Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Eglise - Page 1443

  • Chronique des chrétiens persécutés

    IMPRIMER

    Sur "Fide Post" :

  • Ni se résigner, ni se décourager...

    IMPRIMER

    Dieu, Maître de l'histoire

    Brasilia 2012: homélie de Mgr de Moulins-Beaufort

    ZENIT.ORG - Anne Kurian

    Mgr de Moulins-Beaufort invite à ne pas se résigner ni se décourager face aux soubresauts de l’histoire, car Dieu en est le maître et il y est à l’œuvre en tous temps.

    C'est l'un des thèmes principaux de l’homélie prononcée par Mgr Eric de Moulins-Beaufort, évêque auxiliaire de Paris, le 23 juillet, à Brasilia, pour la messe du rassemblement mondial des Équipes Notre-Dame (cf. Zenit du 7 mai 2012).

    L’évêque y commente l’évangile du jour, parabole de la vigne et des sarments (Jn 15,1-8). (cf. le texte intégral).

    Dieu est à l’œuvre

    Pour Mgr de Moulins-Beaufort, l’image de la vigne exprime « le lien intime, le lien vital », que Jésus crée entre lui et ceux qui lui sont unis : la vigne n’est donc pas « Jésus dans son individualité ou sa solitude » mais elle est « Jésus portant en lui tous ceux dont il fait ses disciples », explique-t-il.

    Lire la suite

  • Encore la liberté religieuse

    IMPRIMER

    Lu sur le site « Benoît et moi » :

    A l'heure où les persécutions envers les chrétiens, surtout en terre d'Islam, se font plus nombreuses (comme on l'a vu encore tout récemment au Nigeria et au Kénya, il est important de faire la distinction entre deux concepts distincts, que le langage politiquement correct a tendance à confondre. L'éditorial du Professeur Roberto de Mattei, spécialiste du Concile Vatican II dans Corrispondenza Romana :(21/7/2012)

    « Parmi les slogans du langage «politiquement correct», il y a le terme de liberté religieuse, parfois improprement utilisé par les catholiques comme synonyme de liberté de l'Église ou de liberté des chrétiens. Il s'agit en réalité de termes et de concepts distincts, sur lesquels il convient de faire la clarté. L'ambiguïté, présente dans la Déclaration conciliaire Dignitatis humanae (ndt: déclaration sur la liberté religieuse, texte ici, 1965), découle d'une absence de distinction entre le for intérieur, qui est le domaine de la conscience personnelle, et le for extérieur, qui est la sphère publique, c'est-à-dire la profession et la propagation publique de ses propres convictions religieuses (1).

    Lire la suite

  • Ceci n’est pas un mandement de carême

    IMPRIMER

    Ils ne sont plus à la mode. En revanche, on peut lire ceci :

    ROME, mardi 24 juillet 2012 (ZENIT.org) – A l’occasion du début du mois du Ramadan, la conférence épiscopale française adresse ses vœux à « tous les croyants musulmans vivant en France », les assurant de « l'amitié » et de « la proximité de tous les catholiques engagés dans le dialogue islamo-chrétien ».

    Le P. Christophe Roucou, directeur du service national des évêques de France pour les relations avec l’Islam (SRI) a en effet adressé ce message en date du 20 juillet, « premier jour du Ramadhan 2012 ».

    « En ces jours où vous entrez en Ramadan, temps de jeûne, de retour vers Dieu dans la prière et l'attention aux autres, le Service pour les Relations avec l'Islam  vous redit l'amitié et la proximité de tous les catholiques engagés dans le dialogue islamo-chrétien », écrit le responsable français.

    Il ajoute cette prière : « Que Dieu entende vos prières et soit pour tous le Miséricordieux qui rassemblera un jour tous les êtres humains assoiffés de paix et de justice ».

    Le ramadan s'achèvera autour du de la fête de l'aïd al-fitr (18 ou 19 août), la "fête de la rupture" (du jeûne) jour clôturant ce rite religieux. Mais les calendriers, lunaires, varient selon les pays et les régions.

