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Famille - Page 142

  • Familles monoparentales et échecs scolaires

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    enseignons.be se fait l'écho d'une étude parue en France sur les facteurs qui provoqueraient le redoublement; parmi ceux-ci, la structure familiale joue un rôle non négligeable, même si l'on évite (bien sûr! et pour rester politiquement et culturellement correct) de porter des jugements de valeur qui pourraient avoir une connotation moralisatrice :

    "...la structure familiale, qui a en effet une influence déterminante dans le parcours et la réussite scolaire des enfants. Pour Laurette Cretin, du Bureau des études statistiques sur les élèves, toutes les enquêtes sur les familles monoparentales – menées aux États-Unis et aux Pays-Bas – laissent penser qu’elles pourraient être associées à un risque plus grand d’échec scolaire. « Les écarts de réussite entre les enfants vivant avec un seul parent et ceux vivant avec leurs deux parents seraient assez importants et subsisteraient quel que soit le milieu social. » Mais attention : si les enfants de parents divorcés ou séparés rencontrent plus de difficultés scolaires que les autres, il est en revanche difficile d’en déduire une relation causale : l’impact négatif pourrait être le fait de la conflictualité existant dans un couple avant sa séparation.

    LA PRÉCARITÉ EST UN ÉLÉMENT ESSENTIEL DE LA DIFFÉRENCIATION DES FAMILLES MONOPARENTALES

    Mais à quoi les études d’études associent-elles la moindre réussite scolaire des enfants de familles monoparentales? Au fait que ces familles peuvent mobiliser moins de ressources que les autres. On parle ici de différences de revenus, de conditions de logement, de la possibilité de profiter d’activités extrascolaires, etc. Intéressant car cela nous permet de distinguer ici l’économique (niveau de vie) du (capital) culturel.

    Il est en effet établi par ailleurs que ces élèves appartiennent à des milieux sociaux moins favorisés que les autres familles et que la monoparentalité est en relation avec d’autres facteurs qui influent sur la scolarité, tels que le capital culturel, la taille de la fratrie ou encore les conditions de logement.

    De plus, l’implication des parents isolés dans la scolarité de leur enfant est moins importante que lorsque le père et la mère vivent encore ensemble, même s’ils sont un peu plus nombreux à solliciter un entretien avec un enseignant en cours d’année. L’aide est aux devoir est également réduite. Mais est-ce décisif quant à la réussite ou non des petites têtes blondes? Peut-être…

    Il est difficile de répondre de manière convaincante à cette question car, si le degré d’implication des parents est dépendant des ressources qu’ils peuvent mobiliser, du fait de leurs diplômes ou de leur statut socio-économique, il n’est pas non plus indépendant du niveau de réussite scolaire de l’enfant : ainsi, plus celui-ci rencontre de difficultés, plus l’aide au travail scolaire et les demandes de rendez-vous avec les professeurs s’intensifient.

    Faut-il donc incriminer davantage des ressources économiques amoindries pour les parents isolés plutôt qu’un moindre contrôle scolaire exercé par ces parents en cas de séparation? Sans doute. Et on en revient à l’environnement socio-économique moins favorable… Encore!

  • France : le mariage pour tous provoque la division de tous

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    Analyse sur radinrue.com (Michel Montielle) :

    A quelques jours d’une grande manifestation nationale contre le projet de loi socialiste de dénaturer le mariage, de plus en plus de voix s’élèvent contre la propagande des lobbys homosexuels et la promotion du mariage gay largement revendiquée par le gouvernement. Les ministres quant à eux, comme Peillon, n’hésitent pas à s’attaquer aux valeurs catholiques, allant même jusqu'à tenter de faire la leçon à l’Enseignement Catholique !

    Alors que la dénaturation du mariage est largement revendiqué par les socialistes français, le débat qui a dès le départ était « civiquement » interdit, a laissé la place à la colère et aux attaques.

    Ainsi, face à cette situation devenu fatigante, François Bayrou, président du MoDem, a mis en garde mardi contre une « exaspération des oppositions » autour du mariage homosexuel. Expliquant ainsi sur i-Télé que « Le gouvernement a une responsabilité importante », selon lui il peut « répondre à l’attente » des couples, des associations « qui demandaient reconnaissance et droits », « sans porter atteinte à ce que des millions de Français considèrent comme très précieux, cet héritage que le mariage représente pour eux ». Et de proposer « une union reconnue, et pas le mot de mariage qui signifie tout à fait autre chose ».

    Enfin Bayrou a pointé « une exaspération des oppositions au sein du pays », et « ceci est très malsain pour un peuple et spécialement pour un peuple en crise ». Sur les attaques inadmissibles qui sont tentées par les socialistes contre l’école catholique, Bayrou les a résumé en un comportement « excessif et blessant ». « La solution existe pour qu’on fasse prévaloir la compréhension réciproque et pas l’antagonisme et l’affrontement perpétuels, dans lesquels un pays en crise ne peut pas triompher de ses difficultés », a-t-il insisté.

