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Foi - Page 778

  • La Croatie n’est pas la Belgique

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    Les électeurs de ce pays très catholique doivent dire dimanche premier décembre s’ils veulent inscrire dans la Constitution une clause définissant le mariage comme une union pour la vie entre un homme et une femme.

    L’initiative « Au nom de la famille » a conduit au premier « référendum citoyen » depuis l’indépendance.

    La victoire attendue du « oui » manifeste la défiance envers les évolutions en cours dans l’Union européenne.

    Dans le quotidien « La Croix » :

    « Êtes-vous pour l’introduction, dans la Constitution du pays, d’une clause définissant le mariage comme une union pour la vie entre un homme et une femme ? » C’est pour répondre par référendum à cette question que les Croates sont appelés aux urnes dimanche premier décembre pour le premier référendum citoyen organisé dans le pays depuis son indépendance en 1991. Si le « pour » l’emporte, la Constitution devra être amendée.

    « Bien sûr, je vais voter “pour” ! Le mariage concerne un homme et une femme. Toute autre forme d’union doit être appelée autrement », lance Marina, 25 ans. Elle fait partie des 700 000 signataires de la pétition qui réclamait la tenue de ce référendum, alors que 400 000 signatures étaient nécessaires.

    « AU NOM DE LA FAMILLE »

    Dans ce pays à large majorité catholique, l’initiative « Au nom de la famille », lancée par des laïcs, a reçu le soutien de plusieurs confessions religieuses, dont celui de la très puissante Église catholique. « C’est l’essence même du catholicisme : on ne peut pas à la fois être catholique et contre cette définition du mariage ! », affirme le P. Damir Stojic, salésien, aumônier des étudiants à Zagreb. Pour lui, deux hommes ou deux femmes« peuvent vivre ensemble », « avoir certains droits » sur des questions de propriété ou d’héritage, mais il lui est inconcevable de nommer une telle union « mariage ».

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  • Liège : les prêtres sont de retour au confessionnal

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    3621671362_e2d44f8bf8_m.jpgLes plus anciens s’en souviennent : à  l’église Saint-Denis à Liège, tous les jours que Dieu fasse, on trouvait autrefois un confesseur de permanence. Grâce, notamment, à la persévérance du doyen de Liège (rive gauche), Eric de Beukelaer, ce temps est aujourd’hui de retour, comme le précise un communiqué :  

    « (...) A partir du lundi 2 décembre 2013, début du temps de l'Avent (la préparation spirituelle à Noël), il y aura donc à nouveau un prêtre à l'écoute à Saint-Denis, tous les matins du lundi au vendredi (de 10h à 12h, avec la Messe à 11h30) et tous les après-midis du lundi au jeudi, ainsi que les 4° vendredis du mois (de 15h à 17h). Dans un monde où tant de personnes cherchent une oreille bienveillante et attentive pour quelque peu se décharger du fardeau du jour, chacun - croyant ou non, pratiquant ou peu - est le bienvenu à Saint-Denis (Place Saint-Denis et Rue Cathédrale, 66, 4000 Liège) ».

    Reste à rendre aux chrétiens et à l’âme religieuse populaire, qui n’est pas nulle dans cette ville, le sens même de la confession, ce grand sacrement délaissé : toute une éducation à refaire. JPSC.

     

  • Sainte Catherine d’Alexandrie, Vierge et martyre du IVème siècle (25 novembre)

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    246px-Memling,_polittico_di_san_giovanni_10.jpgSainte Catherine d’Alexandrie, Vierge et martyre du IVème siècle

    source : http://www.jeunes-cathos.fr/questions-de-foi/vie-pour-le-christ/sainte-catherine-dalexandrie-vierge-et-martyre-du-iveme-siecle

    Sainte Catherine d’Alexandrie (ci-contre, par Memling), fille du roi de Cilicie, naquit dans une famille de première noblesse. Elle perdit son père jeune.

    Une conversion un peu tardive

    Un ermite convertit la mère de Catherine, quant à la jeune fille elle se défendit plus longtemps appuyant son paganisme sur des raisons humaines. Puis, après une vision de Vierge Marie, elle demanda le baptême. Dès qu’elle l’eut reçu, Jésus lui apparut et elle le prit comme époux. Les artistes ont représenté ce mariage mystique en montrant Sainte Catherine avec l’enfant Jésus qui lui passe l’anneau au doigt.