  • Retraite pour une figure du folklore clérical namurois

    IMPRIMER

    Il s’agit de l’abbé Malherbe, curé de Saint Jean-Baptiste et de Saint-Loup, qualifié par l’évêque, Mgr Rémy Van Cottem, de « véritable accélérateur ». Ce wallon bon teint sera remplacé… par  un flamand, le P. Michel Hermans. Ce jésuite quadragénaire, historien de formation et jusqu’ici vicaire à Bomel a expliqué qu’il était né à Tirlemont, avait vécu à Bruxelles et dans le Hainaut. Entré chez les Jésuites en 1981, il a fait ses candidatures en histoire à Namur, sa licence à l’UCL, des études de théologie à Paris, trois ans à Kikwit au début des années ’90 et il a été responsable du Centre Religieux Universitaire de Namur.

    Lire la suite

  • L’université de Lima s’autoproclame pontificale et catholique

    IMPRIMER

    La prestigieuse Université pontificale et catholique du Pérou (PUCP), berceau de la théologie de la libération, a assuré lundi qu'elle continuerait à utiliser son nom malgré la décision du Vatican qui veut la priver de ses titres de "pontificale" et "catholique".

    "Nous avons le droit de continuer à utiliser les deux termes tant que nous le considérerons pertinent. Toute décision à ce sujet relève de l'autorité des organismes de direction de l'université", a déclaré le recteur de l'établissement, Marcial Rubio, dans un communiqué.

    Samedi, le Saint-Siège a annoncé par "mandat pontifical et décret du Secrétaire d'Etat (numéro deux du Vatican)" qu'il retirait à l'Université péruvienne "les qualificatifs de pontificale et catholique, ainsi que leur usage selon le droit canon".

    Lire la suite

  • Ne pas toucher à la croix

    IMPRIMER

    Source : L'Osservatore Romano

    Le patriarche de Moscou s’exprime sur le cas de deux britanniques licenciées pour avoir refusé de l’enlever :  Ne touchez pas à la croix

    L’Eglise orthodoxe  russe ne peut pas rester les bras croisés alors qu’en Europe la religion chrétienne est foulée aux pieds : c’est ce qu’a dit l’Igoumène Philip (Ryabykh), représentant du patriarcat de Moscou au Conseil de l’Europe, dans une déclaration à « La Voix de la Russie ». Il fait référence à deux citoyennes britanniques licenciées pour avoir refusé d’enlever la croix chrétienne qu’elles portaient sur leur lieu de travail : les cas de l’employée du check-in de British Airways à l’aéroport de Heathrow, Nadia Eweida, et de l’infirmière Shirley Chaplin seront bientôt examiné par la Cour européenne des droits de l’homme et les représentants orthodoxes, avec les juristes russes, ont déjà assuré leur appui sans condition.  Une situation qui, selon Philip, est sans précédent.

    Les deux femmes ont demandé à la Cour de reconnaître que la liberté de religion a été violée et qu’elles ont été discriminées précisément en référence  à leur appartenance religieuse. Le législateur britannique – lit-on sur « La Voix de la Russie » -  n’a toutefois pas attendu que le cas soit présenté devant les juges de Strasbourg et il a proposé une loi permettant à l’employeur de licencier les employés qui refusent de cacher leur appartenance à la religion chrétienne.

    « La sentence de la Cour européenne des droits de l’homme – a-dit l’Igoumène Philip – sera  appliquée dans tous les pays qui font partie du Conseil de l’Europe, dont la Russie, l’Ukraine, la Biélorussie, la Moldavie, c’est-à-dire tous les fidèles de l’Eglise orthodoxe russe ». La tradition orthodoxe exige de porter la croix et, avertit le représentant du patriarcat de Moscou, « si les juges de Strasbourg rejetaient la requête de ces deux chrétiennes et donnaient raison aux employeurs qui les ont empêchées de la porter, ce cas pourrait avoir des conséquences négatives pour les orthodoxes résidant dans les pays européens. Pour nous – conclut-il – il serait absolument inacceptable, car les fidèles ont l’obligation de porter les symboles chrétiens dans toutes les circonstances ».

