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Ethique - Page 470

  • One of us : en route vers le million de signatures... et la vôtre ?

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    one_of_us_logo.jpgLe 16 août : plus de 850.000 signatures sont comptabilisées pour l'Europe; lire ICI

    mais la Belgique est lanterne rouge dans cette campagne...

    Il s'agit de refuser l'utilisation et la destruction de l'embryon humain.

    • POURQUOI ARRÊTER DE FINANCER LA RECHERCHE SUR L’EMBRYON ?

    Il ne s’agit pas de freiner la recherche, mais de demander qu’elle soit conduite avec des procédés respectant la dignité humaine de l’embryon.

    • UNE RECHERCHE INTERDITE DANS CERTAINS PAYS

    Une partie des Etats membres de l’Union européenne refuse de financer les recherches qui conduisent à détruire des embryons humains. Pourtant, ceux-ci les subventionnent malgré eux indirectement, puisqu’une partie de leur contribution financière est affectée à d’autres pays où ces recherches sont légales. Cette incohérence rend encore plus illégitime l’utilisation du budget européen pour ces actions controversées.

    • L’ANIMAL MIEUX PROTEGE QUE L’ETRE HUMAIN

    L’Union Européenne a adopté des règles très contraignantes pour encadrer les recherches sur l’animal et les embryons animaux (Directive 2010/63/UE du 22 septembre 2010). Ces règles ont été transposées en France le 1er février 2013. Il est aujourd’hui beaucoup plus difficile et coûteux de travailler avec des animaux, y compris sous forme fœtale, qu’avec des embryons humains.

    • PAS DE BREVET POSSIBLE

    La Cour de Justice de l’Union européenne a récemment interdit d’établir des brevets à partir de recherches impliquant la destruction d’embryons humains (arrêt Brüstle/Greenpeace du 18 octobre 2011). Pourquoi donc continuer à encourager de telles recherches, puisque leurs débouchés industriels sont impossibles ?

    • D’AUTRES METHODES PLUS ETHIQUES EXISTENT

    Des recherches alternatives sont possibles, grâce aux cellules souches issues de sang de cordon ou du placenta, et grâce aux cellules adultes reprogrammées (cellules iPS découvertes en 2007 par le Professeur japonais Yamanaka). Elles donnent des résultats plus prometteurs et rendent inutiles les recherches sur l’embryon humain.

    COMMENT SIGNER L’INITIATIVE CITOYENNE EUROPÉENNE

    La procédure de signature a été élaborée par l’Union Européenne. Elle est commune à tous les Etats-membres.Vos données individuelles sont traitées de façon confidentielle et sécurisée. Vous pouvez consulter le détail de ces normes en suivant ce lien : déclaration de confidentialité.

    Pour signer, il vous sera demandé un numéro d’identification personnel : celui de votre carte d’identité, ou de votre permis de conduire, ou de votre passeport, ou d’autres documents (voir choix en ligne).

    Vous pouvez signer en ligne OU via un formulaire papier :

    signature-en-lignesignature-papier

     

  • Empêcher à tout prix les enfants trisomiques de venir au monde

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    D'après la Libre de ce jour (pp. 22-23), les centres belges de généthique proposent dès cet été un test ADN détectant la trisomie du foetus. Cela nous incite à publier à nouveau cet article que nous avions mis en ligne il y a un an. En effet, on sait que ce type d'examen mène 99% des parents à recourir à l'avortement lorsque l'examen diagnostique la trisomie, ce qui est pour le moins interpellant.

    (Source : Gènéthique.org)

    Vers une généralisation du nouveau test de dépistage de la trisomie 21

    Après l’autorisation donnée à la commercialisation du "PraenaTest" en Suisse (Cf Synthèse de presse Gènéthique du 30 juillet 2012), l’Allemagne (Land du Baden-Württemberg) vient elle aussi de donner son feu vert. Les associations Suisses en faveur du droit à la vie des personnes trisomiques "craignent une hausse des IVG" et "une stigmatisation des parents ayant laissé un enfant trisomique venir au monde". La question de l’introduction et de la généralisation de ce nouveau test se pose dans d’autres pays,  notamment en France.

