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Ethique - Page 466

  • Quand une opération ratée de changement de sexe débouche sur une euthanasie, c'est conforme à la loi...

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    Lu sur Le Soir :

    Une euthanasie après une opération ratée de changement de sexe: « C’est conforme à la loi »

    Un homme de 44 ans, qui ne souffrait pas d’une maladie en phase terminale, a été euthanasié après une opération ratée de changement de sexe.

    L’homme était né avec un sexe de femme. Il avait subi plusieurs opérations mais le résultat n’était pas à la hauteur de ses espoirs. L’homme se sentait toujours emprisonné dans un corps dont il ne voulait pas, rapporte Het Laatste Nieuws. C’est l’histoire de Nancy devenue Nathan à l’âge de 42 ans car il ne supportait plus son corps de femme. À sa demande, il a été euthanasié lundi.

    L’euthanasie a été effectuée sous la supervision du médecin Wim Distlemans de la VUB. Selon ce dernier, toutes les conditions étaient réunies pour y procéder. « On pouvait clairement parler dans ce cas de souffrances psychiques insupportables  », souligne-t-il.

    Un tel cas est-il conforme à la loi ?

    La loi permet d’avoir recours à l’euthanasie quand il y a une souffrance psychique incurable et pas seulement une souffrance physique.

    « La personne doit présenter une affection grave et incurable qui lui cause des souffrances mais le législateur a précisé que ces souffrances peuvent être d’ordre psychiques ou physiques, donc la chose est tout à fait envisageable car il peut se trouver des cas où la douleur est contrôlée mais en revanche des questions d’existence, de perte d’autonomie, de dignité surtout se trouvent vraiment bien présentes », a commenté au micro de RTL, Jacqueline Herremans, membre de la commission euthanasie.

    Et de préciser : « La décision n’est jamais prise par un seul médecin dans ce cas précis. Un premier médecin s’est intéressé aux caractères graves et incurables de l’affection ainsi qu’aux souffrances psychiques ou physiques inapaisables. Un autre médecin, un psychiatre, spécialiste de la pathologie concernée, s’est intéressé à la qualité de la demande s’il n’y a pas, par exemple, état de dépression passagère ».

  • Quand l'homosexualité choisit de s'afficher dans les églises

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    Le Vatican a protesté contre la présentation de clichés photographiques montrant des personnes homosexuelles s'embrassant dans des églises. Le Saint-Siège y voit "une offense à la spiritualité du lieu" et a ainsi obtenu que ces photos soient retirées mais elles circulent dans un diaporama largement diffusé par leur auteur, un "artiste" espagnol qui feint de ne pas comprendre la réaction des autorités de l'Eglise. Ce n'est évidemment pas un hasard si le photographe a choisi à chaque fois de faire poser ses sujets en plein milieu des églises, de façon bien provocatrice devant les maître-autel un peu à la façon des femen. En attendant, la publicité de l'artiste qui se prétend catholique est assurée et on peut s'attendre à ce que tout le microcosme gay relayé par des médias complaisants dénonce l'attitude homophobe du Vatican... Une ixième version du scenario bien connu : à la provocation des uns répond la réaction des autres soulevant la tempête de protestations escomptée.

    On peut aller voir comment les journaleux répercutent cette intervention du Vatican et constater le niveau de mauvaise foi des commentaires  : 

  • Quand un ancien médecin avorteur dépose ses instruments aux pieds du pape

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    Lu ICI : (traduction par nos soins)