  • Intox

    IMPRIMER

    Le site de « France Catholique » publie ce communiqué de l’agence officielle de presse du Vatican relatif à l’enquête sur la publication des documents confidentiels volés au Saint-Père :

    Cité du Vatican, 23 juillet 2012 (VIS). Réagissant à des articles de la presse italienne et allemande, faisant état "d’enquêtes relatives à la fuite de documents, et insinuant la complicité de personnes proches du Pape, la Secrétairerie d’Etat exprime sa vie et totale réprobation. Non fondées sur des faits objectifs, ces indications blessent gravement l’honorabilité de personnes qui sont depuis longtemps au service du Saint-Père". Le Directeur de la Salle de Presse a précisé que, "les résultats de l’enquête des autorités compétentes n’étant pas publiés, nul n’est légitimé à publier de telles interprétations infondées. Ce n’est pas l’information à laquelle l’opinion publique a droit". Par ailleurs, sur les ondes de Radio Vatican, le P.Lombardi a redit une fois de plus que "le fait d’être entendu par une commission d’enquête se signifie aucunement être suspect. Si les trois personnes citées peuvent avoir été entendues cela ne signifie pas pour autant qu’on les suspecte de co-responsabilité ou de complicité... Quant à leur éloignement, le Cardinal Sardi a quitté la Secrétairerie d’Etat à 75 ans passés, Mme Stampa travaille toujours à la Secrétairerie d’Etat, et Mgr.Clemens est toujours Secrétaire du Conseil pontifical pour les laïcs. Il est faux qu’il ait reçu du Pape la lettre dont parle Die Welt, et que La Repubblica cite indirectement".

    Référence : PRECISIONS DU DIRECTEUR DE LA SALLE DE PRESSE

    Le mieux serait de rendre publiques les conclusions du magistrat et de la commission d’enquête qui devaient être ou ont été remises au pape lui-même.

  • Situation en Syrie : les évêques se réunissent à Alep

    IMPRIMER

    ASIE/SYRIE - Crise, situation des chrétiens et perspectives : réunion des Evêques à Alep (source : Agence Fides)

    Alep (Agence Fides) – Les questions urgentes relatives à la crise syrienne en un moment de « forte préoccupation » pour les Eglises et pour l’ensemble de la population, la situation des communautés chrétiennes et la condition des évacués seront traitées dans le cadre de la prochaine réunion des Evêques catholiques qui aura lieu à Alep le 25 juillet. Comme l’a appris l’Agence Fides, la réunion était fixée depuis longtemps mais arrive à un moment où la ville est le théâtre d’âpres combats entre l’armée et des groupes révolutionnaires, ce qui en fait une sorte de « réunion de crise » où l’actualité sera analysée, en sus des questions strictement pastorales.

    Le Père George Abu Hazen, OFM, Pro-vicaire apostolique d’Alep, indique à l’Agence Fides : « On entend des coups de feu. Les rues sont vides et parmi la population de la ville règne une forte préoccupation et une grande tension. Nombreux sont ceux qui ne se sont pas rendus au travail aujourd’hui. Dans les quartiers périphériques, où ont lieu les affrontements, la population s’enfuit, cherchant refuge ailleurs. Nous ne nous trouvons pas encore dans une situation d’urgence mais cela pourrait bientôt être le cas ». « Il s’agit d’un moment de grande souffrance et d’incertitude – poursuit-il – qui se lit sur les visages des personnes. Les chrétiens d’Alep, en ces heures, prient avec plus de dévotion et de foi. Malgré ces moments sombres. Nous, chrétiens, sommes les enfants de la Résurrection, nous sommes enfants de la Lumière et l’espérance ne nous abandonne pas. Jésus Christ est le Seigneur de l’Histoire et Se manifeste dans l’histoire du peuple syrien ». « Notre mission de franciscains – conclut le Père George – est de demeurer proches des gens en cette phase de douleur et de précarité, en consolant, en aidant et en portant un message d’amour et d’espérance ». A Alep, sur une population totale de plus de 2 millions de personnes, vivent environ 180.000 fidèles chrétiens appartenant aux différentes confessions et rites catholiques, orthodoxes et arméniens. (PA) (Agence Fides 24/07/2012)