    Un autre politique, l’ancien ministre Chatel a répondu également aux attaques de Peillon à l’encontre de l’Ecole Catholique : « François Hollande, qui avait déclaré vouloir apaiser et rassembler les Français, est en train de les diviser sur un sujet majeur », a déploré le député-maire de Chaumont (UMP) sur LCI, en poursuivant : « Ce qui s’est passé ces derniers jours, en particulier sur l’enseignement catholique, est très regrettable. On a le sentiment de raviver la guerre scolaire, de raviver des tensions qui n’existent plus ».(…) « Je veux l’application stricte des textes, a poursuivi le vice-président délégué de l’UMP. La loi Debré est très claire. Elle prévoit un contrat d’association avec l’Etat et aussi un caractère propre : le fait que, dans ces établissements, on transmet un certain nombre de valeurs ». (…) « En s’immisçant dans ce caractère propre, le ministre prend une responsabilité risquée de revenir sur l’existence-même de ces établissements d’enseignement privé ».

    Radinrue.com

  • Un nouveau site qui mérite le détour

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    Grâce à une note parue sur le blog de l'abbé de Beukelaer, nous découvrons "les chroniques philosophiques d'une sexologue newyorkaise". En voici la recommandation faite par le chanoine liégeois :

    "L’univers des blogs cathos (du moins ceux que je connais) est un peu trop masculin à mon goût. De plus, le monde chrétien manque de jeunes voix pour aborder avec compétence et autorité, le délicat sujet de la sexualité. C’est donc de bonne grâce que je relaie l’info: Thérèse Hargot et son mari François Jacob habitent New-York. Pour 2013, la sexologue belge – qui est aussi maman – a décidé d’ouvrir un blog: www.theresehargot.com à visiter, lire, commenter, partager, suivre…  L’auteure explique: « L’objectif est d’y réunir mes chroniques, mes lectures, mes opinions, mes réponses à vos questions pour partager et échanger au-delà de tout ce qui nous sépare. Voici pour aujourd’hui un nouvel ARTICLE publié sur French Morning. J’en profite pour vous souhaiter une très belle année 2013! »

    Je vous conseille de suivre ce blog. Thérèse Hargot se dévoile dans une écriture intelligente, vive, joyeuse, voire même taquine. Et la mise en page par son petit mari, renvoie mon propre blog au Moyen Age. En cette semaine qui suit l’Epiphanie, voici donc une nouvelle étoile à suivre…"

  • France : un premier résultat de la mobilisation contre "le mariage pour tous" ?

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    D'après Libé :  "La ministre déléguée à la Famille, Dominique Bertinotti, a laissé entendre lundi sur RTL que les socialistes renonceraient à déposer leur amendement au projet de loi sur le mariage homosexuel ouvrant la procréation médicalement assistée (PMA) aux couples de femmes."

    l'article est ici : http://www.liberation.fr/

  • Des livres...

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    Notamment :

    ·        Le père Roger-Thomas Calmel, Père Jean-Dominique Fabre, 24 €

    ·        Alessandro Valignano, un jésuite au Japon,  Vittorio Volpi, 24.50 €

    ·        Jean Anouilh, une biographieAnca Visdei, 22 €

    ·        Karl Lueger, le maire rebelle de la Vienne impériale, Laurent Glauzy, 18 €

    ·        Ripostes au politiquement correct – Tome 2Christophe Lacroix, 19 €

    ·        Petit catéchisme des Cons, François de Kehl Karjan, 7 €

    ·        Bourrasques, Hubert Le roux, POUR SOUTENIR LES VOCATIONS SACERDOTALES , 10 €

    ·        Vatican II en débat, Questions disputées autour du XXI° concile œcuménique, Abbé Gleize, 15 €

    ·        Aymar de Foucauld, de Saint-Cyr au Mexique… itinéraires d’un officier de cavalerie… E. Dufour, 27 €

    ·        Rues Barbares, Survivre en ville, Piero San Giorgio & Vol West, 21 €

    etc.

    http://www.livresenfamille.fr/

  • France : la ministre du logement et le dominicain

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    Cécile Duflot diffuse un texte pro-mariage pour tous "censuré" : source

    La ministre du Logement a diffusé le 1er janvier via son compte Twitter un texte rédigé par le frère Lionel Gentric sur le mariage pour tous, rapporte Le Lab. Tout en avouant être "hésitant" sur la question du mariage pour tous, le frère dominicain explique dans ce texte que l’Eglise "fait fausse route". 

    La réflexion touche Cécile Duflot. Mais lorsqu’elle cherche à le partager sur Twitter le 1er janvier, impossible de retrouver l’écrit : il a été supprimé.