    Il s'est approché du pape avec une petite mallette dont l'aspect était un peu inquiétant. A l'intérieur, il y avait une demi-douzaine d'instruments chirurgicaux, outils et pinces de diverses formes et tailles – que lui, le Docteur Antonio Oriente de Messina, ancien gynécologue avorteur, voulait remettre à tout prix à Bergoglio. Ce bagage qui lui avait déjà occasionné un grand nombre de problèmes lors de l'embarquement dans l'avion à Palerme, a été le protagoniste dans la Salle Clémentine du Vatican d'un épisode imprévu de valeur symbolique inhabituelle. A l'intérieur se trouvaient les instruments avec lesquels, jusqu'en 1986, le Docteur Orient avait brisé des vies avant qu'elles n'éclosent. Avant sa conversion, avant d'embrasser avec conviction et courage la route de la vie, ces instruments ont été entreposés pendant près de trente ans comme un signe concret du mal qu'ils avaient provoqué, d'un passé contre lequel il se bat maintenant. Il a voulu les laisser au Pape et, grâce à une bonne dose d'audace et de chance, il y a réussi, grâce aussi à l""intercession" de quelques prêtres et d'un membre du service d'ordre. « Le Pape François m'impose les mains, prie pour moi, prend les instruments – c'est ainsi qu'il s'exprime dans le dossier qu'il a lui-même « posté » sur son profil Facebook – me donne le mandat d'évangéliser pour la vie et de défendre avec mes collègues la vie elle-même, me promet de prier sur ces instruments chirurgicaux ( ...)». Oriente est vice-président de l'Association nationale des gynécologues et obstétriciens catholiques italiens et sa rencontre avec le pape a eu lieu le 20 septembre dernier, lors de l'audience avec des délégués des gynécologues catholiques de diverses associations. Bergoglio, dans son discours aux participants, avait dénoncé la "mentalité généralisée du profit, la "culture du rejet" qui asservit aujourd'hui tant de coeurs et d'intelligences et qui incite à éliminer des êtres humains, en particulier s'ils sont physiquement ou socialement plus faibles". Puis il avait confié aux médecins catholiques la mission d'être « témoins et propagateurs de la "culture de la vie" ». Antonio Oriente fait cela depuis 1986, lorsqu'une conversion soudaine et profonde l'a conduit à abandonner ses instruments de mort pour devenir non seulement un médecin objecteur de conscience, mais un authentique témoin de la vie. Aujourd'hui Oriente, responsable de deux centres de consultation à Messine, organise des séminaires et des conférences, raconte son histoire dans des journaux et magazines, se souvient du moment où il a écrit sur une feuille "jamais plus jusqu'à la mort" et c'est ainsi qu'il se comporte depuis. « La remise des instruments de mort au Pape - commente Giuseppe Noia, ami d'Oriente et Président de l'Association des gynécologues et obstétriciens catholiques -, est le symbole de l'abandon d'un passé qui ne lui appartient plus mais est tourné vers l'avenir en présence du Seigneur de Miséricorde. Ce geste n'accuse personne, mais appelle le mal par son vrai nom et conteste de façon décisive cette culture de la manipulation sémantique qui fait d'un crime un droit. C'est un geste de purification et de rédemption non seulement pour ce collègue mais pour tous ceux qui aspirent à la vraie paix du cœur ».

    Antonella Mariani

  • Le gouvernement français fait officiellement la promotion de l'avortement

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    Lu sur la synthèse de presse quotidienne de gènéthique.org

    Lancement du site public français en faveur de l'avortement

    C'est demain, le samedi 28 septembre 2013, que le site internet institutionnel en faveur de l'avortement sera lancé (Cf Synthèse de presse Gènéthique du 13 septembre 2013). A partir de cette date, le souhait des ministres de la Santé et des Droits de la femme se réalise. Leur objectif : contrer "la prolifération d'informations [qui serait, selon elles,] de nature à porter atteinte à la liberté de choix des femmes", permettre à celles-ci "de disposer de tous les renseignements utiles pour éclairer son choix, compte tenu de la législation applicable" et enfin, les orienter "vers les professionnels formés pour bénéficier de renseignements sur les lieux accessibles, pour une information ou un acte d'IVG, ou pour une écoute". 

    Jeanne Smits s'est rendue sur ce site et en fait la critique :

    http://leblogdejeannesmits.blogspot.be/2013/09/desinformation-sur-le-site.html

  • Pays-Bas : quand l'euthanasie devient monnaie courante

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    Lu sur NdFr :

    Pays-Bas : la frontière floue entre euthanasies et assassinats médicalisés

    Pays-Bas : la frontière floue entre euthanasies et assassinats médicalisésLes statistiques officielles de l’euthanasie aux Pays-Bas montrent une hausse constante de cette pratique. Et c’est sans compter les nombreux cas d’euthanasies non déclarées, parfois même réalisées sans l’accord du patient. La Hollande a officiellement légalisé l’euthanasie en 2002 mais elle l’avait déjà dépénalisée depuis 1984. En 2012, il y a eu près de 4 200 euthanasies déclarées contre environ 3 600 en 2011 et 1 800 en 2004. Sur les près de 4 200 cas déclarés l’année dernière, 13 ont concerné des patients souffrant de maladies mentales et 49 des personnes âgées atteintes de démence. En fait, dans 40-60 % des cas, « l’euthanasie » serait réalisée sur des patients qui n’ont pas demandé à mourir. Officiellement, les Pays-Bas n’autorisent l’euthanasie que pour les patients souffrant d’une maladie incurable et de douleurs difficilement supportables et qui réclament en toute conscience une euthanasie. L’euthanasie des mineurs est elle aussi autorisée, mais l’accord des parents est indispensable jusqu’à 16 ans. Certains services pédiatriques pratiquent même l’euthanasie sur les nouveau-nés. Pour faciliter l’accès à l’euthanasie, des équipes mobiles ont aussi été créées afin de fournir ce type de prestations au domicile des malades. L’association néerlandaise pour l’euthanasie volontaire NVVE a même créé une « clinique » spéciale pour tuer les patients souhaitant se suicider mais à qui l’euthanasie a été refusée.