    Actuellement, en France, "toutes les femmes enceintes se voient proposer, dès le premier trimestre, un dépistage qui associe une échographie et des prélèvements biologiques dans le sang". L’objectif est de "déterminer un niveau de risque de trisomie pour chaque grossesse. […] En cas de risque élevé, c’est à dire supérieur ou égal à 1 sur 250, seule une amniocentèse, [un examen invasif], permet de poser le diagnostic de la trisomie". "En 2010, plus de 55 500 femmes ont choisi de subir [l’amniocentèse]", qui présente un risque de fausse couche de 1%. Or, l’Agence de la biomédecine souligne que "95% des femmes demandent une interruption médicale de grossesse" lorsqu’est diagnostiquée une trisomie 21.

    Le nouveau test, conçu par LifeCodexx, "pourra être fait dès la dixième semaine de grossesse". Il consiste à "récolter des informations sur l’ADN du fœtus, présent sous forme de petits fragments dans le sang de la mère", afin de diagnostiquer la trisomie 21.

    Pour le Pr Yves Ville, chef du Service de gynéco-obstétrique de l’hôpital Neker, "plusieurs études internationales ont montré [la] fiabilité [du test], évaluée autour de 99%". Cependant, pour la directrice de l’Agence de la biomédecine, Emmanuelle Prada-Bordenave, l’instauration en France ne serait pas tout de suite car les "premiers résultats, même s’ils sont très prometteurs, doivent être confirmés par des études cliniques menées à grande échelle".

    Mais "pour de nombreux spécialistes, la généralisation du test à l’ensemble  des femmes n’est pas souhaitable". Ainsi, le Pr Israël Nisand, gynécologue obstétricien, qui "s’oppose farouchement à une ouverture au plus grand nombre, même sans remboursement de la sécurité sociale" précise : "il n’y a pas de liberté absolue dans le domaine du dépistage prénatal, mais une politique nationale qui s’impose à tous. Il n’est pas question de céder à une forme de pression induite par les laboratoires". Pour le Dr Henri Bléhaut, directeur de la recherche à la Fondation Jérôme Lejeune, il est à déplorer que "le dépistage de la trisomie 21 se fasse au détriment des programmes de recherche thérapeutique".

  • Genre : quand tout se complique

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    L’identité sans le genre, ça va pas être facile non plus !

    de Marie Delarue - source 

    Le gouverneur de Californie, un certain Jerry Brown, vient d’inscrire son État à la pointe du progrès social et même, n’ayons pas peur des mots, du progrès humain. Il vient en effet de signer une loi modifiant le code de l’Éducation des établissements scolaires, cela afin « d’assurer le respect de l’identité sexuelle des élèves transgenres ».

    C’est beau, c’est grand, c’est généreux mais ne va pas toutefois sans soulever une petite remarque sur un plan sémantique : le problème des transgenres étant justement de n’avoir pas d’identité sexuelle définie, ou du moins une identité intérieure – celle du « ressenti » – qui ne correspond pas à leurs attributs externes, comment fait-on pour respecter ce qu’eux-mêmes ignorent ?

