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Foi - Page 845

  • Chrétiens d’Egypte : l’union fait la force

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    Lu sur le site Eecho :

    « Un vent nouveau traverse les Eglises coptes d’Egypte:

    Depuis l’intronisation du patriarche (60 ans) copte orthodoxe Tawadros II, le 18 novemvre dernier, les églises chrétiennes d’Egypte se rapprochent. Ce 118ème successeur de Saint Marc fait en effet montre d’une très grande sensibilité oecuménique, en un moment où la société égyptienne est confrontée aux pressions islamistes et où les persécutions contre les Coptes n’ont jamais été aussi nombreuses – parmi beaucoup d’autres, il faut mentionner le rapt de la jeune Sarah Ishaq Abdelmalek, 14 ans, dans la ville de al-Dabaa et que la police et l’administration refusent de faire libérer (elle est supposée être désormais mariée à un musulman, alors que l’âge légal du mariage est de 18 ans, mais il semble même qu’elle ait été conduite en Libye). 

    Le nouveau climat d’ouverture et de collaboration qui s’est instauré ces derniers mois entre les différentes communautés chrétiennes égyptiennes pourrait conduire prochainement à l’institution d’un Conseil des Eglises chrétiennes en Egypte. Se rencontrer plus de deux fois par an, à Noël et à Pâques, comme auparavant, au moins une fois par mois dorénavant, devrait être l’un de ses objectifs.

    Récemment ont eu lieu plus de dix rencontres entre les représentants des différentes confessions chrétiennes. Il s’agit maintenant de rédiger les statuts d’un organisme qui exprime une position partagée des chrétiens égyptiens, surtout dans le domaine des questions politiques et sociales. Ce nouveau climat de dialogue et de proximité entre les chrétiens a reçu une contribution décisive du patriarche Tawadros II qui recevait, le 8 janvier dernier, le Cardinal Leonardo Sandri, préfet de la Congrégation pour les Eglises orientales, lors de sa visite en Egypte.

    De plus, le 15 janvier dernier, S.B. Ibrahim Isaac Sidrak (57 ans) a été élu nouveau patriarche copte catholique, succédant à S.B. le Cardinal Antonios Naguib qui a renoncé au gouvernement pastoral pour raisons de santé. Son élection par les évêques coptes catholiques sera bientôt confirmée par Benoît XVI. « Dans un climat d’incertitude et de peur, tous les chrétiens se demandent de quoi demain sera fait pour eux. Aussi la première mission,  est de rassurer, de réconciler. Le mot-clé est justement celui de la réconciliation. Il s’agit de favoriser tout ce qui reflète la Paix  et l’Amour du Christ ». Sa devise patriarcale sera probablement la phrase de la seconde lettre de Saint Paul aux Corinthiens « Dieu nous a réconciliés avec Lui par le Christ et nous a confié le ministère de la réconciliation ».

    Ici : Un vent nouveau traverse les Eglises coptes d’Egypte

  • Ce combat est-il perdu?

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    Sur le site web de « France Catholique », Gérard Leclerc répond aux questions de Grégoire Coustenoble sur l’opposition au projet de loi relatif au « mariage pour tous ». Extraits.

    Gérard Leclerc : L’extraordinaire réussite de la manifestation du 13 janvier, prolongée par celles du 2 février, est à la mesure du travail d’éveil de l’opinion qui avait commencé dès l’été dernier.

    Les foules qui ont convergé vers Paris le 13 ont montré à quel point elles étaient conscientes des enjeux. Cela ne correspondait pas au sentiment très partagé dans les médias que tout était « plié » d’avance et que le refus du mariage homosexuel n’était le fait que d’une frange marginale. Il faut noter par ailleurs l’unanimité de ces foules à respecter les consignes des organisateurs. Aucun dérapage n’a pu être constaté, aucun cri hostile aux homosexuels n’a été entendu alors que certains tablaient sur des débordements qui auraient discrédité le mouvement. La question clairement posée n’était pas celle de l’homosexualité mais du mariage et de la filiation.(…)

     À ce propos, on s’étonne d’une certaine exception française. En Belgique et aux Pays-Bas, également au Canada, les évolutions se sont faites presque sans débats. Je trouve que c’est plutôt à l’avantage de la France que l’opinion ait été saisie des enjeux d’une réforme qui touche si profondément les ressorts de la vie commune, où on prend au sérieux le débat démocratique à l’aune d’un Jürgen Habermas, plutôt que d’estimer que les choses doivent évoluer au gré du temps, sans qu’on s’interroge sur leur signification et sur les conséquences à long terme des modifications de nos institutions les plus structurantes.

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  • En hommage au Père Pierre Defoux, jésuite et artiste

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    source : http://www.jesuites.com/2012/01/pierre-defoux/

    Le père Defoux nous a quittés ce 3 février.