    Mais outre les cas déclarés, ...

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  • L'attentat contre les chrétiens de Peshawar : après l'horreur, l'abomination ?

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    ASIE/PAKISTAN - Après les bombes, de nouvelles atrocités perpétrées contre les chrétiens : les victimes de Peshawar sujettes à des prélèvements d’organes sauvages ? (source)

    Karachi – Après l’attentat à la bombe contre l’église anglicane de Tous les Saints de Peshawar, la situation demeure tendue au sein de la société pakistanaise. Les chrétiens se déclarent « horrifiés » par les rumeurs circulant selon lesquelles les bombes de Peshawar seraient liées au vaste problème du trafic d’organes. C’est ce qu’indiquent à l’Agence Fides un certain nombre de représentants d’ONG au sein de la société civile pakistanaise. Des chacals, probablement du personnel paramédical local, auraient en effet profité du grand nombre de morts et de blessés pour dérober des organes aux victimes et les exploiter dans le cadre du commerce illégal d’organes. « Si cela était vrai, cela voudrait dire qu’il existe des criminels qui spéculent sur la souffrance des victimes chrétiennes d’une manière véritablement blasphématoire et sacrilège » remarque pour Fides le Père Mario Rodrigues, prêtre de Karachi. « Nous demandons à ce que soit menée une enquête sérieuse de la part de la police sur cet aspect qui nous scandalise ».

    Le Pakistan a promulgué une loi réglementant les transplantations d’organes en 2010 de manière à se débarrasser de sa réputation de première destination du « tourisme des greffes » et à mettre fin au trafic illégal d’organes humains sur son territoire. Après l’approbation de la loi, le trafic illégal a subi un ralentissement mais, depuis 2011, de nombreux cas de greffes illégales ont de nouveau émergé. En juillet dernier, aux vues des données faisant état d’un « commerce florissant », la Cour Suprême a émis des directives, demandant aux gouvernements provinciaux de prendre des mesures afin de faire appliquer la loi. Selon des enquêtes de police, 42 structures médicales dédiées aux transplantations illégales d’organes ont été identifiées au Pendjab.

  • Le combat de l'Église contre l'avortement

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    c combat_1.jpgLe combat de l'Église contre l'avortement

    Ed. bénédictines

    ISBN : 9782848631363

    Auteur : Laurent Aventin

    Broché ; 208 p. ; 14,9 x 21 cm

    Depuis les années 70, la libéralisation de l'avortement n'a jamais cessé son extension, c'est la norme dans de nombreux pays. Le nombre d'enfants avortés est estimé à environ deux milliards d'individus en 40 ans. C'est de loin la première cause de mortalité au monde. Pourtant, de nombreuses civilisations et cultures s'y sont toujours opposées comme c'est le cas de l'Église catholique depuis le début de l'ère chrétienne. À une époque où les catholiques vivent dans un environnement préjudiciable au respect de la vie naissante, l'avortement est parfois devenu « toléré » aux yeux de certains. L'inacceptable ne peut cependant devenir acceptable et c'est ce que rappelle inlassablement l'Église depuis les dernières décennies. L'histoire des saints/bienheureux mais également les interventions des papes, particulièrement au XXe siècle, interpellent et expliquent les raisons pour lesquelles l'élimination d'un enfant non né reste un homicide.

    Pourtant, la pensée catholique n'a pas permis d'endiguer le fléau de l'avortement, l'opinion publique occidentale le considérant souvent comme une avancée médicale et un confort auquel elle ne souhaite pas renoncer malgré la popularité d'un Jean-Paul II ou d'une mère Térésa qui ne sont toujours pas entendus sur ces sujets. La détérioration des conditions socio-économiques ou familiales ainsi que l'uniformisation des modes de vie et de pensée participent sous forme de pressions convergentes au choix de l'avortement. Si sur le plan humain tout semble avoir été réalisé et tout semble avoir échoué, l'Église et plus particulièrement le pape dispose d'élever au rang de martyrs les enfants avortés au nom du rejet de la vérité annoncée par l'Église ; à savoir que la vie d'un être humain débute dès la fécondation et non après une période hypothétique de gestation que les législateurs de chaque pays se plaisent à définir selon les intérêts de certains lobbies. S'il est vrai que la Miséricorde Divine s'applique aussi aux enfants non nés et non baptisés, L'Église ne précise pas encore de quelle manière… Ne serait-ce pas sa mission sous le règne de Benoît XVI ?

