (cliquer sur "lire la suite")

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  • Pourquoi la Somalie meurt de faim

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    C'est (encore) sur AgoraVox :

    "Certes, la sécheresse est la cause primaire de la malnutrition, un élément déclencheur de cette catastrophe humanitaire. Cependant d’autres causes expliquent pourquoi en Somalie plus qu’ailleurs, ce drame n’a pu être endigué : les guerres tribales locales et l'absence d'Etat donc l’absence de protection des populations civiles et aussi des ONG sur place dont la sécurité n'est pas assurée, d’où de grandes difficultés à acheminer l'aide alimentaire. Les rebelles Shebab contrôlent la quasi-totalité des zones déclarées en famine. 20 ans de guerre civile menée par les milices des Shebab qui n’ont pas permis, durant plusieurs années, aux organisations humanitaires internationales de venir en aide à la population victime du désastre. L'organisation Al Chabaab, qui entretient des liens avec le réseau Al Qaïda, a interdit l'année dernière l'acheminement de l'aide alimentaire dans les régions sous son contrôle. Heureusement les ONG islamistes ont leurs entrées et la seule façon de faire passer l’aide est de passer par ces organisations en masquant l’origine des produits."

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  • La crise et les dettes publiques

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    Liberté Politique a mis en ligne un article de Jacques Bichot sur "la crise des dettes publiques" qui analyse les mécanismes de la crise à laquelle nous assistons :

    Fin juin 2011, j’écrivis pour le site Magistro un article intitulé : « Dettes publiques : le temps des pleurs est proche ». Aujourd’hui 11 août, quelques jours après que Moody’s ait ramené de AAA à AA+ la note du Trésor des Etats-Unis, le bureau des pleurs est grand ouvert et il ne désemplit pas. Que se passe-t-il au juste ? Pourquoi cette inquiétude, qui s’est traduite durant ces deux dernières semaines par une baisse d’environ 18 % des marchés boursiers occidentaux ?

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  • 130 000 milliards de dollars

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    C'est Nathalie Elgrably-Levy qui avance ce chiffre terrifiant auquel s'élèverait le montant de la dette réelle des États-Unis. Elle écrit:

    "Si l'on tient compte de tous les engagements de Washington au titre de la sécurité sociale, du régime de médicaments et de l'assurance maladie, la dette totale atteint presque 130000 milliards de dollars, soit environ 875 % du PIB !...L'Amérique est en faillite." (Journal de Montréal, 11 août 2011).

  • L'Allemagne se dépeuple...

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    C'est dans LaLibre.be :

    "Dans les rues et sur les places allemandes, les enfants et les jeunes se font de plus en plus rares : seul un Allemand sur six a moins de 18 ans. En France, un ressortissant sur cinq est un mineur; en Irlande, la proportion est de un à quatre. Le pays le plus peuplé de l’Union européenne, comptant près de 82 millions d’habitants, est la lanterne rouge pour les enfants.

    Sur les dix dernières années, l’évolution a été dramatique. Selon l’office statistique fédéral, le nombre de mineurs allemands a diminué de 2,1 millions, reculant de 15,2 millions en 2000 à 13,1 millions l’an dernier. Avec 16,5 %, la part des mineurs est la plus basse de l’Union européenne, à opposer à 22,1 % en France et 25,1 % en Irlande. Les deux autres pays les plus mal placés en Europe sont la Bulgarie (16,7 %) et l’Italie (16,9 %)." ...

    "...alors qu’en Allemagne de l’Ouest, où les convictions religieuses sont encore plus fortes, les parents de 79 % des enfants sont mariés; en ex-RDA, en revanche, cela ne vaut que pour 58 % des mineurs."


    Et Madame Merkel croit qu'elle va résoudre le problème en ouvrant des crèches...

    http://www.lalibre.be/actu/international/article/677965/un-vieillissement-qui-interpelle.html

  • La crise financière

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    En 2000, le représentant du Saint-Siège intervenait en ces termes lors de la Xème session de la CNUCED (Coonférence des Nations Unies pour le Commerce et le Développement)

    "...Un autre problème préoccupe les spécialistes:  l'accroissement disproportionné du secteur financier, comparé à l'ensemble de l'économie, qui, par le jeu d'une spéculation échappant à tout contrôle, rend plus difficile la recherche de prix équitables et rémunérateurs pour les biens produits et fait baisser les bénéfices provenant de l'activité industrielle.