    C’est justement à cette question que veut répondre la nouvelle loi de M. Brown. Grâce à elle, les transgenres, déclarés ou bien en devenir, pourront désormais « participer à des programmes et activités non mixtes, comme des équipes sportives ou des compétitions, et utiliser les installations (scolaires) en accord avec [leur] identité sexuelle, et non le sexe indiqué sur [leur] fiche d’identité ». Le Figaro rappelle que, conscient des troubles que cela pouvait occasionner, l’élu démocrate à l’origine du texte avait expliqué : « Les élèves transgenres vont-ils embarrasser d’autres enfants ? Peut-être. Je ne veux pas minimiser cet aspect, mais les nouvelles expériences sont souvent embarrassantes. Cela ne doit pas justifier les préjugés. »

    Sans vouloir troubler ce bonheur tout neuf, on peut toutefois se demander si cela ne va pas créer plus de problèmes que ça n’en résout. Faudra-t-il par exemple réaménager les toilettes pour que les filles/garçons n’aient pas à choisir entre pisser debout ou pisser assis ? Et désormais, comment distinguer les pervers et les voyeurs si tout le monde peut se glisser dans le vestiaire d’à côté au prétexte qu’il n’est pas bien installé dans son genre ? Mais c’est en tâtonnant qu’on avance, c’est bien connu.

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  • Le Président de la Russie fustige l’Occident sécularisé

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    Tous ceux qui ont connu les années de plomb de l’U.R.S.S. peuvent se frotter les yeux une fois encore en lisant ceci sur le site de  Campagne Québec-Vie

    "Vladimir Poutine a exorté les dirigeants politiques du monde entier à faire cesser les persécutions violentes qui ont éclaté contre les chrétiens dans de nombreux pays du Moyen-Orient.

    S'exprimant récemment à Moscou, lors d'une réunion avec les chefs des églises orthodoxes, le président russe a noté « avec inquiétude » que « dans de nombreuses régions du monde, notamment au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, les tensions interconfessionnelles s'intensifient et les droits des minorités religieuses sont violés, y compris ceux des Chrétiens et des Orthodoxes ».

    "Ce problème pressant devrait faire l'objet d'une attention étroite de l'ensemble de la communauté internationale", a déclaré M. Poutine. "Il est particulièrement important aujourd'hui de faire des efforts pour prévenir les conflits interculturels et interreligieux, car ils sont associés aux bouleversements les plus graves." Poutine a fait l'éloge de la coopération croissante entre les Églises orthodoxes et l'État russe, en disant: « Nous agissons en tant que partenaires et collègues authentiques pour résoudre les tâches domestiques et internationales les plus pressantes, et pour mettre en œuvre des initiatives conjointes pour le bénéfice de notre pays et de ses habitants».

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  • La véritable Eglise des pauvres

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    Lu sur le site de Radio-Vatican :

    « Les conditions de vie de la population sont de plus en plus difficiles dans la province du Nord-Kivu en République Démocratique du Congo. La lutte entre les milices armées et l’armée gouvernementale fait rage depuis trois ans dans cette région des Grands Lacs, en particulier autour de la ville de Goma, la capitale régionale. En RDC, plus vaste pays d’Afrique, les groupes armés, les convoitises des pays voisins et les violences récurrentes laissent une population civile dans le plus grand dénuement. Le président du Secours Catholique François Soulage s’est rendu en République démocratique du Congo (RDC) au début du mois de juillet. Il dresse un constat alarmant de la situation. 

    Le Nord-Est de la RDC est devenu au fil des mois un pays de déplacés. Ainsi, Goma a accueilli près d’un million de déplacés, des populations venues des montagnes de l’intérieur du Congo qui ont fui les groupes armés. « Les réfugiés vivent dans une trentaine de camps de tentes, envahissant tous les espaces possibles et coupant les arbres autour pour se chauffer » explique François Soulage, ils n’ont aucune ressource et dépendent du Programme alimentaire mondial (PAM), avec qui la Caritas Goma travaille pour la distribution de nourriture.

    Des villes qui se transforment en camps de réfugiés

    Le Président du Secours Catholique revient sur le pillage en règle des groupes armés qui terrorisent la région : les paysans n’ont plus d’outil, ni tracteurs et attelages de bœufs. Tout a été pris par les groupes armés. La situation est également critique à Bukavu, dans le Sud-Kivu. Il y a dix ans, explique François Soulage, cette ville de 200 000 habitants avait l’eau et l’électricité courantes. Aujourd’hui, avec un million de personnes en plus, il y a des coupures d’électricité constantes et quasiment pas d’eau potable.