    Outre les arguments théologiques et politiques, sont présentées un ensemble de prières proposées par l'Église catholique, d'une part pour redonner l'espérance qu'un jour l'avortement soit perçu pour ce qu'il est : un manque d'amour envers son prochain, envers les plus vulnérables que sont les enfants à naître ; d'autre part pour venir en aide à ceux qui ont vécu l'avortement, à ceux qui se posent la question de garder un enfant en gestation ou encore aux enfants avortés qui doivent pouvoir accéder à la béatitude éternelle.

     

  • Bulletin de l'IEB - 25 septembre 2013; Embryons/Soins Palliatifs/Comece

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  • L'euthanasie progresse aux Pays-Bas

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    L'euthanasie en forte augmentation aux Pays-Bas depuis six ans (synthèse de presse quotidienne de gènéthique)

    Aux Pays-Bas, selon un rapport publié mardi 24 septembre par une commission spéciale, l'euthanasie est en constante augmentation dans le pays depuis 2006, avec une hausse de 13% entre 2011 et 2012. Plus précisément, la commission fait état de 1923 cas en 2006 et 4188 cas en 2012, soit environ 3% de tous les décès aux Pays-Bas. 

    Majoritairement, les cas seraient liés au cancer mais "certains évoquent une plus grande tolérance de la pratique parmi la population, les patients et les médecins". 

    (Lapresse.ca 24/09/2013)

    Voir également : http://leblogdejeannesmits.blogspot.be/2013/09/13-deuthanasies-aux-pays-approbation-de.html

  • Quand la mode modifie les manières de vivre et de penser

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    Nous avions attiré l'attention de nos visiteurs sur la mode actuelle qui promeut un modèle unisexe ou androgyne (vous-avez-dit-decadence). Des propos de Véronique Bergen figurant dans La Libre d'aujourd'hui (p. 46) mettent en évidence le rôle de la mode dans l'évolution des comportements :

    Elle (la mode) dicte certaines tendances de de­main: elle s’imprègne de ce qui est marginal et voit si la marginalité peut passer. Et c’est ainsi que certaines tendances deviennent dominantes. Elle a un poids décisif dans le changement qu’elle im­pulse aux manières de vivre, de s’habiller, de penser. Je fais une hypothèse un peu audacieuse: Galliano et Alexander McQueen étaient les deux personnalités les plus radicales du milieu de la création, qui ont été le plus loin dans une féerie que le système de mode n’était peut-­être plus prêt à accepter, pour diverses raisons. Ils ont été le plus loin possible dans le creuse­ment du fantasme; Jean Paul Gaultier, aussi, a fait bouger les polarités entre les genres. Faire défiler en 2011 (deux ans avant le mariage gay en France) le mannequin homme Andrej Pejic en robe de mariée, c’était un coup de force. On le voit, la mode est un instrument qui bouleverse les manières de vivre, de penser, et les normes éthiques.

    Voir également : 

    http://www.corrispondenzaromana.it/il-genere-neutro-fa-tendenza-anche-nella-moda/

  • France : radicalisation laïcarde au Comité National d'Ethique

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    Lu sur Le Figaro :

    Des personnalités proches de la majorité y font leur entrée et des responsables religieux sont évincés.

    «On veut faire payer aux représentants religieux leurs positions plutôt hostiles au mariage pour tous. En les écartant de la réflexion sur des questions de société, le gouvernement impose une vision de la laïcité fermée au risque d'appauvrir le débat», dénonce le pasteur Louis Schweitzer, par ailleurs professeur d'éthique et de spiritualité à la Faculté libre de théologie évangélique de Vaux-sur-Seine. Par voie de presse, ce dernier a appris son éviction du Comité consultatif national d'éthique (CCNE), cette instance de réflexion régulièrement saisie pour rendre des avis sur des sujets de société aussi sensibles que la fin de vie ou l'ouverture de la procréation médicalement assistée (PMA) aux couples homosexuels. Son mandat de quatre ans arrivant à terme, il n'a pas été renouvelé, comme cela était envisageable selon le règlement de cette structure. C'est aussi le cas pour le rabbin Michaël Azoulay, par ailleurs, membre de la commission de bioéthique du Consistoire de Paris.

    Selon Le Monde, qui a révélé ces informations, ces évictions marquent le choix de l'Élysée de ne plus intégrer de responsables religieux au sein de cette institution. «Nous souhaitons revenir aux principes de création du Conseil de 1983 et faire appel à des laïques pour représenter les courants religieux», confirme-t-on à l'Élysée, qui se charge directement de nommer les membres des familles philosophiques et spirituelles. Pour Louis Schweitzer, l'objectif est clair: «Le gouvernement veut s'entourer de personnalités qui prendront des positions dans le sens souhaité.»

    «Nous souhaitons revenir aux principes de création du Conseil de 1983 et faire appel à des laïques pour représenter les courants religieux»

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  • Bulletin de l'IEB - 20 septembre 2013 - Soins palliatifs / Naissance / iPS

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