    Une relation conflictuelle avec l’empereur

    Jeune, elle acquiert une connaissance tant des sciences, de l’art que de la poésie et de la philosophie. A l’âge de 18 ans, elle rentra en conflit avec l’empereur Maximin. Elle lui montra la vanité des idoles : « Pourquoi veux-tu perdre toute cette foule par l’erreur des idoles ? Apprends à connaître le Dieu créateur du monde et son fils unique Jésus Christ qui par sa croix a délivré le monde de la géhenne. » Incapable de répondre lui-même aux arguments de la jeune femme, l’empereur convoqua cinquante philosophes. Mais préparée par le jeûne et la prière, Catherine fit un discours si profond et si sublime sur la religion de Jésus Christ qu’elle les convertit. Pris de colère, Maximin condamna ces philosophes à être brûlés vifs.

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  • Rome, place Saint-Pierre: messe de clôture de l'année de la foi. Propre grégorien de la Fête du Christ-Roi

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    Le pape porte les reliques de saint Pierre pendant le chant du Credo. JPSC

  • Clôture de l'Année de la Foi en présences des reliques de l'apôtre Pierre

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    Les reliques de l’Apôtre Saint-Pierre offertes à la vénération des fidèles

    par radinrue.com

    C’est un événement très rare, en tous les cas dans l’histoire contemporaine de l’Église Catholique il reste unique. Les reliques de Saint-Pierre, l’Apôtre ayant reçu du Christ les Clefs de l’Église et Premier Pape ont été exposés au grand-public en présence du Saint-Père François.

    Lors de la messe de la clôture de l’Année de la Foi, les reliques de l’Apôtre Pierre, premier pape, ont été exposés en présence du pape à la vénération des fidèles.

    Le pape François s’est incliné avant le début de la cérémonie devant un reliquaire de bronze ouvert de 30 cm de long, dans lequel reposent des fragments d’ossements déposés sur un tissu. "L’Année de la foi" avait été lancée en octobre 2012 par Benoît XVI, quatre mois avant sa démission, et donné lieu à des célébrations diverses sur la place Saint-Pierre.

    Les ossements avaient été trouvés lors de fouilles entreprises en 1940, sous le pontificat de Pie XII, dans une nécropole située sous la basilique à côté d’un monument construit au 4e siècle pour honorer celui qui est considéré comme le premier évêque de Rome. Des ossements, enveloppés dans un tissu pourpre brodé de fils d’or, avaient été alors découverts.

    Jésus pardonne toujours et ne condamne jamais ; quand les hommes trouvent le courage de demander son pardon, le Seigneur ne laisse jamais une telle demande sans réponse. C’est le cœur de la réflexion que le pape François a livrée aux fidèles ce dimanche matin, au cours de la messe conclusive de l’Année de la Foi, sur la place Saint-Pierre. Pour la première fois, les reliques attribuées au Prince des Apôtres ont été exposées publiquement à la vénération des fidèles. Elles avaient été portées en procession avant la messe et placée à côté de l’autel. Après l’homélie, le Souverain Pontife a pris dans les bras le reliquaire en bronze dans une attitude de recueillement et de prière.

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  • Dialogue entre un enseignant et un élève sur une révolution qui n'existe pas

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    Dialogue entre un enseignant et un élève sur une révolution qui n'existe pas

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    par FRANCESCO Arzillo*

    Le Maître - enfin, je te rencontre! Après l'élection du pape Francis tu as disparu. Tu es perturbé, non?

    L'étudiant - Moi, perturbé? Mais pourquoi?

    M. - Finalement, l'époque de Constantin se termine et le Concile est mis en oeuvre!

    E. - Mais pourquoi, que faisaient ses prédécesseurs? Je ne pense pas qu'ils n'avaient pas l'intention de ne pas mettre le Concile en œuvre!

    M. - Mais maintenant il ya un nouveau climat.

    E. - Maître, le climat n'est pas un «lieu théologique». Ce n'est pas un problème de climat. Le problème est d'accueillir catholiquement les enseignements de ce pape, comme de chaque pape, enseignements proclamés mais également donnés par l'exemple.

    Maintenant, la question est la suivante: ceux qui la pensent comme vous, qu'ils soient traditionalistes ou progressistes, voient les discontinuités, les nouveautés - qui ont toujours été dans l'histoire de l'Eglise - sans voir le lien qui les relie je ne dirai pas au passé, mais à l'éternité. Lien qui ne consiste pas dans une opposition dialectique, mais dans la seule explicitation multiforme de l'unique Mystère sacré. La chose n'est pas : avant, cela se faisait de cette façon et à présent se fait de telle autre manière, par un chemin de dépassement, de façon presque hégélienne, comme une sorte de marche triomphale vers le sommet de l'histoire humaine et chrétienne, ou - pour les traditionalistes - comme une forme de dissolution progressive vers une pseudoapocalypse finale.