    Dans ce pays où l’État a disparu, les ONG sont le seul recours pour ces populations, et l’Église ne ménage pas ses efforts, notamment à travers le réseau des Caritas locales, qui sont soutenues par le Secours Catholique. La priorité actuelle est de travailler sur l’accès et la qualité de l’eau. Pour gérer cet outil hydraulique, les villageois doivent constituer un comité de gestion. Les personnes le composant sont rémunérées par les petites cotisations que versent les usagers. On sort ainsi du système de la gratuité, cela implique les habitants.

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  • 87% des Brabançons des Pays-Bas favorables à l'euthanasie

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    "Sans croire à l’exactitude et à la scientificité absolue des sondages, on peut quand même s’arrêter quelques instants sur cette enquête réalisée auprès de 4 000 Brabançons néerlandais à propos de l’euthanasie et du suicide assisté. 87 % « des Brabançons », affirme le commanditaire du sondage Omroep Brabant, estiment que chacun doit pouvoir choisir le moment de son propre décès. Ils sont même 97 % à approuver le suicide assisté en faveur de personnes atteintes de souffrances physiques insupportables et sans espoir d’amélioration."

    sur le blog de J. Smits qui explicite et commente ces chiffres

  • Quand se joue l'avenir de nos démocraties et la cohérence de nos hommes politiques

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    L'évêque auxiliaire de Santiago du Chili réagit à la profanation de la cathédrale par des militants pro-avortement dans une lettre (traduite par Jeanne Smits) où il s'exprime ainsi :

     ... je propose aux chrétiens la réflexion suivante par rapport à la vie, la fécondité et la mort. C’est ici que se joue l’avenir de notre démocratie et la cohérence des hommes politiques chrétiens que nous allons devoir choisir lors des prochaines élections présidentielles et parlementaires.

    1. Cela donne à penser, et même beaucoup à penser, que la sacralité de la vie dépend, dans la pratique, de ceux qui détiennent le pouvoir politique, économique et culturel. Ce sont eux qui décident qui a le droit de vivre et qui va droit à la mort. Il n’y a que trop d’exemples. Même au Chili.

    2. Cela donne à penser, et même beaucoup à penser, que des éléments aussi essentiels que la différence et la complémentarité entre un homme et une femme puissent apparaître aujourd’hui comme une divagation propre aux gens aliénés ou aux rétrogrades « conservateurs ». « Egalité », « égalitaire », voilà la consigne. La différence ne vaut plus grand chose. Y a-t-il quelque de plus « paritaire » que le mariage entre un homme et une femme ? C’est pourquoi la foi chrétienne n’impose pas aux personnes homosexuelles le « mariage », qui est le propre de l’homme et de la femme, nécessaire à la procréation.

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  • Les errances de catholiques déboussolés

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    Nous lisons aujourd'hui cette "opinion" que la Libre s'empresse de publier :

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    La prémisse est fausse : en effet, si le pape François fait écho à l'Evangile qui invite à ne pas juger les personnes, il ne s'en réfère pas moins aux positions de l'Eglise sur les questions éthiques. Cette attitude on ne peut plus classique n'implique aucunement un infléchissement de la position de l'Eglise à l'égard de la sexualité, du mariage ou du respect de la vie. Mais prenant ses désirs pour des réalités, et s'appuyant sur cette prémisse inexacte, l'intervenant s'autorise à rêver d'une Eglise qui tolèrerait non seulement la sodomie mais aussi l'avortement, l'euthanasie, sans parler des "meilleures" qu'il ne précise pas. Ce qui nous inquiète tout particulièrement, c'est que l'auteur de ces considérations croit voir et anticiper l'action de l'Esprit Saint dans de telles dérives. L'Esprit Saint en renfort de la licence morale et sexuelle en même temps que de la culture de mort (avortement, euthanasie) ? Voilà qui serait pour le moins paradoxal. Mais cela en dit long sur la confusion mentale et spirituelle qui règne dans les esprits de nombreux "catholiques".

