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Ethique - Page 257

  • Mgr De Kesel rappelé à l'ordre sur RCF

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    De RCF :

    Unions homosexuelles : Mgr De Kesel, ne soyez pas du monde!

    En voulant célébrer des unions homosexuelles accompagnées d'un temps de prière, Mgr De Kesel, primat de Belgique, est-il bien sûr d'être fidèle à l'enseignement de l'Eglise ?

  • Le message fort de Mgr Aupetit lors de la veillée pour la vie à Notre-Dame de Paris (16 mai)

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  • L'avortement, première cause de féminicide au monde

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    « L’AVORTEMENT EST LA PREMIÈRE CAUSE DE FÉMINICIDE AU MONDE »

     de genethique.org 

    « L’avortement est la première cause de féminicide au monde », c’est le slogan de la nouvelle campagne pro-vie à Rome, diffusée à quelques jours de la Marche Nationale pour la Vie italienne. L'association CitizenGO, à l'origine de cette « campagne de publicité choc », veut signifier que l’avortement est « l'une des principales violences faites aux femmes ».

    Cette campagne a commencé le 3 avril dernier par une affiche géante installée à proximité de la place Saint Pierre, que la municipalité a très rapidement fait enlever. Cette fois cependant,  « la mairie de Rome s'est déclarée incompétente, car il s'agit d'espaces publicitaires n'appartenant pas à la ville ».

    60 000 avortements ont été réalisés en Italie en 2017, selon les chiffres du Ministère de la Santé. Un chiffre en baisse notamment à cause du fort taux d’objection de conscience, 40 % selon l'hebdomadaire l'Espresso.

    Dans ce contexte, Virginia Coda Nunziante, Présidente de cette édition italienne de la Marche pour la Vie, a annoncé « que la mère de Vincent Lambert qui se bat en France pour empêcher que son fils ne meure de faim et de soif sur décision des médecins, a accepté notre invitation : elle viendra  à Rome à la Marche pour la Vie du 19 mai prochain pour nous donner son courageux témoignage » (cf. 70 spécialistes dénoncent une «euthanasie qui ne dit pas son nom» et demandent le transfert de Vincent Lambert dans une unité spécialisée ).

    Pour aller plus loin : Italie : une campagne pour augmenter la fécondité passe mal

    Sources: France Info, François Beaudonnet (15/05/2018) / Aleteia, Giovanni Marcotullio (10/05/2018) /

  • Finlande : ni euthanasie ni acharnement thérapeutique

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    LE PARLEMENT FINLANDAIS REJETTE L'EUTHANASIE ET S'ENGAGE POUR LES SOINS PALLIATIFS

     de genethique.org

    En Finlande, le Parlement a rejeté le projet de loi de légalisation de l’euthanasie à 128 voix pour et 60 contre. Il a retenu la proposition de la commission parlementaire des Affaires sociales et de la Santé qui « a proposé plutôt la création d’un groupe de travail national pour améliorer la législation des soins palliatifs ».

    Dans ce pays, les soins palliatifs remplacent « les traitements lourds qui n’améliorent pas la santé ni même le pronostic d’un patient » et, dans une perspective de fin de vie, les médecins ne cherchent pas à prolonger inutilement la vie. Ils agissent dans la perspective de soulager la souffrance sans chercher à provoquer ni hâter la mort du patient.

    Sources: Institut Européen de Bioéthique (15/05/2018)

  • Quand le pape Léon XIII promulguait l'encyclique Rerum Novarum "pour la dignité des pauvres et le salut des riches"

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    L'encyclique Rerum Novarum - Pour la dignité des pauvres et le salut des riches

    Présentée par Laurent Verpoorten 

    Dieu dans l'Histoire

    Le 15 mai 1891, le pape Léon XIII publie l'encyclique Rerum Novarum considérée comme le texte inaugural de la doctrine sociale de l'Église catholique. Dans cette encyclique, qui traite largement de la question ouvrière, le souverain pontife dénonce de manière prophétique les dérives de la pensée socialiste et les excès du capitalisme.