    Pas de problème pour la ministre, qui va chercher le texte dans le cache de Google, et le diffuse à tous ses followers.

     Voici le texte dont il s'agit :

    Un seul cœur et une seule âme ?   Frère Lionel Gentric

    De l'unanimité de l'Eglise sur la question du mariage pour tous

    Il est bien des organisations humaines (gouvernements, partis politiques, entreprises commerciales), trop humaines peut-être, où la capacité à afficher une unanimité de façade dans les situations d’adversité est un atout de poids, voire une nécessité. Il est bien des circonstances dans lesquelles il faut accorder au rassemblement des forces une priorité qui justifie qu’on diffère l’ouverture d’un débat de fond où viendraient se confronter des perspectives diverses et des opinions contradictoires. Plus encore, certaines organisations sont jugées sur leur capacité à juguler efficacement l’expression de la diversité des opinions : ainsi les ministres de notre République sont-ils sévèrement jugés lorsqu’ils manifestent de manière désordonnée leur désaccord avec la ligne officielle. Jean-Pierre Chevènement l’a brillamment résumé, alors qu’il s’apprêtait à donner sa démission du gouvernement Mauroy en 1983 : « Un ministre, ça ferme sa gueule ; si ça veut l'ouvrir, ça démissionne ».

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  • La rétrospective 2012 du Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique

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    Sommaire (cliquer sur les liens)

  • La nocivité de la pilule fait la une

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    Jeanne Smits commente l'évènement :

    Il en aura fallu, du courage, à la jeune femme qui, la première, a osé mettre en cause une pilule contraceptive dite « de troisième génération » en portant plainte, le 14 décembre dernier, contre les laboratoires Bayer. Marion Larat, 25 ans, la rend responsable de l’AVC qui l’a laissée, il y a six ans handicapée à 65 %. On la lui avait prescrite malgré une contre-indication génétique décelable à l’examen du sang.

    L’affaire a été évoquée par la presse, et en moins de deux semaines, trente autres jeunes femmes qui s’estiment victimes de pilules de troisième et quatrième générations se sont fait connaître et devraient à leur tour porter plainte d’ici à la fin du mois.

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  • France: réussir un vrai débat sur le mariage homosexuel ?

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    Dans l’hebdomadaire “Famille Chrétienne”, nous avons trouvé cette réflexion du philosophe Paul Thibaud. Celui-ci est un ancien directeur (1977-1989) de la célèbre revue  Esprit . Fondée en 1932 par Emmanuel Mounier,  l’un des chantres du nébuleux « personnalisme chrétien », cette revue est aujourd’hui devenue un carrefour intellectuel tirant tout de même à 10.000 exemplaires. 

    “Les partisans du « mariage pour tous » mettent en avant l'idée de l'égalité entre les citoyens, d'où ils déduisent le droit à une même reconnaissance pour les sentiments des personnes homosexuelles. Dans cette logique, si la capacité des homosexuel(le)s à aimer un conjoint et un enfant est admise, alors leur droit à adopter et à éduquer ce dernier devient évident.

    Cet argument s'appuie sur des faits : notre société, bien souvent, ne considère plus le mariage que comme la décision, assez précaire, du reste, prise par deux personnes de faire route ensemble. Et c'est aussi un fait que certains couples homosexuels élèvent avec amour les enfants de l'un ou l'autre. Alors, les « pro » disent en substance : « officialisons ce qui est déjà une réalité, le couple homoparental, voire la famille ».

    Les « anti » mettent en avant ce que les « pro » oublient : nous vivons en société. Or la société n'est pas qu'un tas d'individus, elle est tissée de relations, notamment la filiation, élément essentiel de l'humanité. Filiation qu'ils voient comme devant être organisée autour de la dualité sexuelle. Ainsi, ils tendent à donner de l'humanité une définition naturaliste : un homme, une femme, un enfant. Ils revendiquent le droit pour l'enfant d'avoir des parents de sexe différent au nom de la nature. Ce qui revient à dire, au fond, qu'il y a des limites, un schéma dont l'homme ne doit pas sortir.

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  • Faut-il railler… ou rallier Christine Boutin ?

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    Un de nos fidèles lecteurs et correspondants liégeois nous fait parvenir ce billet à propos de la sortie de Christine Boutin (*) concernant le « mariage pour tous » :

    Interviewée le 24 décembre sur I-télé, Christine Boutin a, une nouvelle fois, dit son opposition radicale au projet d’instaurer en son pays le mariage homosexuel. Comme on lui demandait si l’on pouvait, en matière de conjugalité, traiter de façon inégalitaire les droits des hétérosexuels et ceux des homosexuels, elle s’est défendue de toute homophobie discriminatoire. Elle a très justement observé que « le droit au mariage est ouvert à tout le monde » et que « les homosexuels peuvent se marier naturellement mais avec une personne de l'autre sexe.» À l’instar de commentateurs professionnels, des blogueurs ont estimé que la réponse était « étrange » : Christine Boutin serait bornée ou feindrait de ne pas avoir compris où est le problème. Elle a pourtant bien dit : « se marier ». Elle a ensuite développé quelque peu son propos, notamment sous l’angle sociétal, par souci d’éclairer la lanterne d’esprits politiquement corrects, c’est-à-dire formatés et grégaires. Mais « on » a isolé la phrase propre à susciter quolibets et sourires entendus.

