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Eglise - Page 1463

  • France : ouvrir les jeunes au Christ

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    Dans son numéro de juin 2012, qui vient de paraître, le mensuel « La Nef » interroge Mgr Brouwet, le nouvel évêque de Tarbes et Lourdes sur le projet de révision, par la conférence épiscopale, des statuts (ecclésiaux) de l’école catholique en France.

    De quoi s’agit-il (extraits) ?

    « Mgr Nicolas Brouwet – Fondamentalement, je crois, d’adapter les structures de l’enseignement catholique à la mission éducative et évangélisatrice de l’Église. La vision pastorale n’était pas vraiment intégrée au texte actuel. On pouvait avoir le sentiment que l’éducation à la foi ne dépendait que de la bonne volonté des personnes en place comme si, au fond, les structures elles-mêmes ne portaient pas vraiment le projet de déployer dans l’enseignement catholique la lumière de l’Évangile.

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  • Le Père Ceyrac : "Je ne suis pas intéressant, je ne fais rien"

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    Un très bel hommage est rendu à cette grande figure de la présence chrétienne en Inde par Jérôme Cordelier : Le "grand voyage" du Père Ceyrac

    Citation :

    "Je ne suis pas intéressant, je ne fais rien", disait souvent le père Ceyrac, qui avait placé sa vie sous les auspices de cette maxime de saint Jean de la Croix : "Tout mon exercice est d'aimer." Grâce à ce viatique, affirmait-il, "en dépit des hauts et des bas, et de toutes nos lassitudes et lâchetés, la vie devient un long magnificat".

    Lire aussi : dialogues avec le père Ceyrac

  • A Huy : l'art sacré dans tous ses états

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    huy_affiche.jpg

    cliquer sur l'image pour accéder à la présentation de cette exposition

    Cliquer ICI pour accéder au site des Septennales de Huy,

    en l'honneur de Notre-Dame de la Sarte.

  • A Milan, une bouffée d'oxygène pour le pape

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    Avec les familles du monde, le diocèse de Milan accueille Benoît XVI (Source : la-croix.com)

    C’est une bouffée d’oxygène qui attend Benoît XVI à Milan ce vendredi soir 1er juin. Quittant l’ambiance troublée du Vatican, il rend visite, non seulement au diocèse de Milan, l’un des plus puissants au monde (900 prêtres), mais aussi aux familles du monde, réunies pour la VIIe rencontre mondiale des familles, sous le titre « Les familles, le travail et la fête ».

    À Milan, pour accueillir le pape : le cardinal Angelo Scola, archevêque de l’antique cité ambrosienne depuis septembre 2011, est un vieil ami du pape. Comme théologien, le cardinal Scola dirigea longtemps à Rome l’Institut Jean-Paul-II pour la famille à l’Université pontificale du Latran. Autant dire qu’il est familier de l’anthropologie catholique de la famille, au cœur de cette rencontre mondiale des familles.

    À partir du thème « Les familles, le travail et la fête », dans le cadre de la doctrine sociale de l’Église, les délégations venues de 27 pays d’Europe, mais aussi d’Asie, d’Afrique et d’Amérique latine, ont toutes témoigné, devant les 7.000 participants, en ce sens.

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  • Les « tradis » évangélisent avec leurs pieds

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    following-jesus1.jpgIls étaient plus de 10 000 sur les routes de Chartres cette année encore. On voit désormais autant de mèches de « tradis » que de mèches rebelles, de crânes rasés que d'hommes chevelus. Les Bensimon concurrencent largement les chaussures bateaux et les sweats à capuche sont légions quand la vareuse semble une espèce en voie de disparition. Bref, le mythique pèlerinage de Notre-Dame de Chrétienté ne rassemble pas seulement les latinistes distingués et l'on a même entendu, lors de la messe de Pentecôte, un chant de la communauté de l'Emmanuel. Comme chaque année, des catholiques persuadés que la messe saint Pie V n'attire plus que quelques vilains réactionnaires découvrent toute la richesse d'une liturgie et toutes les grâces qui peuvent abonder le long du chemin qui mène à Chartres. L'on pourrait recueillir des centaines de fioretti. En voilà quelques-uns…

    L'histoire, d'abord, de cet homme qui s'apprêtait à entrer au séminaire pour Points-Cœur et qui a voulu découvrir le pèlerinage. Tout futur prêtre qu'il était, il a confié avoir été particulièrement touché par l'importance donnée dans la forme extraordinaire du rite au « Et incarnatus est » du Credo. « Ces milliers de personnes agenouillées à ce moment crucial de la profession de notre foi est absolument magnifique. »