  • Au nom de la non-discrimination, l'Eglise sera-t-elle contrainte de célébrer des mariages gays ?

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    C'est la question que l'on peut se poser à présent que le mariage homosexuel est écrit dans la loi de plusieurs pays dont le nôtre. Ce qui se passe en Angleterre a valeur de test :

    Deux semaines après l’Assentiment Royal donné à la loi sur le « mariage » des homosexuels par la reine d’Angleterre – gardienne de la foi et chef de l’Eglise anglicane – une couple d’activistes gays s’est lancée dans une procédure judiciaire visant  leur paroisse de Maldon parce que le « mariage » religieux leur y a été refusé.

    Il faut savoir qu’en Angleterre l’Eglise a le privilège de célébrer des mariages pour le compte de l’Etat, ces unions produisant tous les effets civils relatifs au contrat.

    Donc, Barrie Drewitt-Barlow et son partenaire, Tony, rêvent d’un beau mariage à l’église avec tous les flonflons (et en blanc, peut-être ?) mais plus que cela, ces deux chrétiens convaincus veulent obtenir la fin des exclusions prévues par la loi pour permettre à l’Eglise catholique et à l’Eglise anglicane de se voir obligées d’appliquer la loi mettant couples homosexuelles et couples homme-femme sur un pied d’égalité par rapport au droit au mariage.

    « La seule manière pour nous d’avancer maintenant est d’attaquer l’Eglise devant les tribunaux. C’est une honte que nous devions faire un procès contre des chrétiens pour qu’ils nous reconnaissent », assure Drewitt-Barlow. « Mais nous ne voulons forcer personne à nous marier – c’est supposé être le plus beau jour de ma vie et cela me chagrinerait et même gâcherait tout. Les chrétiens ne sont-ils pas censés pardonner, accepter, aimer ? »

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  • Préparons l'avenir

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    Comme vous le savez, on n'arrête pas le progrès. Cela dit, si nous voulons construire un monde de plus en plus radieux, des pas restent encore à franchir. Voici donc quelques propositions avant-gardistes qui, souhaitons-le, seront peut-être appliquées un jour...

    1)    Euthanasie des plus de 75 ans. Avouez que les vieux commencent à coûter cher à la société. Plutôt que de continuer à payer leur longue retraite, il est tout indiqué de les zigouiller.

    2)    Majorité sexuelle revue à la baisse (12 ans, par exemple). Certes, voilà qui est encore bien tardif, mais, une chose à la fois. On pourra toujours la diminuer davantage dans la suite.

    3)    Afin de ne pas choquer certains, retrait de la viande de porc des magasins, redéfinition de toutes les fêtes chrétiennes (c'est déjà fait pour noël et pour pâques, mais il faut continuer) et suppression de tout signe qui rappelle le catholicisme.

    4)    Avortement autorisé jusqu'à 9 mois et piqûre fatale aux enfants qui naissent avec un handicap.

    5)    Légalisation totale de toutes les drogues, mais interdiction du tabac.

    Bon, je m'arrête. Vous avez dit fiction ? Je l'espère de tout coeur et pourtant... Si, il y a 40 ans seulement, quelqu'un avait dit : « En 2013 vous aurez l'avortement, l'euthanasie, le mariage des couples gays et l'adoption d'enfants par ceux-ci, vos églises seront vides et peu à peu remplacées par des mosquées », on l'aurait traité de fou, de prophète de malheur ! Et demain ? Monde apocalyptique ? Nul ne le sait vraiment, mais une chose est sûre : le diable est au boulot !

    Jean-Pierre Snyers - http://jpsnyers.blogspot.be/