  • Jésus n’est pas venu pour chercher l’approbation des hommes

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    ROME, 3 février 2013 (Zenit.org) - « Amour et vérité sont les deux noms de la même réalité, deux noms de Dieu », explique Benoît XVI qui a commenté, avant l’angélus de midi, ce dimanche 3 février, place Saint-Pierre, l’évangile du jour : Jésus à Nazareth.

    Paroles de Benoît XVI en italien avant l’angélus :

    Cher frères et sœurs,

    L’évangile d’aujourd’hui – tiré du chapitre 4 de saint Luc – est dans le prolongement de celui de dimanche dernier. Nous nous trouvons encore dans la synagogue de Nazareth, le village où Jésus a grandi et où tous les connaissent lui et sa famille. Or, après une période d’absence, il revient de façon nouvelle : au cours de la liturgie du sabbat, il lit une prophétie d’Isaïe sur le Messie, et il en annonce l’accomplissement, laissant entendre que cette parole de réfère à Lui.

    Ce fait suscite l’étonnement des Nazaréens : d’une part, « tous lui rendaient témoignage et étaient en admiration devant les paroles pleines de grâce qui sortaient de sa bouche » (Lc 4, 22). Saint Marc rapporte que beaucoup disaient : « D'où cela lui vient-il ? Quelle est cette sagesse qui lui a été donnée ? » (Mc 6, 2). Mais d’autre part, ses concitoyens le connaissent trop bien : « C’est quelqu’un comme nous, disent-ils. Sa prétention ne peut être que présomption » (L’Enfance de Jésus, 11). « N'est-il pas le fils de Joseph ? » (Lc 4, 22), cela revient à dire : quelles aspirations peut bien avoir un charpentier de Nazareth ?

    Justement parce qu’il connaît cette fermeture, qui confirme le proverbe « personne n’est prophète en son pays », dans la synagogue Jésus adresse aux gens des paroles qui résonnent comme une provocation. Il cite deux miracles accomplis par les grands prophètes Elie et Elysée en faveur de personnes qui n’étaient pas des Israélites, pour démontrer qu’il arrive qu’il y ait davantage de foi en dehors d’Israël. A ce moment-là, la réaction est unanime : tous se lèvent et le chassent, et ils cherchent même à le jeter du haut d’un précipice, mais Lui, avec un calme souverain, passe au milieu de la foule furieuse et il s’en va.

    On se demande spontanément à ce moment-là : comment Jésus a-t-il pu vouloir cette rupture ? Au commencement, les gens l’admiraient, et il aurait peut-être pu obtenir une certaine approbation… Mais justement, voilà le point : Jésus n’est pas venu pour chercher l’approbation des hommes mais, comme il le dira à la fin à Pilate, pour « rendre témoignage à la vérité » (Jn 18, 37). Le vrai prophète n’obéit à personne d’autre qu’à Dieu et il se met au service de la vérité, prêt à payer de sa personne. Il est vrai que Jésus est le prophète de l’amour, mais aussi l’amour a sa vérité. Et même, amour et vérité sont les deux noms de la même réalité, deux noms de Dieu.

    Dans la liturgie d’aujourd’hui résonnent aussi ces paroles de saint Paul : « L'amour prend patience ; l'amour rend service ; l'amour ne jalouse pas ; il ne se vante pas, ne se gonfle pas d'orgueil ; il ne fait rien de malhonnête ; il ne cherche pas son intérêt ; il ne s'emporte pas ; il n'entretient pas de rancune ; il ne se réjouit pas de ce qui est mal, mais il trouve sa joie dans ce qui est vrai » (1 Co 13, 4-6). Croire en Dieu signifie renoncer à ses préjugés et accueillir le visage concret par lequel il s’est révélé : l’homme Jésus de Nazareth. Et cette voie conduit aussi à le reconnaître et à le servir dans les autres.L’attitude de Marie est éclairante à ce propos. Qui plus qu’elle a été familier de l’humanité de Jésus ? Mais elle n’en a jamais été scandalisée comme ses concitoyens de Nazareth. Elle conservait le mystère en son cœur et elle a su l’accueillir toujours davantage et toujours à nouveau, sur le chemin de la foi, jusqu’à la nuit de la croix et à la pleine lumière de la résurrection. Que Marie nous aide nous aussi à marcher avec fidélité et avec joie sur ce chemin.