    La chose est différente. Prenons la question de la solennité, qu'elle soit dans la liturgie, dans les cérémonies ou les vêtements. Il est évident que nous sommes confrontés à une polarité insondable du mystère: celle qui se situe entre la 'théologie de la gloire' et la 'théologie de la croix'. La splendeur des rites et des vêtements coïncide avec la première, leur pauvreté avec la seconde. La splendeur iconique du Christ ressuscité et celle du Crucifié représentent les deux faces de l'économie divine du salut. Elles coïncident dans leur référence dernière; elles ne peuvent être comprises dans leur opposition l'une à l'autre, mais seulement dans leur fondement transcendant.

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  • Adorer le saint sacrement

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    Sur le site web de « La Vie »:

    Delphine-Marie a trouvé la paix et la joie. Pour La Vie, elle livre le sens de sa foi et ses conseils spirituels :

    1) Adorez la source de votre vie

    Si Dieu arrêtait de penser à vous dans la seconde, vous perdriez la vie. Dieu est la source de votre existence : allez y puiser votre oxygène intérieur. Ne pensez pas qu’il faut être un chrétien affermi pour s’adonner à l’adoration. Celle-ci est réparatrice, car elle nous recrée à l’image de Dieu. Elle nous donne aussi de l’aimer pour ceux qui le délaissent. Elle restaure enfin notre âme abîmée par le péché.

    2) Faites silence4e couverture adoration[1]001.jpg

    Si vous parlez à quelqu’un en gardant vos écouteurs dans les oreilles, la qualité du dialogue en pâtira. Jésus est là, il se donne à vous. Faites silence pour écouter ce qu’il a à vous dire. Adoptez une position détendue. Et n’oubliez pas que ce ne sont là que des moyens. Le but, c’est la rencontre du Christ

    3) Mettez-vous en présence

    Le plus beau cadeau à faire à un ami, c’est d’être présent. Il en va de même avec Dieu. Pour goûter sa présence, fermez les yeux, recueillez-vous (« cueillez de ­nouveau » ce qui fait votre vie). Des pensées vont advenir : les tomates que vous avez oublié d’acheter, telle personne avec qui vous vous êtes fâché… Ne cherchez pas à écarter les images de ce cinéma intérieur, mais déposez-les au pied de l’autel de Jésus. Alors le silence intérieur s’installera.[photo ci-contre: à Liège]

    4) Lisez la parole de Dieu

    Il n’y a pas de prière sans parole de Dieu. Jésus s’exprime dans l’Écriture. Si on ne l’écoute pas, on risque de rencontrer une idole, un Jésus fantasmé. Ouvrez les Évangiles, projetez-vous dans la scène décrite. Observez le regard d’amour que Jésus pose sur les personnes rejetées. Accueillez ce regard sur vous-même, puis remettez en question vos propres jugements sur tel ou tel de vos proches.

    5) Oubliez le ressenti

    Ce n’est pas le sentiment de votre prière qui en fait sa qualité. Vous avez pris du temps pour être présent à la présence, c’est tout ce qui compte. Même si vous n’avez rien ressenti, gardez la certitude que Dieu était là et qu’il vous aime.

    Réf: Les conseils de Delphine-Marie Duplan pour adorer le Saint Sacrement

    JPSC

  • Beauraing, 29 novembre : 81e anniversaire des apparitions

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    Beauraing - Vendredi 29 novembre : 81ème anniversaire du début des apparitions

    • À 11h00 : messe solennelle internationale présidée par Mgr Hollerich, archevêque de Luxembourg
    • À 14h30 : chapelet médité
    • À 15h30 : témoignage de sœur Marie Simon-Pierre, guérie miraculeusement par l'intercession de Jean-Paul II (cfr présentation)
    • De 16h30 à 17h30 : adoration du Saint-Sacrement
    • À 18h00 : chemin des voyants : procession dans les rues de Beauraing
    • À 18h30 : chapelet quotidien
    • À 19h00 : messe du doyenné de Beauraing
  • Ni euthanasie, ni acharnement thérapeutique

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    (ZENIT.org) Mgr Zygmunt Zimowski, président du Conseil pontifical pour la pastorale de la santé, a prononcé le discours d’ouverture de la XXVIIIème Conférence internationale de son dicastère, qui a lieu du 21 au 23 novembre sur le thème « L’Église au service de la personne âgée : le soin des personnes affectées par des pathologies neurodégénératives ».

    L’événement accueille plus de 400 participants, dont de nombreux spécialistes provenant de tous les continents (cf. Zenit du 19 novembre 2013).