  • Une question mal posée

    IMPRIMER

    Sur le site de l’agence EDA des missions étrangères de Paris :

    « Mis en ligne le 5 juillet 2012, par Chinese Church Voices, blog sur le christianisme en Chine, cet article de Liu Peng, membre éminent de la Chinese Academy of Social Sciences (CASS), considérée comme un think tank du gouvernement, illustre bien l’évolution récente du débat sur la religion en Chine. Celui-ci n’est en effet plus l’apanage des sites et magazines chrétiens, mais se retrouve également sur la toile des universitaires et de la sphère intellectuelle "officielle".

    Depuis 1994 où Liu Peng avait présenté une justification de la politique de Pékin en matière religieuse en tout point conforme au discours officiel, « la Chine a bien changé », comme le constate le chercheur lui-même, une quinzaine d’années plus tard. En 2009, dans un article du China Daily, il appelle en effet l’Etat à établir un nouveau système de gouvernance religieuse, fondé sur la loi et non sur des mesures administratives, proposant également que chaque groupe religieux puisse avoir la possibilité d’être enregistré légalement.

    Dans ce dernier texte, Liu Peng va encore plus loin, avançant le postulat que le développement de la Chine ne se fera qu’au prix d’une redécouverte de la spiritualité."

     Extraits :

    (…). Alors que le cœur des systèmes de valeurs et de croyances sur lequel reposait l’esprit chinois par le passé a été détruit, nous n’avons pas encore opéré les innovations nécessaires pour développer de nouveaux systèmes de valeurs et de croyances pour la Chine d’aujourd’hui. Quand l’ancienne foi est détruite, et la nouvelle pas encore établie, un véritable désert spirituel et moral s’instaure, accentuant un peu plus chaque jour le déséquilibre entre le spirituel et le matériel.

    Bien que la Chine ait fait des progrès visibles en terme de développement matériel, cette prospérité ne peut combler l’absence de spiritualité et de foi. A court de nouveau combustible, la lumière de la flamme spirituelle chinoise s’affaiblit. En réalité, la lumière de cette flamme est même trop faible pour indiquer une direction et fournir la force de cohésion nécessaire à une nation composée d’ethnies différentes, de classes sociales multiples, de groupes aux intérêts divergents ; à elle seule, cette flamme ne peut briller suffisamment pour dissiper l’obscurité et illuminer le moindre recoin du monde. Comment dans cette situation un pays peut-il s’élever au rang de grande puissance ? (…)

    (…) Si la Chine refuse de se confronter à la question de savoir ce en quoi elle croit, elle n’aura jamais le pouvoir d’une grande puissance. De la réponse à cette question dépend l’avenir de la Chine. Quiconque se soucie du devenir de la Chine et désire que celle-ci puisse grandir, doit affronter cette question, y réfléchir, et y répondre. »  

    Voir tout l’article ici : POUR APPROFONDIR- La religion, talon d’Achille du géant chinois ?

    Moins encore que les « valeurs », la foi ne se décrète pas. C’est ne rien comprendre au phénomène religieux que d’inviter l’Etat communiste à instrumentaliser celui-ci  au service de l’identité chinoise et sa volonté de puissance.  Les religions ou philosophies traditionnelles de l’ « Empire du milieu », et a fortiori le marxisme qui s’y est substitué, se font une idée  trop basse et impersonnelle du divin.