    © Libreria Editrice Vaticana- Traduction de Zenit : Anita Bourdin

  • Le commissaire russe aux droits de l’homme rend hommage à la vivacité du christianisme en France

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    L’existence en France d’adversaires au projet gouvernemental de légaliser les « mariages » de personnes de même sexe témoigne du fait que les valeurs chrétiennes sont vivantes en Occident, selon Constantin Dolgov, commissaire pour les droits de l'homme auprès du ministère des Affaires étrangères de la Fédération de Russie. « Il y a en France une opposition à la légalisation des mariages homosexuels. Les valeurs chrétiennes sont vivantes même dans les conditions du néo-libéralisme occidental ! » a-t-il déclaré sur son blog, partageant ainsi ses impressions sur la manifestation à Paris qui avait rassemblé des centaines de milliers de personnes. En Russie, la Douma, a adopté en première lecture (388 voix pour, une contre et une abstention, ndlr), la semaine dernière, un projet de loi interdisant la propagande de l’homosexualité parmi des mineurs, ce qui a appelé les critiques des États-Unis et d’un grand nombre de pays d’Europe occidentale.

    Source : Pravoslavie, traduit du russe pour Orthodoxie.com. ici: Les protestations contre la légalisation des « mariages » de personnes de même sexe en France reflètent la vivacité du christianisme en Occident, selon un responsable du ministère des Affaires étrangères de la Fédérationde Russie

    Ce qui n’empêche pas la « La Libre » de claironner aujourd’hui " La France dit oui au mariage gay " : l’Assemblée nationale a en effet adopté par 249 voix contre 97 le principal article du projet de loi qui ouvre le mariage aux personnes de même sexe.

    Malgré ce vote, environ 90 manifestations contre l'ouverture du mariage et l'adoption aux couples homosexuels sont encore prévues...

  • Lumière pour illuminer les nations

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    1. Maintenant, ô Maître souverain, tu peux laisser s'en aller ton serviteur en paix, selon ta parole.

    2. Car mes yeux ont vu ton salut que tu prépares à la face des peuples.

    3. Lumière pour éclairer les païens et gloire d'Israël ton peuple.

    4. Gloire au Père, et au Fils, et au Saint-Esprit.

    5. Au Dieu qui est, qui était et qui vient, pour les siècles des siècles. Amen.

  • La lettre de l'Observatoire socio-politique du Diocèse de Fréjus-Toulon

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    logo letter (1).jpgEditorial : L’Apocalypse pour tous
    Par le Père Louis-Marie Guitton, responsable de l’Observatoire sociopolitique du diocèse de Fréjus-Toulon
    Le mot du pape : Le sexe selon Benoît XVI
    Par Benoît XVI
    Mgr Rey : "Résistance et prophétisme"
    Retrouvez ci-dessous l’éditorial de monseigneur Dominique Rey publié dans le mensuel diocésain Eglise de Fréjus-Toulon n° 170 - février 2013
    Actualité : Circulaire Taubira : prime à l’impunité pour la GPA
    Par Pierre-Olivier Arduin, responsable de la commission bioéthique de l'Observatoire sociopolitique du diocèse de Fréjus-Toulon
    Analyse : « Mariage unisexe : la controverse »
    Entretien avec Aude Mirkovic, maître de conférences en Droit privé à l’Université d’Evry, auteur de Mariage des personnes de même sexe. La controverse juridique (Téqui, 2013)
    Famille : Qu’est-ce qui se cache sous l’appellation mariage « gay » ?
    Brève par Mélina Douchy-Oudot, Professeur à l’Université du Sud Toulon-Var
    Bioéthique : AMP homosexuelle : le chef de l’Etat saisit le Comité d’éthique
    Par Pierre-Olivier Arduin, responsable de la commission bioéthique de l'Observatoire sociopolitique du diocèse de Fréjus-Toulon
    Environnement : Le « mariage pour tous » comme signe de soumission de la nature à l’économie.
    Par Philippe Conte, commission environnement de l’Observatoire sociopolitique du diocèse de Fréjus-Toulon
    La Tour Eiffel assiégée
    Par la Mouche du Coche
    « Famille (s), je vous aime ! » Etats généraux de la famille
    « Famille (s), je vous aime ! » Etats généraux de la famille Samedi 9 mars 9h à 18h Salle de l’Union Patronale du Var, place de la Liberté, Toulon

  • Les intentions de prière du Pape Benoît XVI pour le mois de février 2013

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    Intention universelle : Les familles de migrants

    Pour que les familles de migrants, les mères en particulier, soient soutenues et accompagnées dans leurs difficultés.

    Intention missionnaire : La construction de la paix

    Pour que ceux qui souffrent de guerres et de conflits soient les protagonistes d'un futur de paix.

    (Commentaire ici : http://www.apostolat-priere.org/index.php/derniere-minute.html )

  • 2 février : Journée de la Vie consacrée

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    Aleteia.org développe la signification de cette journée :

    « Pourquoi ont-ils dit oui à la vie monastique ? », « Où s’engager quand on est appelé par le Christ ? », « Des moines, pour quoi faire ? ». Ce sont quelques-uns des reportages à découvrir sur le site du Jour du Seigneur à l’occasion de la Journée de la vie consacrée, célébrée ce 2 février dans le monde entier.