    L'histoire ensuite de cette jeune fille nourrie depuis le berceau de la messe paroissiale, fût-elle affreusement pauvre liturgiquement et célébrée par un prêtre progressiste revendiqué. Ce qui l'a touchée, ce fut le silence étonnant qui règne pendant la messe alors que des milliers de pèlerins, dont des enfants, sont rassemblés. « Il y a moins de bruit que dans ma paroisse où, avec seulement une trentaine de vieilles paroissiennes, c'est la foire d'empoigne ! »

    L'histoire enfin, de cette jeune fille éduquée dans une famille très fervente mais franchement pas tradi et même hostile à l'égard de cette drôle d'espèce. Elle est pourtant venue cette année sur les routes de Chartes, sans doute à la fois par l'opération du Saint-Esprit et par l'esprit de contradiction qu'elle cultive à l'envi et qui lui a fait faire ce que jamais personne n'avait fait dans sa famille. Elle est arrivée, au terme des cent kilomètres, fatiguée mais ravie, pensant déjà au pèlerinage de 2013. Elle a conclu par ces mots : « Finalement, les tradis ne sont pas du tout comme on croit ».

    Mission accomplie et à l'année prochaine !  Ici : Histoires sur les chemins de Chartres 

  • L’Homme nouveau (bi-mensuel) : vient de paraître

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    Au sommaire du numéro 1519 daté du 2 juin 2012 :

    Couv-1519-pt.pngEvénement

    Hollande-Ayrault : itinéraires laïcards

    Le Président et son Premier ministre ont tout deux rejeté l'éducation chrétienne de leur enfance.

     Dossier

    Faut-il vraiment se préparer au mariage ?

     Actualités

    Belgique : ils veulent tuer les enfants et les fous

    Légale depuis dix ans, l'euthanasie ne concernait que les majeurs conscients. Un projet de loi vise désormais les enfants et les personnes démentes. Une dérive prévisible qui guette également la France.

    Benoît XVI a donné rendez-vous aux familles à Milan.

    Les Cristeros à l'affiche

    Culture

    Les cathédrales de France, la grâce d'une collection.

    Une nouvelle rubrique : Que répondre à…

    L'euthanasie est-elle un droit ?

    Figure spirituelle

    Saint Jean-Gabriel Perboyre, premier martyr de Chine canonisé.

     
    Disponible dans notre boutique :
    Journal n°1519 du 02-06-2012

     

  • C dans l'air: Qui veut la fin de Benoît XVI ? (mise à jour)

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    Crise à l'italienne dans la curie romaine: Et Dieu dans tout cela ?

    Voir le commentaire de B.B. sur "Benoît et moi"

    On peut également lire l'analyse de Sandro Magister : Chasse aux voleurs au Vatican

  • Les intentions du pape pour juin 2012

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    L'intention de prière générale de Benoît XVI pour juin est: "Pour que les croyants sachent reconnaître dans l’Eucharistie la présence vivante du Ressuscité, qui les accompagne dans la vie quotidienne".

    Son intention missionnaire est: "Pour que les chrétiens d'Europe redécouvrent leur identité et participent avec plus d’élan à l’annonce de l’Evangile".

    Commentaire de l'intention missionnaire proposé par Fides.org :

    Au cours de ces dernières décennies, les pays d’antique tradition chrétienne en Europe ont subi et continuent de subir une forte crise d’identité. Au niveau politique, on a prétendu priver l’Europe de ses racines chrétiennes. Outre à être une trahison par rapport à la vérité historique, cet acte constitue une tentative visant à créer une Europe sécularisée, sans aucune référence à Dieu dans ses constitutions et dans la vie publique de ses ressortissants. Il est indéniable, comme l’affirma le Bienheureux Pape Jean Paul II que « l’Europe a été largement et profondément pénétrée par le christianisme » (Ecclesia in Europa, 24).

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  • Jean Daniélou : un colloque à l’Université de la Sainte-Croix (Opus Dei) met fin au silence

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    danielou.jpgLu sur le « Forum Catholique » sous la plume de Jean Kinzler (extraits) "

    Une journée d'études a mis fin au silence qui entourait Jean Daniélou, l'un des plus grands théologiens du XXe siècle.

     Le mystère de sa mort.