  • Humanae Vitae a trouvé un défenseur : PierAngelo Sequeri

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  • Communiqué de presse de la FAFCE pour la Journée Internationale de la Famille

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    Communiqué de Presse | La Famille: le point de départ pour l'avenir
     

    Bruxelles, le 15 mai 2018
     
    Aujourd’hui a lieu la Journée Internationale de la Famille, avec une attention particulière donnée au thème formulé par les Nations Unies, “Familles et sociétés inclusives”. La famille est le premier lieu d’intégration, où la valeur de chaque personne peut être accueillie dans sa singularité. Une société inclusive commence avec la famille: c'est la cellule vitale de la société et chaque société a besoin de la famille pour être réellement inclusive.
     
    Dans une conférence de presse au Parlement Européen aujourd’hui, le Président de la FAFCE, Antoine Renard, a presenté la Résolution pour un printemps démographique, délivrée par le Conseil de Présidence de la Fédération lors de sa dernière réunion à Vienne. “Notre fédération - dit-il - souhaite faire prendre conscience de cette urgence silencieuse, demandant des politiques familiales au niveau national, qui prennent réellement en compte la contribution essentielle de la famille à la société”.
     
    Le Conseil de l’Union Européenne adoptera probablement la semaine prochaine ses Conclusions sur le rôle de la jeunesse par rapport au défi démographiqueLa FAFCE constate positivement que le Conseil se penche enfin sur cette question primordiale. Cependant, c’est étonnant de voir comment ce document ignore la politique familiale comme un enjeux et une clé pour sortir de la crise.
     
    Tout en respectant le principe de subsidiarité, il est urgent et essentiel que les leaders européens discutent sérieusement de cette situation complexe qu’est l’hiver démographique. Les membres de la FAFCE sont conscients de ces grands défis anthropologiques et considèrent la famille comme une solution, le lieu où la vie est premièrement accueillie et le point de départ pour l’avenir.
    Pour cette raison, la FAFCE soutient fortement le projet de loi pro-vie qui a été proposé par une initiative citoyenne législative en Pologne. La FAFCE soutient également la requête légitime des citoyens roumains d'un référendum sur le mariage. Pour cette raison elle a suivi avec grande inquiétude le cas de Alfie Evans au Royaume-Uni et toutes les mises en danger du droit à la vie de chaque personne dans le monde. Pour cette raison la FAFCE est très préoccupée par la proposition de loi qui vise à légaliser l’euthanasie au Portugal. Dans le même temps la FAFCE soutient pleinement la campagne “Love Both" en Irlande, en faveur d’un non au référendum du 25 mai prochain: un non catégorique au référendum pour dire un oui catégorique à la vie.
     
    Au cours de la Journée Internationale de la Famille, célébrons la famille pour ce qu’elle est vraiment: la cellule de base de la société qui génère la vie pour l’avenir de notre continent. Faisons face à cette réalité claire: aucun Etat membre n’a de taux de natalité suffisant. Élaborons une véritable politique familiale et renouons avec la culture de la vie dans notre continent.
     
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    La Fédération des Associations Familiales Catholiques en Europe (FAFCE) représente 22 associations locales et nationales: nous sommes la voix des familles d'une perspective catholique au niveau européen. La FAFCE détient un statut participatif auprès du Conseil de l'Europe et fait partie de la plateforme des droits fondamentaux de l'Union européenne.
  • "Aime, et ce que tu veux, fais-le" un livre de Thérèse Hargot qu'il ne faut vraiment pas confondre avec du saint Augustin !

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    De Constance Prazel, sur Liberté Politique, ces propos critiques qu'il est bon de lire au moment ou la chaîne KTO accueille sur son plateau le duo Hargot - Gobillard au sujet du livre d'entretiens qu'ils viennent de publier. Madame Hargot, en particulier, tient des propos assez choquants et pas vraiment en accord avec une vision catholique de la sexualité... :

    Aime et fais ce que tu veux...

    L’une des plus belles prières augustiniennes, tirée de son commentaire de l’épître de saint Jean, ou slogan soixante-huitard ? L’amour dont parle saint Augustin, c’est la dilectio, l’amour désintéressé qui vient de Dieu, et duquel rien ne peut sortir de mauvais. Malheureusement, il n’est pas sûr qu’il soit toujours interprété de la sorte.