    Initiative de Jean-Paul II lancée en 1997, la journée de la vie consacrée sera aussi l’occasion, en cette Année de la foi, de « promouvoir la vie consacrée », explique le site de la Corref, Conférence des religieux et religieuses de France.

    Dans un message publié en vue de cette journée, le Frère Jean-Pierre Longeat, président de la Corref, évoque « ceux qui ont reçu vocation à mener une vie consacrée dans l’Eglise » comme des « guetteurs, des passeurs et des éveilleurs ». « Leur souci n’est plus de préserver des acquis aussi précieux soient-ils, mais de les transmettre quelle que soit la forme sous laquelle ils se développeront par la suite », affirme-t-il.

    Pour en savoir plus, une mine de témoignages est aussi à lire sur mavocation.org.

    Enfin, pourquoi la journée de la vie consacrée est célébrée le 2 février, en la fête de la Présentation du Seigneur au temple. La réponse est sur le site de l’Eglise catholique en France.

  • Conférences 2013 Quelle âme pour l'Europe ?

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    Première conférence Les racines de l'identité chrétienne par Gérard-François Dumont de l'Université Paris IV le lundi 11 février 20h00 à Louvain-la-Neuve le mardi 12 février 20h00 à Bruxelles.

    L’Europe a-t-elle des racines spirituelles, et plus précisément des racines chrétiennes ?

    Les invasions germaniques qui ont suivi la chute de l’Empire romain ont bouleversé l’Europe. Le christianisme, et plus spécifiquement l’Église latine, s’est alors affirmé comme fondement de valeurs créatrices d’une culture commune, enracinée dans une histoire des peuples où la mémoire biblique et l’héritage chrétien jouent un rôle majeur. De multiples questions émergent de ce constat : la référence au christianisme est-elle d’abord affaire de foi ou affaire de valeurs ? Quelle est dans ce contexte la place de la culture antique, grecque et romaine ? Quel est le rôle d’autres religions, tels le judaïsme et l’Islam ? Quel rapport y a-t-il entre la spiritualité et l’expansion mondiale de l’Europe, à partir de l’an mil et des croisades ? Quel est le rôle du développement du rationalisme et de la laïcité ? Qu’est-ce qui a déclenché la naissance de l’Union européenne ?

    Pour répondre à ces questions, la Fondation Sedes sapientiae, de la Faculté de théologie de l’UCL (Université catholique de Louvain), organise un cycle de quatre conférences, qui seront données chacune à Louvain-la-Neuve (le lundi) et à Bruxelles (le mardi), en février-mars 2013. Le cycle fera l’objet d’une publication aux éditions Lumen Vitae.

    Un cycle, deux localisations :

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  • Pater omnipotens ?

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    Qu’est-ce que la Toute-puissance de Dieu? Benoît XVI répond dans sa catéchèse du mercredi 30 janvier 2013 (Extraits)

    (…) Je voudrais donc réfléchir maintenant avec vous sur la première définition de Dieu que nous présente le Credo et qui est fondamentale : Dieu est Père.

    Il n’est pas toujours facile aujourd’hui de parler de paternité. Surtout dans le monde occidental, les familles décomposées, les obligations professionnelles toujours plus prenantes, les préoccupations et souvent la difficulté à équilibrer le budget familial, la présence envahissante des mass media dans la vie quotidienne avec leurs distractions, font partie des nombreux facteurs qui peuvent empêcher un rapport serein et constructif entre les parents et les enfants. La communication se fait parfois difficile, la confiance s’affaiblit et le rapport avec la figure paternelle peut devenir problématique ; et il devient tout aussi problématique d’imaginer Dieu comme un père si l’on n’a pas de modèles de référence justes (…).

     Mais la révélation biblique aide à dépasser cette difficulté en nous parlant d’un Dieu qui nous montre ce que signifie vraiment être « père » ; et c’est surtout l’Evangile qui nous révèle ce visage de Dieu comme Père qui aime (…) . C’est dans l’amour du Seigneur Jésus que se montre en plénitude le visage bienveillant du Père qui est dans les cieux. C’est en le connaissant, lui, que nous pouvons connaître aussi le Père (cf. Jn 8,19;14,7), c’est en le voyant que nous pouvons voir le Père, parce qu’il est dans le Père et que le Père est en lui (cf. Jn 14,19-11). Il est « l’image du Dieu invisible », comme le définit l’hymne de la Lettre aux Colossiens, « Premier-né de toute créature… Premier-né d'entre les morts », « en qui nous avons la rédemption, la rémission des péchés » et la réconciliation de toutes choses, de « tous les êtres pour lui, aussi bien sur la terre que dans les cieux, en faisant la paix par le sang de sa croix » (cf. Col 1,13-20).

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