    L’euthanasie, une honte de notre temps

    L’archevêque a invité à « prier et crier au monde ‘non à l’euthanasie’ parce que c’est une honte pour notre époque ».

    « Dans la seconde moitié du siècle dernier, en particulier dans les pays les plus riches, les transformations de la société, le vieillissement de la population, la diminution du rôle de soutien social assuré par la famille et la marginalisation fréquente des personnes âgées, ont eu pour effet d’aggraver la situation des personnes âgées malades, en augmentant la tentation de recourir à l’euthanasie », a dénoncé l'archevêque polonais.

    Mgr Zimowski a rappelé que la vieillesse, qui était autrefois considérée comme « le temps de la sagesse », est vue aujourd’hui comme une « phase de déclin » et que, dans une société qui met à la première place la « productivité », les personnes âgées elles-mêmes peuvent être poussées à se demander « si leur existence est encore utile ».

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  • Rester sur le marché en mettant au centre la dignité de la personne

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    (ZENIT.org) Le pape François s’est adressé aux participants du Troisième festival de la Doctrine sociale de l’Eglise (Vérone, 21-24 novembre), dans un message vidéo diffusé hier, jeudi 21 novembre, en soirée, en présence du cardinal Oscar Rodriguez Maradiaga, archevêque de Tegucigalpa (Honduras) et président du Conseil des huit cardinaux : c’est dire l’importance que le pape attache à la mise en œuvre de l’enseignement social de l’Eglise.

    Une égalité, sans homogénéité

    Pour le pape, le thème du congrès - « Moins d’inégalités, plus de différences » - met en relief « la richesse variée des personnes, expression des talents personnels » loins de « l’homogénéité qui mortifie et rend inégaux ».

    Le pape a filé l’image de la sphère et du polygone : « La sphère peut représenter l’homogénéité, comme une sorte de globalisation : elle est lisse, sans facettes, égale à elle-même sur toutes les parties. Le polygone a une forme semblable à la sphère, mais est composé de multiples faces ».

    « Il me plaît d’imaginer l’humanité comme un polygone, dont les formes multiples (…) constituent les éléments qui composent, dans la pluralité, l’unique famille humaine. Cela est une vraie mondialisation. L’autre globalisation – celle de la sphère – est une homogénéité », a fait observer le pape.

    Au contraire, le pape a fait observer que le monde des « coopératives » est « la route pour une égalité, mais non homogénéité, une égalité dans les différences »..

    Il confie qu'à 18 ans, en 1954, il a en entendu une conférence de son père « le la notion chrétienne de coopérative » : « cela m’a enthousiasmé », avoue-t-il, encore marqué par cette réflexion sur le travail solidaire.

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  • Un superbe témoignage de foi venu des Philippines

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    de Philippe Lopez, photographe d'une grande agence de presse internationale, qui nous offre de splendides clichés d'une procession au beau milieu de la dévastation; à découvrir ICI (via Le salon Beige)

  • Sainte Cécile (22 novembre)

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    Sainte Cécile par Maderno

    (source) Sainte Cécile, selon sa Passion, a vécu à Rome au premier ou au deuxième siècle. Jeune fille de la plus haute noblesse elle est contrainte par sa famille d'épouser le noble romain Valerius alors qu'elle a fait vœu de virginité. Toutefois, dans la chambre nuptiale, elle convertit le jeune homme au christianisme après l'apparition d'un ange, et elle le convainc à recevoir le baptême avec son frère Tiburce. Puis Cécile qui a refusé de sacrifier aux dieux païens, est condamnée à mourir étouffée dans une chaudière. Mais un miracle se produit : elle est rafraîchie par une nuée venue du ciel. Elle est alors promise à la décapitation ; le bourreau, malgré trois coups violents, ne parvient pas à détacher la tête de son corps ; elle agonise ainsi mutilée pendant trois Jours. L'iconographie représente principalement le mariage de Cécile et la conversion de Valerius (avec l'apparition de l'ange) et le martyre de la sainte dans la chaudière. A partir de la fin du XV° siècle, quand elle est figurée seule, Cécile reçoit de plus en plus souvent pour attribut un instrument de musique : orgue portatif (Raphaël, 1516), harpe, luth et même violon. Cette Cécile « musicienne » trouve son origine dans un contresens fait à la fin du Moyen Age sur une phrase du récit de sa Passion : on a cru qu'elle se rendait au supplice en jouant de l'orgue, alors qu'au contraire elle cherchait à ne pas entendre la musique qui accompagnait son martyre. Quoi qu'il en fût, elle est à l'époque moderne la patronne de la musique sacrée, des musiciens, des chanteurs et des fabricants d'instruments.