    C’est sous une forme détournée, Aime, et ce que tu veux, fais-le, qu’une « accompagnatrice » en questions affectives et sexuelles, Thérèse Hargot, a choisi d’acclimater la maxime augustinienne pour son dernier opus, écrit en dialogue avec Mgr Emmanuel Gobilliard, évêque auxiliaire de Lyon.

    La jeune femme s’est fait une spécialité de s’adresser à un public bien sous tous rapports, en utilisant un langage d’une crudité absolue pour parler de sexualité, de vie conjugale, et d’éducation affective.

    Elle le sait : son discours plaît, parce qu’il présente tous les gages de la respectabilité, et « en même temps », expression du grand écart si conforme à la France de 2018 présidée par Emmanuel Macron, il assume une expression cash qui se veut sans tabou, pour donner ce qu’il faut de frisson d’interdit aux honnêtes gens. Que pourrait-on lui reprocher, puisqu’elle inclut habilement un évêque dans son opération de séduction ?

    L’entreprise pourrait avoir quelques mérites, si elle n’entretenait une permanente confusion des genres, sans mauvais jeu de mots. Un discours qui parle volontiers, voire de manière privilégiée aux catholiques (un gauchiste libéré estimera ne pas avoir besoin des conseils de Thérèse Hargot, et ne se reconnaîtra sûrement pas dans sa rhétorique). Un discours qui se nourrit, existe par le public catholique, comme en témoigne ses nombreuses interventions dans les diocèses, les établissements catholiques du secondaire ou du supérieur. Mais un discours, in fine, de défiance et de critique à l’égard de l’Eglise experte en humanité.

    Donner la parole à l’autre est une chose saine et indispensable.  A condition que cet autre se présente comme autre, en vérité, et non dans un culte de l’ambiguïté. Dans le livre de Thérèse Hargot, la vigilance est de mise, car on se retrouve dans une conversation vécue sur le mode de l’entre-soi, de « l’entre-catho », avec des propos  trop souvent en contradiction avec le discours de l’Eglise. L’on ne saurait suivre Thérèse Hargot, quand, confortablement installée dans un fauteuil à dialoguer avec une autorité ecclésiastique, elle nous explique que « heureusement que les religieuses ont la masturbation, », « seul moment où [leur] corps est touché, [leurs] pulsions évacuées, [leur] sexe considéré » ; ou bien qu’il est une « erreur » de vouloir moraliser ses pulsions ; ou même, à propos d’une jeune femme mariée qui trompe son mari avec son patron tout en restant avec son mari : « Bienheureux celles et ceux qui vivent de telles amours ! » Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il y a là de quoi semer le trouble dans les esprits, tout particulièrement dans ceux de la jeunesse, mais également dans ceux du monde adulte…

    Par son langage cru, par des raccourcis superficiels, par des affirmations catégoriques souvent peu fondées, Madame Hargot en arrive à désacraliser totalement ce qu’il y a de plus sacré chez l’homme, ce chef-d’œuvre de la Création qui consiste à donner la vie. Par son discours évacuant systématiquement toute notion de morale, et bien évidemment toute transcendance, son discours devient bassement techniciste et scientiste. Thérèse Hargot devrait pourtant le savoir : évacuer la morale crée l’amoralité, conduisant mécaniquement à l'immoralité. La plus belle intimité des personnes mérite mieux que cela...

    Aujourd’hui, le dialogue est devenu une vertu en soi, au détriment de l’approche par la vérité et la charité, qui seul peut mener à la conversion. Mais une formatrice en vie sexuelle et affective ne sera pas automatiquement une philosophe accomplie, une sexologue reconnue, ou un théologien affirmé, quand bien même elle dialoguerait avec un évêque… Sachons donc garder notre esprit critique sur des sujets aussi délicats, et ne pas prendre pour parole d’Evangile ce qui ne saurait bénéficier d’un imprimatur !

  • Pourquoi cette obsession médiatique pour l’euthanasie ?

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    Bertrand Vergely est interrogé sur atlantico.fr :

    Un Australien de 104 ans vient mourir en Suisse et fait les Unes partout : mais pourquoi cette obsession médiatique pour l’euthanasie ?