    Devant cette situation, ce qui est requis, c'est un effort extraordinaire pour mobiliser les ressources nécessaires vers des objectifs de croissance économique et de développement commun et redéfinir les priorités et les échelles des valeurs pour des choix économiques et politiques capables de construire, par un travail solidaire, un développement dans un sens intégralement humain (Centesimus annus, nn. 28-29).

    Pour ce qui est du problème de la spéculation, les responsables politiques sont appelés à fixer des normes de sorte que les finances ne soient pas laissées en proie à un dynamisme sauvage. Une activité financière dérèglementée ne permet ni la fixation de prix équitables et rémunérateurs ni l'établissement d'investissements stables et durables avec la formation de relations synergiques entre capitaux locaux et étrangers.

    Le Saint-Siège est conscient que les innovations technologiques ont permis l'apparition d'un nouveau type d'économie - extrêmement compétitive et à haute intensité en matière de connaissance - et que le processus de globalisation, par l'unification des marchés, de l'espace et de la communication, a renouvelé et donné une impulsion sans précédent au monde de la production et des finances ainsi qu'au commerce des biens et des services. Le développement, la lutte contre la pauvreté et le commerce sont désormais étroitement liés entre eux.

    Toutefois, les choses qui en principe apparaissent comme des facteurs de progrès peuvent engendrer, et de fait produisent déjà des conséquences ambivalentes ou franchement négatives en particulier au détriment des plus pauvres (Jean-Paul II, Osservatore Romano, 21.9.1999, p. 9). La mondialisation doit être au service de la personne humaine et si elle ne vise pas le développement de tout homme et de tout l'homme, elle deviendra une nouvelle technique d'asservissement...

    http://www.vatican.va/roman_curia/secretariat_state/documents/rc_seg-st_doc_20000217_cnuced-unctad_fr.html

  • Dix raisons d'espérer un avenir pour la Belgique

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    Le Vif publie aujourd'hui un dossier qui démontre en dix points pourquoi la Belgique a un avenir devant elle.

    Ce dossier, réalisé par Pierre Havaux, Olivier Rogeau et Laurence Van Ruymbeke, épingle les éléments qui rendent extrêmement improbable l'éclatement du pays : une scission bien trop compliquée, le coût d'une scission (plus élevé que celui d'une réforme de l'Etat), le fait que les séparatistes sont minoritaires, Bruxelles ("noeud gordien"), le rôle de la Belgique dans l'U.E., la présence des institutions internationales à Bruxelles, la dette publique, l'imbrication économique, l'attitude des marchés, le prestige du "made in Belgium".

    C'est évident et plein de bon sens. A consulter ici : http://levif.rnews.be/fr/

  • Harry Potter : la mort d'une poule aux oeufs d'or ?

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    "Au désespoir de millions de fans du monde entier, le dernier film Harry Potter met le point final à la saga de l’élève sorcier. La machine à merchandising va encore tourner à plein régime… une dernière fois. Mais pour certaines actions, la magie continue."

    A lire sur l'Echo : lecho.be/epargner_et_investir/investir/Harry_Potter_et_les_10_actions_magiques.

  • L'euro, tiré d'affaire ?

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    "Aucun sommet européen n’aura été plus important que celui de jeudi soir. En l’absence de solutions radicales pour la crise de la dette, l’euro risquait en effet de disparaître. Les solutions avancées essentiellement par le duo franco-allemand seront-elles suffisantes ?"

    Voir l'analyse de ce sommet et de son impact dans l'Echo : "Le sommet européen a-t-il sauvé l'euro?"

  • Economie : "donner aux pauvres", le début de la réponse ?

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    C'est l'avis d'Yves Cavalier, dans la Libre, lorsqu'il affirme : " Le sentiment d’impuissance qui s’en dégage donne effectivement raison à tous ceux qui ne croient plus que l’Europe sortira indemne de cette crise. Ce ne sera sans doute pas l’apocalypse. Ce ne sera pas la fin du monde, mais peut-être la fin d’un monde, celui qui permet de vivre au-dessus de ses moyens parce qu’il est trop facile d’emprunter. Mais on ne trouvera pas de solution à l’intérieur d’un système qui désormais tourne fou. La réponse est peut-être ailleurs, en dehors du cercle vicié des prêteurs et des emprunteurs. Lorsqu’on lui disait : "On ne prête qu’aux riches", le sage rétorquait : "Oui, car aux pauvres, on donne". C’est peut-être le début de la réponse."

    Mais, les milieux d'affaires sont-ils capables d'un tel revirement ?