     "Fenêtres ouvertes sur le mystère" : c’est le titre du colloque par lequel, il y a deux jours, l’Université Pontificale de la Sainte Croix a mis fin au silence qui entourait l’un des plus grands théologiens du XXe siècle, le Français Jean Daniélou, jésuite, créé cardinal par Paul VI en 1969.

    Un silence qui aura duré près de quarante ans et qui a commencé au moment de sa disparition, en 1974.

    En effet, le souvenir de Daniélou se réduit aujourd’hui, pour un très grand nombre de gens, au mystère de sa mort, provoquée par un infarctus, un après-midi de mai, au domicile d’une prostituée, au quatrième étage du 56 rue Dulong, à Paris. (…)

    Aujourd’hui, on ne trouve plus qu’un petit nombre de ses livres dans le commerce, mais ils sont toujours d’une richesse et d’une fraîcheur extraordinaires. Tout en étant simples, ils sont d’une très grande profondeur, ce que peu de théologiens ont su faire au siècle dernier, en dehors de lui et de cet autre champion de la clarté qui s’appelle Joseph Ratzinger.

    Daniélou a en commun avec le pape actuel le cadre historique plutôt que philosophique qu’il donne à sa théologie, la compétence en ce qui concerne les Pères de l’Église (le premier étant passionné par Grégoire de Nysse, le second par Augustin), et la place tout à fait centrale donnée à la liturgie.

    Daniélou a été, avec son confrère jésuite Henri de Lubac, le génial initiateur, en 1942, de cette collection de textes patristiques appelée "Sources Chrétiennes" qui a marqué la renaissance de la théologie dans la seconde moitié du XXe siècle et qui a préparé ce qu’il y a de meilleur dans le concile Vatican II.

    Un auteur, en somme, qu’il faut absolument redécouvrir.

    Mais il faut également dissiper le mystère de sa mort et de la réprobation silencieuse qui a suivi celle-ci.  

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  • Liens du jour (31 mai 2012) (complété)

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    • Sur ZENIT.org :

    « La prière est une rencontre avec une personne vivante »

    Catéchèse de Benoît XVI sur la prière chez saint Paul

    Fuites de documents à la une de L'Osservatore Romano
    Aucune tempête ne pourra abattre l'Eglise, par Mgr Angelo Becciu

    Un avenir libéré de la faim n'est pas un rêve utopique
    Congrès international des Caritas les 1er et 2 juin à Vienne

    Milan 2012: congrès International théologique et pastoral
    « Un événement extraordinaire et de valeur », déclare le card. Scola

    Les évêques européens étudient la démographie et la famille
    Nouvel ouvrage du CCEE présenté à Milan

    • Sur FAMILLE CHRETIENNE :

    L’idéologie du genre s’impose en Argentine et progresse en France

    Sur Fides.org :

  • L'engagement écologique des évêques de France

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    Nous lisons sur le blog de l'Observatoire sociopolitique du diocèse de Fréjus-Toulon : L’Eglise de France s’engage pour l’écologie, sous la plume de Falk van Gaver, délégué de l’Observatoire :

    Le Groupe de Travail Ecologie et Environnement de la Conférence des Evêques de France vient de publier un bref rapport sur la question. Lecture.

    « En quoi la crise écologique dans laquelle nous sommes entrés concerne-t-elle l’Eglise ? Certains, eux-mêmes engagés, attendent qu’elle dise quelque chose à ce sujet et trouvent qu’on ne l’entend pas assez. Quelle parole spécifique a-t-elle à proposer aux chrétiens et plus largement à tous ceux qui cherchent à définir de nouveaux modèles de développement ? »

    C’est sur cette interrogation que s’ouvre le bref document que propose après 2 ans de travail le groupe Ecologie et Environnement de la Conférence des Evêques de France, composé d’une douzaine de personnes – pasteurs, économiste, théologien.

    « Cette responsabilité implique que l’Eglise ne doit pas se limiter à faire des discours généraux sur l’importance de se préoccuper du « développement durable ». »

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    Voir aussi : Peut-on être catho sans être écolo ?

  • Le témoignage pro-vie d'un boys band converti à la foi catholique

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    Conversion et engagement chrétien pour le droit à la vie

    Dans un post du 30 mai (cf. http://www.belgicatho.be/archive/2012/05/30/quand-un-boy-band-devient-un-fervent-catholique.html), nous avons fait écho à la conversion de Brad Fishetti, qui fut membre de LFO (Lyte Funky Ones), un boys band. Une conversion qui s’est nourrie de réflexions, d’engagements, pour partager ses convictions avec d’autres, en disant avec confiance : « Me voici Seigneur ! Je viens faire Ta volonté ! ».