    Scientifique australien âgé de 104 ans, David Goodall est venu jusqu'en Suisse pour bénéficier d'un suicide assisté. Une affaire qui montre une fois de plus l’intérêt de notre société moderne pour euthanasie... alors que les sociétés pré-modernes, vivre longtemps était une grâce.

    Atlantico : David Goodall, âgé de 104 ans, a fait le choix de se rendre en Suisse afin de mettre fin à ses jours légalement, ce qui, dans son pays, l’Australie, n’est pas autorisé. Alors que notre société  se passionne pour la question de l’euthanasie, elle ne s’intéresse nullement à la condition des personnes âgées dans les EHPAD. Comment expliquer cette attitude ?

    Bertrand Vergely : Un homme de 104 ans décide d’aller en Suisse se faire euthanasier. Pour une partie de nos contemporains, celui-ci est un héros. La vieillesse étant considérée comme une horreur, cet homme qui met fin à ses jours afin de mettre fin à la vieillesse dit la vérité de l’existence en attendant qu’un jour la science mette fin à la vieillesse avant de mettre fin à la mort. Dans les sociétés pré-modernes, vivre longtemps était une grâce. Et l’on honorait ceux et celles qui vivaient longtemps. La vieillesse était non pas signe de caducité mais de force  Avec la modernité tout change.

    Si l’on entend vivre on entend bien vivre en ayant pour cela les moyens de vivre. Aussi fat-on de la jeunesse et, derrière elle des moyens de vivre,  le critère de la vie.  Matérialiste, pragmatique, utilitariste, consumériste, notre vision du monde consiste à penser qu’une vie vaut la peine d’être vécue si elle a les moyens de sa propre vie. La vie donne du plaisir parce qu’elle a les moyens d’être vécue ? C’est une vie digne. Caractéristique de la modernité : le plaisir est plus important que la vie. C’est lui qui est sacré. Lui qui donne de la dignité à la vie. Dans Les fondements de la métaphysique des mœurs Kabnt explique qu’on est moral quand on vit non pas parce que la vie donne du plair mais malgré le fait qu’elle n’en proucre aucun. Vivre parce qu’il le faut, vivre parce que la vie est une chose sérieuse, fondamentale, sacrée, passe avant le plaisir de la vie. En ce qui nous concerne, aujourd’hui, c’est l’inverse qui a lieu. Le plaisir de la vie passe avant le sérieux de la vie, le sacré de la vie, le fondamental de la vie. Le plaisir qui est sans morale passe pour plus moral que la morale qui est sans plaisir. Notre monde est devenu un monde d’usagers de la vie, de consommateurs de la vie  qui entendent être satisfaits ou remboursés. L’euthanasie est à comprendre dans cette logique consumériste. La vie ne donne plus de plaisir ? Se faire euthanasier est une façon de se faire rembourser en tant que consommateur non satisfait.

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  • Succès de foule pour la mobilisation pro-vie en Irlande

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    https://www.irishtimes.com/news/social-affairs/thousands-gather-for-love-both-rally-in-dublin-1.3493432

    En français : la dépêche parue sur le site de Libération

  • 15 000 personnes, dont plusieurs évêques catholiques et beaucoup de jeunes, à la Marche nationale pour la Vie à Ottawa

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    Le jeudi 10 mai 2018 avait lieu sur la Colline parlementaire, la Marche nationale pour la vie, un rendez-vous annuel depuis 1998 à Ottawa. Près de 15 000 personnes, dont plusieurs évêques catholiques et beaucoup de jeunes, ont montré un visage d’espérance pour les droits des enfants à naître et la dignité inhérente à chaque vie humaine.

    (... même si, malheureusement, plus de 50% des catholiques canadiens se disent pro-choix.)

    Voici le texte écrit du discours « Pour la vie! » prononcé par le cardinal Lacroix lors de la Marche nationale pour la Vie : 

    « Pour la vie ! »

    Je m’appelle Gérald Cyprien Lacroix. Je suis le cardinal-archevêque de Québec et, je l’affirme haut et fort, je suis pro-vie. Pourquoi? Parce que je ne conçois pas d’autre façon de vivre. Je suis pour la vie, toute vie humaine, depuis sa conception jusqu’à la mort naturelle. Chaque être humain mérite d’être respecté car chaque vie humaine est précieuse. On parle beaucoup, de nos jours, d’être inclusifs. Comment pouvons-nous parler d’inclusion alors que nous éliminons des vies humaines par milliers dans notre pays? Au Canada, 300 enfants sont avortés chaque jour. Près de 30,000 au Québec chaque année. Pourquoi n’ont-ils pas le droit de vivre ces enfants ? C’est une honte pour notre pays de ne pas avoir de compassion pour ces enfants qui seront les citoyens et citoyennes de demain et qui contribueront à sa prospérité.