  • Cuba: Le leader catholique de la contestation du régime Castro meurt dans des circonstances mal éclaircies

    IMPRIMER

    Une information publiée sur le site de “La Vie” ce 23 juillet (extraits):

    (…) Dimanche 22 juillet, tard dans la soirée, les autorités cubaines ont annoncé la mort d'Oswaldo Paya par un communiqué officiel qui évoque « un accident regrettable survenu dans la localité de La Gavina, à 22 kilomètres de Bayamo ». Selon plusieurs témoins, cités par le journal Le Monde, le plus célèbre dissident cubain avait pris place dans une voiture de location. Le chauffeur aurait perdu le contrôle de son véhicule qui se serait écrasé contre un arbre, près de Bamayo, à 800 kilomètres de La Havane. Un autre dissident qui se trouvait dans la voiture, Harold Cepero, a également été tué et deux autres passagers, un espagnol et un suédois, ont été blessés. Des blogs de dissidents cubains ont fait état d'une collision avec une autre voiture et il faut donc rester extrêmement prudent sur les circonstances de sa mort.

    Principale figure de la dissidence cubaine, Oswaldo Paya, un ingénieur spécialisé dans les appareils médicaux, avait fondé en 1988 le mouvement chrétien de libération (MCL). Il avait été notamment à l'origine du « projet Varela », une plate forme de revendication de l'ensemble de la dissidence cubaine, qui, au début des années 2000, réclamait la tenue d'un référendum sur l'organisation d'élection libres à Cuba et une amnistie pour les prisonniers politiques. Malgré l'attribution du prix Sakharov des droits de l'homme en 2002, la répression s'était accrue sur Oswaldo Paya et les dissidents cubains. Bien qu'étroitement surveillé, il avait reçu en août 2006 à son domicile à Thomas Cantaloube, alors correspondant de la Vie aux Etats-Unis. Pour une longue interview dans laquelle le dissident cubain nous confiait ses espoirs pour l'après Fidel Castro. Des propos qui gardent, encore aujourd'hui, toute leur pertinence malgré les quelques timides ouvertures de Raul Castro, le frère du leader Maximo.

    Tout l’article ici: Le dissident cubain Oswaldo Paya meurt dans un accident de la route

  • Vatileaks : l'instruction a été bouclée et Gabriele sort de prison

    IMPRIMER

    Selon Anita Bourdin, sur le site de l’agence zenit :

    « ROME, dimanche 22 juillet 2012 (ZENIT.org) – Paolo Gabriele, l’ancien majordome de Benoît XVI, soupçonné d’avoir subtilisé des documents réservés des appartements pontificaux a été assigné à résidence chez lui, au Vatican, samedi 21 juillet, annonce le P. Federico Lombardi, S.J., directeur de la salle de presse du Saint-Siège.

    Le juge d’instruction du Tribunal de l’Etat de la Cité du Vatican, le prof. Piero Bonnet, a en effet estimé que l’instruction ne nécessitait plus son incarcération, après l’interrogatoire de ce 21 juillet, indique le P. Lombardi.

    Il précise donc que le suspect a été remis en liberté provisoire, avec les garanties indispensables.

    Il réside désormais avec sa famille, avec les conditions imposées par le juge en ce qui concerne les contacts et les relations avec d’autres personnes.

    Dans les jours qui viennent, le procureur prononcera son réquisitoire sur la responsabilité de Paolo Gabriele pour « vol avec circonstances aggravantes » et le tribunal décidera alors de son inculpation ou du non-lieu.

    Quant à la commission des trois cardinaux instituée par Benoît XVI pour enquêter sur les « fuites » répétées, elle a remis son rapport au pape, annonce également le P. Lombardi ».

    Tout cela ne semble pas voler bien haut. Sans vouloir préjuger des conclusions de la magistrature et de la commission d’enquête : un complot de sacristie, dans l’atmosphère confinée de la "cité interdite",  pas une affaire d’état. A suivre.