    Nous reprenons ici un extrait d’un témoignage de Brad Fischetti, dont l’original se trouve ici : http://www.lifesitenews.com/news/former-boy-band-member-turned-pro-life-activist-shares-testimony

    Avant ma conversion, je n’aimais sans doute pas l’avortement. Mais l’avortement ne m’affectait pas pour autant. D’après moi, il s’agissait simplement de grains de riz qui étaient avortés. Mais ma foi est devenue très importante pour moi. Par ce biais, l’image de l’avortement est devenue plus claire. Quand vous apprenez, quand vous parvenez à réaliser ce qui se passe réellement dans un avortement, cet avortement devient atroce.

    Je n’ai pas recherché cette tribune. Je peux même difficilement comprendre pourquoi les gens se soucient tant des choses que j’ai à dire alors qu’il y en a tant d’autres qui ont combattu depuis plus longtemps et plus difficilement que moi pour le mouvement pro-vie. Mais si Dieu m’appelle à utiliser cette petite tribune pour aider à éduquer les gens, pour aider les gens à comprendre ce qu’est réellement l’avortement, alors : « me voici Seigneur. Je viens faire Ta volonté ! ».

    Beaucoup de gens ne savent pas vraiment ce qui se passe lors d’un avortement. Il est rare qu’une femme soit enceinte seulement de quelques semaines. La plupart des femmes n’ont pas réalisé qu’elles sont enceintes avant quatre, cinq ou six semaines de gestation. Puis elles prennent du temps pour essayer de décider si elles veulent se faire avorter. Et au moment où elles arrivent à la clinique, elles ont 12 ou 13 ou 14 semaines de grossesse. Leurs bébés ont des doigts et des orteils.

    A la clinique d’Orlando, j’ai vu des femmes enceintes de 24 semaines se faire avorter. J’ai vu des femmes qui ont jusqu’à 30 semaines de grossesse envoyées vers une installation d’avortement clandestin appartenant au propriétaire de la clinique, dans la région de Washington DC, où le médecin pratiquera des avortements sur des bébés bien après 30 semaines de grossesse !

    Le concept « pro-choix » est ridicule. Il n’a aucun sens pour moi. « Pro-choix », c’est le choix d’avoir des rapports sexuels ou non. Et c’est vrai, je réalise qu’un petit nombre d’avortements sont pratiqués sur des femmes qui ont été violées ou qui sont victimes d’incestes. Et ces crimes sont aussi méprisables que l’avortement.

    Mais l’avortement n’est pas la réponse. Nous ne devrions pas punir l’enfant pour les péchés du père. Et si on va plus loin, dans des situations comme celles-là, la femme a déjà été violée. Un avortement ne sert qu’à la violer davantage.

    J’ai vu l’exposition « Le corps », à Las Vegas. Ils ont développé un exposé complet sur le développement fœtal. C’était stupéfiant de voir à quel point un bébé est développé en début de grossesse. C’est à ce moment qu’il m’est apparu que l’avortement n’est pas correct, en fonction des circonstances. Je crois qu’un bébé est un don de Dieu, et que l’avortement est un péché atroce et inacceptable, quelles que soient les circonstances.

    En outre, je crois que lorsque l’avortement a été légalisé, il n’a jamais été destiné à être ce qu’il est devenu. Des hommes qui se disent médecins vont à l’intérieur d’un utérus et déchirent le bébé, ou les mettent au monde morts, ou parfois vivants. C’est dégoûtant.

    Je ne fais pas vraiment attention à ce que les gens pensent de ma position contre l’avortement. Je risque de perdre ma famille et des amis. Mais je suis obligé de dire la vérité. Si j’ai une tribune de 500 ou de 5000 personnes, mon travail consiste à dire la vérité. Nous avons Dieu à nos côtés, et en fin de compte, l’avortement ne sera qu’un triste chapitre de notre histoire.

    Ce n’est pas parce que l’avortement est légal qu’il est bien. Il fut un temps dans ce pays où le fait de refuser le droit de vote à une femme était légal. Était-ce bien ? Non. Il fut un temps dans ce pays où l’esclavage était légal. Était-ce bien ? Non plus. Pour citer le grand archevêque Fulton Sheen, « la légalité n’équivaut pas à la moralité ».