    Je suis pro-vie, car je suis convaincu qu’il nous est nécessaire de veiller à protéger la vie en tout moment, à accueillir et à accompagner les personnes souffrantes, seules ou blessées autant que privilégier la vie des personnes qui profitent d’une bonne santé.

    Des milliers de chrétiens et de chrétiennes sont au service de la vie à longueur d’année, dans leurs familles, ou encore se dévouent pour accompagner des mamans qui vivent une grossesse difficile ou inattendue, ou encore qui assistent des personnes âgées ou malades.

    Je salue et félicite toutes les personnes qui se dévouent avec amour, compassion et respect parce que comme Jésus nous l’a enseigné dans l’Évangile, elles valorisent chaque personne et lui apportent le soutien nécessaire pour qu’elles vivent dignement.

    Trop souvent, on dit que les gens qu’on appelle « pro-vie » sont des gens contre : contre l’avortement, contre le droit des femmes, contre, contre, contre. Détrompez-vous, ajustez vos discours. Nous sommes pour la vie, pas contre. Et nous continuerons de mettre le meilleur de nos énergies au service de la vie et non de la mort et de l’exclusion.

    Aujourd’hui nous sommes ici sur la colline parlementaire de la capitale nationale. Dans quelques instants nous marcherons dans les rues d’Ottawa pour témoigner publiquement que nous sommes pro-vie, pour la vie. Demain, nous serons de retour dans nos familles, nos quartiers et nos communautés, pour continuer de servir nos frères et sœurs qui ont besoin. Il y a tant de personnes qui sont vulnérables et sans voix. Nous sommes conscients de notre mission d’être au milieu de ce monde, des personnes au service de la vie humaine.

    Bravo et merci pour tout ce que vous faites à longueur d’année ! Félicitations pour votre persévérance et pour votre engagement indéfectible pour la vie.

  • Referendum sur l'avortement en Irlande : les réseaux sociaux censurés

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    Du Salon Beige :

    Référendum sur l'avortement en Irlande : les réseaux censurés

    A lendemain d’une annonce de FacebookGoogle a annoncé bloquer les publicités au sujet du référendum irlandais sur l’avortement sur son moteur de recherche et sur YouTube. Alors que les médias font campagne pour le oui, les réseaux sociaux se trouvent ainsi censurés sur le sujet...

    Ce référendum aura lieu le 25 mai. Dans Famille chrétienne, Katie Murray qui fait partie de Pro Life Campaign, déclare :

    P3-1-1024x686"Je suis enceinte depuis très exactement douze semaines. Je comprends donc très concrètement ce que signifie l’avortement libre jusqu’à douze semaines, tel qu’il sera autorisé si le « oui » l’emporte. À l’origine, je n’étais pas du tout intéressée par la défense de la vie. J’ai commencé à me pencher dessus il y a cinq ans, lorsque certaines dérogations ont été introduites. Peu à peu, ce sujet m’a intéressée. Le mouvement prolife est en plein essor depuis cinq ans dans le pays.

    Que faites-vous, concrètement ?

    Avec l’organisation dont je suis membre, je fais du porte-à-porte. Un nombre phénoménal de gens est mobilisé chaque jour dans tout le pays, beaucoup d’étudiants, de jeunes professionnels. Notre organisation réunit des chrétiens de toutes dénominations ou des agnostiques. Notre slogan ? « Love them both », aimez-les tous les deux, la mère et l’enfant qu’elle attend. [...]

    Quelle est l’atmosphère de cette « campagne » ?

    Nous étions prêts, car nous nous préparions depuis des années. Mais le gouvernement est généralement contre nous, de même que les médias, qui promeuvent systématiquement le camp adverse. [...]"