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  • Les chevaliers blancs sont de sortie

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    Dans une « tribune libre » publiée sur le site « Itinerarium », Jean Dùma lance cette charge contre l’archevêque de Paris (et président de la conférence des évêques de France), lequel a fait savoir qu’il ne participerait pas à la « marche pour tous » du 13 janvier contestant le projet de légalisation du mariage gay. Extrait :

    « A force de vouloir essayer d’être malin, subtil et de haute volée, Mgr Vingt-Trois finit par être inaudible (RTL, le 23/12, qu’il faut écouter en totalité). Sa position  devient presque incroyable de mépris pour ses ouailles (« dans la position qui est la mienne, je n’ai pas besoin de défiler » ). On suppose qu’avec un tel sens du leadership, Mgr Vingt-Trois aurait accompagné les chrétiens dans l’arène, du haut des gradins en leur faisant un aimable coucou de la main !

    Ce clerc pense toujours « atteindre le pouvoir politique », alors que le réel lui démontre le contraire de façon flagrante. Ses interventions publiques ont été de véritables camouflets : le rendez-vous pris avec le Premier Ministre a duré 10 minutes, celui avec le Garde des Sceaux mentionnait un « entretien avec André XXXIII », et la pantalonnade de l’Assemblée Nationale a consisté en un foutage de gueule aussi monumental qu’un procès sous Caucescu. Ce jongleur de la  dialectique a même exaspéré les plus ouverts des journalistes, alors que ce sont ses premiers relais, c’est dire !

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  • A Barcelone, un temple dévolu à la Sainte Famille

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    sagrada-familia-sculpture-large.jpg"Le promoteur en fut Josep Maria Bocabella i Verdaguer, un libraire dévot et très cultivé qui en 1866 fonda "l'Association Spirituelle des Dévots de Saint Joseph", une institution qui prétendait contribuer à la diffusion du Catholicisme à une époque où la religion traditionnelle devait faire face aux nouvelles idées induits par les changements sociaux consecutifs à Révolution Industrielle. Il s'agissait donc d'une approche plutôt d'idéologie conservatrice. 

    L'activité que Josep Maria Bocabella a développé pour propulser son idée l'ont emmené 1872, a rendre une visite au Saint Père de Rome pour lui offrir, au nom de l'Association une image en argent de la Sainte Famille. 

    Au retour il a visité la ville de Loreto, dont la basilique lui inspire l'idée de construire à Barcelone un "temple expiatoire dédié á la Sainte Famille".  Cette idée n'eut pas de suite mais, finalement Josep Bocabella chargea l'architecte Francesco de Paula i de Villar du projet d'un temple qui ne serait la copie servile d'aucun autre." (http://www.gaudiallgaudi.com/FA012.htm)

    Quant à l'architecte, aujourd'hui en voie de béatification (voir commentaire de Stéphanie ci-dessous) :

    "Antoni Gaudí est connu pour être "l’architecte de Dieu". Bien que que l’on puisse admirer son style très personnel et authentique à travers toutes ses constructions, aucune d’elles n’arrivent à la cheville de l’extraordinaire Sagrada Familía.

    Gaudí a toujours été célèbre pour son dévouement religieux et sa foi en l’Eglise catholique romaine plus forte de jour en jour. Né en 1852, il décéda malheureusement avant de pouvoir achever la Sagrada Familía, renversé par un tramway alors qu’il se rendait à la messe à l’église Saint-Philippe Néri. Il perdit conscience et fut emmené à l’Hôpital de la Santa Creu. Bien qu’il dédia sa vie à la recherche de la  beauté véritable, il ne prenait plus soin de son apparence physique. Ce jour-là, il portait des vêtements usés, avait un aspect négligé, et ne possédait pas de papiers d’idendité. Il fut par conséquent pris pour un mendiant et ne fut pas secourru immédiatement. Un prêtre de la Sagrada Familía le reconnut finalement mais son état était cependant trop critique. Antoni Gaudí décéda le 10 juin 1926 à l’âge de 73 ans." (http://www.maisonsetluxe.com/barcelona-antonio-gaudi-sagrada-familia/)

    Lire aussi : http://chiesa.espresso.repubblica.it/articolo/1345444?fr=y